Le Monde du Réel est a l'envers, c'est l'invertionnalité des consciences ! Bienvenue aux Sourds ;-)
Rechercher sur ce blogue
samedi 12 novembre 2011
jeudi 10 novembre 2011
Encore Deux policiers blâmés d’avoir abusé de leur autorité
|
||
MONTRÉAL - Après avoir remis une contravention à deux individus parce qu’ils marchaient dans la rue et non sur le trottoir, deux agents du Service de police de la Ville de Montréal ont été reconnus coupables d’avoir abusé de leur autorité par le Comité de déontologie policière.
Les agents Christian Joly et Patrick Guay ont ainsi contrevenu à l’article 6 du Code de déontologie des policiers du Québec, selon le jugement rendu le 27 octobre dernier.
Les faits remontent au 22 septembre 2007, alors que deux individus circulent en voiture au centre-ville de Montréal.
Ceux-ci se font intercepter par des policières pour une infraction mineure de la route. Les deux agentes font alors des vérifications de routine, après que le passager eut refusé de s’identifier.
«Le retour est négatif, sauf qu’une information apparaît voulant que le véhicule soit inscrit comme étant «suspect» dans une affaire reliée à des gangs de rue dans la région sud», peut-on lire dans le jugement. Le conducteur fait également l’objet d’une enquête dans un dossier de proxénétisme.
Aucun constat d’infraction n’est remis aux deux individus. Ces derniers décident tout de même de se rendre au bureau du Centre de recherche-action sur les relations raciales pour déposer une plainte contre les policières.
Une fois les procédures complétées, le conducteur et son passager se dirigent vers une boutique du centre-ville. Durant le trajet, un autre véhicule policier, à bord duquel se trouvent les agents Joly et Guay, commence à les suivre. Les deux policiers effectuent des vérifications et apprennent que le passager pourrait être le frère du conducteur et qu’il se livrerait à la pratique du proxénétisme, mais qu’il a refusé de s’identifier lors de la première interception policière.
Lorsque les deux individus stationnent leur véhicule, les policiers s’immobilisent au milieu de la rue. Le conducteur demande aux policiers s’il y a un problème, mais on lui répond que non.
Les deux hommes se dirigent alors vers un parcomètre en marchant dans la rue «étant donné le peu d’espace entre les deux véhicules stationnés en arrière» du leur.
Les deux policiers activent leurs gyrophares et exigent de la part de deux hommes leur permis de conduire, afin de pouvoir leur remettre un constat d’infraction.
Le 15 octobre suivant, les deux hommes portent plainte contre les deux agents au bureau du Commissaire.
On reproche aux policiers d’avoir procédé à l’arrestation des deux hommes «en se fondant sur la race de ces derniers». Étant donné qu’il n’y a eu aucune arrestation, ces reproches sont rejetés par le Comité.
«Pour le Comité, l’émission des constats d’infraction permettait aux agents Joly et Guay d’identifier le passager et de donner cette information sur son identité aux autorités concernées», relate le jugement.
Le conducteur et son passager ont contesté l’émission des constats d’infractions et ont eu gain de cause.
La peine imposée aux deux policiers n’est toujours pas connue.......SEcret de Ben Laden ,....vous le saurez pas !
REF.:
A oui ? Hahahahaaaaaaaaaaaaaaa !
|
||
Colis suspect devant la résidence d’un avocat,et peut être un avertissement comme,..............Vendredi dernier, l’avocat criminaliste Gilles Doré a été lui ,battu près de sa résidence d’Outremont, possiblement à coups de bâtons de baseball(ou d'un colis suspect ?;-).....
MONTRÉAL – Situation pour le moins inhabituelle à Montréal: deux colis suspects ont été retrouvés mardi avant-midi à quelques minutes d’intervalle, dont un qui avait été placé directement en face de la résidence d'un avocat. C'est un citoyen de l'avenue de l'Épée, à Outremont, qui a remarqué la présence de l'objet suspect près de chez lui aux environs de 11h.Dès lors, un imposant périmètre de sécurité a été érigé dans le secteur, entre la rue Ducharme et l’avenue Van Horne.
Le Groupe d'intervention tactique de la police de Montréal a été appelé sur les lieux pour maîtriser le colis suspect. Selon nos informations, il s'agissait d'une mallette qui avait été laissée directement la résidence de l'avocat Bogdan Catanu.
Me Catanu est spécialisé en litiges civils et administratifs. Il s’occupe de disputes contractuelles, d’injonctions, de litiges corporatifs et de valeurs mobilières, de droits des actionnaires et de recours collectifs.
Membre du Barreau depuis 2002, Bogdan Catanu est associé au cabinet d'avocats Woods, dont les bureaux sont situés sur la rue McGill College, au centre-ville.
L’Agence QMI a tenté de joindre Me Catanu en soirée, mais sans succès.
Une enquête est en cours afin de déterminer si l'incident se voulait un message adressé directement à l'avocat ou s'il s'agissait simplement d'une coïncidence.
Neutralisé en milieu d'après-midi, le colis suspect ne contenait finalement aucun explosif.
Inquiétudes
Néanmoins, cet événement, qui pourrait constituer un quatrième acte d'intimidation envers un avocat de Montréal en moins d'un an, inquiète au plus haut point la communauté juridique de Montréal.
«Ça fait peur. On fait notre job. On regarde la preuve que l'on a devant nous, on négocie, on tente d'avoir le meilleur pour notre client. On a une obligation de moyens, et non de résultats. Mais là, on dirait qu'on veut que l'on ait une obligation de résultats. C'est inquiétant», a dit une criminaliste jointe en fin de soirée.
Un deuxième colis
Une vingtaine de minutes après la découverte du premier colis suspect, un autre objet semblable a été trouvé à l'arrière d'une banque située sur la rue Provost, dans l'arrondissement de Lachine.
Là encore, un important périmètre de sécurité a été érigé, forçant la fermeture de plusieurs tronçons de rues.
Le colis suspect a été maîtrisé par le Groupe d'intervention tactique. Là encore, il s'est avéré inoffensif.
Par ailleurs, la police a indiqué que rien ne permettait de croire que les deux alertes au colis suspect pouvaient être liées.
REF.:
lundi 7 novembre 2011
La police qui défend la police
Radio-Canada 1 Vs La Police 1 ? ;-)
L'enquête policière de la SQ déboulonne aussi toute la version d'un soi-disant témoin-clé de l'affaire Dupont, qui avait été présenté dans un reportage de l'émission Enquête, de Radio-Canada, en février dernier.
Il appert que le reporter a été manipulé par ce témoin à qui on a
accordé du temps d'antenne, et qui a ensuite admis aux détectives avoir
dit des faussetés à la télévision.
Cet homme, Jean-Pierre Corbin, un ancien tenancier de bar de la région indiquait avoir reçu les confidences d'un ami. Ce dernier affirmait avoir entraîné M. Dupont dans un piège, l'avoir séquestré pendant quelques jours dans un chalet de la municipalité de Champlain, avant qu'il ne soit tué lors d'une escarmouche.
Une autre réalité
Le journaliste Pierre Marceau et la caméra d'Enquête avaient même accompagné M. Corbin sur les lieux de ce chalet qui, depuis, avait été emporté par les eaux de la rivière, disait-il.
Mais l'enquête policière montre une tout autre réalité.
Sa version «ne tient pas la route du tout», a indiqué hier le lieutenant Michel Brunet, de la SQ. Celui-ci qualifie même de «loufoques» les prétentions de M. Corbin.
L'enquête de la police a en effet permis de démontrer que le propriétaire du chalet avait lui-même démoli la maison en 1960 ou 1961... soit au moins huit ans avant la mort de M. Dupont.
Confronté à ces faits accablants, M. Corbin a admis avoir dit des choses fausses, à l'émission Enquête, question de se rendre plus intéressant.
Selon le policier Brunet, la SQ a «eu une certaine facilité» à rejoindre la famille des anciens propriétaires du chalet. Selon lui, il aurait été «souhaitable» que le travail du reporter de l'émission Enquête ait été fait de façon plus impeccable.
Normes respectées
Mise devant ces faits, Radio-Canada a maintenu, hier, que leur travail avait été bien fait.
«L'objectif du reportage était de soulever des questions légitimes et toutes les vérifications nécessaires ont été faites», a dit le porte-parole de la SRC Marc Pichette.
«Le reportage a été réalisé dans le respect des normes et pratiques journalistiques de Radio-Canada.»
Joint hier par le Journal, Jean-Pierre Corbin nie avoir dit des faussetés à la SQ et prétend que la police se trompe de chalet.
Malgré qu'une quatrième étude prouve que Louis-Georges Dupont s'est enlevé la vie le 5 novembre 1969, un de ses fils, Robert, ne démord pas: son père a été victime d'un assassinat.
Contacté par le Journal quelques heures après qu'il eut été mis au courant des résultats de l'enquête, Robert Dupont ne cache pas sa frustration.
«Des incohérences dans ce dossier, il y en a à la tonne depuis le début», clame-t-il.
Selon M. Dupont, la SQ ne fait qu'endosser «ces faussetés» dans son rapport.
Photo falsifiée
Robert Dupont fulmine depuis qu'il a appris que la police pense que la photo montrant le passage d'un second projectile a été altérée.
M. Dupont se défend bien d'en être responsable.
«S'ils pensent que j'ai fabriqué des fausses preuves pour faire rouvrir l'enquête, qu'ils me poursuivent, lance-t-il. Ça va me faire plaisir d'aller défendre ça devant la justice», s'exclame-t-il.
Malgré que la SQ stipule qu'aucun trou n'est visible sur le manteau de Louis-Georges Dupont, son fils prétend avec conviction le contraire.
«Je l'ai vu le trou. Son manteau était installé sur un cintre à la maison et j'ai constaté qu'il y avait un trou. En tout, on est six à l'avoir vu», martèle-t-il.
Justice
Après une saga de 42 ans, Robert Dupont refuse une fois de plus de se plier à cette nouvelle conclusion du suicide.
«Je n'accepte pas de vivre dans l'injustice et le mensonge. Ça ne fonctionne pas», lance-t-il.
«S'il n'y avait qu'une ou deux affaires qui ne fonctionnaient pas dans ce dossier, je n'en ferais pas un cas. Mais depuis le début, il y a une multitude d'éléments pertinents qui n'ont pas été pris en considération. C'est déplorable», ajoute-t-il.
Si au début de leur croisade les Dupont souhaitaient toucher une pension de la ville pour leur mère, Robert Dupont assure aujourd'hui que c'est uniquement pour que justice soit enfin rendue que lui et son frère mènent cette bataille depuis tant d'années.
REF.:
|
||
L'enquête policière de la SQ déboulonne aussi toute la version d'un soi-disant témoin-clé de l'affaire Dupont, qui avait été présenté dans un reportage de l'émission Enquête, de Radio-Canada, en février dernier.
À lire également: La mort était un suicide |
Cet homme, Jean-Pierre Corbin, un ancien tenancier de bar de la région indiquait avoir reçu les confidences d'un ami. Ce dernier affirmait avoir entraîné M. Dupont dans un piège, l'avoir séquestré pendant quelques jours dans un chalet de la municipalité de Champlain, avant qu'il ne soit tué lors d'une escarmouche.
Une autre réalité
Le journaliste Pierre Marceau et la caméra d'Enquête avaient même accompagné M. Corbin sur les lieux de ce chalet qui, depuis, avait été emporté par les eaux de la rivière, disait-il.
Mais l'enquête policière montre une tout autre réalité.
Sa version «ne tient pas la route du tout», a indiqué hier le lieutenant Michel Brunet, de la SQ. Celui-ci qualifie même de «loufoques» les prétentions de M. Corbin.
L'enquête de la police a en effet permis de démontrer que le propriétaire du chalet avait lui-même démoli la maison en 1960 ou 1961... soit au moins huit ans avant la mort de M. Dupont.
Confronté à ces faits accablants, M. Corbin a admis avoir dit des choses fausses, à l'émission Enquête, question de se rendre plus intéressant.
Selon le policier Brunet, la SQ a «eu une certaine facilité» à rejoindre la famille des anciens propriétaires du chalet. Selon lui, il aurait été «souhaitable» que le travail du reporter de l'émission Enquête ait été fait de façon plus impeccable.
Normes respectées
Mise devant ces faits, Radio-Canada a maintenu, hier, que leur travail avait été bien fait.
«L'objectif du reportage était de soulever des questions légitimes et toutes les vérifications nécessaires ont été faites», a dit le porte-parole de la SRC Marc Pichette.
«Le reportage a été réalisé dans le respect des normes et pratiques journalistiques de Radio-Canada.»
Joint hier par le Journal, Jean-Pierre Corbin nie avoir dit des faussetés à la SQ et prétend que la police se trompe de chalet.
Des faussetés à la tonne
«La SQ camoufle les erreurs du passé. La police qui défend la police, on peut difficilement parler d'intégrité.»Malgré qu'une quatrième étude prouve que Louis-Georges Dupont s'est enlevé la vie le 5 novembre 1969, un de ses fils, Robert, ne démord pas: son père a été victime d'un assassinat.
Contacté par le Journal quelques heures après qu'il eut été mis au courant des résultats de l'enquête, Robert Dupont ne cache pas sa frustration.
«Des incohérences dans ce dossier, il y en a à la tonne depuis le début», clame-t-il.
Selon M. Dupont, la SQ ne fait qu'endosser «ces faussetés» dans son rapport.
Photo falsifiée
Robert Dupont fulmine depuis qu'il a appris que la police pense que la photo montrant le passage d'un second projectile a été altérée.
M. Dupont se défend bien d'en être responsable.
«S'ils pensent que j'ai fabriqué des fausses preuves pour faire rouvrir l'enquête, qu'ils me poursuivent, lance-t-il. Ça va me faire plaisir d'aller défendre ça devant la justice», s'exclame-t-il.
Malgré que la SQ stipule qu'aucun trou n'est visible sur le manteau de Louis-Georges Dupont, son fils prétend avec conviction le contraire.
«Je l'ai vu le trou. Son manteau était installé sur un cintre à la maison et j'ai constaté qu'il y avait un trou. En tout, on est six à l'avoir vu», martèle-t-il.
Justice
Après une saga de 42 ans, Robert Dupont refuse une fois de plus de se plier à cette nouvelle conclusion du suicide.
«Je n'accepte pas de vivre dans l'injustice et le mensonge. Ça ne fonctionne pas», lance-t-il.
«S'il n'y avait qu'une ou deux affaires qui ne fonctionnaient pas dans ce dossier, je n'en ferais pas un cas. Mais depuis le début, il y a une multitude d'éléments pertinents qui n'ont pas été pris en considération. C'est déplorable», ajoute-t-il.
Si au début de leur croisade les Dupont souhaitaient toucher une pension de la ville pour leur mère, Robert Dupont assure aujourd'hui que c'est uniquement pour que justice soit enfin rendue que lui et son frère mènent cette bataille depuis tant d'années.
REF.:
Madame Blancheville est passée a la SQ dernièrement
|
||
Un policier de la SQ blanchi
SEPT-ILES - Alcide Chicoine, un policier de la SQ accusé d'acquisition d'armes, a été complètement blanchi de toutes accusations, lundi, au palais de justice de Sept-Îles. Le policier, qui cumule 34 ans d’expérience, était accusé de fraude, de vol, de fabrication de faux documents et d'utilisation frauduleuse d'ordinateurs. Il avait tenté d'acquérir deux armes à feu que des citoyens avaient apportées à la SQ pour destruction.L'officier de 63 ans, qui détenait des responsabilités importantes au poste de la Sûreté du Québec de Sept-Îles, avait amené chez lui une arme à feu qu'un citoyen avait confiée à la SQ.
Le juge Marc Vanasse a clairement affirmé que les actes du policier, qui ne peuvent être associés à une faute professionnelle ou déontologique, ne constituent pas un acte criminel.
Le juge a ajouté que M. Chicoine n'a pas tenté de camoufler ses actes, qu'il n'y avait pas d'intentions criminelles et que personne n'a subi de préjudice.
Plusieurs témoins, dont l'accusé, avaient affirmé que l'acquisition d'armes par des policiers était pratique courante depuis des décennies à Sept-Îles.
« Ça se faisait dans le temps à la Sûreté municipale de Sept-Îles, a indiqué M. Chicoine. Lorsqu'on a joint les rangs de la Sûreté du Québec, on a suivi cette façon de faire. »
Aujourd'hui, il admet que cette procédure n'est probablement pas adéquate. « J'ai appris », a-t-il admis. « Ce que je peux dire, c'est que l'organisation de la Sûreté du Québec a voulu démontrer sa transparence dans le dossier, moi aussi. Aujourd'hui, avec le jugement de la cour favorable, je suis très satisfait. Je n'ai aucun doute de mon honnêteté », a ajouté M. Chicoine.
Alcide Chicoine fait toujours l'objet d'une enquête de la direction des affaires internes de la Sûreté du Québec.
REF.:
Des cybermilitants s'attaquent aux pédophiles
|
||
Anonymous, un groupe de cybermilitants, a annoncé le mois dernier qu’il avait fait «planter» des sites de pornographie juvénile et dénigré ceux qui avaient fréquenté ces sites.
La semaine dernière, le groupe Anonymous a diffusé les adresses IP de près de 200 visiteurs de sites de pornographie juvénile en utilisant des renseignements récoltés sur les sites que le groupe avait fermés. Une adresse IP est la combinaison unique utilisée par chaque appareil qui se branche à internet.
Selon le site msnbc.com, ces cybermilitants ont relevé les adresses IP des visiteurs de sites de pornographie infantile en leur offrant de télécharger une fausse mise à jour du logiciel Tor, qui peut servir à cacher l’identité d’un utilisateur.
Cette fausse mise à jour redirigeait les internautes vers un serveur contrôlé par Anonymus qui enregistrait les adresses IP entrantes et leurs destinations.
Les cybermilitants ont ensuite envoyé un message aux visiteurs de sites pornos qu’ils avaient démasqués: «À vous pédophiles, à la lumière des preuves que nous, Anonymus, avons récoltées, vous n’avez plus besoin de fouiller sur internet, d’accord? Nous avons mis la main sur vos adresses IP, malgré le "mythe de l’anonymat" du logiciel Tor. Nous avons piraté vos sites préférés.»
«Si vous utilisez des noms d’emprunt pour vos activités perverses, sachez qu’en prison, on vous en donne de différents.»
REF.:
S'abonner à :
Messages (Atom)