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lundi 18 juin 2012

Ça va prendre des colombos sur la 4e avenue !

Aller les colombos,surprener les résidents B.S. qui sont en sevrage de pilules,pour les empêcher d'appeler la police que votre auto est stationnée plus que 24 hrs sur la rue !!! Aller Facebook,et caméra photos,bienvenue Anonymous ;)-




Liser cette histoire d'horreur:
Des citoyens du quartier Vieux-Rosemont ont reçu une contravention pour avoir stationné leur véhicule plus de 24 heures au même endroit. Certains en ont même eu deux. Une surprise qui a du mal à passer.
Ce règlement, inconnu de ces citoyens, n’est habituellement mis en application que s’il y a une plainte d’un citoyen.
La méfiance s’est donc installée depuis le 23 mai, jour de la première vague de contraventions. S’il y a une plainte contre un seul véhicule, l’agent de stationnement doit sévir sur l’ensemble du tronçon de rue.
Une agente, qui « était toute mal », raconte une citoyenne, a dû passer beaucoup de temps à noter les plaques et la position de chaque véhicule entre la promenade Masson et le boulevard Laurier, sur la 4e avenue. Ce manège s’est fait le 22 mai, et elle a dû revenir donner des constats d’infraction le lendemain, en vérifiant si les véhicules avaient bougé ou non. Huit contraventions avaient été placées sous les essuie-glaces.
Une autre plainte a été déposée à la fin mai, si bien que d’autres citoyens – environ 12 – ont eu à nouveau cette surprise, le 1er juin.
« C’est quoi la joke ? », se demande avec stupéfaction Hélène Caron, résidente du secteur. Des retraités, des gens malades et des travailleurs autonomes restent sur la 4e avenue et ne prennent pas toujours leur voiture, soulève-t-elle.
Pour sa part, le retraité Armand O’Connor a eu droit à deux contraventions, les 23 mai et 1er juin. Il ne veut pas avoir à changer sa voiture de place s’il n’a pas à la prendre. « Pour moi, c’est ridicule. »
La fille de Lise Brisebois, Sylvie, est aussi frustrée de la situation. Infirmière de nuit, elle a retrouvé le bout de papier blanc et rouge dans son pare-brise un soir avant de partir au travail. Elle ne pourrait toutefois contester. « Elle était en colère. Elle ne veut pas perdre une journée de travail », explique Mme Brisebois.
Transports en commun
Parallèlement, la Ville incite les citoyens à utiliser davantage le transport en commun.
« Ça écoeure ! s’exclame Lise Brisebois. On est à Montréal. Ils disent de ne pas prendre notre voiture. »
C’est ce qui choque encore plus les citoyens de cette rue. Avec les campagnes publicitaires de la Société de transport de Montréal (STM), la taxe de 45 $ pour les propriétaires de voitures afin de financer le transport en commun, sans oublier la taxe sur l’essence dans la région métropolitaine également pour le transport en commun, ils ne comprennent pas pourquoi ils sont pénalisés d’avoir pris l’autobus ou le métro.
« Vingt-quatre heures, c’est long et, habituellement, quand on a une voiture, on a l’opportunité de la déplacer », répond la porte-parole de Projet Montréal. Catherine Maurice ne voit d’ailleurs pas de lien avec la frustration des citoyens.
Abus
Pour la Ville, il est question d’éviter les abus, surtout ceux d’entreprises.
« On ne veut pas intervenir sur ce genre d’affaires-là parce que ce règlement a sa raison d’être, soutient Mme Maurice, porte-parole du maire d’arrondissement François William Croteau. L’occupation de l’espace public doit être balisée pour qu’il n’y ait pas d’abus. [Le maire] n’a pas l’intention de faire quoi que ce soit de plus. »


REF.:

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A l'envers c'est a l'endroit ,.........vous vous en appercevrez a un moment donné !