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jeudi 10 mars 2011

Le nouveau Parti : Le PDR-PDC-PDDP









PDR-PDC-PDDP: Le Pas De Respect-Pas De Classe-Pas Droit De Parole,est né sous votre nez !

Enjoy Folks !

mercredi 9 mars 2011

Un nu-main de la GRC sur le registre national des délinquants sexuels pour 20 ans,quoi on est tous des n'humains !

WINNIPEG – Un ancien policier de la GRC a été condamné à deux ans de prison, au Manitoba, pour avoir amené une adolescente à son propre domicile et tenté de la forcer à avoir des contacts sexuels avec lui.

Benjamin Neufeldt, 26 ans, avait plaidé coupable, en septembre dernier, aux accusations portées contre lui. Les événements remontent à août 2008, dans la réserve indienne de Bloodvein, au Manitoba. Le policier répondait à l’appel d’une mère qui voulait que sa fille, qui avait consommé beaucoup d’alcool, soit amenée au poste de police.

Neufeldt et la dame ont retrouvé la jeune fille et l’ont effectivement amenée au poste, toutefois, peu après que la dame ait quitté, le policier a amené la jeune fille à son propre domicile.

C’est à ce moment qu’il aurait demandé à l’adolescente de se dévêtir, de prendre une douche avec lui et de lui faire une fellation. La jeune fille s’est plutôt précipitée dans la cuisine de la résidence où elle a attrapé des couteaux, en lançant un vers l’agent de la GRC, qui l’a laissée s’enfuir.

Benjamin Neufeldt a été arrêté en décembre 2008, après une enquête de quatre mois.

«En tant qu’agent de la GRC, l’accusé avait le devoir de protéger la jeune fille et la communauté dans laquelle il travaillait, a déclaré la juge Karen Simonsen. À l’inverse, ses actions ont démoli la confiance que la victime avait en la police.»

Neufeldt n’avait qu’un an d’expérience lorsqu’il a demandé à être muté sur cette réserve. Il a cependant confié, plus tard, qu’il n’était pas adéquatement préparé pour cette nouvelle fonction.

En plus de sa sentence d’emprisonnement, le nom du policier sera inscrit sur le registre national des délinquants sexuels pour les 20 prochaines années.


REF.:

mardi 8 mars 2011

Où vont vos impôts ?



306000$ de voyages

Sébastien Ménard
Le Journal de Montréal
03/03/2011 05h02

Il n'y a pas que les directeurs d'école qui aiment voyager. Des dirigeants du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) ont dépensé plus de 306 000 $ pour séjourner aux quatre coins du monde, depuis trois ans, parfois dans des lieux plus réputés pour leur industrie touristique que pour leur système scolaire.

Discussion à Thessalonique, en bordure de la mer Égée, conférence à Barcelone et Bilbao, en Espagne, rencontre à Guadalajara, au Mexique... Certains des 86 voyages effectués par des dirigeants du MELS à l'extérieur du Québec, depuis mars 2008, ont de quoi étonner.

Alors que les contribuables ont déboursé 31 000 $ pour permettre à des directeurs d'école de se «perfectionner» lors de séjours controversés en République dominicaine et à Hawaï, ces voyages de fonctionnaires ont coûté la bagatelle de 306 000 $ au trésor public, a appris le Journal.

Plus de la moitié de ces séjours ont été effectués pour assister à des réunions ou des conférences dans d'autres provinces canadiennes. Mais au moins 138 000 $ ont été consacrés à des périples en Europe, en Asie, en Afrique ou en Amérique du Nord.

Heureusement, le nombre de ces voyages diminue, depuis que Québec a imposé un régime minceur aux employés de l'État, l'an dernier.

Jeux olympiques

Ce sont les fonctionnaires relevant du Secrétariat au loisir et au sport qui ont effectué les voyages les plus coûteux.

L'ex-sous-ministre adjoint Claude Mailhot, redevenu animateur à RDS, a passé 14 jours en Chine, lors de deux périples aux Jeux olympiques et paralympiques de Beijing, en août et septembre 2008.

Trois employés politiques l'y ont accompagné, dont l'ex-chef de cabinet Jean-Sébastien Marineau, congédié en 2009 par la ministre Michelle Courchesne, dans la foulée d'une affaire d'enveloppes brunes.

Ces deux voyages ont coûté pas moins de 70 000 $ aux contribuables. Le scénario s'est répété lors des JO de Vancouver, en février 2010. Des frais totalisant 36 520 $ ont été payés afin d'y dépêcher le sous-ministre adjoint au loisir et au sport, Jean-Guy Ouellette, ainsi que deux employés.

D'autres voyages davantage reliés à l'éducation, en Chine, en Russie ou en Inde, ont aussi engendré des frais substantiels pour les Québécois.

Pertinent, assure Québec

Même si certaines destinations visitées par ces fonctionnaires semblent plus appropriées pour faire du tourisme que pour discuter d'éducation, le MELS assure que tous ces voyages sont pertinents.

«Ces missions permettent au Québec d'assumer la dimension internationale de ses responsabilités», assure la porte-parole du MELS, Esther Chouinard.

«Le Ministère traite également plusieurs dossiers avec le gouvernement fédéral ainsi qu'avec les provinces [...] Étant donné le partage de compétences entre le gouvernement fédéral et les provinces, il est important que le Ministère participe aux rencontres pour faire valoir les priorités [du] Québec», explique-t-elle.

Avec la collaboration de Serge Laplante, notre recherchiste à l'Assemblée nationale.


Les voyages en chiffres

Dans les autres provinces canadiennes

* 62 voyages

* Coût total : 168000$

À travers le monde :

* 24 voyages

* Coût total : 138000$

Quelques destinations visitées :

* Thessalonique Grèce

* Barcelone, Lleida, Bilbao Espagne

* Guadalajara, Mexico Mexique

* Bruxelles Belgique

* Paris, Bordeaux France

* Tunis Tunisie

* Beijing, Shanghai Chine

* Moscou, Saint-Pétersbourg Russie

* Delhi, Bangalore, Mumbai Inde

TOTAL : 86 VOYAGES

306 000 $



REF.:

L'acharnement de Revenu Québec,sur les PME détruit l'emploi au Québec

Selon l’opposition - Revenu Québec est allé trop loin
Jean-Yves Archambault
© Agence QMI
Selon l’opposition

Revenu Québec est allé trop loin,Et Quant est-t'il de Revenu Canada ?





MONTRÉAL – L'histoire de Jean-Yves Archambault, cet entrepreneur qui prétend avoir tout perdu en raison de l'acharnement de Revenu Québec, a fait réagir l'opposition. Mardi matin, l'opposition s'est inquiétée de l'agressivité de Québec dans ce dossier.

EN VIDÉO:
Revenu Québec est allé trop loin

Le ministre des Finances Raymond Bachand a décidé de combler une partie de son déficit en intensifiant l'effort de recouvrement fiscal auprès des contribuables récalcitrants, mais l'opposition a estimé que les efforts du ministère étaient disproportionnés.

Québec solidaire s'était intéressé par le passé au cas de M. Archambault. Il avait même signalé ce cas au ministre des Finances, mais sans résultat. «Ça veut dire quoi, s’est demandé Amir Khadir, que l’on s'attaque aux petites et moyennes entreprises sur lesquelles repose déjà une bonne partie des impôts?»

Le député de Mercier a déploré qu'on laisse échapper «les Cinar de ce monde, les Vincent Lacroix, et même Alcan qui a reporté son impôt de 1,2 milliard pendant 10 ans».

Du côté du Parti québécois, Nicolas Marceau a dit souhaiter que Québec prenne des mesures pour qu'un tel cas ne se reproduise pas. «Il faut s'assurer que les logiciels qu'on utilise et les employés que l’on forme ne ciblent pas des gens qui sont innocents», a commenté le député.

Le comportement du gouvernement est étonnant dans cette affaire, car TVA Nouvelles a mis la main sur un document daté de 1999 - le Parti libéral du Québec était alors dans l'opposition - dans lequel on peut lire que le PLQ considérait que Revenu Québec détenait des «pouvoirs démesurés».

Le Barreau du Québec était d'accord avec cette position et exigeait des modifications à la loi.

M. Archambault réclame 12,7 millions de dollars au ministère du Revenu. Ses problèmes ont commencé en 2006 quand Revenu Québec a exigé qu'il verse 325 000 dollars en taxes impayées. Le coup fatal lui a été porté en 2008 quand son compte d'entreprise a été saisi, sans avis final, ni oral ni écrit.

Cette saisie a définitivement ruiné la crédibilité de son entreprise auprès de ses clients et a précipité la mise sous la protection de sa compagnie.




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jeudi 3 mars 2011

Mot a retenir,dormir au volant,repété a près moi,......dormir au...

Montérégie - Catastrophe évitée de peu à St-Jean-sur-Richelieu
Vers 7h20, un conducteur a perdu la maîtrise de sa voiture, possiblement en raison des conditions routières.
© Agence QMI / Maxime Deland

SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU – Une simple sortie de route a bien failli connaître un dénouement tragique, mercredi matin, à Saint-Jean-sur-Richelieu.

Vers 7h20, un conducteur a perdu la maîtrise de sa voiture, possiblement en raison des conditions routières, alors qu'il se dirigeait en direction nord sur l'autoroute 35, un peu avant le pont Marchand.

«Voyant le véhicule immobilisé dans la neige en bordure de l'autoroute, un autre automobiliste s'est arrêté pour aller voir si le conducteur avait besoin d'aide», a indiqué la sergente Joyce Kemp, porte-parole de la Sûreté du Québec.

Quelques instants plus tard, un troisième véhicule a effectué une sortie de route au même endroit. Il a violemment percuté l'arrière de l'une des deux voitures et a terminé sa course sur le côté.

La conductrice est demeurée coincée pendant plusieurs minutes à l'intérieur de l'habitacle. Les services d'urgence sont toutefois parvenus à la dégager sans avoir recours aux pinces de désincarcération.

Souffrant de blessures jugées «sérieuses», la dame a été transportée à l'Hôpital de Saint-Jean-sur-Richelieu. Selon la police, sa vie ne serait pas en danger. Personne d'autre n'a été blessé lors de l'accident.

Une enquête est en cours afin d'établir les circonstances exactes de l'accident.


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Quotas illégaux en radio-oncologiques ?




Quotas illégaux - L’hôpital Maisonneuve-Rosemont devra dédommager un médecin
L'hôpital avait imposé en 2002 des quotas à chacun de ses médecins quant à l’utilisation de machines de radio-oncologie
© Agence QMI / Archives

Quotas illégaux

L’hôpital Maisonneuve-Rosemont devra dédommager un médecin !




MONTRÉAL – L’Hôpital Maisonneuve-Rosemont devra verser près de 35 000 $ à l’un de ses docteurs, aujourd’hui à la retraite, pour l’avoir empêché de faire passer des examens radio-oncologiques à ses patients. Il était tenu à des quotas d'utilisation des appareils de l’établissement.

Elie Tawil, 71 ans, vient de remporter une longue bataille juridique qu’il mène depuis 2002 contre son ancien employeur. La Cour d’appel a tranché en sa faveur le 25 février. Selon le jugement, l’établissement hospitalier avait imposé en 2002 des quotas à chacun de ses médecins quant à l’utilisation de machines de radio-oncologie, afin de mieux gérer les listes d’attente. Le problème, c’est que certains oncologues auraient obtenu des quotas moins avantageux que d’autres, ce qui aurait eu un impact direct sur le traitement de leurs malades atteints de cancer.

«Ce système était non seulement illégal, comme l’ont conclu les juges, mais aussi injuste, a commenté le Dr Tawil à 24H. Pour une même pathologie, certains malades ont été traités tout de suite, et d’autres beaucoup plus tard.»

Une centaine de ses malades auraient ainsi été défavorisés, selon lui, au détriment de plusieurs patients de certains de ses collègues.

«Une fois mon quota atteint, mes patients ne pouvaient plus être traités, sauf si je transférais leur cas à l’extérieur ou à un collègue pourvu d’un plus gros quota. J’ai essayé d’en transférer le plus possible, mais plusieurs patients n’ont pas voulu être traités par quelqu’un d’autre que moi», a-t-il assuré.

Des quotas jugés «illégaux» par la Cour

Dans une première décision de la Cour supérieure en avril 2009, le juge Marc-André Blanchard avait donné raison au Dr Tawil, condamnant l’hôpital Maisonneuve-Rosemont à lui verser 150 000 $ pour compenser la perte de ses revenus entraînée par la perte de patients.

«Le fait pour HMR de créer des quotas d’accès aux appareils pour chacun des médecins est inacceptable et contraire à ses obligations légales», peut-on lire dans le jugement.

L’hôpital a contesté cette décision en Cour d’appel, qui l’a confirmée. En revanche, le montant des indemnités à verser au Dr Tawil est passé à 34 604 $, celui-ci étant finalement dédommagé pour le transfert de 25 patients à d’autres collègues oncologues.

«L’établissement de tels quotas avait pour effet de changer le rang de certains patients sur les listes de traitement, non pas en raison de la gravité de leur condition, mais en fonction d’un choix de l’administration hospitalière fondé sur le mode de rémunération des médecins», ont affirmé les juges Thibault, Vézina et Kasirer.

L’HMR a plaidé que la Loi sur les services de santé et les services sociaux «autorise le chef d’un département à décider de l’utilisation opportune des ressources». Il n’a pas été possible d’avoir la version des faits de l’administration, mercredi.

Elie Tawil, à la retraite depuis peu, a dit qu’il souhaitait maintenant tourner la page. «Cette situation ne s’est jamais vue nulle part au Québec et elle ne doit pas se reproduire.»


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mercredi 2 mars 2011

Cinar: fraude d'environ 120 millions de dollars et dépot dans des comptes offshore des bahamas

Soupçon de fraude - Mandats d'arrêt contre des dirigeants de Cinar

© Photo d'archives
Encore d'autres fraudes avec ,Mount Real ,Norshield,tout est interconnecté avec Cinar !


MONTRÉAL - Des dirigeants de Cinar et des hommes d'affaires liés à l'entreprise montréalaise devront faire face à la justice pour une fraude d'environ 120 millions de dollars qui se serait déroulée d'août 1998 à mars 2000.

Ronald A. Weinberg, 59 ans, président et cofondateur de Cinar, John Xanthoudakis, 52 ans, président de Norshield Financial Group et Lino Pasquale Matteo, 44 ans, président de Mount Real sont visés par des mandats d'arrêt. Quant à Hasanain Panju, 58 ans, chef de la direction financière de Cinar il a déjà été arrêté par la SQ.
Les quatre hommes font face à 36 chefs d'accusations de fraude, de faux et usage de faux ainsi que de faux prospectus.
L'enquête, qui s'est étendue sur sept ans, tend à démontrer que Ronald Weinberg et Hasanain Panju ont investi dans des portefeuilles de placements, sans l'autorisation du conseil d'administration de Cinar, et ce, dans le but de s'enrichir personnellement.
Quant à John Xanthoudakis, il leur aurait permis d'investir aux Bahamas, alors que Lino Matteo aurait aidé ce dernier à camoufler le portrait réel des investissements.
Les enquêteurs de la SQ ont exécuté huit mandats de perquisition, 11 ordonnances de communications et rencontré plus de 50 témoins entre autres des employés de Cinar, des témoins aux Bahamas, des employés d'Ernst and Youg au Canada.
Ils ont obtenu un mandat d'entraide internationale afin de rencontrer des témoins et de faire exécuter des perquisitions aux Bahamas. Ils ont ensuite étudié et analysé une cinquantaine de boîtes de documents et environ 10 000 fichiers informatiques.
La dégringolade
À l'automne 1999, une histoire de prête-noms a terni l'image de Cinar. L'entreprise avait recouru à des scénaristes américains en les faisant passer pour des Canadiens. Ce subterfuge avait permis à Cinar d'obtenir des crédits d'impôt et des subventions des deux ordres de gouvernement.

En août 2009, le dessinateur Claude Robinson a gagné finalement sa cause contre Cinar après 14 ans d'une épique bataille judiciaire. Il a récupéré son œuvre Robinson Curiosité, renommée Robinson Sucroë par Cinar. Il s’était aussi vu attribuer un dédommagement de 5,2 millions de dollars plus les intérêts par les tribunaux, mais cette décision a été portée en appel, entre autres, par Ronald Weinberg.
La cofondatrice de Cinar, Micheline Charest, est morte lors de complications liées à une opération esthétique en 2004. Cette même année, l’entreprise a été rachetée et rebaptisée Cookie Jar.