Plusieurs succursales sont pas encore au point concernant le service a la clientèle!
Surtout en ce qui a trait au comptage et service au comptoir des médicaments,il en manque souvent dans les pots ,le comptage est incorrecte et le préposé dit au clients que celui-ci en prend trop et ne peut avoir de dosette pré-préparée.
Plusieurs médecins de famille prend en compte les plaintes envers la corporation des phamaciens et avise le PJC de l'erreur ,mais le mal continu.
Les personnes âgées écope de plus en plus,et doivent maintenant compter leurs pilules après la livraison des médicaments au comptoir.
Les recommandations du pharmacien concernant de prendre des tylenols avec des médicaments pour l'angine au coeur, sont souvent des erreurs qui ne devrait pas être recommandé aux clients.Car, il y a incompatibilité entre médicaments,et qu'un médecin sait très bien et les pharmaciens incompétent jout au docteur !
On voit a l'occasion des erreurs d'impressions sur les dispills concernant le nombre de pilules présente dans l'alvéole du dispills !!!
Plusieurs succursales ,n'ont pas le médicament pour les asthmatiques , nommé Accolate ,niette aucun en tablette,.....bizarre !
Si les techniciens qui comptent les pilules se conte aussi leurs fin de semaine en me servant, sa me fruste de recompter mes pilules par après lol !
Il faut se plaindre a l'Ordre des Pharmaciens !
https://www.opq.org/fr-CA/grand-public/les-medicaments/medicaments-vendus-sans-ordonnance/
Une autre erreur de PJC : Lisez ceci !
Ici les dossiers a régler avec l'odre des pharmacien:
Les 3, 4, 5, 11 et 12 octobre 2017 à 9 h 30 – Dossier 30-16-01883
Parties et procureurs : Pierre-Marc Déziel, en sa qualité de syndic adjoint de l'Ordre des pharmaciens du Québec (Me Philippe Frère) c. Spyridon Koutsouris (Me Olga Koutsouris)
Type d'audience : Audition de la plainte
Lieu
: Siège social de l'Ordre des pharmaciens du Québec, salle Méditrina,
située au 266, rue Notre-Dame Ouest, 5e étage, à Montréal (Québec) H2Y
1T6
Présidée par : Me Lydia Milazzo
Membres : Patrick Ouellet et Naji-Tom Samaha
Nature de la plainte disciplinaire :
-
Entrave (art. 80 du Code de déontologie des pharmaciens et art. 114 et 122 du Code des professions);
-
Réclamations illégales à un tiers payeur (art. 55 du Code de déontologie des pharmaciens et art. 59.2 du Code des professions);
-
Inscription de faux renseignements aux dossiers pharmaceutiques (art. 55 du Code de déontologie des pharmaciens);
-
Vente de médicaments sans ordonnance (art. 59.2 du Code des professions);
-
Versement d'avantages relatifs à la profession de pharmacien (art. 50 du Code de déontologie des pharmaciens);
-
Divulgation de ses codes d'utilisation du système informatique (art. 56 du Code de déontologie des pharmaciens);
-
Non-respect d'une décision administrative de l'Ordre des pharmaciens du Québec (art. 59.2 du Code des professions);
-
Défaut de se comporter avec respect et intégrité dans ses rapports avec l'Ordre des pharmaciens du Québec (art. 79 du Code des déontologie des pharmaciens).
Le Centre Antipoisons reçoit chaque année
environ 7.000 appels (7.351 appels en 2016) pour une erreur survenue
dans l’utilisation d’un médicament. Ces accidents se produisent aussi
bien chez l’adulte (58,5% des cas) que chez l’enfant (41,5% des cas).
Quelques appels concernent les animaux.
Chez l’adulte comme chez l’enfant, les erreurs les plus fréquentes sont
les surdosages (4.583 appels en 2016) et les erreurs de produit (1.995
appels). Les erreurs dans la voie d’administration sont plus rares (443
appels en 2016). Enfin, la prise de médicaments périmés (147 appels) est
une source d’inquiétude mais reste en général sans conséquence.
Chez l’enfant, les médicaments à base de paracétamol et d’ibuprofène
utilisés pour combattre la fièvre et la douleur ainsi que les
médicaments contre la toux et le rhume (antitussifs, mucolytiques,
expectorants, gouttes pour le nez) sont souvent en cause dans les
erreurs.
Chez l’adulte ce sont les médicaments du système nerveux (somnifères,
antidépresseurs…), les médicaments du système cardiovasculaire et les
antidouleurs qui sont le plus souvent impliqués.
D'autres pharmacie mise en cause:
- Le pharmacien Marc-André Tessier a été radié pour une période de trois mois par l'Ordre des pharmaciens du Québec. Cette décision survient après que le pharmacien salarié se soit approprié des stupéfiants à même l'inventaire d'une pharmacie, située au 751, rue Principale à Granby.
Un pharmacien de Shawinigan a été radié pour une période de deux ans pour avoir notamment détourné à même les stocks de sa pharmacie des substances psychotropes pour son usage personnel.
Le pharmacien déchu Christian Vézina est condamné à une peine de deux ans moins un jour à purger dans la collectivité pour avoir vendu des dizaines de milliers de comprimés de narcotiques sans ordonnance.
L'Ordre des pharmaciens du Québec veut assouplir son code de déontologie afin de permettre aux pharmaciens d'accepter certains cadeaux et ristournes. Seuls les cadeaux qui nuisent à l'indépendance des pharmaciens seraient interdits.
Les succursales PJC fautives ,il y en a bien d'autres encore :
Le PJC :
PHARMACIE JEAN COUTU JOSEPH AMIEL, JACQUES-ALEXANDRE AMIEL ET JOSÉE BEAUPARLANT PHARMACIENS INC(n'est pas digne d'être un PJC ,si Jean Coutu savait ça !)
L'Île-Perrot QC J7V 4X3
Téléphone
Général : 514 453‑2896
- Le PJC :