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vendredi 6 avril 2012

«Le Seigneur de Guerre» condamné à 25 ans de prison


États-Unis - Un trafiquant d'armes condamné à 25 ans de prison
L'énoncé de la peine contre Viktor Bout avait été reporté deux fois à la demande de la défense, qui avait réclamé un délai pour préparer sa demande de clémence. 
© Reuters

NEW YORK - Le Russe Viktor Bout, reconnu coupable en novembre 2011 de trafic d'armes en faveur de la guérilla en Colombie, a été condamné jeudi par une juge new-yorkaise à 25 ans de prison. L'ancien pilote de l'Armée rouge, qui a inspiré le personnage joué par Nicolas Cage dans le film «Lord of War» («Le Seigneur de Guerre») sorti en 2005, est considéré par les États-Unis comme l'un des plus grands marchands d'armes clandestins du monde.
La juge Shira Scheindlin a condamné Viktor Bout à la peine minimale de 25 ans de prison pour l'un des chefs pour lesquels il avait été inculpé, et à 15 ans de prison pour chacun des trois autres chefs, mais a décidé de confondre ces peines.
«Vingt-cinq ans, c'est assez», a-t-elle déclaré en prononçant le verdict après que Viktor Bout eut pris la parole devant la cour, répétant qu'il était innocent.
L'énoncé de la peine contre Viktor Bout avait été reporté deux fois à la demande de la défense, qui avait réclamé un délai pour préparer sa demande de clémence. Agé de 45 ans, Viktor Bout avait été reconnu coupable par un jury fédéral de tous les chefs d'accusation qui pesaient contre lui.
Il avait notamment été jugé coupable d'avoir essayé de vendre en 2008 un arsenal de fusils et de missiles à des agents secrets américains se faisant passer pour des guérilleros des Forces armées révolutionnaires de Colombie.
Il avait été arrêté en Thaïlande en 2008, après avoir accepté, selon l'accusation, de vendre ces armes, que ces pseudo-guérilleros disaient vouloir utiliser pour abattre des hélicoptères américains aidant l'armée colombienne dans son combat contre les Farc.
Selon ses avocats, Viktor Bout n'a jamais eu l'intention de commercialiser ces armes et souhaitait en fait vendre deux avions cargo à ses interlocuteurs.




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Réalité augmentée: Google veut offrir une paire de lunettes aux internautes

Réalité augmentée - Google veut offrir une paire de lunettes aux internautes
 
© Courtoisie

SAN FRANCISCO - Google a dévoilé un prototype de lunettes utilisant la technologie de la réalité augmentée pour proposer aux internautes ses services en ligne.
La technologie de la réalité augmentée permet de superposer à une image du monde réel des éléments virtuels comme un plan, une photo ou une affiche récupérés sur internet.
Ces lunettes spéciales peuvent permettre de prendre des photos, de lancer une visioconférence et de trouver son chemin, grâce à des microphones et de minuscules caméras intégrés aux branches et contrôlables à la voix.
Le projet de Google, encore au stade expérimental, ne sera pas commercialisé dans l'immédiat. Il a été présenté mercredi soir, dans une courte vidéo, sur le réseau social de la firme californienne Google+.
«Nous partageons cette information maintenant parce que nous voulons lancer une discussion et tirer des enseignements de votre collaboration», écrit Google sur une page de son réseau social dédié au «Project Glass» (projet de lunettes).
La paire de lunettes a été développée par Google[x], une équipe du moteur de recherche qui travaille sur les projets avancés du groupe, comme celui des véhicules sans conducteur.


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jeudi 5 avril 2012

LE SECRET DES BANQUIERS SUISSES

LE SECRET DES BANQUIERS SUISSES

Il y a quelques années des employés de banques suisses ont commis le pire crime possible dans ce milieu: ils ont dévoilé les dossiers de leurs riches clients.

Dans ces documents figurent le nom de plusieurs centaines de canadiens qui avaient caché des millions de dollars à l'impôt et l'équipe d'Enquête y a eu accès.

Ces ex-banquiers nous racontent ce monde secret et révèle plusieurs fraudes qui se cachent derrière les voûtes des banques suisses.


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Tête folle ou tête enflée ?

Formation ou improvisation?

Les groupes de croissance n'ont aucun encadrement au Québec. Tout peut se faire.

Dans les années 80, Line Beauchamp, alors directrice d'Info-Croissance, clamait l'importance d'encadrer ces groupes. Aujourd'hui, elle est ministre de l'Éducation et vice-première ministre, et les groupes de croissance ont encore le champ libre. Cacaaaaaaaaaaaaaa!


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