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mercredi 28 septembre 2011

La justice de l'enfer est a l'endroit ?


Affaire Claude Robinson - Cinar refuse de payer
Claude Robinson 
©Eric Bolte/Agence QMI
Affaire Claude Robinson

Cinar refuse de payer

MONTRÉAL – La compagnie de production Cinar a demandé vendredi à la Cour d’appel du Québec la suspension de l’application de son jugement rendu dans l’affaire Claude Robinson, a rapporté Radio-Canada.
Dans un jugement rendu le 20 juillet dernier, la Cour d’appel avait ordonné à Cinar et ses associés de verser 2,7 millions $ plus les intérêts au créateur Claude Robinson pour le plagiat de son œuvre «Robinson Curiosité» en 1995.
Claude Robinson s’est montré très déçu de ce jugement de la Cour d’appel qui ne lui accordait pratiquement que la moitié des dédommagements que lui avait attribués la Cour supérieure en 2009.
«On dit que pendant 16 ans j'ai eu raison de poursuivre, avait-il déclaré à la suite du jugement de la Cour d’appel. J'ai dit la vérité. On confirme que c'est un plagiat et là on me punit. Je ne comprends pas.»
Estimant que cette somme réduite ne lui permettrait même pas de rembourser ses avocats, il a décidé de poursuivre sa bataille en Cour suprême du Canada.
Cinar craint toutefois qu’en versant maintenant le montant dû, elle ne puisse pas le récupérer si jamais la Cour suprême casse le jugement de la Cour d’appel.


Coopération: La solution,............La Coopérative Convivio

La Commission scolaire de la Capitale vient de conclure une entente avec une entreprise commerciale de Québec pour former une quarantaine d'élèves dans le programme de Certificat de formation à un métier semispécialisé (CFMSS).
À lire:
Il n'est pas nécessaire de réussir pour être diplômé
La Coopérative Convivio possède deux supermarchés IGA dans le secteur de Loretteville et s'apprête à en ouvrir un troisième à Val-Bélair. L'entreprise a un besoin pressant de maind'oeuvre dans 10 métiers d'alimentation.
Un premier groupe d'élèves débutera sa formation le 3 octobre et le second sera formé l'hiver prochain. Les élèves pourront, au terme de leur formation, recevoir le CFMSS du ministère de l'Éducation.
«Ces diplômes existent au ministère de l'Éducation sauf qu'ils ne sont pas exploités», signale Karen Daigle, directrice des ressources humaines chez Convivio.
Diplômer autrement
Pour accéder à ce programme, les candidats doivent être âgés de 15 ans, avoir suivi 200 heures de cours en français, 150 heures en mathématiques et 100 heures en anglais de 1re ou 2e secondaire, sans nécessairement avoir réussi ces cours.
«On donne une possibilité à une clientèle qui ne se plaît pas sur les bancs de l'école de se qualifier d'une façon différente. La formation est plus pratique, mais ça mène à un papier officiel du ministère de l'Éducation», explique Guylaine Boisvert, conseillère pédagogique au Centre d'éducation des adultes Saint-Louis, à la Commission scolaire de la Capitale.
Les élèves-employés recevront une formation pratique de 550 heures réparties sur six semaines dans les locaux et sur le plancher d'un supermarché Convivio et seront rémunérés au salaire minimum. Ils pourront choisir un métier semi-spécialisé d'alimentation, soit en boucherie, poissonnerie, charcuterie, fruits et légumes, service à la clientèle, etc.
Karen Daigle reconnaît qu'il s'agit là d'un moyen de recruter du personnel. Convivio emploie 300 personnes à ses deux magasins situés à Loretteville. L'entreprise aura besoin de 140 nouveaux employés à l'ouverture de son troisième magasin prévu pour la mi-novembre.


éviter de «faire du lynchage sur la place publique"



Ville de Québec - La ligne-dénonciation bientôt en service
Le maire de la ville de Québec, Régis Labeaume, dit innover avec son projet de ligne-dénonciation. 
©STEVENS LEBLANC/AGENCE QMI

Ville de Québec

La ligne-dénonciation bientôt en service

QUÉBEC — Le maire Régis Labeaume entend annoncer d’ici quelques semaines la mise en service d’une ligne-dénonciation à la Ville de Québec.
Le service permettra aux citoyens de dénoncer toute situation d’abus de la part d’un employé de la Ville, qu’il soit cadre, pompier, policier ou aux travaux publics.
«Je pense qu’on va innover pour tout le Québec», a déclaré le maire Régis Labeaume à propos de ce nouvel outil, qui sera géré par le vérificateur général de la Ville de Québec.
L’idée s’inscrit dans la foulée des mesures de bonne conduite adoptées en 2009, lesquelles sont applicables à tous les employés de la municipalité. «C’est un esprit qu’on veut créer à la Vill », a indiqué le maire Labeaume.
Son attaché de presse, Paul-Christian Nolin, a expliqué que la ligne-dénonciation devrait permettre d’éviter de «faire du lynchage sur la place publique».


mercredi 21 septembre 2011

Dunkin' Donuts aurait fait des offres a : Mario Plante et Jean-François Pelletier





Purge à la police de Montréal - Deux officiers supérieurs se font indiquer la sortie
 


Deux assistants directeurs, proches de l’ancien chef de police Yvan Delorme, se sont fait montrer la porte la semaine dernière, a appris le Journal. Lors du récent départ à la retraite d’un collègue, Mario Plante et Jean-François Pelletier auraient tenu des propos jugés déloyaux qui ont été la « goutte qui a fait déborder le vase» pour le directeur, Marc Parent.
Selon nos informations, les deux hommes ont encensé Jean-Guy Gagnon lors d’une cérémonie soulignant son départ à la retraite, le 6 septembre, au quartier général du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), tellement que cela a été perçu comme un manque de loyauté.
La semaine dernière, le directeur adjoint, Pierre Brochet, a fait venir les deux hommes dans son bureau, en présence du directeur du capital humain de la Ville de Montréal, Jean-Yves Hinse, avant de les inviter à partir, nous a-t-on dit.
Le chef Marc Parent devait rencontrer tous ses cadres le jour même, mais la rencontre a été annulée et reportée à jeudi.
Officiellement, les deux hommes sont toujours au service du SPVM, mais «leur affectation est à redéfinir», nous a confié une source.
Dans les faits, il serait surprenant que les deux officiers réintègrent leurs fonctions. On croit plutôt qu’ils vont quitter le service à la suite de négociations.
À la direction du SPVM, on a refusé de commenter ce que l’on qualifie de «régie interne».
Situation intolérable
Mario Plante et Jean-François Pelletier étaient membres du comité de direction.
Or, des sources nous ont dit que les membres du comité étaient constamment à couteaux tirés et que les réunions étaient infernales. « Les propos tenus lors de la cérémonie ont été la goutte qui a fait déborder le vase », nous a-t-on indiqué.
Mario Plante avait appuyé Jean-Guy Gagnon dans la course à la direction du SPVM, remportée par Marc Parent en 2010.
Jean-François Pelletier, pour sa part, est l’ancien bras droit de M. Gagnon à la Direction des opérations. MM. Plante et Pelletier sont également proches de l’ancien chef de la police, Yvan Delorme.
À la suite de son arrivée à la tête du SPVM, il y a un an, Marc Parent avait  «éloigné» MM. Plante et Pelletier du quartier général en les mutant respectivement à la tête des régions nord et ouest.
Un ménage?
Jean-Guy Gagnon, également proche d’Yvan Delorme, a quitté le SPVM il y a quelques semaines pour devenir conseiller spécial aux enquêtes à la Commission de la construction du Québec.
Le directeur Marc Parent vient de nommer à la tête des enquêtes spécialisées, à la Place Versailles, un ami et ex-chef de la police de Longueuil, Marc Saint-Laurent.
Ce dernier avait quitté le SPVM et pris sa retraite après avoir été battu par Yvan Delorme lors de la course à la direction de 2005. Il occupe le poste de directeur adjoint et a signé un contrat avec le SPVM.
Il a remplacé l’assistant directeur Jacques Robinette, muté au quartier général du SPVM.
Au cours de la dernière année et demie, au moins trois commandants des enquêtes spécialisées ont été affectés à d’autres tâches en raison d’enquêtes dont ils font l’objet.


une nouvelle chaîne de bonté est initiée ,.......Donnez au suivant



Malak
mercredi 21 septembre
Une jeune étudiante du secondaire, atteinte de la maladie de Hodgkin, subit des traitements de chimiothérapie qui lui font perdre ses cheveux. Cette situation l’amène à refuser d’assister à son bal de finissants. Les étudiants de son école décident de se mobiliser pour amasser de l'argent afin qu'elle puisse s'acheter une prothèse capillaire. L’équipe de Donnez au suivant a voulu mettre en lumière ce geste de solidarité des étudiants de l'école Calixa-Lavallée, à Montréal-Nord, parce qu’elle est souvent victime d'une mauvaise presse. Aussi, l'équipe a fait en sorte que ce bal de finissants soit magique pour tout le monde.
 
 
 
Synopsis de l’émission
UNE ÉMISSION QUI FAIT DU BIEN!

Le Réseau TVA est fier de diffuser, à compter de l’automne prochain, quatre émissions de la sérieDonnez au suivant. Chantal Lacroix, sensible et passionnée animent ces émissions remplies d’émotions.

Concept télévisuel unique et innovateur, Donnez au suivant est une série de quatre émissions au cours desquelles Chantal Lacroix tente, lors de rencontres marquantes, de démarrer des chaînes de bonté à travers le Québec afin d’améliorer le monde dans lequel nous vivons. De quelle façon? En venant en aide à des personnes que l’animatrice aura choisies et qui devront par la suite tendre la main à d’autres.

Chaque émission est complète et unique parce que chaque fois, une nouvelle chaîne de bonté est initiée et nous permet de découvrir l’univers de deux Québécois. Ensemble, nous partageons leur quotidien, nous écoutons leur histoire, pour mieux comprendre les raisons qui ont amené Chantal à les choisir, à leur donner un coup de main!

À l’émission Donnez au suivant, on espère améliorer la qualité de vie des Québécois, embellir le monde dans lequel nous vivons. L’objectif vise aussi à nous faire découvrir que des gens d’ici ont un vécu qui mérite d’être raconté, écouté et partagé. Jusqu’où peut aller la générosité des Québécois les uns envers les autres? C’est ce que nous allons découvrir au cours des quatre émissions de Donnez au suivant l’automne prochain.


mardi 20 septembre 2011

80 % des prêtres et religieuses ont eu des écarts de conduite par rapport à leur voeu de chasteté.


Religion - La chasteté est un mythe
«Ce livre peut choquer, mais il n’a pas été écrit dans ce but. Il a été mis en œuvre pour démontrer l’inacceptable», affirme la religieuse et sexologue Marie-Paul Ross. 
© Jean-CLaude Tremblay / Agence QMI


QUÉBEC | Le mouton noir des soeurs Missionnaires de l'Immaculée-Conception, la religieuse et sexologue Marie-Paul Ross, y va de révélations-chocs dans son livre à paraître le 22 septembre prochain. Selon elle, plus de 80 % des prêtres et religieuses ont eu des écarts de conduite par rapport à leur voeu de chasteté.
À lire:
Quand le «Faites attention» ne suffit plus
Dans le livre Je voudrais vous parler d'amour... et de sexe, l'auteur Marie-Paul Ross s'attaque à des tabous comme la sexualité des prêtres.
"À force de pratiquer la politique de l'autruche, certains chefs ecclésiastiques vacillent sur leur piédestal. Un grand nombre de leurs membres naviguent entre leur engagement et leur difficulté à orienter adéquatement leurs pulsions sexuelles", écrit-elle dans l'ouvrage à paraître jeudi aux éditions Michel Lafon.
En entrevue au Journal, la religieuse de 64 ans affirme que ce constat est le reflet d'observations faites sur le terrain au cours de ses nombreuses années de clinicienne.
"Tout est caché. C'est ça le problème!" dit-elle.
La religieuse est reconnue pour ne pas avoir la langue dans sa poche. Dans une société en perte de valeurs, on pourrait penser que l'Église échappe aux pratiques d'une société d'hyperconsommation sexuelle, ce qui est totalement faux, selon elle.
Prêtres pédophiles
Dans son ouvrage, Marie-Paul Ross condamne les prêtres pédophiles et invite les victimes à les dénoncer.
"Le plus insupportable est de voir que l'autorité ecclésiale, au lieu de porter secours aux victimes de ces prêtres et à ces derniers, se contente de présenter de simples excuses", exprime-t-elle.
Beaucoup de prêtres souffrent parce qu'ils sont incapables de vivre leur célibat, ajoute la soeur.
"Il serait avantageux de faire le ménage dans sa propre maison avant de s'ingérer dans celle du voisin."
Contrairement à ce que plusieurs laïcs pensent, permettre le mariage des prêtres n'est pas la solution.
"Un prêtre pédophile fera un mauvais mari et un piètre père de famille. Pour une raison simple: il est un malade dangereux que l'on doit soigner!"
Des religieuses violées
L'auteur relate également des épisodes où elle a été témoin d'échanges de baisers et de caresses entre des religieuses et des prêtres. Pendant une retraite fermée, elle affirme avoir vu des soeurs sortir du bureau du prédicateur en vêtement de nuit à 6 heures du matin.
Pis encore, Mme Ross a recueilli les confidences de religieuses, à Québec, violées par des prêtres au cours de rituels sectaires où elles étaient placées nues sur un autel avant d'être livrées toute une soirée au bon plaisir de l'assistance masculine.
Si l'auteur lève le voile sur ces pratiques scandaleuses, c'est dans l'unique but de faire rayonner la vérité. Pour ne pas l'oublier, le silence est l'arme privilégiée du crime sexuel.
* * *
Extraits du livre Je voudrais vous parler d'amour... et de sexe
"Quant au directeur de conscience, il a le beau rôle. Comme il n'a pas la formation professionnelle du psy pour entendre des aveux aussi personnels, la confession le transforme en voyeur, ce qui a pour conséquence de l'exciter sexuellement"
"Dans une institution religieuse, personne n'est à l'abri: il s'en est fallu de peu pour que je tombe, pour ma part, dans le piège d'un exégète pervers..."







REF.:

Enfin ;-)


Menaces envers Jean Charest


QUÉBEC - Un individu de 50 ans a été arrêté mardi pour avoir proféré des propos menaçants à l'endroit du premier ministre Jean Charest.
Les menaces ont été recueillies et enregistrées par un journaliste du FM93, une station de radio de Québec. La Sûreté du Québec a mené l'enquête et l'homme a été arrêté à son domicile de Richelieu, près de Chambly. Il a été transporté en direction de Québec pour sa comparution prévue mercredi.
Des événements semblables se sont produits à quelques reprises au cours des dernières années.
En 2009, un homme de 64 ans originaire de la région de Montréal, Peter Hall, a comparu au palais de justice de Québec afin d'être accusé d'avoir proféré des menaces de mort ou de causer des lésions corporelles au premier ministre du Québec.
Jean Charest aurait aussi été victime de menaces de mort lors de la campagne électorale de 2007. Un ancien agent de la GRC, Normand Sauvé, 57 ans, aurait proféré des menaces à l'endroit du premier ministre à Trois-Rivières. Normand Sauvé a reçu une peine de 12 mois d'emprisonnement ferme.
En décembre 2003, André Lampron, 42 ans, a été arrêté après avoir menacé le premier ministre et une des réceptionnistes de son cabinet au téléphone. L'homme de Victoriaville a bénéficié d'un sursis.
En octobre 2003, Yves Gauthier, un résidant de Saint-Ulric, près de Matane, se faisait imposer une peine de neuf mois dans la collectivité pour avoir proféré des menaces de mort à M. Charest dans un courriel.