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vendredi 2 décembre 2011

Ça commence bien le mois !



 



Un agent de la police municipale de Bromont est mort en service au cours des dernières minutes après avoir été heurté par un camion cube chauffer par une femme distraite.
L'accident s'est passé sur la route 139 alors que le policier venait tout juste d'intercepter un véhicule pour une infraction au Code de la sécurité routière. Alors qu'il retournait vers son autopatrouille pour faire les vérifications d'usage, le policier a été heurté par le miroir droit d'un camion cube.
Selon Louis-Philippe Ruel, porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ), la victime est morte sur le coup sur la place ,par la force de l'impact.
On s'explique encore bien mal ce qui a pu arriver puisqu'il semble que le camion aurait dévié sur l'accotement dans un tronçon en ligne droite avant de heurter la voiture de police, puis l'agent. Il semble que ni la vitesse ni l'alcool ne soient en cause.
L'ex-policier de la GRC, Vincent Roy de 37 ans ne comptait que quelques mois(4mois) d'expérience dans la police de Bromont,il semblait être pas assez familier avec le secteur . 

 Commentaires:
Le policier aurait dû se stationner a l'avant du véhicule intercepté et non a l'arrière comme il l'a fait ,pour mieux évaluer la situation et le traffic routier!


REF.:

jeudi 1 décembre 2011

Occupons Montréal Des clowns indignés au square Victoria

Occupons Montréal - Des clowns indignés au square Victoria
Tutoc la clown, assise dans une poubelle. 
©SARAH BÉLISLE/24 HEURES/AGENCE QMI

MONTRÉAL – Une poignée d’anciens occupants du square Victoria à Montréal sont retournés sur la Place des peuples déguisés en clowns, dimanche, pour présenter des sketchs et interpeller les gens sur le sort des indignés.
«Vous pensez que je suis un déchet?», a lancé à un passant Tutoc la clown, alors qu’elle était assise dans une poubelle du square, d’où les militants d’Occupons Montréal ont été expulsés vendredi matin.
«L’occupation est dans nos cœurs», a expliqué Tutoc, qui ne veut pas croire que l’indignation est terminée.
«On n’a plus de maison, on nous a cassé notre maison», a déploré l’un de ses amis, qui dormait sur le campement avant qu’il ne soit démantelé. La petite bande a dit espérer que, comme eux, d’autres indignés occuperont chaque jour le square Victoria désormais.


REF.:

Quand l'Homme juge l'homme ?

Enquêtes indépendantes - Des civils surveilleront la police
Le ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil. 
© Agence QMI / Archives
Enquêtes indépendantes

Des civils surveilleront la police

MONTRÉAL - Finie l’époque où la police enquêtait sur la police en vase clos. Le ministre Robert Dutil annoncerait vendredi son intention de créer une nouvelle escouade civile. Son mandat: surveiller les policiers qui enquêtent sur des événements tragiques impliquant d’autres policiers.
Les libéraux y songent depuis déjà un bon moment. Mais ce serait chose faite vendredi: le Journal de Montréal a appris que le ministre de la Sécurité publique déposerait un projet de loi dans le but de créer le Bureau civil de surveillance des enquêtes policières.
La façon de faire actuelle, avec les enquêtes dites «indépendantes», a été décriée sur plusieurs tribunes, de par les années.
Le fait que des policiers enquêtent sur d’autres policiers lors d’événements tragiques impliquant des policiers en a toujours fait sourciller plus d’un.
Le Bureau proposé par le gouvernement Charest serait composé d’un directeur et d’un adjoint, et surtout de trois «enquêteurs» civils, qui devront n’avoir aucun lien, de près ou de loin, avec le milieu policier ou judiciaire.
Accès à toute la preuve
Ces enquêteurs civils accompagneront le corps policier en charge des enquêtes (Police de Montréal, de Québec et Sûreté du Québec) dans leurs démarches. Ils auront accès à tout, de la scène du drame jusqu’aux documents recueillis.
Ils auront même l’occasion d’assister aux interrogatoires des gens impliqués dans ces drames. Ils pourront poser toutes les questions et demander à consulter toutes les preuves qu’ils souhaitent.
«Ils seront les yeux civils de l’enquête», a illustré une source au fait du dossier.
Les enquêteurs en charge des enquêtes auront l’obligation de rencontrer dans un délai de 24 heures les policiers impliqués dans ces affaires.
Selon le projet de loi qui devrait être déposé vendredi, la création du nouveau Bureau serait enchâssée dans la Loi de police.
Juge ou avocat
Québec se mettra à la recherche d’un directeur pour diriger le Bureau. Le ministre Dutil souhaiterait voir un juge ou un avocat d’expérience à la tête de l’organisation. Il serait aussi assisté d’un directeur adjoint.
Au fil des drames survenus au cours d’interventions policières, plusieurs n’ont pas manqué de dénoncer le manque d’indépendance de ces policiers qui enquêtaient sur des drames impliquant d’autres policiers, qu’on accusait de vouloir protéger leurs cousins.
Affaire Villanueva
Ces récriminations ont été cristallisées lors de l’enquête du coroner sur la mort de Fredy Villanueva, survenue en août 2008.
Les façons de faire de la police, dans ce dossier, avaient été vertement critiquées: tandis que les deux policiers impliqués n’ont jamais été séparés et interrogés, les amis de la victime ont été maintenus à l’écart les uns des autres et interrogés promptement, donnant ainsi une apparence d’injustice.
Le nouveau Bureau risque d’avoir de quoi rassurer les détracteurs des actuelles enquêtes indépendantes.

REF.:

mercredi 30 novembre 2011

Comment faire une plaîte a la STM de Montréal ?




D'abord,c'est le service a la clientèle (du transport adapté)de la STM au numéro 514-280-8211 a l'option 4 ,( M. Mario Gélinas) que vous devrez appeler.Et lorsque votre plainte concernant le transport adapté ou autres,n'est pas réglée de façon satisfaisante ou est rejetée,il vous faudra contacter Transport2000, au 514-932-8008 qui eux vous aiderons a vous faire représenter devant la STM ,15 minutes avant leurs assemblées publique.



Ne vous en faîtes pas,car il n'y a aucun Ombudsman a la STM pour défendre la citoyen,ça n'existe pas,surtout que le dossier STM est politisé,ils vivent tous a l'âge de pierre et plusieurs syndiqués mal engueullée qui travaille 14 jours aux guichets des cartes Opus ,sont transférés a tour de rôle au service clientèle avant de revenir pour un autre 14 jours plus tard! On est loin du service clientèle Bell que le personnel est plus tendre pour dire d'autre chose,et du service clientèle Vidéotron très courtoi,ou celui de Rogers ou il y a 3 niveau d'appel pour enfin garder leurs clients satisfaits,et personne de tout ces entreprises n'osera vous cacher son numéro d'employé,son nom complet et ou de vous passer a son supérieur immédiat,............sauf a la STM ,malheureusement c'est pas encore le cas !
Il faudra attendre 15 ans ,avant que ces syndiqués frustrés prennent leurs retraites afin de permettre une plus grande ouverture d'esprit soit rétabli,avec la nouvelle génération de travailleur qui arrivera bientôt!
Sinon,un journaliste a grande gueulle fera l'affaire !


 L'Ombudsman de la ville de Montrèal non plus, ne s'occupe pas de la STM !
Le Protecteur du citoyen, du gouvernement du Québec,non plus, malheureusement!
De même que La Direction du territoire de Montreal, du Ministère du transport du Québec,ne peut rien faire a propos de la STM.

Assez c'est assez,le transport adapté est dans le trouble !
La démarche de MEMO-Qc fait suite à une initiative du Regroupement des activistes pour l'inclusion au Québec (RAPLIQ)

Plus de 50 personnes handicapées réclament 20 000$ chacune devant la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) pour dénoncer l'inaccessibilité de la Société de transport de Montréal (STM).

L'organisme qui vient en aide aux personnes handicapées du Québec s'est joint aux onze personnes du Regroupement des activistes pour l'inclusion au Québec (RAPLIQ) qui avaient décidé de faire appel à la CDPDJ le 8 décembre dernier.
Les deux groupes appellent donc toutes les personnes qui considèrent que la STM les lèse dans leurs droits à cause de son inaccessibilité de déposer une plainte devant la CDPDJ.
Plusieurs raisons motivent les usagers à porter plainte.
Les plaignants considèrent que le service de transport adapté n'est pas assez flexible ou que les employés de la STM n'ont pas la formation nécessaire pour répondre aux besoins des personnes handicapées.
« L'absence d'ascenseurs dans les stations de métro pose un des problèmes les plus importants.
REF.: 24hmontreal,Google est ton ami, etc......

Intimidation enfin une qui se tue, la ça devrait bouger ;-)

Intimidation

Suicide de Marjorie Raymond

 

 

Intimidation - Suicide de Marjorie Raymond : émoi sur les médias sociaux
Marjorie Raymond 
© Courtoisie
Les américains ont fait pareille,...............le scandale du 911(attentat du world trade center),tout le monde savaient,..............sa prenait ça pour bouger, et le cycle recommence !

Son Texto ici:
« !!asti dvie dmarde!!!!ya juste toi d’bon ds ma vie!! Je t’aime enormément ma belle je serais la pour te protéger.Men veux pas pour le geste que je vais poser...xxxx Marjorie ».




L’annonce du suicide de la jeune Marjorie Raymond a causé tout un émoi sur les médias sociaux. Des centaines de tweets à ce sujet ont été lancés mercredi, et le nombre n’a cessé d’augmenter au fur et à mesure de la journée.
À LIRE ÉGALEMENT:
Une discussion Facebook troublante
Il suffisait de faire une simple recherche sur Twitter avec les termes « Marjorie » et « Raymond » pour s’en rendre compte. La plupart des tweets passent de l’indignation à l’incrédulité face à ce sujet délicat.
Selon le site internet Trendsmap, le terme « Raymond » a été recensé comme une tendance dès minuit durant la nuit du 29 au 30 novembre 2011. Une page Facebook en hommage à Marjorie revendique plus de 5000 adeptes. Un événement créé sur Facebook rassemble aussi près de 18 000 personnes.
Mercredi matin, peu avant 9 h, un utilisateur de Twitter a trouvé le statut Facebook d’une jeune fille qui avait intimidé Marjorie Raymond. Il a pris une capture d’écran du statut et l’a ensuite envoyé sur Twitter.
Avant d’être supprimée peu avant mercredi midi, la photo a été visionnée plus de 12 000 fois. Un peu plus tard, le nom de l’utilisateur (qui a mis la photo du statut en ligne), ainsi que les termes « bullying » (intimidation en anglais), « intimidation » et « bouleversé » sont aussi devenus des tendances Twitter à Montréal.
Dans la capture d’écran, on pouvait facilement voir le nom de la jeune intimidatrice. Puisque le statut de la jeune fille est public, il a été facile, pour les utilisateurs Facebook, d’aller commenter et de le partager.
Publié le 1er novembre dernier, il est encore en ligne et fait l’objet de commentaires virulents depuis mercredi matin. Environ 120 commentaires ont été écrits et il a été partagé près de 730 fois sur Facebook. La jeune intimidatrice devient, en quelque sorte, elle aussi une victime d’intimidation.
Toujours en lien avec le suicide de Marjorie Raymond, une page Facebook cause aussi une vive réaction sur les médias sociaux. La page nommée « Organiser un suicide collectif géant en l’hommage de Marjorie Raymond » est l’objet de critiques. Chaque statut publié entraîne environ une cinquantaine de commentaires, et ce, même si la page compte environ 40 adeptes. La page a été supprimée mercredi après-midi.
Mercredi matin, le journaliste techno, Dominic Arpin, comptant des milliers d’abonnés sur Facebook et Twitter, a publié sur son site Internet, la vidéo « Losers » qui vise à sensibiliser la population et les jeunes face à l’intimidation. La vidéo, amplement partagée, est souvent accompagnée par un commentaire qui invite tout le monde à dénoncer l’intimidation.
Toutes ces réactions prouvent que le suicide de Marjorie Raymond ne laisse personne indifférent et, à l’ère des médias sociaux, on se rend compte que les responsables d’un acte répréhensible comme l’intimidation peuvent rapidement être montrés du doigt.

REF.: