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dimanche 19 juin 2011

Parce que du babeurre c'est du Beurre ?

Becel condamné

Parce que du beurre, c'est du beurre,..............au goût de lactosérum ? .......,après le p'tit Québec ,le p'tit babeurre ?

Becel condamné - Parce que du beurre, c'est du beurre
Réservé à l’industrie laitière, le mot «beurre» ne peut être utilisé pour vendre de la margarine. 
© Pierre-Paul Poulin/Agence QMI

On ne sait avec quoi elle tartine ses rôties le matin, mais la juge Réna Émond vient de trancher que la mention «au goût de beurre», affichée sur certains contenants de margarine Becel, est une astuce de mise en marché illégale au Québec.
VOTRE OPINION :
La juge a condamné l’entreprise Unilever Canada à payer une amende symbolique de 500 $ pour avoir enfreint la Loi sur les produits alimentaires, le 3 juin, après trois ans de litige.
Le géant de l’alimentation et des produits d’hygiène avait lancé la Becel «Or au goût de beurre» en 2008, peu après la fin de la saga sur la coloration de la margarine au Québec.
Protéger l’industrie laitière
Le Directeur des poursuites criminelles et pénales n’avait pas tardé à déposer une accusation contre l’entreprise, soutenant qu’il est clairement interdit d’employer le mot «beurre» pour désigner un succédané de produit laitier dans la province.
La juge de la Cour du Québec lui a donné raison, rappelant que les dispositions de la Loi sur les produits alimentaires visaient notamment à «empêcher toute confusion chez l’acheteur».
Mais surtout, l’article de la loi qu’a contourné le fabricant de la margarine Becel a pour but de «protéger l’industrie laitière et l’intégrité de la consommation de ses produits, un objectif dont la légitimité est confirmée par la Cour suprême».
«Le législateur ne parle pas pour rien dire», a fait remarquer la juge Émond, en observant que la loi contestée par Unilever «ne souffre d’aucune ambiguïté».
Fait-on la distinction?
«L’intention de la défenderesse d’utiliser le mot «beurre» en référence directe au goût de la margarine, plutôt qu’à sa désignation, n’est aucunement pertinente, non plus que celle de ne pas tromper le consommateur», a ajouté la juge.
La défenderesse plaidait l’invalidité constitutionnelle de cette loi, qu’elle trouve «imprécise». De plus, elle soutenait que les Québécois «font la distinction entre sa margarine au banc des accusés et «son goût de beurre», d’après un sondage mené pour son compte.
«On ne peut prohiber l’utilisation du mot «beurre» dans tous les contextes», a argué l’avocat de la défense, Me Pierre Legault, lors du procès qui s’est tenu à Québec, en mars dernier.
Le procureur ajoutait que sa cliente ne cherchait certes pas à faire croire que la Becel Or est du beurre quand ses contenants précisent que ce produit «contient 80% moins de gras que le beurre».
Autant d’arguments que la juge a écartés du revers du couteau.
Il n’a pas été possible de savoir si Unilever Canada allait se conformer au jugement en retirant ses produits des tablettes et en modifiant leurs contenants, ou si elle porterait l’affaire en appel. Son avocat dans ce dossier était en vacances hier et la direction des relations publiques d’Unilever, à Toronto, n’a pas retourné l’appel du Journal.

La margarine jaune, présente partout en Amérique du Nord, est apparue chez nos épiciers en 2008, Québec ayant abrogé le règlement interdisant sa coloration. Les ventes de margarine ont baissé de 2% dans l’année qui a suivi, au Canada, alors que les ventes de beurre ont augmenté de 3%.

samedi 18 juin 2011

Appeler sans frais M. Ponzi au 1-800-659-4264


SAINT-GEORGES – Un résidant de Lac-Poulin en Beauce, Pierre Jolicœur, 43 ans, a été arrêté jeudi matin par les policiers de la Sûreté du Québec (SQ) et l’Autorité des marchés financiers (AMF) et il a été accusé de fraude au palais de justice de Saint-Joseph-de-Beauce.

Jolicœur, qui connaît des démêlés avec l’AMF depuis un an, opérait selon la SQ une pyramide de type Ponzi. La fraude s’élèverait à 12 millions $. « Il trouvait une personne qui était prête à investir une certaine somme d’argent qu’il s’engageait à placer, mais qu’il ne plaçait pas », a expliqué Richard Gagné, porte-parole de la SQ.
Après quelques mois, Jolicoeur envoyait un chèque « d’intérêt » au placeur, ce qui représentait une somme minime, tout en conservant le reste de l’argent. « Il trouvait alors une autre personne et recommençait le même manège », a précisé M. Gagné.
En plus de l’arrestation de l’homme, qui était sous mandat d’arrestation, les policiers de la SQ, en collaboration avec l’AMF, ont effectué trois perquisitions, dont une à sa résidence de Lac-Poulin. La vente de celle-ci avait fait l’objet d’un blocage par le Bureau de décision et de révision en valeurs mobilières en avril dernier. Les deux autres perquisitions ont été effectuées à son bureau de la 1re Avenue Est à Saint-Georges, ainsi qu’à un autre endroit dans le secteur. Toutefois, la SQ n’a pas voulu dévoiler ce lieu.
Par ailleurs, la SQ invite toute personne possédant des informations pertinentes concernant Pierre Jolicœur ou ses déplacements à les lui transmettre au 1-800-659-4264.
Jolicœur a été libéré moyennant une caution de 5000 $ et plusieurs engagements, dont ceux de ne pas quitter le Canada ni d'effectuer de transactions de courtage. Il reviendra devant la cour le 9 septembre.


Quand une bouche croche nomme un croche ,ça donne ça :


Politique fédérale - L’ex-sénateur Raymond Lavigne ira en prison
Raymond Lavigne et sa femme, Carmen Robichaud, au palais de justice d'Ottawa.
© Agence QMI / Chris Roussakis


OTTAWA- L’ex-sénateur libéral Raymond Lavigne, reconnu coupable d'avoir fraudé les contribuables, devra purger six mois de prison suivis d'une peine de six mois avec sursis dans sa résidence de Montréal.
M. Lavigne devra aussi rembourser la somme de 10 000 $ à un organisme de charité, le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels.
Ainsi en a décidé le juge Robert Smith de la Cour supérieure de l'Ontario, jeudi matin.
Le juge a surtout insisté sur les fonctions de confiance et de privilège envers les citoyens canadiens qu'occupait M. Lavigne à titre de sénateur pour déterminer sa peine.
Le juge conclut qu’une période d’emprisonnement est «nécessaire» afin de servir les objectifs de la dissuasion générale et de la dénonciation de la conduite de M. Lavigne.
«Sa fonction était investie d’une grande confiance du public, et il a abusé de cette confiance», a déclaré le magistrat.
L'avocat de l’ex-sénateur, Dominique Saint-Laurent, a immédiatement confirmé qu'il porterait la cause en appel.
«Nous considérons qu’il y a des motifs sérieux et majeurs d’appel quant à l’appréciation de l’ensemble de la preuve», a-t-il affirmé à sa sortie de la salle d’audience.
Son client s’est adressé à la Cour avant le prononcé de sa sentence. Il a affirmé qu’il n’avait pas eu droit à un procès juste et équitable, selon lui, et qu’il n’était pas coupable de tous les gestes qui lui étaient reprochés.
M. Lavigne avait été reconnu coupable de fraude en mars dernier pour avoir réclamé pour plus de 10 000 $ de dépenses de voyage, de même que d’abus de confiance pour avoir demandé à son personnel politique de couper des arbres sur sa propriété située à Wakefield au Québec. Il a été acquitté d’une troisième accusation d’entrave à la justice.
La Couronne réclamait de 12 à 15 mois de prison, alors que l’avocat de la défense soutenait que son client ne devrait même pas avoir à se retrouver derrière les barreaux en raison de ses états de service auprès des Canadiens pendant 17 ans en tant que député et sénateur.
Me Saint-Laurent avait plutôt demandé au tribunal que son client purge une peine dans la collectivité ou qu’il soit condamné avec sursis.
La GRC a porté des accusations en 2007 contre le sénateur âgé de 65 ans. M. Lavigne s’est vu interdire de siéger au Sénat la même année. Il a toutefois continué à empocher son salaire annuel de près de 133 000 $, ainsi que 10 000 $ en avantages indirects jusqu’à sa condamnation.
M. Lavigne a quitté volontairement le Sénat le 21 mars dernier, soit 10 jours après sa condamnation et tout juste avant que ses collègues ne s’interrogent sur la possibilité de lui montrer la porte.
Sa démission de la Chambre haute lui a permis de conserver sa pension à titre de sénateur et de député. La Fédération canadienne des contribuables a estimé que ce montant était d'au moins 75 000 $ par année.
M. Lavigne a été élu à la Chambre des communes en 1993 en tant que député libéral de Verdun-Saint-Henri. Il a été nommé au Sénat en 2002 par l'ancien premier ministre Jean Chrétien.

Ça fait longtemps que ça ce fait ,sauf que la,on en parle


Des hackers affirment avoir piraté le site internet de la CIA


Le site internet de la CIA, l'agence centrale du renseignement américain, n'était plus accessible mercredi soir et des pirates informatiques regroupés sous le nom de Lulz Security ont annoncé l'avoir piraté.
Dans les minutes qui ont suivi la revendication, diffusée via Twitter vers 18h00, l'accès au site a été rompu. Plus tard dans la soirée, les connexions étaient sporadiques.
«Nous vérifions ces informations», a déclaré une porte-parole de l'agence.
Les hackers de Lulz Security sont déjà parvenus ce week-end à s'introduire sur le site du Sénat et ont diffusé des données récupérées sur les serveurs de l'assemblée. Le même groupe avait réussi à pirater les systèmes informatiques de Sony et de la chaîne publique de télévision américaine PBS.
Les spécialistes de la sécurité informatique relativisent cependant la portée de ces intrusions. Les hackers de Lulz Security chercheraient avant tout à se faire remarquer et ne poseraient pas véritablement un danger direct.
«Tout ce qu'ils font revient à dire: regardez comme nous sommes doués. Tout ce qu'ils cherchent, c'est provoquer littéralement de l'embarras, dire: votre sécurité est nulle», analyse l'essayiste Jeffrey Carr, auteur d'Inside Cyber Warfare: Mapping the Cyber Underworld.
Dans le cas précis de l'attaque contre la CIA, souligne-t-il, les hackers, en piratant le site public de l'agence, n'ont aucun moyen d'accéder à des données sensibles.
Quant à leur opération lancée en mai contre PBS, ils l'ont utilisée pour poster un faux article annonçant que le rappeur Tupac Shakur, assassiné en 1996, était vivant et installé en Nouvelle-Zélande.
Il n'en allait sans doute pas de même avec la tentative d'intrusion sur les systèmes du Fonds monétaire international (FMI), révélée ce week-end, ou bien encore avec l'attaque déjouée le mois dernier par le groupe d'armement et de technologie Lockheed Martin, premier fournisseur du Pentagone.
Les hackers de Lulz Security n'ont du reste pas été soupçonnés dans ces deux cyber attaques qui illustrent les difficultés de la lutte contre des pirates informatiques.

REF.:

jeudi 9 juin 2011

L'informatrion viendrait du public = une "Taupe", c'est pareil ?!!


Stupéfiants - Vaste opération policière contre la mafia
Des trafiquants de stupéfiants ont été arrêtés par la police. 
© Stéphane Grégoire/Agence QMI


MONTRÉAL – Un réseau de trafiquants de cocaïne relié à la mafia a été la cible de plusieurs perquisitions, mercredi, dans la grande région de Montréal.
La Division des enquêtes sur le crime organisé Ouest de la Sûreté du Québec a exécuté une trentaine de mandats de perquisition afin de recueillir des éléments de preuve contre une organisation criminelle impliquée dans le trafic de stupéfiants.
Les policiers ont ainsi pu procéder à la saisie d’importantes quantités de drogue, dont environ 20 000 comprimés de drogue synthétique et 45 kg de cannabis. Les autorités policières ont également mis la main sur plusieurs armes prohibées, une douzaine de véhicules, un bateau et trois motoneiges.
Les perquisitions visaient un réseau d'importation de cocaïne. Selon un communiqué, l'enquête a démontré que ce réseau serait relié au milieu du crime organisé italien et mènerait ses activités criminelles principalement à partir de la grande région de Montréal. Les perquisitions ont notamment eu lieu à Montréal, Laval, Terrebonne, Le Gardeur et sur la Rive-Sud.
Cependant, aucune arrestation n’était prévue.
Au total, 270 policiers de la Sûreté du Québec, du Service de police des villes de Montréal, Laval, Repentigny et Terrebonne, ainsi que des membres de la GRC ont été impliqués dans cette opération.
L’enquête, menée par la SQ, a débuté en mai 2009 à la suite d'informations reçues du public. Les motards également visés
Plus tôt en matinée, la police de Montréal a pour sa part mené une opération contre un réseau de trafiquant de stupéfiants relié aux motards criminalisés dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve.
Les policiers devaient effectuer sept perquisitions dans des résidences du secteur, qui devaient mener à des arrestations.

Gun ou Taser ?


Montréal - Le pistolet Taser utilisé lors d'une opération policière
L'opération a été un succès et personne n'a été blessé. 
© Agence QMI / Archives

MONTRÉAL — Deux jours après la fusillade au centre-ville de Montréal(un passant a écopé d'une balle perdu en pleine tête et en est mort), les policiers ont fait face à une situation similaire dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, au cours de la nuit de mercredi à jeudi.
L'opération a été un succès et personne n'a été blessé. Tout a commencé vers 1 h 45, lorsque des citoyens ont aperçu une dame en crise armée d'un long couteau, à l'angle des rues Ontario et Davidson.
Les citoyens ont aussitôt avisé les policiers et décidé de suivre la dame jusqu'à ce qu'elle entre dans une résidence de la rue Lafontaine, près de la rue de Chambly.
Les policiers ont tenté de discuter avec la dame, mais en vain.
C'est lorsqu'elle s'est isolée dans une pièce de la maison que les policiers ont réussi à la maîtriser à l'aide du pistolet à impulsions électriques de type Taser.
Pour toute l'île de Montréal, la police possède quatre pistolets de ce type, et le Groupe d'intervention Est, qui se trouvait à proximité des lieux, en avait un en sa possession. 

mercredi 8 juin 2011

voila ce qui arrive si vous vous adaptez pas au changement et que vos employés veulent de grosse pensions :


Grève des syndiqués - La fin de la poste ?
La dernière grève des syndiqués de Postes Canada remonte à l'automne 1997. Elle avait duré deux semaines, avant qu'une loi spéciale du gouvernement fédéral n'oblige un retour au travail. 
© Pierre-Paul Poulin/Agence QMI


Postes Canada pourrait bien ne jamais se remettre d'une grève prolongée de ses syndiqués, qui ont commencé un débrayage rotatif cette semaine, croit un expert en marketing et en nouvelles technologies.
Jean-François Ouellet, professeur agréé en marketing aux HEC Montréal, estime qu'une grève ne fera qu'accélérer la fin du service de distribution des lettres, «d'ici 5 à 10 ans».
«La poste va vraiment se tirer dans le pied avec cette grève. Elle risque de perdre sa clientèle plus rapidement, même si c'était déjà un mouvement inévitable», estime-t-il, en entrevue au Journal de Montréal.
«Si un conflit devait perdurer, les gens se rendraient compte qu'il y a d'autres alternatives, comme les factures électroniques, et ils les adopteraient», justifie le spécialiste.
Changement radical
Selon l'expert, la grande majorité des Canadiens est maintenant prête à délaisser la poste traditionnelle, car deux conditions essentielles, qui n'existaient pas lors du dernier débrayage des syndiqués en 1997, sont maintenant remplies.
D'abord, le fait que l'immense majorité des grandes entreprises, comme les banques et les commerces, proposent des services par internet accroît la confiance des consommateurs envers la sécurité des transactions.
Ensuite, d'après Jean-François Ouellet, la vitesse des connexions internet s'est beaucoup améliorée, et «n'est maintenant plus une entrave aux communications électroniques».
«Il n'y a plus de raison pour que 80 % du courrier ne soit pas acheminé de façon électronique. 85 % de la population est assez branchée pour ça», dit-il.
«Il n'y aura bientôt qu'une seule catégorie de gens ou d'entreprises qui vont se rabattre sur la poste traditionnelle. Ce seront ceux qui sont technologiquement très en retard», croit le professeur.
En retard
Au pays, Postes Canada détient le privilège exclusif pour traiter toutes les lettres de 500 grammes et moins. Au-delà de ce poids, le marché est ouvert à la concurrence et compte de nombreux joueurs parmi des entreprises privées comme UPS et FedEx.
Jean-François Ouellet croit que dans son domaine d'activités, Postes Canada n'a pas su s'adapter au changement technologique.
«Leur modèle d'affaires actuel, c'est quelque chose qui n'est pas seulement passé date, mais aussi qui ne fait pas de sens au niveau organisationnel.
«Par exemple, je lisais récemment que dans un pays scandinave, les gens ont maintenant le choix de recevoir leur courrier de manière traditionnelle, dans des enveloppes, ou de le recevoir scanné, en format électronique», explique l'expert.
«Ça permet de recevoir le courrier au moment où vous voulez le recevoir, et de la façon dont vous voulez le recevoir. On n'est pas rendu là, ici. La poste canadienne n'est pas équipée pour ça», juge-t-il.
La dernière grève des syndiqués de Postes Canada remonte à l'automne 1997. Elle avait duré deux semaines, avant qu'une loi spéciale du gouvernement fédéral n'oblige un retour au travail.