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jeudi 11 mai 2023

L’Aleph conte ésotérique: C'est la divinité illimitée et pure

 

L’Aleph conte ésotérique: C'est la divinité illimitée et pure


(Nota: Un Extrait de l'Aleph,un roman fantastic,voir référence en bas de la page)

Le nom de Zunni m'impressionna; son cabinet, à Caseros et Tacuari, est d'une sévérité proverbiale. Je demandai s'il s'était chargé de l'affaire. Daneri dit qu'il lui parlerait cet après-midi même ! Il hésita, et de la voix neutre, impersonnelle, dont nous nous servons pour confier quelque chose de très intime, il dit que pour terminer le poème la maison lui était indispensable, car dans un angle de la cave il y avait un Aleph. Il précisa qu'un Aleph est l'un des points de l'espace qui contient tous les points.

- Il se trouve sous la salle à manger, expliqua-t-il, s'exprimant plus faiblement à cause de son angoisse.

Ilest à moi, il est à moi; je l'ai découvert quand j'étais petit, avant d'aller à l'école. L'escalier de la cave est raide, mes oncles m'avaient défendu d'y descendre, mais quelqu'un dit qu'il y avait là tout un monde. Il voulait parler, je l'appris plus tard, d'une malle, mais je compris qu'il y avait tout un monde. Je descendis secrètement, roulai dans l'escalier interdit, tombai.

Qhand j'ouvris les yeux, je vis l'Aleph.

  • L'Aleph ? répétai-je.
  • Qui, le lieu où se trouvent, sans se confondre, tous les lieux de l'univers, vus de tous les angles. Je ne rélélai ma découverte à personne, mais je revins. L’enfant ne pouvait pas comprendre que ce prévilège lui avait été accordé pour que l'homme burinât un jour le poème !

« Zumino et Zungri ne me dépouilleront pas, non mille fois non! Code en main, le docteur Zunni prouvera que mon Aleph est inaliénable.

J'essayai de raisonner.

- Mais la cave n'est-elle pas très sombre?

La vérité ne pénètre pas dans un esprit rétif. si tous les lieux de la terre sont dans l'Aleph, il y aura aussi toutes les lampes, toutes les sources de lumière.

- Jirai le voir immédiatement.

Je coupai, avant qu'il ait pu me dire qu'il ne m' autorisait pas. La connaissance d'un fait suffit pour percevoir sur-le-champ une suite de traits qui le confirment, insoupçonnés auparavant; je m'étonnai de ne pas avoir compris jusque-là que Carlos Argentino était un fou. Tous ces Viterbo, d'ailleurs..

Beatriz (je le répète moi-même fréquemment,donc Borges personnifi une femme dans sa vision) était une femme, une enfant d'une clairvoyance presque implacable, mais il y avait en elle des négligences, des distractions, des dédains, de véritables cruautés qui peut-être demandaient une explication pathologique.

 

La folie de Carlos Argentino me combla d'un bonheur pervers; dans notre for intérieur nous nous étions toujours détestés.

Arrivé rue Garay, la bonne me pria de bien vouloir attendre. Monsieur était comme toujours à la cave, en train de révéler des photographies. Près du vase sans une fleur, sur le piano oublié, le grand portrait

de Beatriz, gauchement peint, souriait, plus réel qu'anachronique. Personne ne pouvait nous voir;

dans un élan désespéré de tendresse, je m'approchai du portrait et lui dis :

 

Beatriz, Beatriz Elena, Beatriz Elena Viterbo, Beatriz chérie, Beatriz à jamais perdue, c'est moi, Borges(l'auteur du livre ici).

Carlos entra peu après. Il parla sèchement; je compris qu'il n'était pas capable d'une autre pensée que de la perte de l'Aleph.

- Un petit verre de ce pseudo-cognac, ordonna-(il, et tu te fourreras dans la cave. Tu sais, le décubitus dorsal est indispensable. De même que l'obscurité, l'immobilité, une certaine accommodation de l'oeil. Tu te coucheras sur le pavé et regarderas fixement la dix-neuvième marche de cet escalier opportun. 

Je m'en vais, je baisse la trappe et tu restes seul.

 Au bout de quelques minutes, tu verras l'Aleph. Le microcosme d'alchimistes et de cabalistes, notre

ami concret, proverbial, le multum in parvo .

 

Une fois dans la salle à manger il ajouta :

Naturellement, si tu ne le vois pas ton incapacité n’annule pas mon témoignage…Descends;d’ici peu tu pourras engager un dialogue avec toutes les images de Béatriz..

 

Je descendis rapidement, car j'en avais assez de ses paroles futiles. La cave, guère plus large que l'escalier, ressemblait beaucoup à un puits. Je cherchai vainement du regard la malle dont Carlos Argentino m'avait parlé. Des caisses remplies de bouteilles et des sacs en toile embarrassaient l'un des angles. Carlos prit un sac, le plia et le plaça à un endroit précis.


…….. Je formai les yeux, les ouvris. Alors je vis l'Aleph.

J'en arrive maintenant au point essentiel, ineffable de mon récit; ici commence mon désespoir d'écrivain. Tout langage est un alphabet de symboles dont l'exercise suppose un passé que les interlocuteurs

pantagent; comment transmettre aux autres l’Aleph infini(NDLR: la lettre de mots possibles pour un poème a l'infini) que ma craintive mémoire embrasse à peine?

 

Les mystiques, dans une situation analogue, prodiguent les emblèmes: pour exprimer la divinité,un Perse parle d'un oiseau qui en une certaine façon est tous les oiseaux; Alanus ab Insulis, d'une sphère dont le centre est partout et la circonférence nulle part; Ézéchiel, d'un ange à quatre visages qui se dirige en même temps vers l'Orient et l'Occident, le Nord et Sud. (Je ne me rappelle pas vainement ces analogies inconcevables; elles ont un rapport avec l'Aleph.)

 

 Peut-être les dieux ne me refuseraient-ils pas de trouver une image équivalente, mais mon récit serait contaminé de littérature, d'erreur. Par ailleurs, le problème central est insoluble : l'énumération, même partielle, d'un ensemble infini. En cet instant gigantesque, j'ai vu des millions d'actes délectables ou atroces; aucun ne m'étonna autant que le fait que tous occupaient le même point, sans superposition et sans transparence.

 

Ce que virent mes yeux fut simul-tné: ce que je transcrirai, successif, car c'est ainsi Qu'est le langage. J'en dirai cependant quelque chose.

A la partie inférieure de la marche, vers la droite, je vis une petite sphère aux couleurs chatoyantes, qui

répandait un éclat presque insupportable. Je crus au début qu'elle tournait puis je compris que ce mouvement etait une illusion produite par les spectacles vertigineux qu'elle renfermait.

 

 Le diamètre de l'Aleph devait etre de deux ou trois contimères, mais espace cosmique étai là, sans diminution de volume. Chaque Chose (la glace du miroir par exemple) équivalait une infinité de choses, parce que je la voyais clairement de tous les points de l'univers. Je vis la mer populeuse, l'aube et le soir, les foules d'Amérique, une toile d'araignée argentée au centre d'une noire pyramide, un labyrinthe brisé (c'était Londres), je vis des yeux tout proches, interminables, qui s'observaient en moi comme dans un miroir, je vis tous les miroirs de la planète et aucun ne me refléta. 

……… Je vis l'Aleph, sous tous les angles, je vis sur l'Aleph la terre, et sur la terre de nouveau l'Aleph et sur l'Aleph la terre, je vis mon visage et mes viscères, je vis ton visage, j'eus le vertige et je pleurai, car mes yeux avaient vu cet objet secret

et conjectural, dont les hommes usurpent le nom, mais qu'aucun homme n'a regardé : l'inconcevable

univers. Je ressentis une vénération infinie, une pitié infinie.

• Tu dois être abasourdi à force de faire le badaud alors qu'on ne ty invitait pas, dit une voix détestée et joviale. Tu auras beau te Creuser la cervelle, tu ne me payeras pas en un siècle cette revelation. Quel observatoire formidable, mon cher Borges( l’auteur du livre, en transcendance) !

 

Les pieds de Carlos Argentino occupaient le marche la plus élevée(19 ième). Dans la brusque pénombre, je réussis à me lever et à balbutier :

- Formidable. Oui, formidable.

L'indifference de ma voix m'étonna. Anxieux.

Carlos Argentino insistait :

- Tu as tout bien vu, en couleurs?

À cet instant, je conçus ma vengeance. Bienveillant, manifestement apitoyé, nerveux, évasif, je remerciai Carlos Argentino Daneri pour l'hospitalité de sa cave, et le pressai de tirer parti de la démolition de sa maison pour s'éloigner de la métropole pernicieuse, qui n'épargne personne, croyez-moi, personne! Je refusai, avec une calme énergie, de discuter l'Aleph; en prenant congé je lui donnai l'accolade et lui répétai que la campagne et la tranquillité sont deux grands médecins.

 ….. Daneri (écrivain), sa plume fortunée ( que l’aleph n’émousse plus,donc il a arrêter d'écrire) s’est consacrée à la versification des épitomés(un abrégé d'un livre) du docteur Acevedo Diaz.

 

Je veux ajouter deux remarques : l'une, sur la nature de l'Aleph; l'autre, sur son nom. Ce dernier, tomme on le sait, est celui de la première lettre de l'alphabet de la langue sacrée(hébreux). Son application à mon histoire ne paraît pas fortuite. Pour la Cabale, cette lettre signifie le En Soph(principe inconnu, mais à l'origine de toutes choses= le néant), la divinité illimitée et pures; on a dit aussi qu’elle a la forme d'un homme qui montre le ciel et la terre, afin d'indiquer que le monde inférieur est le miroir et la carte du supérieur; pour la Mengenlebre(selon la théorie des ensembles), c'est le symbole des nombres transfinis, dans lesquels le tout n'est pas plus grand que l'une des parties.

 

 Je voudrais savoir : Carlos Argentino choisit-il ce nom ou le lut-il, appliqué à un autre point où convergent tous les points, dans l'un des textes innombrables que l'Aleph de sa maison lui révéla? 

Pour incroyable que cela paraisse, je crois qu'il y a (ou qu'il y eut) un autre Aleph, je pense que l'Aleph de la rue Garay était un faux Aleph. ….. il ajoute ces mots curieux : « Mais les précédents (outre qu'ils ont le défaut de ne pas exister ) sont de simples instruments d’optique. Les fideles qui accourent à la mosquée de Amr, au Caire, savent très bien que l’univers est à l'intérieur d'une des colonnes de pierre qui entourent la cour centrale. Nul, évidemment ne peut le voir, mais ceux qui approchent leur oreille de la surface, déclarent percevoir, peu après, sa rumeur affairée...La mosquée date du vI° siècle; les colonnes proviennent d'autres temples de religions pré-islamiques, car comme l'a écrit Abenjaldun : « Dans les républiques fondées par les nomades, l'affluence d'étrangers est indispensable pour tout ce qui est maçonnerie. »

 

Cet Aleph existe-t-il au cœur d'une pierre? L'ai-je vu quand j'ai vu toutes les choses et l'ai-je oublié?

Notre esprit est poreux en face de l'oubli; moi-même je suis en train d'altérer et d'oublier, sous la tragique érosion des années, les traits de Beatriz.


À  Estela Canto.


Nota:  Dans les livres de Jorge Luis Borges,les livres: Le Zahir et L'Aleph, je crois noter une influence du conte The Crystal Egg (1899) de H.G. Wells.

Traduit par J.L. B.

Buenos Aires, 3 mai 1949.  

 

 

Nota: un mot sur The crystal egg:


The Crystal Egg" est une nouvelle de science-fiction écrite par H. G. Wells en 1897.

L'histoire raconte l'histoire d'un propriétaire de magasin nommé M. Cave, qui trouve un étrange œuf de cristal qui sert de fenêtre sur la planète Mars.

L'histoire a été écrite la même année où Wells sérialisait La Guerre des mondes dans Pearson's Magazine, un an avant sa publication sous forme de roman. En raison des descriptions vaguement similaires des Martiens et de leurs machines, "L'Oeuf de Cristal" est souvent considéré comme un précurseur de La Guerre des Mondes, car l'effort des Martiens pour observer et étudier l'humanité à distance pourrait indiquer leur préparation à une éventuelle invasion.
Résumé de l'histoire

M. Cave a un magasin d'antiquités à Seven Dials, un quartier du West End de Londres qui, au moment où l'histoire a été écrite, était un quartier pauvre. Il est bien éduqué mais est dans une situation malheureuse. Sa femme, qui est plus jeune, le traite avec mépris, tout comme son beau-fils et sa belle-fille. Il est en mauvaise santé.

C'est un ami de M. Jacoby Wace, qui est assistant démonstrateur d'anatomie dans un hôpital universitaire voisin et s'intéresse aux personnages inhabituels comme M. Grotte. Il devient clair vers la fin de l'histoire que le narrateur, qui ne joue aucun rôle dans les événements, est une connaissance de M. Wace.

Parmi les objets antiques qui sont entrés dans La possession de M.Cave est un œuf de cristal. Errant un soir dans la boutique, il s'aperçoit qu'une lumière en sort. En l'étudiant de près, "il lui donna l'impression que l'objet lui avait un instant ouvert la vue d'un pays vaste, spacieux et étrange." Il apporte l'œuf à M. Wace pour le garder en lieu sûr, après que sa réticence à le vendre à un client a exacerbé sa relation avec sa femme et ses beaux-enfants.

M. Wace est incapable de voir la vue à l'intérieur de l'œuf aussi clairement que M. Cave, dont l'état mental fatigué semble améliorer sa perception de la vision qui s'y trouve. Cependant, il croit en La découverte de M.Cave, et pendant plusieurs séances, il prend des notes pendant que M. Cave décrit ce qu'il voit. Après quelques jours Cave ramène l'œuf chez lui entre les sessions, car la querelle qu'il a provoquée s'est apaisée; il aime voir la scène à l'intérieur chaque fois qu'il le peut.

Une description de ce que l'on voit à l'intérieur du troisième œuf occupe environ une partie de l'histoire. L'œuf de cristal semble avoir une contrepartie(contrepartie cosmique ?) dans un autre endroit, à travers lequel l'étrange paysage est visible. Le ciel, et les deux lunes parfois présentes, suggèrent que la vue est de la planète Mars. La contrepartie est l'un des nombreux cristaux au sommet des mâts d'un grand bâtiment, autour duquel se trouvent des créatures volantes qui le possèdent apparemment. Ils regardent parfois ces cristaux de près, vraisemblablement pour étudier une scène lointaine.

M. Wace, en visite La boutique de M.Cave, après une interruption de plusieurs jours causée par la pression du travail, est choquée de constater que M. Cave est mort. Une partie de son stock, y compris l'œuf, a été acheté par un autre commerçant afin de payer les funérailles. Ce commerçant, M. Wace trouve, a qui il a vendu l'œuf; le client, probablement ignorant de ses propriétés particulières, est introuvable. Il ne reste de l'affaire que les notes des Observations de M.Cave. M. Wace, et son ami le narrateur de l'histoire, se retrouvent à spéculer sur la signification de l'œuf de cristal : il semble provenir de Mars, et il peut y en avoir d'autres comme lui sur Terre, homologues des autres cristaux vus, "envoyés ici de cette planète, afin de donner aux Martiens une vue rapprochée de nos affaires."


Adaptations:

     Jorge Luis Borges s'est inspiré de "The Crystal Egg" pour ses histoires de 1949, "El Zahir" et "The Aleph".
     En 1952, "The Crystal Egg" est devenu un épisode de la série télévisée d'anthologie de science-fiction Tales of Tomorrow. L'épisode a duré une demi-heure et a été raconté à la première personne. L'épisode est vague quant à savoir s'il se déroule dans les années 1890 lorsque Wells a publié son histoire ou dans les années 1950 lorsque l'émission était diffusée. Cependant, puisqu'il enregistre son histoire sur un disque phonographique, il est plus que probable que ce soit censé être les années 1950.
     Dans La Guerre des mondes de Sherlock Holmes de Manly Wade Wellman, The League of Extraordinary Gentlemen, Volume II d'Alan Moore et Kevin O'Neill et The Martian War de Kevin J. Anderson, des œufs de cristal apparaissent et sont utilisés par les Martiens pour se préparer à leur invasion par espionner la Terre.
     En 2001, la série Radio Tales a produit le drame "Watchers", une adaptation de l'histoire de H. G. Wells pour National Public Radio.
     L'histoire a été adaptée dans le cadre du deuxième épisode de la mini-série de 2001, The Infinite Worlds of H. G. Wells. Wells lui-même est apparu comme un personnage inspiré pour écrire La guerre des mondes à partir des événements.
En 1896, Wells, qui suivait de très près les avancées scientifiques de son époque, publie Intelligence on Mars, où il couche sur papier ce qui va devenir La Guerre des mondes. L'auteur suggère que les Martiens sont attirés par la Terre car leur propre monde, très ancien, est asséché et mourant7.

 

 Dans le spectacle, l'œuf de cristal arrive sur Terre sous forme de météorite et sert également de porte de téléportation bidirectionnelle. Cave est divisé en deux personnages, un couple marié (William et Rosa); un scientifique martien ramène Rosa sur Mars à travers l'œuf, avant de le rendre inutilisable. Les services de renseignement britanniques viennent plus tard acquérir l'œuf.

Dans la bref histoire de Kim Newman , "The Red Planet League" (recueillie dans Gaslight Grimoire) réinterprète les événements de "The Crystal Egg" dans le cadre d'un canular élaboré joué par le professeur Moriarty sur Stent (l'astronome royal de The War of the Worlds) après la tentative de Stent pour discréditer La dynamique d'un astéroïde de Moriarty. Dans l'histoire de Newman, Cave est en fait Moriarty déguisé. Supplément de jeu de rôle sur table Victoriana de Cubicle 7 Faces in the Smoke Volume 1: The Secret Masters . La section "Les Planétaires" est directement basée sur "L'Oeuf de Cristal". Il décrit un groupe de citoyens britanniques réunis par un fonctionnaire du gouvernement pour enquêter sur un œuf de cristal qui donne des visions d'une société technologique avancée sur la planète Mars. Les deux M. Cave et M. Wace sont membres des Planétaires.

 

Nota: Sur le site Suramental.biz de Sandra Vimont; L'Alephs : C'est les Principes solaires qu’une conscience incarnée peut intégrer. Il y a sept alephs : Volonté, Intelligence, Amour, Science du mental, Harmonie par la lutte, Idéal de perfection et Ordre de la magie cérémoniale. Les trois premiers principes permettent à l’individu d’accéder au plan supramental. Les trois suivants permettent à l’être d’élever sa conscience à un niveau solaire perfectionné. Le septième aleph couronne la réalité solaire de l’ego, puisqu’il lui donne une vision intégrale du réel qu’il habite. Synonymes : principes solaires, rayons, rayons solaires, lumière prépersonnelle. 

 https://www.supramental.biz/fr/supramental-lexique.xml


RÉF.:  l’Aleph , par Jorge Luis Borges

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