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dimanche 13 mai 2012

Le Canada,premier pays a abandonner la carte de crédit ?

Êtes-vous en burnout du crédit?

 par: - 10 mai 2012 Commençons-nous à « slaquer » sur la carte de crédit? Votre voisin a-t-il abandonné l’idée de s’acheter un château avec garage double, pour se rabattre sur un joli cottage, plus abordable?
Avons-nous enfin écouté les avertissements de Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, qui nous répète depuis des mois dans les médias qu’il faut cesser de s’endetter comme si demain n’existait pas?
Si c’est le cas, applaudissons notre retour sur terre.
Benjamin Tal, lui, pense que oui. L’économiste de la CIBC a publié un rapport dans lequel il explique qu’une « fatigue du crédit » commence à s’abattre sur le Canada.
Le crédit à la consommation a augmenté de seulement 2,3 % depuis un an. Il a même diminué en mars par rapport au mois précédent. C’est le rythme le plus faible depuis les années 1990. Tout ça, rappelons-le, avec des taux d’intérêt qui demeurent historiquement bas.
Le marché hypothécaire aussi ralentit. Le solde des prêts hypothécaires a augmenté de 6,3 % annuellement. Oui, ça demeure élevé. Mais c’est un rythme plus faible que la moyenne des deux dernières années (7,3 %). Et par rapport au mois dernier, l’augmentation est de 0,5 %. La plus faible depuis 2001, souligne Tal, qui n’hésite pas à donner une part du crédit à Mark Carney et à la Banque du Canada pour avoir martelé leur message de prudence.
Il était temps
Un passage de l’étude m’a fait sursauter. Imaginez : pour la première fois depuis 2002, le crédit à la consommation au Canada augmente plus lentement qu’aux États-Unis.
Attendez… la première fois depuis 2002? Nous, Canadiens, avons été encore plus accrocs au crédit que nos voisins Américains depuis tout ce temps?
Oui. Contrairement à la perception populaire, nous dit l’économiste, le crédit à la consommation au Canada a augmenté deux fois plus vite qu’aux États-Unis durant la dernière décennie. Suite à la crise, alors que ce recours au crédit ralentissait aux États-Unis et sombrait même en territoire négatif, il continuait d’augmenter au Canada. Et même à accélérer! Aujourd’hui, les rôles s’inversent. La consommation à crédit augmente chez nos voisins du sud, et ralentit au Canada.
L’immobilier inquiète
Benjamin Tal est catégorique sur le marché immobilier. « Il n’y a pas de débat sur le fait que le marché immobilier surchauffe en ce moment. La seule question est : de quelle nature sera l’ajustement? Nous sommes à un tournant dans le marché immobilier [...] La CIBC continue à prévoir un ralentissement graduel du marché, avec une chute potentielle des prix de 10 % d’ici un ou deux ans. » Les gens réalisent de plus en plus, illustre Tal, que le marché immobilier est « en neuvième manche ».
Mettez tout ça ensemble, et ça commence à être difficile de ne pas s’attendre à un ralentissement économique dans les années qui viennent. Du moins si on voit toujours le consommateur comme moteur de la croissance. Avec le crédit à la consommation qui ralentit, le marché immobilier qui se stabilise et qui pourrait perdre de la valeur, les consommateurs canadiens perdent les deux piliers principaux qui ont soutenu leur économie pendant la crise, écrit Tal.
Je demeure convaincu que les implications de ce « serrage de ceinture » collectif, bien que nécessaire, sont plus grandes que l’on pense. Et que nos politiciens, qui misent grandement sur la croissance économique pour équilibrer leurs budgets, n’en sont pas tout à fait conscients.

REF.:

samedi 12 mai 2012

150$ un ticket pour chien dans une auto ? et les bébés ??? $$$ ???

C'est drôle ,aucune écriteau a ce sujet de la part de la ville de Mtl ????

Gagne de chiiiiiiiii;-)


REF.: Gens Charette,Gérald Tremblay,



C'est quoi le plus grave ,.............un bébé dans l'auto ou un chien ????

Voyez les histoires d'horreur:
(Québec) Martin Racicot n'a pas mis en danger la vie de l'enfant laissé dans sa voiture une quinzaine de minutes le soir du 28 octobre 2007, a décrété le juge Rémi Bouchard. L'homme de 28 ans est donc acquitté de l'accusation d'avoir abandonné un enfant.
Même si Racicot n'a pas agi de façon responsable, de dire le juge, la vie de l'enfant n'a pas été mise en danger ni exposée à l'être au sens du Code criminel, d'analyser le juge en rendant son verdict. Le magistrat a appliqué à la lettre l'article du Code criminel qui traite de l'abandon d'un enfant de moins de 10 ans.
Le texte de loi, a rappelé le juge Bouchard, stipule qu'il y a crime lorsque la vie d'un enfant est effectivement mise en danger ou exposée à l'être, ou que sa santé est effectivement compromise de façon permanente, ou exposée à l'être. On parle donc de situation où le danger est réel, et non pas hypothétique ou probable, continue le magistrat dans son analyse.
Or, le soir du 28 octobre 2007, l'enfant de sept mois est demeuré sans surveillance une ou deux minutes, soit le temps que des gens s'aperçoivent qu'un bébé se trouvait seul dans une auto et communiquent avec le 9-1-1. Ces gens ont assuré la surveillance de l'enfant avant l'arrivée des policiers et le retour de Racicot à sa voiture une quinzaine de minutes plus tard, a rappelé le juge.
Selon le rappel des faits, Racicot gare sa voiture devant le restaurant Cochon Dingue du boulevard Champlain. Le moteur tourne, et l'habitacle est réchauffé pendant une dizaine de minutes, car l'homme attend sa conjointe qui a terminé sa soirée de travail au Théâtre Petit Champlain.
Voyant que cette dernière tarde, Racicot décide de se rendre au théâtre après avoir arrêté le moteur et verrouillé les portières. Puisque l'enfant dort, il choisit de ne pas le réveiller et le laisse dans le siège de l'auto.
Dès son arrivée au théâtre, sa conjointe l'informe en avoir encore pour seulement cinq minutes. Il décide de l'attendre sur place. Mais des policiers ont vite mis fin à l'attente.
Selon l'expertise d'un professeur de génie mécanique appelé par la défense, l'habitacle était à 37 degrés au moment où Racicot est sorti de la voiture, et à 12 degrés à son retour.
Des échanges entre Racicot et les policiers ont envenimé la situation, a noté le juge. D'ailleurs, Racicot a déposé une plainte en déontologie policière.
Le geste reproché à Racicot s'est produit le 27 octobre 2007. Or, l'accusation a été déposée le 21 avril 2008, soit une semaine avant le délai de prescription.Aux États-Unis, 49 enfants sont morts en 2010 d'un coup de chaleur après avoir été oubliés dans un véhicule, selon l'organisation Kids And Cars, qui milite pour la protection des enfants dans les véhicules.

REF.:





mercredi 9 mai 2012

Fraude de 100 millions $,pour des cartes clonées: C'est toute nous autres qui payerons ça $$$

Fraudes de 100 millions $ - La GRC démantèle un réseau international de fraudeurs
Au total, 61 personnes font l'objet d'un mandat d'arrestation. 
© Sylvain Girard / Agence QMI
Fraudes de 100 millions $

La GRC démantèle un réseau international de fraudeurs


MONTRÉAL – Les policiers d'une équipe intégrée de la GRC et de la SQ avaient procédé à l'arrestation de 48 personnes, en fin d'après-midi mercredi, dans le cadre d'une importante opération visant à démanteler un réseau de fraudeurs qui fabriquaient des cartes clonées, à Montréal et sur la couronne nord. Au total, 61 personnes font l'objet d'un mandat d'arrestation. Les principales têtes dirigeantes des organisations impliquées dans ce réseau ont été identifiées, a précisé la GRC, mercredi matin, en point de presse. Ces arrestations pourraient mener au dépôt de 368 chefs d'accusation. Situation peu commune, des accusations de gangstérisme seront portées en lien avec une affaire de fraude.

«Cette opération vise le démantèlement d'un réseau de fraudeurs par cartes de paiement à l'échelle internationale», a expliqué le sergent Christian Lamarre de la GRC. Les fraudes potentielles sont évaluées à près de 100 millions $.
«Il y a eu des fraudes à des échelles moins importantes, mais cette fois-ci, avec un montant de 100 millions $, c'est considérable», a-t-il ajouté.
D'autres arrestations sont à prévoir d'ici la fin de la journée. «Nous avions 250 policiers au total, mais au fil de la journée leur nombre est inconnu. Cependant, l'opération est toujours en cours et il y a encore des équipes sur le terrain», a indiqué à l'Agence QMI le sergent Lamarre, en entrevue téléphonique en milieu d'après-midi.
Cette enquête, baptisée Chapitre, a été amorcée en septembre 2008 par l'Équipe intégrée de lutte contre la contrefaçon (EILC), une équipe conjointe de la GRC et de la SQ, à laquelle se sont joints des agents d'autres corps de police municipaux. Elle a été instituée à la suite des plaintes de plusieurs institutions financières aux prises avec une augmentation des cas de fraude.
Des techniques de fraude connues
Pour en arriver à la fabrication de cartes clonées, les fraudeurs subtilisaient d'abord un terminal de point de vente dans un commerce, juste avant la fermeture, en le remplaçant par un faux. Après avoir inséré une puce informatique ou un dispositif de clonage dans le terminal volé, ils revenaient au commerce le lendemain et réinstallaient le terminal.
Ne restait plus qu'à télécharger les données des cartes de paiement des clients à l'aide d'un système Bluetooth, à fabriquer de fausses cartes comportant les données véridiques des clients et à vider leurs comptes bancaires.
Depuis le début de l'enquête en 2008, les policiers ont effectué plus de 80 perquisitions qui ont permis de mettre la main notamment sur plus de 12 000 fausses cartes bancaires, près de 200 terminaux (TPV), de fausses devantures de guichet, 90 ordinateurs, 13 véhicules et 120 000 $ en argent américain et canadien.
Vigilance
Les policiers recommandent aux commerçants de vérifier régulièrement l'état de leurs terminaux et s'assurer qu'ils ne peuvent être retirés. La vigilance est de mise pour les clients lors de transactions.
Longue enquête
L'opération de mercredi matin est l'aboutissement d'une longue enquête au cours de laquelle une série de perquisitions avaient été effectuées par la même équipe intégrée, notamment le 17 novembre 2010.
«Ce jour-là, l'équipe de la GRC et de la SQ, ainsi que des policiers d'autres corps de police municipaux avaient effectué 34 perquisitions, notamment à Montréal, Québec et même Vancouver. L'opération concernait des individus qui volaient des terminaux de points de vente pour reproduire des cartes de débit», a poursuivi le sergent Lamarre.
Il s'agit de la deuxième fois en deux semaines qu'une opération visant un réseau de fraudeurs par cartes de débit se déroule au Québec.


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Psychologie cannine : Trouvez les 2 erreurs et gagner un chiot vacciné

Les 2 erreurs sont:
On s'est mis à courir
et
s'il avait la rage 

Voici l'histoire d'Horreur:

Mont-Saint-Grégoire - Un chien attaque cinq personnes
Le propriétaire du chien abattu, Guy Giroux, reconnaît qu’il avait un chien de trop et que la Ville l’avait avisé qu’il ne respectait pas son règlement.  
© Francis Dugas / Agence QMI

MONT-SAINT-GRÉGOIRE - Un chien en liberté a causé tout un émoi sur le Rang Double à Mont-Saint-Grégoire. En moins d'une heure, l'animal s'est attaqué à deux cyclistes, à un adolescent de 14 ans et à deux policiers, qui l'ont finalement abattu.
Déreck Roy, 14 ans, faisait du jogging avec un ami sur le Rang Double à Mont-Saint-Grégoire, vers 18h45, le 2 mai, quand un bouledogue a surgi. «On s'est mis à courir, j'ai réussi à l'éviter une fois, mais il m'a finalement mordu au coude gauche», a raconté l'adolescent.
Selon lui, le chien est resté accroché à son bras une bonne trentaine de secondes. «Il mordait si fort que je le maintenais au-dessus du sol, a-t-il dit. Il m'a finalement lâché et c'est là que ça a commencé à faire très mal.»
Manon Brodeur, qui était avec son mari, a été témoin de la scène. «Nous avons fait entrer les jeunes chez nous. Le bras de Déreck saignait abondamment», a-t-elle dit, en soulignant qu'elle a immédiatement appelé la Sûreté du Québec et la mère de la victime.
Moins d'une demi-heure plus tard, un cycliste de 18 ans a été attaqué par le même chien, mais s'en est tiré seulement avec un jean déchiré.
Quelques minutes plus tard, le mari de Mme Brodeur a escorté une cycliste d'une cinquantaine d'années qui passait par là, pelle à la main. «Le chien a tout de même chargé la dame. Elle n'a pas été blessée, mais elle a eu toute une frousse», a raconté Mme Brodeur.
À leur arrivée, les policiers ont tenté de maîtriser l'animal, en vain. Ils ont dû l'abattre.
La mère du jeune Déreck Roy est furieuse. «Je compte porter plainte contre le propriétaire du chien et la Ville de Mont-Saint-Grégoire», a dit Maryse Champagne. Elle croit qu'il devrait y avoir plus d'inspecteurs municipaux pour faire la surveillance des chiens en liberté.
Rage?
Bien que la blessure de Déreck Roy n'ait pas nécessité de points de suture, sa mère attend avec impatience les résultats de l'autopsie réalisée sur le chien, pour déterminer s'il avait la rage.
«Si c'est le cas, les médecins devront peut-être ouvrir son bras pour éliminer la bactérie», a dit Mme Champagne, qui s'inquiète des séquelles possibles sur le bras de son fils, qui joue au football.
Les policiers ont remis au propriétaire du chien deux amendes de 150$.


REF.:

Printemps Québécois et Anarchiste au Québec ?

Printemps québécois - Les groupes anarchistes surveillés de près
Des partis anarchistes ciblés tels que le Parti communiste révolutionnaire (logo sur l'image)sont surveillés. 
© TVA nouvelles
Printemps québécois

Les groupes anarchistes surveillés de près

MONTRÉAL – Des spécialistes du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) surveillent de très près ce qu'ils appellent eux-mêmes le «printemps québécois», selon ce qu'a appris TVA Nouvelles.
Alors que plus de 180 manifestations ont eu lieu à Montréal au cours des dernières semaines et que 30 % d'entre elles se terminent par des actes illégaux et des blessés, selon le SPVM, le SCRS aurait à l'œil certains groupes d'anarchistes et des militants plus extrémistes qui prennent part à ces rassemblements.
Selon des sources bien informées, des agents du SCRS étaient présents lors de l'émeute de vendredi à Victoriaville afin de recueillir des informations et identifier des individus qui pourraient représenter une menace à la sécurité nationale.
«On a réellement eu affaire à un groupe très bien organisé, qui s'était très bien préparé et qui avait un plan bien précis», a souligné l'ex-directeur des services d'urgence de la Sûreté du Québec, Maurice Bezombes.
Marc-André Cyr, historien des mouvements sociaux, a pour sa part indiqué que «dans 99 % des cas, c'est les policiers qui ont le rapport de force […] il ne faut pas oublier que ce sont eux qui sont armés, entraînés et protégés». M. Cyr a toutefois souligné que les manifestants ont eu le dessus sur les policiers à deux reprises et pendant un bref instant, soit lors du salon Plan Nord et à Victoriaville.
Des groupes ciblés
Parmi les groupes ciblés par le SCRS, certains plus connus tels que le Black Block, mais également des membres de la Convergence des luttes anti-capitalistes (CLAC), le Parti communiste révolutionnaire (PCR), l'Union communiste libertaire (UCL) et le Réseau de résistance du Québécois (RRQ).
Ainsi, il y a une importante distinction à faire entre les étudiants en grève et des groupes politiques et anarchistes qui sont ciblés par ses agents.
L'ancien directeur du SCRS, Michel Juneau-Katsuya, a mentionné à TVA Nouvelles que des groupes de terroristes canadiens ont fait exploser 30 bombes, dont 20 par convictions politiques depuis 2001. En parallèle, durant la même période, aucune attaque à la bombe n'a été enregistrée sur le territoire canadien de la part de groupes terroristes provenant d'autres pays.


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Drones à Alma

Craintes dissipées - Les drones sont populaires à Alma
Drone dérivé d’un Diamond AD42, à l'aéroport d'Alma. 
Jean-Luc Doumont / Agence QMI

ALMA – Depuis mars dernier, les drones - ces petits avions téléguidés -, réalisent plusieurs vols à Alma. Des résidents avaient des craintes, mais elles se sont à présent dissipées. L'engouement est tel, que plusieurs souhaitent désormais se faire photographier à côté de l'engin.
«L'aspect que nous développons est le commercial», mentionne Marc Moffatt, gestionnaire en recherche et développement au Centre d'Excellence des Drones (CED). «Nous offrons nos services aux divers paliers du gouvernement, mais aussi aux agriculteurs, la SOPFEU, Hydro-Québec ou encore Rio Tinto Alcan».
Dans les prochaines semaines, le CED souhaite avoir accès à l'espace aérien d'entraînement militaire de Bagotville ou encore dans le nord pour le développement du Plan Nord.
Les partenaires sont nombreux: le Centre de recherches de Val-Cartier ou encore les universités de Chicoutimi et de Laval qui travaillent sur des recherches au développement des drones.
«Le drone que l'on voit dans les journaux, c'est pour des applications militaires en Afghanistan ou en Libye. Nous mettons l'accent sur l'aspect commercial», a précisé M. Moffat.
Le marché du drone est en pleine expansion selon ce dernier: «Nous essayons d'être à l'avant-garde des autres établissements. Débloquer l'espace aérien demande une autorisation de Transport Canada. Quand cet espace sera ouvert, les applications commerciales seront infinies».
Stuart Gilmartin et Christian Larouche, sont tous deux pilotes de drones à Alma.
Pour le moment, les certificats émis au CED limitent les vols des drones à l'aéroport d'Alma pour réaliser des entraînements. «Il faut gagner la confiance de Transport Canada pour démontrer que nous sommes sécuritaires et que nous respectons le territoire. Lorsque la confiance sera établie, l'espace aérien s'ouvrira», a expliqué Marc Moffatt.
Les compagnies minières, les gouvernements ou encore les compagnies forestières qui souhaiteraient visionner leurs installations dans le processus du Plan Nord pourraient avoir besoin d'un drone.
Les drones
Les pilotes, grâce à leurs manettes de contrôle, pilotent à distance cet engin que certaines personnes appellent «l'oiseau blanc». L'appareil est un avion civil commercial, dérivé d'un Diamond DA42.
Pour les opérations nord-américaines, un système de dégivrage a été installé dans le drone et le fait d'avoir deux moteurs permet de voler en haute altitude jusqu'à 30 000 pieds. À l'heure actuelle, le CED a été jusqu'à 20 000 pieds pour les essais autour de l'aéroport d'Alma.


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Les Québécois tels que vu et perçu par vous

Québécois 101
Cet ouvrage n’aurait pu se faire sans votre participation. Ce livre, c’est un peu le vôtre. Je vous ai posé des questions par centaines (plus de 800), vous avez répondu par milliers (plus de 70 000). Québécois 101 en est l’aboutissement.
Ce livre présente le Québec et les Québécois tels que vu et perçu par vous. De l’amour à l’argent, du travail à l’éducation, de l’amitié à l’environnement, du hockey aux réseaux sociaux, de Montréal à l’avenir, sans compter cinq chapitres traitant des différents pouvoirs (politique, médiatique, syndical, juridique et religieux).
Ce livre arrive à un moment opportun alors que le Québec bouillonne, s'interroge et se remet en question. Québécois 101 veut engendrer une réflexion, susciter un débat, sonner le réveil et permettre de mieux nous connaître pour mieux nous définir et nous projeter dans le futur.
 

REF.:  Québécois 101, notre portrait en 25 traits.