Intimidation
Les américains ont fait pareille,...............le scandale du 911(attentat du world trade center),tout le monde savaient,..............sa prenait ça pour bouger, et le cycle recommence !
Son Texto ici:
« !!asti dvie dmarde!!!!ya juste toi d’bon ds ma vie!! Je t’aime enormément ma belle je serais la pour te protéger.Men veux pas pour le geste que je vais poser...xxxx Marjorie ».
Suicide de Marjorie Raymond
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Son Texto ici:
« !!asti dvie dmarde!!!!ya juste toi d’bon ds ma vie!! Je t’aime enormément ma belle je serais la pour te protéger.Men veux pas pour le geste que je vais poser...xxxx Marjorie ».
L’annonce du suicide de la
jeune Marjorie Raymond a causé tout un émoi sur les médias sociaux. Des
centaines de tweets à ce sujet ont été lancés mercredi, et le nombre
n’a cessé d’augmenter au fur et à mesure de la journée.
Il suffisait de faire une simple recherche sur Twitter
avec les termes « Marjorie » et « Raymond » pour s’en rendre compte. La
plupart des tweets passent de l’indignation à l’incrédulité face à ce
sujet délicat.
Selon le site internet Trendsmap, le terme « Raymond » a été recensé comme une tendance dès minuit durant la nuit du 29 au 30 novembre 2011. Une page Facebook en hommage à Marjorie revendique plus de 5000 adeptes. Un événement créé sur Facebook rassemble aussi près de 18 000 personnes.
Mercredi matin, peu avant 9 h, un utilisateur de Twitter a trouvé le statut Facebook d’une jeune fille qui avait intimidé Marjorie Raymond. Il a pris une capture d’écran du statut et l’a ensuite envoyé sur Twitter.
Avant d’être supprimée peu avant mercredi midi, la photo a été visionnée plus de 12 000 fois. Un peu plus tard, le nom de l’utilisateur (qui a mis la photo du statut en ligne), ainsi que les termes « bullying » (intimidation en anglais), « intimidation » et « bouleversé » sont aussi devenus des tendances Twitter à Montréal.
Dans la capture d’écran, on pouvait facilement voir le nom de la jeune intimidatrice. Puisque le statut de la jeune fille est public, il a été facile, pour les utilisateurs Facebook, d’aller commenter et de le partager.
Publié le 1er novembre dernier, il est encore en ligne et fait l’objet de commentaires virulents depuis mercredi matin. Environ 120 commentaires ont été écrits et il a été partagé près de 730 fois sur Facebook. La jeune intimidatrice devient, en quelque sorte, elle aussi une victime d’intimidation.
Toujours en lien avec le suicide de Marjorie Raymond, une page Facebook cause aussi une vive réaction sur les médias sociaux. La page nommée « Organiser un suicide collectif géant en l’hommage de Marjorie Raymond » est l’objet de critiques. Chaque statut publié entraîne environ une cinquantaine de commentaires, et ce, même si la page compte environ 40 adeptes. La page a été supprimée mercredi après-midi.
Mercredi matin, le journaliste techno, Dominic Arpin, comptant des milliers d’abonnés sur Facebook et Twitter, a publié sur son site Internet, la vidéo « Losers » qui vise à sensibiliser la population et les jeunes face à l’intimidation. La vidéo, amplement partagée, est souvent accompagnée par un commentaire qui invite tout le monde à dénoncer l’intimidation.
Toutes ces réactions prouvent que le suicide de Marjorie Raymond ne laisse personne indifférent et, à l’ère des médias sociaux, on se rend compte que les responsables d’un acte répréhensible comme l’intimidation peuvent rapidement être montrés du doigt.
REF.:
À LIRE ÉGALEMENT: Une discussion Facebook troublante |
Selon le site internet Trendsmap, le terme « Raymond » a été recensé comme une tendance dès minuit durant la nuit du 29 au 30 novembre 2011. Une page Facebook en hommage à Marjorie revendique plus de 5000 adeptes. Un événement créé sur Facebook rassemble aussi près de 18 000 personnes.
Mercredi matin, peu avant 9 h, un utilisateur de Twitter a trouvé le statut Facebook d’une jeune fille qui avait intimidé Marjorie Raymond. Il a pris une capture d’écran du statut et l’a ensuite envoyé sur Twitter.
Avant d’être supprimée peu avant mercredi midi, la photo a été visionnée plus de 12 000 fois. Un peu plus tard, le nom de l’utilisateur (qui a mis la photo du statut en ligne), ainsi que les termes « bullying » (intimidation en anglais), « intimidation » et « bouleversé » sont aussi devenus des tendances Twitter à Montréal.
Dans la capture d’écran, on pouvait facilement voir le nom de la jeune intimidatrice. Puisque le statut de la jeune fille est public, il a été facile, pour les utilisateurs Facebook, d’aller commenter et de le partager.
Publié le 1er novembre dernier, il est encore en ligne et fait l’objet de commentaires virulents depuis mercredi matin. Environ 120 commentaires ont été écrits et il a été partagé près de 730 fois sur Facebook. La jeune intimidatrice devient, en quelque sorte, elle aussi une victime d’intimidation.
Toujours en lien avec le suicide de Marjorie Raymond, une page Facebook cause aussi une vive réaction sur les médias sociaux. La page nommée « Organiser un suicide collectif géant en l’hommage de Marjorie Raymond » est l’objet de critiques. Chaque statut publié entraîne environ une cinquantaine de commentaires, et ce, même si la page compte environ 40 adeptes. La page a été supprimée mercredi après-midi.
Mercredi matin, le journaliste techno, Dominic Arpin, comptant des milliers d’abonnés sur Facebook et Twitter, a publié sur son site Internet, la vidéo « Losers » qui vise à sensibiliser la population et les jeunes face à l’intimidation. La vidéo, amplement partagée, est souvent accompagnée par un commentaire qui invite tout le monde à dénoncer l’intimidation.
Toutes ces réactions prouvent que le suicide de Marjorie Raymond ne laisse personne indifférent et, à l’ère des médias sociaux, on se rend compte que les responsables d’un acte répréhensible comme l’intimidation peuvent rapidement être montrés du doigt.
REF.:
Dommage pour la famille Raymond !
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