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vendredi 10 mars 2023

Aller a la rencontre de Soi:vers l'autonomie affective

 

 

Aller a la rencontre de Soi:vers l'autonomie affective

 

D'abbord assumez vos responsabilités,car nous sommes notre priorité numéro un, avant notre partenaire de vie ou même nos enfants. Dans la relation, nous sommes par ailleurs responsables d'exprimer qui nous sommes, nos besoins(on a n'a pas le choix d'être a deux pour notre évolution!)et nos attentes. L'autre n'a pas le pouvoir de nous comprendre et d'anticiper nos désirs sans que nous ayons a les exprimer, ou d'agir en fonction de nos sensibilités(en cheminement de conscience, on devient suprasensible). Il n'a surtout pas le pouvoir de nous guérir de nos blessures, quoi que nous en pensions ou quoi qu'il en dise. 

 

Faut apprendre a se responsabilisé,car pour faciliter son engagement, on se donne des moyens qui nous permettent de garder le cap sur ses responsabilités, même si on n'est pas motivé, qu'on n,est pas d'humeur ou qu'on a autre chose a faire de plus intéressant. Se responsabiliser implique en effet un aspect de discipline. On peut s'aider en programmant a l'avance des alarmes pour se souvenir de prendre des rendez-vous médicaux ou autres, en établissant son menu de la semaine ou en planifiant ses séances d'entraînement. De plus, s,entraîner, étudier ou faire la cuisine a deux, trois ou plusieurs nous aide a nous motiver et a nous inspirer. Cela peut aussi être une bonne idée de parler de nos engagements ou de notre cheminement a des gens de confiance qui nous les rappelleront au besoin.

On a aussi la permission de se récompenser d'être resté fidèle a ses obligations dans des moments ou on aurait préféré fuir. On n'hésite pas a se permettre une escapade au spa, une balade a la campagne ou un après-midi de congé si on considère l'avoir mérité.

 

C'est difficile a ssumer;On peine a assumer ses responsabilités quand on ressent de la culpabilité a faire des gestes difficiles, quand on doit démontrer de la fermeté ou de la détermination, quand on doit faire respecter une limite ou exprimer une insatisfaction. Si on craint, par exemple, de perdre l'amour de son enfant ou d'affronter sa mauvaise humeur quand vient le temps de lui imposer des contraintes et qu'on préfère le laisser faire, on n'assume pas ses responsabilités d'éducateur. C'est exactement le même principe en relation amoureuse. Nous devons prendre le risque de (de qui on est vraiment a devenir un esprit incarné conscient de lui-même)décevoir l'autre pour établir nos limites et donc, le respect dans le couple.L'en gagement amoureux , professionnel ou parental, avec toutes les responsabilités qu'il suppose, est pour eux une source de stress. C'est souvent le cas des gens qui refusent de s'engager par crainte de voir leurs failles exposées au grand jour. En ne prenant aucune responsabilité, ils s'évitent cette humiliation, mais se limitent du même coup aux horizons qu'ils connaissent déja et qu'ils maîtrisent.

D'autres refusent toute forme de responsabilité par crainte de perdre leur liberté. Le paradoxe de ce choix est que , en refusant de se responsabiliser, ils se restreignent et n'ont plus la liberté de mener leur vie a leur guise. Les décisions que nous prenons et les choix que nous faisons pour nous-mêmes s'expriment par les responsabilités que nous acceptons d'assumer.

Attendre que les autres se chargent de notre bonheur, c'est vivre dangereusement, car nous nous en remettons a leur bon vouloir, a leurs humeurs ou a leur compétence a nous satisfaire, autant d'éléments qui nous échappent.

Évidemment, vivre en accord avec nos valeurs et en exerçant notre libre arbitre(Au niveau de l'esprit ,il n'y a pas de libre-arbitre,car l'esprit initiera la rencontre de l'âme/égo a sa source espritique pour faire un dans la conscience Divine créatrice)nous empêche ensuite de rejeter la responsabilité de nos échecs sur les autres. Nous en apprenons mieux et plus vite sur nous-même(car un lien est établit entre l'égo et son esprit , le Divin,la Source,ton créateur!)en assumant nos propres erreurs que par les succèsque les autres nous apportent.

Faut être indulgent envers soi-même,car on peut être très respectueux et compréhensif envers les autres, mais se traiter soi-même de tous les noms, et parfois pour des riens. On a l'autocritique assassine , on est impitoyable face à soi; on ne se ménage pas(En supramental,c'est un rapport de force envers son esprit, de nous respecter et pour éviter que par diffraction, de cette énergie, les entités nouis possèdent pour nous rendre plus conscient envers notre source espritique de lumière). La plupart du temps, on se crie des bêtises et, comme on ne peut pas s'enfuir de soi-même,les seules échappatoires sont des comportements destructeurs. Le conseil a retenir ici est donc de cesser de nous faire des reproches et d'avoir un peu d'indulgence pour nous-mêmes.

Les personnes bienveillantes envers elles-mêmes sont souvent plus responsables de leur bien-être. Par exemple, au lieu de subir les périodes d,entraînement physique ou la préparation des repas comme des corvées, elles trouvent une façon de s'y adonner avec plaisir. Les personnes indulgentes pour elles-mêmes s,adaptent plus facilement aux aléas de la vie et composent mieux avec les défis.En d'autres mots, nous sommes notre allié le plus utile, ou du moins le plus influent. Personne n,est en meilleur position que nous-mêmes pour vivre notre vie. Personne ne peut non plus nous aider ni nous nuire comme nous le pouvons. Alors,si cet allié que nous sommes ne fait pas le travail, s'il nous fait faux bond ou, pire, s'il nous met des bâtons dans les roues, ce n'est pas en le détestant profondément et en l'humiliant que nous le disposerons a nous donner un coup de main.

Toutefois, cet allié acceptera plus facilement de collaborer si on le respecte, si on est prêt a l'écouter et a lui donner ce dont il a besoin: la reconnaissance ,l,estime ou la sécurité. On doit nourrir et honorer ses alliés et non leur reprocher ses défaites. il faut également s'aimer soi-même et cesser de se donner des tapes derrière la tête pour tout et pour rien.

Faut avoir de l'indulgence, ça s'acquiert. Pour ce faire, il faut d'abord effectuer de petits changements, que nous serons peut-être les seuls a noter,mais qui sont important a nos yeux. Par exemple , on peut décider de s'accorder plus souvent de petits plaisirs qu'on aime ou qui nous valorisent, tels que jouer de la musique, recevoir des amis a souper ou même se lancer dans la confection d'un énorme gâteau très élaboré pour le simple plaisir du défi, parce qu'on aime le gâteau et qu'on se doit bien ça. En amour, on peut aussi décider de s'accorder de s'accorder des moments intimes avec son partenaire pour se retrouver seul avec lui et profiter de sa présence.

Modifier sa routine habituelle exige de l'autorité et de l'autonomie face a soi-même.Dans les fraternités anonymes, on estime que, en général,nos chances de changer un comportement sont meilleures si nous persistons pendant au moins trois mois dans notre détermination. Ici, l'indulgence qu'on a pour soi-même se manifeste dans le fait de persévérer. Ce n'est pas beaucoup, pour pouvoir bénéficier ensuite d'une activité qu'on aime et que l'on s'accorde sur une base régulière.

Pour être indulgent envers soi, s'entourer des bonnes personnes aide aussi énormément. On s,imprègne plus facilement de l'estime qu'elles nous portent, des qualités qu'elles voient en nous. A l'opposé, nous devons fuir les situations, les personnes ou les activités susceptibles de déclencher notre mésestime, de miner nos efforts et de nous faire douter de nous-mêmes. Cela ne signifie pas de fuir les remises en question, la critique ou les conflits interpersonnels, qui sont inévitables et que l'on doit assumer avec courage et bienveillance. Mais il est utile d'identifier les personnes de notre entourage qui, entre autres, ont le don de nous lancer des insultes sous le couvert du compliment: J'aimerais donc ça être comme toi, me foutre de ce dont j'ai l'air. Mais je ne suis pas capable... Maudite fierté! Ces personnes nous replongent automatiquement dans une certaine forme d'intransigeance envers nous-mêmes.

On doit se garder a distance des relations toxiques et ne pas chercher a se faire aimer par tout le monde. Il faut demeurer a l'écoute de ce que nous disent les autres, de leurs conseils ou de leurs expériences, mais prendre ce qu'on veut et laisser ce qui ne nous convient pas. Est-ce qu'on a fait les bons choix? Les expériences a venir nous le diront.

Il faut pardonner aux autres et a soi-même: en principe, nous acoordons notre pardon aux gens quand on sait qu'ils ne répéteront pas le geste ou les paroles qui nous ont blessés. Mais combien de fois avons-nous pardonné quand même a ceux qui nous ont offensés a répétitions?

Ne pas réagir quand on nous dévalorise, humilie ou ridiculise est une erreur et, comme l'écrivait le philosophe et écrivain Paulo Coelho: Une erreur constamment répétée , ce n,est plus une erreur,C'est un choix. C'est un très mauvais choix, probablement inconscient, mais qu'on fait chaque fois qu'une offense, une menace, un chantage émotif nous est fait et qu'on l'accepte. Décider d'acheter la paix ou se laisser marcher dessus, c'est décider d'accorder a l'autre le droit de transgesser nos limites ou de na pas respecter nos valeurs.

Enfin,on est indulgent avec soi-même quand on fait l'effort de mieux se connaître, de s'accepter,d'user de persévérance pour changer des comportements et d'être patient, car les changements profonds ne se font pas du jour au lendemain. On a rarement une grande révélation ou une illumination qui nous transforme un bon matin, pour toujours. Les grandes transformations que nous vivons tout au long de notre vie se produisent souvent très discètement. La plupart du temps, on constate un jour qu'on ne porte plus le même regard sur telle situation, qu,on ne réagit plus de la même façon aux événements ou au gens. On se fâche moins vite ou on s'amuse davantage, par exemple. Et l'un des grands indicateurs de ces changements est le niveau d'indulgence et de compassion que nous nous portons et qui nous aide a nous pardonner le mal que nous nous sommes fait.

Faut être présent aux autres; Nous avons besoin des autres, car c'est dans notre relation avec eux que nous pouvons le mieux explorer toutes les dimensions de notre personne. La qualité de notre présence et de notre écoute, et la solidarité que nous témoignons aux autres tiennent en grande partie a notre capacité d'empathie , cette faculté de pouvoir ressentir l'émotion chez l'autrte. Nous devons plus facilement empathiques si nous sommes nous-mêmes présents a nos propres émotions. 

Faut de la gentillesse; Et qui ne s'est pas buté un jour a un commis impatient, condescendant ou excédé? L'expérience est éprouvante. Le sentiment d'irrespect peut faire en sorte qu'on se retrouve soi-même de mauvais poil et peu réceptif aux autres. Au contraire, qui n'a pas été un jour charmé par un commis attentionné, souriant et qui a pris le temps de s'occuper de nous? La gentillesse, les attentions et l'acceuil facilitent nos relations avec les autres au quotidien. La civilité entraîne la civilité , le respect suscite le respect... Bref, tous nos comportements sont contagieux.Malheureusement, le stress et les impératifs de performance auxquels nous sommes soumis nous font perdre de vue notre bienveillance , souvent pour ceux que nous aimons, mais qui se font ballotter par notre tourbillon. 

Se mettre a l'écoute de quelqu'un qui ressent le besoin de se confier ou de mettre de l'ordre dans ses idées et ses émotions n'implique pas uniquement d'ouvrir ses oreilles, mais aussi son coeur. Écouter veut dire se rendre disponible et accorder son attention la plus complète a la personne face a nous. il ne s'agit pas uniquement d'entendre les paroles, mais aussi de capter l'ensemble des signaux qu'elle émet inconsciemment par sa posture, l'énergie qu'elle dégage, le ton de sa voix, les expressions de son visage, sa gestuelle. Bref, c'est tout son corps qui parle, et ces informations nous aident a comprendre non seulement les données du problême, mais aussi son état émotif.

La rencontre de deux personnes met en présence des ensibilités, des valeurs et des perceptions différentes du monde. On a beau être présent, on arrive parfois avec son égo de sauveur, ses expériences et ses certitudes. Notre besoin de prendre en charge et de trouver des solutions l'emporte souvent et nous aimons bien nous présenter comme LA force tranquille capable de tout arranger. Mais simplement écouter l'autre exprimer le fond de sa pensée, sans tenter de se défendre, sans juger les propos ou l'attitude, sans chercher de réponse ni s'inquiéter des silences, est un exercice difficile.

Pour ce faire, il faut sans cesse nous souvenir de mettre en veilleuse notre égo et d'adopter la position du spectateur ou du témoin attentif et réceptif. Les dépendants devront éviter de ramener la conversation vers eux: Oui, c'est moche ce qui t'arrive, mais moi, c'est pire ... Les codépendants s'interdiront de donner des solutions: Tu devrais prendre rendez-vous... Je vais le faire pour toi, je sais ou tu devrais aller...

L'accompagnement se concentre surtout sur la personne , beaucoup plus que sur le problême. L'idée n'est donc pas de trouver des solutions, mais plutôt d'aider la personne a se comprendre elle-même et a trouver ses propres solutions. Ëtre présent a l'autre est un acte d'humilité. On n'est pas toujours disponible aux autres quand ils nous interpellent. Si onest soi-même émotivement perturbé par ce que l'on vit, si on a de la difficulté en général a vivre et a nommer ses propres émotions, on aura plus de difficulté a aider l'autre a le faire.

Les rationnels,particulièrement, qui ont du mal a ressentir l'inconfort physique d'une émotion négative se réfugient dans l'intellect et noient leurs propres émotions dans un déluge de mots. A l'autre extrême, les gens très émotifs ont quelques tendance a ramener le problème a eux et a l'émotion que les propos de l'autre font naïtre en eux. Ils sont rapidement submergés et il leur devient impossible d'adopter la position du témoin attentif et a l'écoute. Adopter une attitude de bienveillance et de détachement peut aussi être difficile quand il s'agit de son enfant ou d'une personne très proche qu'on a toujours voulu protéger des souffrances de la vie. On se rappelle toutefois que l'enseignement qu'apporte une épreuve se trouve souvent dans le mal qu'on se donne pour la traverser.

La bienveillance consiste alors a accepter comme légitime ce que l'autre exprime, même si on a la certitude qu'il se trompe. Le fait que l'on soit d'accord ou non avec lui n'a aucune importance. On peut lui demander de préciser ou d'approfondir sa pensée, mais non pas l'orienter vers ce que l'on croit être la solution. 

Le soutien;Nous ne pouvons imposer notre présence. Notre aide désintéressée n'est vraiment utile que si on nous la demande. La patience et le respect des difficultés de l'autre a trouver ses propres solutions sont les mots clés dans l'accompagnement. Finalement, sachons demeurer modestes et réalistes quant a l'importance de notre contribution au bien-être de l'autre.L'empathie est nécessaire a tout accompagnement, car seule cette faculté nous permet de ressentir vraiment les émotions de l'autre, d'adopter son point de vue pour mieux le comprendre. C'est une composante essentielle de nos rapports humains et de la conscience que nous avons les uns des autres. 

Certains ont plus de facilité ou d'aptitude a vivre l'empathie, comme les codépendants qui en font souvent le point central de leur personnalité. Leur dévouement et leur capacité de pouvoir se mettre dans la peau de l'autre sont admirables, mais c'est parfois une façon de se détourner de leur propre monde émotif. Accorder son attention aux besoins de tout le monde, C,est se laisser constamment distraire de ses besoins personnels et risquer l'épuisement tôt ou tard.

Les gens très empathiques sont souvent la cible des manipulateurs qui savent abuser de leurs bons sentiments  pour obtenir ce qu'ils désirent d'eux: argent,faveurs,pardon,etc. Gardons toujours en tête que notre empathie n'est pas sans limites, mais qu'elle peut se renouveler a condition que nous puissions aussi compter sur la présence de nos proches quand nous en avons besoin. Surtout, il ne faut jamais oublier de prendre soin de soi d'abord, si on veut aider les autres ensuite.Adopter une attitude physique qui témoigne que nous ne sommes pas les problêmes que nous avons.

La mauvaise opinion qu'un inconnu peut avoir de nous ne devrait pas occuper notre pensée plus de quelques secondes.Les efforts que nous mettons a tenter de correspondre a ce que nous croyons que les autres attendent de nous, ou a essayer de les convaincre par tous les moyens que nous avons raison d'être ce que nous sommes. Toute l'attention que nous consacrons aux idées avec lesquelles nous ne sommes pas d'accord et tous les efforts que nous mettons a vouloir prouver aux autres qu'ils ont tort, jusqu'a nous mettre dans des états émotifs perturbants,ne servent strictement a rien. Le regard qu'on porte sur la vie des autres, pour la commenter, s'en offusquer, la juger et la condamner, est une perte de temps et d'énergie monumentale. Comme l'est aussi le temps qu'on passe a se plaindre, a critiquer ou a raconter ses problêmes a tout le monde qu'on rencontre.

Nous accordons une grande attention a des choses qui nous détournent de notre essence. Cessons de dilapider notre capacité d'attention sur des détails qui n'ont aucune pertinence dans notre vie. Nous gagnons a mettre en sourdine tout ce babillage mental qui nous prend la tête, mais qui ne repose sur rien, ne mène nulle part et ne mérite pas notre attention. Concentrons-nous sur notre capacité d'aimer et d'être aimés!

Pour enfin avoir une autonomie affective:

Qui n'est en fait qu'une prise de conscience et une acceptation sans condition de ce que nous sommes profondément, c'est as dire des êtres en constante évolution qui vivent pour aimer et être aimés.Prendre conscience de soi et s'accepter sont les deux faces de l'autonomie affective. Voici donc comment y arriver:

Exercez-vous a prêter attention a vos sensations physiques, a vos émotions et a vos pensées, des plus agréables et heureuses aux plus inconfortables et douloureuses, sans tenter de les refouler et sans vous juger ni vous condamner. Ainsi, vous les apprivoiserez pour ce qu'elles sont vraiment: des informations, des messages qui vous indiquent la direction a suivre pour aller vers vous-même, pour vous prendre en main et pour intégrer la beinveillance dans toutes vos relations, a commencer par vous-même.

Tout peut encore changer. Vous pouvez choisir, du jour au lendemain, de mettre toute votre attention a devenir une meilleure personne a vos propres yeux. Choisissez votre vie et consacrez-la a tout ce qui vous fera du bien au corps, au coeur et a la tête. Concentrez-vous surtout sur les gens qui vous aideront a vivre et a grandir en vous révélant les qualités et les forces qu'eux-mêmes voient en vous.

Soyez attentif a l'amour qu'on vous témoigne et a celui que vous pouvez exprimer. Consacrez a votre amoureux ou amoureuse le meilleur de vous-même et profitez de tous les bienfaits qu'apporte l'amour véritable. Soyez attentif au bonheur qui jalonne votre cheminement vers l'autonomie affective et prenez le temps d'en ressentir toute l'intensité.

Vous serez alors plus a même de créer un quotidien a votre image, de vous investir dans des relations qui répondent a vos besoins. Vous apprivoiserez le pouvoir de votre authenticité, vous vivrez en respectant vos valeurs. Vous pourrez créer, dans le plaisir, une vie qui vous ressemble.

J'ai l'intime conviction que la se trouve bonheur !


Louise,




REF.: Merci a:  Louise Sigouin,"si on s'aimait" , Tome 2.

http://louisesigouin.com/

https://www.facebook.com/louisesigouin.officiel/

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A l'envers c'est a l'endroit ,.........vous vous en appercevrez a un moment donné !