Rechercher sur ce blogue

dimanche 8 janvier 2012

C ki l'cave ? Fermer une ligne de métro pour un fou tuer dans une sortie de métro !

C'est ce que fait allègrement la STM a chaque bavure de police dans le métro !
On cherche des pièces a conviction,...............un X-acto ? Laisser les étinérants tranquilles,.........c'est ce qu'on voit a 5:30 hrs le matin dans les bancs du métro souterrain de Montréal (parce que la police du Métro est couché),juste a côté des coquerelles (Guy-concordia)et verres vides a côté des poubelles qui sont rendu au premier plancher maintenant (le bac a recyclage est changé de place)!
Drame au métro Bonaventure - L'homme abattu était un sans-abri
Une agression armée contre des policiers est survenue à la station de métro Bonaventure, située sur la ligne orange, à Montréal, le vendredi 6 janvier 2012.  
© Mathieu Lebrun / Agence QMI
La ligne orande est la plus souvant interrompu de tous !

Le suspect abattu vendredi après-midi à la station de métro Bonaventure, au centre-ville de Montréal, était un sans-abri, ont confirmé samedi matin les policiers.
Il s'agit de Farshad Mohammadi, un homme de 34 ans d'origine iranienne. Les policiers n'avaient pas encore réussi à joindre sa famille, samedi.
Des responsables de la Mission Old Brewery ont indiqué que M. Mohammadi avait fréquenté ce refuge pour sans-abri au cours des dernières années. Ils étaient toutefois sans nouvelle de lui depuis environ deux ans.

À lire également:
Un homme meurt sous les balles de la police
La Sûreté du Québec tente toujours de démêler les détails de cet événement. Mais selon des témoins, les agents du SPVM auraient d'abord voulu interpeller le suspect, pour un motif encore nébuleux. Deux policiers auraient ordonné à la victime de se coucher au sol.
«Il y avait deux policiers, un avec une matraque électrique et l'autre avec un fusil, ils pointaient un homme, a raconté Carl, témoin de la scène. L'homme marchait les mains dans les poches, manteau de cuir, cheveux gris peignés par en arrière [...] Un personnage assez louche qui restait calme même si les policiers pointaient des armes sur lui. Il continuait de marcher sans regarder les policiers.»
«Il avait l'air de quelqu'un fâché de s'être fait prendre, a précisé le témoin. Il avait l'air lucide.» Le suspect aurait alors tenté de fuir par un escalier. «Quand il a tourné le coin, on a entendu trois coups de feu, a ajouté Carl. On a tourné le coin et il y avait un policier par terre.»
Un agent a été sérieusement blessé par une arme tranchante et son collègue a été victime d'un choc nerveux. Tous deux ont été transportés à l'hôpital et avaient reçu leur congé, samedi en mi-journée. Ils devaient être rencontrés par les enquêteurs par la suite.
Quant au suspect atteint par balle à l'épaule, selon certaines sources, il a succombé à ses blessures. Station fermée. L'événement a engendré une opération policière de grande envergure aux alentours du 1000, De La Gauchetière, qui donne accès à la station de métro Bonaventure.
Celle-ci a été fermée jusqu'à la fermeture du métro vendredi soir afin que les enquêteurs puissent faire leur travail. La Société de transport de Montréal a cependant pu rouvrir la station samedi matin dès les premiers départs. Le métro s'y arrêtait normalement.
Comme le veut la politique du ministère de la Sécurité publique, un autre corps policier – la SQ, en l'occurrence – a été chargé de faire la lumière sur l'intervention des policiers de Montréal.
Intervention questionnée
Trop de questions demeurent en suspens, selon le spécialiste en intervention policière, Martin Courcy. «Pourquoi les policiers n'ont pas tiré lorsque leur vie était en danger? Pourquoi ils ont seulement tiré lorsque l'individu se sauvait? Est-ce qu'il représentait une menace quand il s'est sauvé?» demande M. Courcy.
De leur côté, les représentants des personnes itinérantes se disent irrités par la situation. «Les interventions policières tournent mal dans un trop grand nombre de cas, donc il faut agir autrement», croit Pierre Gaudreau, du Regroupement pour les personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM). M. Gaudreau estime que le mode d'intervention des policiers et la façon d'enquêter sur leur travail doivent être revus.


REF.:

Aucun commentaire:

Publier un commentaire

A l'envers c'est a l'endroit ,.........vous vous en appercevrez a un moment donné !