MONTRÉAL – La fusillade impliquant des policiers qui a fait deux victimes, Mario Hamel et Patrick Limoges, le 7 juin au centre-ville de Montréal, ne fera pas l’objet d’une enquête publique.
Selon le quotidien La Presse, le bureau du coroner soutient qu’il n’est pas question, pour l’instant, de déclencher une telle enquête.
Même son de cloche au bureau du ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil. Un porte-parole a indiqué que tant que l’enquête policière de la Sûreté du Québec et que l’investigation du coroner ne sont pas terminées, il n’est pas possible de lancer une enquête publique.
Cependant, du côté de l’avocat Alain Arsenault, qui a souvent défendu des personnes contre la police, le gouvernement ne pourra faire autrement que d’ordonner une enquête publique, parce qu’il y a clairement eu négligence dans l’incident. Selon lui, il y avait définitivement d’autres façons de gérer la situation pour les policiers et c’est ce qu’une enquête publique pourrait préciser.
Le 7 juin dernier, en matinée, quatre agents de la police de Montréal ont tenté de maîtriser un sans-abri (Mario Hamel) en état de crise et armé d’un couteau, sur la rue Saint-Denis, au centre-ville. Talonné, celui-ci aurait chargé les policiers, qui ont répondu en l’abattant. Les coups de feu des agents ont toutefois aussi atteint mortellement un passant, Patrick Limoges, qui se rendait à son travail.
Un témoin a contacté Claude Poirier a TVA et a dit que les popo aurait-dû tirer dans les jambes ou utiliser un taser gun ! Car le pauvre tinérant qui habitait l'acceuil Bonneau n'avait qu'un canif pour son méfait ,..........il éventrait des sacs a ordures LOL !
RépondreEffacerY aurait dû le tabasser comme St-Barnabé de Baie d'urfé !
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