LA SANTÉ PHYSIQUE, PAR L’ALIMENTATION CRUE-VIVANTE
Bref résumé/synthèse tiré du livre : L’Humain : un crudivore frugivore végétalien de nature
Établissons d’abord la notion de «l’aliment originel», c’est-à-dire celui qui n’a
jamais été hybridé par l’humain et dont la croissance «normale» se réalise en pleine
terre vivante biologique avec des composts végétaux exempts de toxicités chimiques
pour les micro-organismes du sol participant principalement à la culture de la plante.
Donc, ce principe conceptuel va bien au-delà de celui de l’aliment agrochimique
toxique, c’est-à-dire celui à «croissance forcée par les engrais chimiques» dans une
terre conséquemment devenue presque morte de ses micro-organismes naturels.
Donc, une culture biologique réalisée via les artifices non-naturels des engrais
chimiques, et par la suite des pesticides et herbicides nécessaires à la fragile survie des
plantes cultivées. Cette culture agrochimique rend ainsi les aliments «artificiellement
beaux en apparence», mais reste qu’ils sont malades parce qu’ils contiennent peu de
vitalités et cela est «inapparent» comme par exemple, lorsque que l’on regarde une
personne souffrante de leucémie et qui, en fait, est potentiellement mourante.
Pas surprenant alors, que l’individu manque d’énergie vitale en se nourrissant de
tels aliments agrochimiques et qu’il s’empoisonne progressivement à cause de tous les
éléments chimiques que les plante ont absorbées.
CAPSULES PSY # 64
DE
PSYCHOLOGIE NOUVELLE
ÉVOLUTIONNAIRE
Armand Desroches
PARAPSYCHOLOGUE
ÉVOLUTIONNAIRE
http://www.use-quebec.ca
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La cuisson des aliments crée une dénaturation alimentaire qui produit des
molécules de structures étrangères que le système digestif ne reconnaît pas et,
malheureusement, qu’il n’arrive pas à parfaitement métaboliser et qui l’intoxiquent
détruisant la santé cellulaire par une ou certaines des multiples maladies que génère
cette malsaine façon alimentaire de se nourrir. Mais il est étonnant que de nos jours, ce
principe destructeur ne préoccupe à peu près pas les médecins, pourtant bien
intentionnés, de la Médecine Traditionnelle. Trois fois par jour pourtant et durant des
décennies de vie de ce manège ignoré «progressivement suicidaire», l’être humain
consomme des aliments cuits dénaturés qui graduellement l’intoxiquent et dégradent
la qualité vivifiée de son organisme, et ce qui l’achemine incontournablement vers une
«mort prématurée». Nous sommes les seuls animaux de La Nature à procéder à
la cuisson toxique des aliments crus-vivants pour s’en nourrir, et ainsi cela nous rend
malades et nous tue progressivement à notre insu conscient.
Le corps humain physique offre donc une «inadaptation génétique» ou
«métabolique» à cette alimentation dénaturée par la cuisson, un fait qui est
totalement «négligé» par la Médecine Traditionnelle. «La santé dépend de ce dont est
nourri le corps physique !» et c’est ce qu’avançait l’illustre Hippocrate, mais la
Médecine Traditionnelle ne s’en préoccupe plus. Il y a donc un lien évident entre cette
malnutrition culinaire et la maladie sous toutes ses formes sournoises.
Lorsqu’un aliment cru-vivant subit la cuisson, ordinairement à la fréquence
d’un triquotidien, la haute température alors transforme la structure des molécules
originelles en des molécules non-originelles, non-progénétiques, dénaturées,
étrangères, qui n’existent évidemment pas dans La Nature et que le corps humain
physique n’est pas en mesure de parfaitement métaboliser. C’est-à-dire que le
métabolisme n’a pas la capacité, via une saine digestibilité, d’en extraire les
nutriments naturels vivifiants pour en nourrir adéquatement le système cellulaire de
l’organisme humain.
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Ces molécules dénaturées destructrices posent alors de graves problèmes aux
enzymes digestives du corps en nombre seulement suffisant dans l’intestin grêle pour
parfaitement suffire à une saine digestion crue-vivante. Étant alors incapables, à elles
seules, de métaboliser cette ingestion toxique de cuisson, l’organisme en survie doit
aller puiser dans les banques enzymatiques immunitaires pour en transformer un
grand nombre qui vont aller s’ajouter aux enzymes digestives de l’intestin grêle pour
finaliser la digestion toxique. Sinon, c’est le corps physique qui va mourir d’une
indigestion aigüe. En conséquence, c’est le métabolisme naturel qui graduellement
s’appauvrit, et c’est l’immunité et la santé en général de l’organisme qui devient
pathologique, donc d’évolution morbide maladive menant graduellement au
vieillissement et ainsi à une mort prématurée. Il est à rappeler qu’à chaque repas de
cuisson, les globules blancs interviennent en grand nombre pour neutraliser ces intrus
toxiques et cela est anormal, alors que cela n’est pas le cas observé avec l’alimentation
crue-vivante.
L’alimentation cuite-morte est dénaturée, polluante et toxique pour la santé et,
conséquemment, dégénérescente pour le corps physique. De plus, elle affaisse le taux
de la vitalité, de la lucidité intellectuelle et de la performance créative. Elle détruit
graduellement, le système immunitaire et rend le corps physique vulnérable aux
maladies. Et ce qui le fait vieillir avant son temps et rend flasques ses chairs et qui,
finalement, l’assassine à coup sûr.
Alors qu’une alimentation crue-vivante est énergétique, régénérative,
vivifiante, tonifiante, curative pour la santé physique. Elle rajeunit conséquemment
l’organisme humain, augmentant conséquemment en flèche la lucidité intellectuelle
et la créativité imaginative.
L’alimentation cuite-morte est un processus culinaire homicide allant à
l’encontre d’une métabolisation normale digestive des aliments crus-vivants devant
journellement vivifier et régénérer le système cellulaire du corps physique.
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De par son ignorance de ces principes élémentaires, la vision de la Médecine
Traditionnelle est presque exclusivement tournée vers le principe de la prothèse :
1- prothèse chimique : pilules chimiques pour tenter de suppléer aux fonctions
défaillantes du corps
2- prothèse psychologique : avec des pilules chimiques utilisées comme des
tranquillisants, des somnifères, etc. Sans compter leurs effets secondaires, qui
soulagent passagèrement comme les drogues de la rue, qui engourdissent et qui
produisent des défaillances intellectuelles, donc des pertes de concentration ou de
lucidité pour l’étude, le travail ou la créativité, et ce qui diminue ainsi la conscience de
vie. Donc, des pertes de performance intellectuelle et de lucidité résultant en une
médiocrisation de l’esprit de l’individu, tout en l’intoxiquant de molécules étrangères
non-originelles à la vie.
3- Prothèse matérielle : cœur artificiel, etc.
4- Prothèse génétique : répression des symptômes pour amener au silence des
organes défectueux.
Tous les animaux se nourrissent d’aliments crus-vivants, à part l’animal humain
qui fait la cuisson destructive de ses aliments crus-vivants ignorant que, ce faisant, il
se produit des effets biochimiques néfastes. Conséquemment, ce sont des substances
dénaturées, «étrangères» à La Nature, qui résultent ainsi des produits dérivés de la
cuisson et qui n’existent donc pas dans aucun aliment cru naturel. L’Humain ne voit
pas à l’œil nu, ce qui se passe à l’échelle moléculaire suite à la cuisson de ses
aliments. Une matière nouvelle dénaturée a donc remplacé la précédente originelle,
la chaleur élevée ayant fait entrer en collision un nombre incalculable de molécules en
présence. Conséquemment, elles formeront des molécules nocives d’une espèce
chimique étrangère dont la «programmation digestive» de l’organisme ne reconnaîtra
pas ces milliards de substances anormales devant être digestivement métabolisées
pour ne pas que le corps physique en crève. Et reste, que les produits dénaturés les
plus toxiques n’apparaissent pas nécessairement aux températures les plus élevées.
Sont ainsi très cancérigènes dans l’alimentation cuite dénaturée : les
édulcorants, les colorants, les émulsionnants, les adjuvants, les artifices culinaires.
Mais les industries agroalimentaires, agrochimiques ou pharmacologiques, toutes trois
occultement associées derrière dans l’anonymat de leur concours complice, n’ont
«d’intérêts économiques» à promouvoir le cru-vivant biologique originel. C’est que
de phénoménaux profits sont réalisés à travers un processus chimique alimentaire qui
détruit progressivement la santé, pour ensuite chercher à faire perdurer la vie des
humains malades avec une pharmacopée chimique qui ne peut réussir à curativement
les guérir. Ça, ils le savent et ils ne dévoileront pas non plus les méfaits de la cuisson
meurtrière…
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La cuisson a donc des effets néfastes sur l’organisme humain en minant
progressivement les artères avec toute la lenteur insidieuse de l’artériosclérose qui
s’installe graduellement par exemple, et rendu au seuil de la mort on «interprètera
erratiquement» que ce qui l’a produit fut la vie émotionnellement douloureuse de
l’individu, le surmenage dû au travail, l’effet naturel de la vieillesse et, finalement,
la fatalité de la vie. Comment l’être humain ordinaire, vacant à survivre dans
l’improvisation psychologique de la vie, peut-il alors «deviner» ce que les
scientifiques «refusent» de voir ?
Lorsque l’on mange cru-vivant, plein de maladies ne surviennent pas.
Par exemple plus de rhume, de toux, de sinusites, de congestion des muqueuses,
d’éternuements, de reniflements répétés, de mauvaise haleine à cause d’une digestion
toxique incomplétée, plus de selles acides, d’incontinences, d’hémorroïdes et autres,
mais un organisme humain qui devient de plus en plus en bon état. Pour le tester par la
suite, il ne s’agit que de faiblir en volonté et absorber, le soir, une boisson gazeuse et
pour le lendemain matin de se voir expectorer des mucus par le nez et devoir ainsi se
moucher démontrant par là une réaction normale du corps à l’évacuation de cette
toxicité. Corolairement, la cuisson des aliments crus-vivants provoque une pollution
par l’intérieur du corps, donc d’innombrables réactions chimiques toxiques qui font
entrer dans le corps une pléthore de molécules hétéroclites nocives dont on ne peut
prévoir les effets néfastes.
Mais surviendront subtilement sur l’écran-mental psychique, des mémoires
anciennes liées à des plaisirs alimentaires gustatifs issus des plats de cuisson du passé
et qui vous «harcèleront mentalement» en projections imaginatives succulentes de
toutes sortes excitant alors les papilles gustatives. Ces projections seront donc
semblables aux mémoires d’aliments cuits déjà expérimentées, et il y a de bonnes
chances que vous finissiez par «casser» ou par «céder» à ces incitations mémorielles
homicides. Il faut pour ainsi dire, considérer ces pensées comme antihumaines
puisqu’elles détruisent la santé.
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Lorsque nous sortons de la domination des aliments cuits dénaturés
traditionnels, il faut s’en abstenir assez longtemps pour retrouver le plaisir normal des
aliments crus naturels originels. Cela nécessite d’abord un effort de discipline pour y
arriver, mais interviendra aussi en support la raison intelligente de discernement
intégré. Il faut lutter contre la tentation, contre la supercherie de la pensée, donc
contre le «harcèlement mental» des mémoires anciennes agissant tels des désirs
sensuels inassouvis et conséquemment sur les papilles gustatives, et de façon à se
sortir du gouffre de la maladie. Face donc aux aliments cuits dénaturés, souvent les
«bonnes intentions» perdent leur puissance originelle et la barrière instinctive ne
fonctionne plus. Donc dès que l’on cède en volonté, on devient pris au piège de la
cuisson et esclave de nouveaux plaisirs gustatifs qui tassent toute volonté pourtant
«intelligente» se dressant pour combattre. Il faut donc véritablement «se saisir» d’une
science vulgarisée de la santé, telle que la présente par exemple, pour
«intelligemment» s’opposer aux petits démons suggestifs qui cherchent à nous
«récupérer» via le phénomène de la pensée.
La drogue provoque une jouissance qui devient disponible par «l’artifice» et
c’est exactement comme le fait la jouissance gastronomique de l’aliment de cuisson.
L’alimentation crue-vivante est rédemptrice de la santé du corps physique en
quelque sorte, et la démarche est issue de prises-de-conscience qui opposent
«l’intelligence de la raison» aux plaisirs dégénérescents. Remettre en question notre
façon de se nourrir signifie de risquer de perdre certains plaisirs du palais, alors que
différents plaisirs charnels, tirés des 5 sens, seront souvent compensatoires pour les
carences encourues, c’est-à-dire les autres besoins demeurés inassouvis. Les différents
plaisirs sont le moteur de l’existence et vont au hasard des «illusions des sens», même
s’ils sont destructeurs. Les victimes de l’art culinaire se comptent par milliards…
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Avec l’alimentation crue vivante :
a) les organes internes demeurent silencieux, donc pas de gargouillements
intestinaux, pas de ballonnements ventraux, pas de rots, pas de pets, pas de symptômes
gazeux démontrant une mal-digestion toxique, ni lourdeurs, ni malaises, ni haleine
fétide de fonds de poubelle.
b) non plus, d’essoufflements dus à des palpitations d’un cœur qui bât à régime
trop élevé parce que les divers organes sont sursollicités à devoir absolument achever
une digestion toxique anormale
c) ni d’altération de la lucidité intellectuelle puisqu’une somnolence et une
perte de conscience s’installent lorsque l’organisme, sursollicité par la nécessité d’une
digestion toxique, doit débrancher au maximum ses activités mentales d’éveil pour
amener le corps en sommeil pour compléter ainsi la digestion. Ceci, de façon à utiliser
toutes ses énergies vitales pour le support d’un travail digestif excessif à accomplir à
cause de l’ingestion d’aliments de cuisson, sinon surviendra une indigestion aigüe et
le corps va en mourir. Et c’est à cause de la destruction de l’activité vitale des
enzymes alimentaires qui étaient contenues dans les aliments crus-vivants puisque
celles-ci sont mortes à la cuisson, alors qu’au contraire l’alimentation crue-vivante
enzymatique complète une saine digestion et pour le système cellulaire d’entretenir
une vivacité enthousiaste et, conséquemment, survient une lucidité créative d’esprit
dont le corps se réjouit de son état de bien-être permanent.
Il est presque impossible à la science actuelle de savoir exactement tout ce qui
se réalise phénoménalement dans l’organisme, car sa complexité biologique dépasse
l’entendement actuel. Quant à la nutrition crue vivante, il a été répertorié qu’elle
contient plus de 2000 types d’enzymes alimentaires en service qui sont, par
elles-mêmes, des phénomènes particuliers incompris. Le microscope fait découvrir
chaque jour des mécanismes complexes aux propriétés curatives inattendues des
aliments crus-vivants biologiques, ceux-ci comportant donc une science stratégique
inhérente d’action synergique curative qui épate phénoménalement.
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Mais survient aussi le phénomène du renoncement du système immunitaire :
C’est dans la nature des protéines du lait par exemple, de mettre en échec le
système digestif de l’organisme humain. Donc, des protéines produites par la vache
ou autres mammifères risquent de passer à travers la paroi intestinale pour entrer
dans le sang et tout en conservant leur structure moléculaire, donc étrangère à
l’organisme humain. Ainsi le lait et tous produits laitiers sont destructeurs quant à la
santé humaine et n’oubliez pas qu’après 6 ans d’âge, le corps physique ne produit plus
les enzymes lactiques nécessaires à la digestion du lait maternel et pas étonnant que le
lait cru de vache ne soit pas naturellement métabolisé.
Dans le cas des aliments dénaturés par la cuisson, les protéines déformées ou
liées à d’autres composants de même nature pourront aussi échapper à la vigilance du
système digestif et passer à travers la paroi intestinale pour entrer finalement dans le
sang et dans nos organes en conservant des structures étrangères. On connaît les
intolérances au lait ou au gluten du blé par exemple, mais elles finissent par ne pas
durer longtemps, car au bout d’un certain temps l’organisme RENONCE À
RÉAGIR. C’est que le système immunologique entre dans ce que les spécialistes
appellent «un état de tolérance» et c’est le moment où les mamans se réjouissent,
à tort, que le bébé s’est «adapté» au lait de vache. Mais en réalité, c’est là que
commence le danger, car l’organisme NE SE DÉFEND PLUS et les protéines
étrangères peuvent désormais s’infiltrer partout dans le corps et créer des maladies.
Elles pourront alors se dissoudre dans les graisses, se fixer sur les membranes
cellulaires, entrer dans le plasma, aller traquer l’ADN dans le noyau de la cellule.
Un mot en passant sur l’alimentation carnée
Tuant donc massivement ces animaux pour nous en alimenter d’une façon
barbare, nous écourtons drastiquement leur espérance de vie, mais aussi sans se douter
que nous écourtons la nôtre. Ainsi nous les humains, si nous n’avons rien de carnivore,
d’herbivore, de granivore, n’étant pas omnivore non plus, des études scientifiques
(Désiré Mérien, Éditions Nature et vie) ont démontré que nous sommes des
crudivores frugivores végétaliens de nature.
(Genèse 1) : «Je vous donne, par toute la Terre, toutes les plantes qui portent
leurs semences et tous les arbres qui ont des fruits portant semences. Ils seront,
en abondance, votre nourriture !».
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Mot de la fin
Ces quelques pages ne vous présentent qu’un avant-gout de ce que vous pourriez
découvrir dans le 7ième livre de l’auteur Armand Desroches :
L’humain : un crudivore frugivore végétalien de nature
http://www.use-quebec.ca
REF.: https://www.use-quebec.ca/download/Capsule-psy-64.pdf
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A l'envers c'est a l'endroit ,.........vous vous en appercevrez a un moment donné !