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vendredi 16 juin 2023

PNL: Le modèle SCORE , la recherche de l'objectif et la double dissociation

PNL:  Le modèle SCORE , la recherche de l'objectif et la double dissociation

Le modèle SCORE et la recherche de l'objectif:

 

 

C'est une technique spatiale, c'est-à-dire qu'elle se pratique debout en se déplaçant selon les questions. Je vous explique ce qu'a fait Penelle; vous pouvez tester chez vous.



--- S C O R E ---



Vous posez ces cartes sur le sol et vous allez vous déplacer dessus. Voilà qui donne envie

 

S= situation, donc vous allez décrire la situation qui vous pose problème.

C = les causes, donc vous allez chercher ce qui a provoqué ce problème.

O = l'objectif, donc vous allez définir ce que vous voulez obtenir

R= ressources, donc vous allez puiser dans vos ressources (ancrages, etc.). Et enfin.

E = les effets, donc, quels bénéfices vous allez tirer de résolution de ce problème.

En classant ainsi vos pensées, les solutions vous apparaissent. plus clairement, et vous évitez les auto jugements, les doutes et les angoisses.

 

 

- Henri est inquiet... son patron lui a fait des remarques sur son travail... Du coup, il n'est plus trop sûr de lui et ne sait plus comment s'y prendre pour rattraper ses erreurs.

 

Situation= Sur le S: il décrit ce qu'il ressent et raconte ce qui s'est passé.

Causes= Sur le C: il se dit qu'il aurait dû mieux se renseigner avant de se lancer et vérifier à deux fois !

Objectifs: Sur le O : il projette de faire plus attention, la prochaine fois, en expliquant comment il va s'y prendre.

Ressources:  Sur le R: il a besoin de retrouver son assurance, alors il fait un ancrage de ressources !

Effets: Sur le E: il imagine les futurs résultats et la satisfaction de son patron.

Cela démontre qu'il est parfaitement stérile de ruminer un problème ou un échec pendant des heures ! Se plaindre n'est pas du tout productif ! Bon, je vous accorde que cela soulage, un moment, mais mieux vaut se mettre en action afin de ne pas gaspiller de l'énergie à se repasser le film en boucle !

Tous les traitements ne relèvent pas de psychiatrie, heureusement ! Je me promène parmi les exemples en commençant par cas liés à la psychologie pour bien vous faire vire la richesse de la PNL, puisque Grinder et Bander ont aussi débuté avec ce domaine sI riche de la thérapie. Il est certain que la PNL a profondément modifié l'approche thérapeutique.

 

 Elle a apporté une qualité d'écoute que les patients ou les clients apprécient

Même si l'histoire de Caroline est résumée, ce qu'elle a vécu pendant ses entretiens a profondément modifié sa vie: Elle est allée puiser en elle-même les ressources qu'elle attendait des autres ! Le réimprinting permet ce miracle.

 

Le réimprinting et la double dissociation corrigent le passé douloureux


Tout ce qu'une personne garde en mémoire, accompagné des émotions qu'elle a vécues pendant un traumatisme, est agglutiné en programmes et en stratégies hermétiques et bien verrouillées. Il suffit de faire glisser les ressources très puissantes d'une situation positive (déjà vécue, donc mentale) vers une situation douloureuse pour en modifier l'impression et la conserver en tête, sans la revivre sans arrêt dès l'apparition d'une image ou d'un mot. Caroline pensait que sa mère aurait dû l'aimer…

 

Cela signifie qu'elle a une idée de ce qu'est cet amour ! Elle a donc créé, pour elle, un programme « amour », dont, malheureusement, la petite fille qu'elle était n'a pas pu profiter. Le programme de l'enfance ne comporte pas l'amour de sa mère. Puisque tout se passe dans sa tête, alors, la Caroline du présent va aller transporter cet amour et le donner à la maman du souvenir afin de refaire l'histoire émotionnelle et de réparer le manque ! Souvenez-vous que le cerveau ne fait pas de différence, en ce qui concerne les émotions et les ressentis, entre ce qui est réel, bien présent, et ce qui est imaginé ! Bien sûr, Caroline sait consciemment que sa mère n'a pas eu de gestes d'amour, mais elle n'en ressent plus la souffrance. Elle a donné à sa mère des ressources qui lui ont manqué et elle a pardonné.

Si vous avez des souvenus qui, encore aujourd'hui, vous empêchent de vous réaliser comme vous aimeriez le faire, n'hésitez plus, allez en parler à un PNListe agréé, et vous trouverez de réponses à vos questions.

Je vous raconterais bien une autre histoire, très belle, bien quelle ait commencé de façon tragique... Soyez rassuré, tout est bien. qui finit bien, comme le dit le capitaine Haddock! Je plaisante parce que le sujet, s'il est touchant, fait appel à des images fortes que je souhaite adoucir pour votre confort de lecteur. Cette histoire illustre parfaitement ce que je vous expliquais au sujet de souvenir douloureux et elle aborde une autre technique : la double dissociation. Nous savons ce qu'est une dissociation, mais ici, on a eu besoin de doubler la distance ! Inutile que je vous en parle davantage, vous allez comprendre très vite. 

 

Nathalie veut un enfant, mais elle va d'échec en échec. Elle consulte des spécialistes, des gynécologues, des professeurs... Elle tente, à plusieurs reprises, la procréation in vitro, mais aucune de ses tentatives n'aboutit. En désespoir de cause, sa gynécologue lui conseille de « consulter » (ça veut dire « aller voir un psychologue »). Elle arrive chez Pénelle(le PNL spécialiste), accablée et prête à tout essayer. Pénelle procède au questionnement habituel afin de bien cerner la demande.

Grâce à un ancrage, le duo retrouve une situation terrible qui est à l'origine de ce blocage du présent. Enfant, elle avait à peine 14 ans, Nathalie a perdu sa mère. Les hôpitaux de l'époque ne connaissaient sans doute pas encore l'empathie ni l'accompagnement des familles, aussi lui demandent-ils de venir voir la défunte... À la morgue, dans son tiroir... Je vous laisse imaginer le choc !

A cet instant, sans se le dire avec des mots, Nathalie a pris une décision irrévocable : elle ne fera jamais d'enfant, pour lui éviter cet horible douleur Vite, Pénelle change de sujet parce que rien que cette évocation replonge Nathalie dans son passé, et elle en frissonne. Pour compenser, Pénelle cherche si elle a connu des moments heureux, merveilleux dans sa vie? Oui. Elle évoque la rencontre avec son époux, la fête de leurs noces, la joie partagée..., et Pénelle(le spécialiste en PNL) lui prend la main à ce moment précis où elle vibre d'une forte émotion à ce souvenir. Il a créé un ancrage, un point de repère dans les stratégies de Nathalie, qui lui rappellera ces jours heureux. Sans lui lâcher la main, Pénelle demande à Nathalie d'Imaginer une bulle de protecton autour d'elle, intraversable, transparente (première dissociation).

 

Elle le fait et continue à ressentir la joie d'être bien mariée et heureuse. Ensuite, de cette place, elle devra imaginer qu'elle surplombe une scène de théâtre, séparée de sa bulle par un écran de plexiglas (seconde dissociation).

Pénelle la prévient que sur cette scène imaginaire va se dérouler une sorte de film, des images pas très agréables, mais dont elle est détachée, puisqu'il s'agit de l'histoire d'une petite fille, il y a longtemps. Elle regarde en serrant la main de Pénelle qui décrit alors brièvement la scène traumatisante en « calibrant » à chaque mot, à chaque image, que Nathalie se sente toujours en paix, qu'elle respire calmement et lui demande ce qu'elle aimerait dire à cette enfant, là-bas. Nathalie est sereine, elle parle doucement et décide de dire à la petite fille que sa maman est au Ciel, qu'elle la protège pour le reste de sa vie et qu'elle est sûre qu'elle fera une aussi bonne mère qu'elle l'a été.

Lorsque Nathalie, avec l'aide de Pénelle, revient dans le présent, elle pleure. « Je me libère », dit-elle. Un grand soupir achève de la remettre d'aplomb. Elle dit qu'elle ira mettre des fleurs sur la tombe de sa mère et lui dire merci.

Quelque temps après, elle annonce à Pénelle qu'elle est enceinte,

 

Aux dernières nouvelles, elle a sans aucune aide médicale accouché d'une petite fille, qui a maintenant 17 ans ! Depuis cette naissance, chaque année, pour les vacances, Nathalie a envoyé une carte à Pénelle, en remerciements fidèles.

Vous comprenez pourquoi la démarche d'aller voir un psychothérapeute n'est pas si aisée, encore de nos jours? Malgré les émissions télévisées, les ouvrages nombreux et les preuves avérées, nombreux sont les clients qui suivent leur petit bonhomme de chemin, accompagnés d'un malaise constant. C'est le cas de certains phobiques, par exemple. La « phobie » est un mot employé maintenant à toutes les sauces dans le langage courant. « J'ai une phobie.» ça veut tout dire.... et rien dire ! Pourtant, c'est une souffrance, et on ne naît pas avec ! 

 

 REF.: Pratiques et bienfaits de la PNL(Programmation Neuro-linguistique),par Anne Lang-Bringer

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