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mercredi 16 février 2011

Pont Champlain sécuritaire selon le Ouèrenement et le minustre du transport

Près du pont Champlain

Un bloc de béton fracasse le pare-brise d’un automobiliste




Près du pont Champlain - Un bloc de béton fracasse le pare-brise d’un automobiliste
La dalle de béton, d'une quarantaine de centimètres de long, se serait détachée d'un viaduc.
© Agence QMI / Mon Topo





MONTRÉAL- Un bloc de béton a fracassé le pare-brise du véhicule d’un jeune conducteur, lundi midi, alors qu’il circulait sur la route 132 en direction ouest sur la Rive-Sud de Montréal, a appris TVA Nouvelles.

L'incident s'est produit en fin de matinée, au moment où Ghislain Laplante, un étudiant de 25 ans revenant de l’université, passait sous la bretelle de l'échangeur du pont Champlain pour la route 132, en direction de La Prairie.

«Je n'ai rien vu. Ça a frappé soudainement», a raconté M. Laplante lors d'un entretien téléphonique.

Le bloc de béton, qui faisait environ 40 cm de longueur par 10 cm de largeur selon l’automobiliste, a fracassé le pare-brise de sa Honda Accord 2001, arrachant le rétroviseur au passage, pour atterrir sur le siège passager, heureusement vide.

«C'est sûr et certain que cette personne-là n'aurait pas survécu à ça», a avancé le jeune homme. «Le bloc semble s'être séparé en deux parce qu'il y a seulement une moitié qui s'est écrasée sur le siège du côté passager», a dit le résidant de Saint-Constant. «Mais dans le fond, je n'ai pas été blessé, alors je n'ai pas de raison de paniquer», a-t-il ajouté.

Il a reçu des éclats de verre dans le visage et dans la bouche lors de l'impact, mais a malgré tout réussi à garder le contrôle de son véhicule.

Cause inconnue

Quelques instants après sa mésaventure, Ghislain Laplante a garé sa voiture sur le bord de la route et a téléphoné à la Sûreté du Québec, qui a informé les responsables du ministère des Transports du Québec (MTQ).

«Un premier patrouilleur a immédiatement été dépêché sur les lieux pour évaluer la situation, a expliqué Ginette Gagnon, porte-parole du MTQ. À la suite de son rapport, une équipe a été envoyée sur place pour sécuriser les lieux.»

Selon Mme Gagnon, les ouvriers devaient «procéder à l'enlèvement des fragments de béton qui pourraient se détacher, sous la supervision d'experts».

À cause de l'intervention d'urgence, deux voies de circulation sur trois de la route 132 en direction de La Prairie ont dû être fermées en pleine heure de pointe.

En début de soirée, le MTQ n'était pas en mesure d’expliquer la cause de ce troublant incident.

REF.:

Danseuse nue a la Police Académie de Magogue




Magog

Nue et menottée pendant des heures au poste de police


MAGOG – Arrêtée après une querelle de couple qui a dégénéré dans une chambre de motel le 7 septembre 2004, puis transportée au poste de police de Magog, une femme a passé quatre heures nue et menottée au barreau de sa cellule.

Nathalie (prénom fictif) grelotte dans sa cellule, elle réclame en vain une couverture afin de se réchauffer, mais les policiers ignorent sa demande.

Après de longues minutes d'attente, la femme de 33 ans simule une pendaison à l'aide de son soutien-gorge. Rapidement, trois policiers du poste de Magog, deux hommes et une femme, se ruent sur elle et la déshabillent. La détenue se débat, mais les agents lui enlèvent ses vêtements et ses sous-vêtements.

Complètement nue, Nathalie est menottée à un barreau de sa cellule. Elle passera quatre longues heures dans cette position inconfortable et humiliante.

Six ans et demi plus tard, en voyant à TVA Nouvelles la vidéo d'une autre femme déshabillée par les policiers de Sherbrooke, Nathalie décide de contacter l'avocat Alain Arsenault.

Me Arsenault, qui n’a pas pu la représenter puisque trop de temps est passé et que la cause est prescrite depuis 2007 a expliqué qu’elle garde des séquelles de ce qui est arrivé.

«Elle ressent aujourd'hui une immense honte de s'être retrouvée nue dans un poste de police durant quatre heures. C'est une atteinte à sa dignité épouvantable», a-t-il affirmé.

Il s’est demandé pourquoi un tel traitement avait été infligé à Nathalie. «C'est quoi l'idée d'humilier pendant quatre heures quelqu'un? Tous les policiers, les hommes [du poste de police] pouvaient passer, regarder la caméra vidéo et la voir complètement nue. C'est quoi l'idée? Ça leur donne quoi?»

L'avocat spécialisé en brutalité policière a estimé qu'il y aurait eu matière à engager des poursuites et une plainte en déontologie.

Un peu plus de quatre heures après s'être fait déshabiller de force en cellule, Nathalie s'est vue remettre ses vêtements. Elle a par la suite pu quitter le poste de police sous promesse de comparaître à une date ultérieure.

La tentative de suicide ne semblait plus préoccupante aux yeux des policiers.

«S'ils croyaient vraiment que c'était sérieux sa tentative de se pendre, pourquoi les policiers l'ont libérée le lendemain matin à 8 heures, après quatre heures de cellule à nu en disant: “Allez-vous-en chez vous”», a dit Alain Arsenault.

Nathalie a reçu la cassette vidéo de sa détention dans le cadre de son procès. Elle a été acquittée des accusations d'entrave à la justice et de voie de fait qui pesaient contre elle, mais elle a été reconnue coupable d'avoir troublé la paix publique. Elle s'en est toutefois tirée avec une absolution inconditionnelle donc sans casier judiciaire.

REF.:

Le Comité de déontologie policière coupe la poire en deux et pousse l'ananas



Policier de Saint-Eustache

Suspendu cinq jours sans salaire pour un «malentendu»




Un policier de Saint-Eustache devra purger une suspension de cinq jours sans salaire après avoir arrêté avec «abus de force» une mère qui s’était stationnée dans un endroit interdit pendant quelques minutes alors qu’elle venait cueillir son fils après l’école.

Les faits remontent au 21 octobre 2008. Isabelle Cadieux attendait son fils à l’école Arc-en-ciel lorsqu’un parent l’a informé qu’un policier était en train de lui donner une contravention puisqu’elle était stationnée dans un espace interdit.

Le policier, Sean Valenta, lui a demandé de déplacer sa voiture. Avant même qu’elle ait le temps de s’exécuter, l’agent s’est dirigé vers elle. «Il a agrippé la plaignante par son manteau. Il a jeté le parapluie de celle-ci au sol et lui a appuyé le devant du corps contre un véhicule», peut-on lire dans la décision rendue.

Selon le jugement, il ne s’agissait que d’un «délit mineur» et il ne justifiait pas le traitement auquel elle a eu droit. Le comportement du policier est considéré comme «grave» et «son attitude disproportionnée».

De plus, «l’absence d’écoute du policier et son désir d’imposer la loi du plus fort constituent des facteurs aggravants».

Sanction

Puisque «la faute du policier est plus technique que volontairement abusive» et étant donné «l’absence d’antécédents» en matière déontologique du policier, le Comité de déontologie policière a décidé de couper la poire en deux et d’imposer une suspension d’une «durée mitoyenne» par rapport aux demandes des deux parties.

«À cet égard, une citoyenne qui expérimente une rencontre avec la force policière dans une mise en scène semblable vit le pire cauchemar», ajoute-t-on, dans la décision.

Pour ces raisons, une suspension de trois jours a été imposée à M. Valenta puisqu’il «ne s’est pas comporté de manière à préserver la confiance et la considération que requiert sa fonction».

Une autre suspension de deux jours à purger à la suite de la première a été imposée pour avoir recouru «à une force plus grande que celle nécessaire».

REF.:

lundi 14 février 2011

Cupidon est mort,vive Cupidon !



Attention a tous les Valentins et Valentines ;-)

Ce n'est pas le Cupidon de la mythologie romaine,le fils de Vénus, qui est le dieu de l'amour. Il présente la même origine et la même histoire que le dieu grec de l'amour Éros.Non................,c'est autre chose........

C'est comme mettre au monde son esprit!
Respirer une fleur dans un pays lointain
loin.....dans un rêve,.....pour ressentir
l'amour de ceux qu 'on aiment ,de ceux qui sont manquants,
ceux qui nous ont touchés au plus profond de notre coeur
C'est ça l'Amour ! C'est ça la Vie !
C'est dans ces petits gestes de la vie,
que nous possédons ce qui est le plus précieux
au fond de notre coeur ,............l'Amour !

Si vous voyez votre propre reflet,dans ce que je dis,
c'est que vous aurez compris !





Je ne veut surtout pas étaler mon Égo sur l'hotel
et le sacrifier pour le consumer ; parce que c'est la seul chose qui va vous guider
sur les chemins de la perdition !


Mais,vous devrez vous perdre et aller vous purifier dans ces flammes de l'enfer,
de ce monde ,de votre monde,pour enfin être animé de l'esprit !



Et si vous gaspillez le temps a constater,
que vous vous apercevez que votre corps ne représente plus votre beauté intérieur,
c'est que vous êtes prêt a vous laisser envahir par l'Esprit Saint,
dans votre vie !

Créer le bien autour de soi,
c'est se rendre compte qu'il est en nous !
Que l'Amour soit avec vous !
Pour des siècles et des siècles
Amen.
xXx
..............

dimanche 13 février 2011

Le «silence policier» qui règne Au SPVM,SQ,c'est l'Omerta !

Enquête Villanueva - Jean-Loup Lapointe sera-t-il accusé au criminel?
Depuis les faits, plusieurs manifestations ont eu lieu à Montréal.
©Agence QMI/Archives


Enquête Villanueva

Jean-Loup Lapointe sera-t-il accusé au criminel?


Le policier Jean-Loup Lapointe pourrait devoir répondre à des accusations de nature criminelle pour avoir abattu Fredy Villanueva, le 9 août 2008 à Montréal-Nord.

La famille du jeune Fredy Villanueva demandera en effet la réouverture du dossier du policier, alors que ce dernier avait été blanchi. En effet, le directeur des poursuites criminelles et pénales avait conclu en décembre 2008, soit quatre mois après la tragédie, que le policier Jean-Loup Lapointe n’avait commis aucune infraction criminelle. Le ministre de la Justice de l’époque, Jacques Dupuis, avait alors annoncé que le policier ne serait pas accusé.

Avec la poursuite mardi des plaidoiries dans l’enquête publique sur la mort du jeune homme, l’avocat de la famille, Me Alain Arsenault, a indiqué au coroner André Perreault que lui et ses collègues représentant les deux autres jeunes blessés se présenteront devant un juge de la Cour du Québec pour la tenue d’une préenquête.

Il s’agit d’une procédure exceptionnelle, assez rare, durant laquelle un juge doit déterminer s’il y a suffisamment de preuves contre un individu pour que celui-ci soit accusé au criminel.

Dernièrement, on a recouru à cette procédure afin de pouvoir accuser l’ancienne lieutenant-gouverneur du Québec, Lise Thibault, de même que l’ancien juge de la Cour d’appel, Jacques Delisle, soupçonné du meurtre de sa femme.

Le «danger» Lapointe

Me Arsenault a également insisté sur «le danger que représente Jean-Loup Lapointe» en continuant de travailler comme policier. «Je m’inquiète beaucoup. S’il n’arrive pas quelque chose à Jean-Loup Lapointe, il est à risque de récidiver», a-t-il dit.

Il a aussi déploré le «silence policier» qui règne selon lui au sein des différents corps de police, dont le SPVM et la Sûreté du Québec, et qui «fait en sorte que les gens ne dénoncent pas les déviants».

«Il s’est créé une situation d’assiégé chez les policiers. C’est un contre tous et l’ennemi, c’est Montréal-Nord», a-t-il ajouté.

Les plaidoiries se poursuivront vendredi au Palais de justice de Montréal.

REF.:


A Toronto les Policiers ont pas de couilles

Police de Toronto - Le pistolet Taser braqué sur les testicules
Le policier tentait d'obtenir de Robert Bolgan le nom d'un autre individu.
© Courtoisie

Police de Toronto

Le pistolet Taser braqué sur les testicules



TORONTO – Un policier de Toronto ayant braqué son pistolet à impulsion électrique Taser sur les parties génitales d'un suspect pour lui soutirer des informations a reconnu sa culpabilité pour menace de voie de fait.

Des images saisissantes de la scène qui s'est déroulée sur la banquette arrière d'une auto-patrouille en mai 2010, ont été captées par la caméra vidéo placée à l'intérieur du véhicule.

La tactique employée par le policier Christopher Hominuk a été qualifiée de «honteuse, inacceptable et scandaleuse» par un porte-parole de la police de Toronto.

«L’une des raisons qui justifient l'installation des caméras est la protection du public et des policiers», a expliqué Mark Pugash, de la police de Toronto.

Le policier de 37 ans tentait d'obtenir de Robert Bolgan, 47 ans, le nom d'un autre individu. Le suspect, menotté dans le dos, lui a répondu qu'il n'en savait rien.

C'est alors que le policier a placé son pistolet à impulsion électrique directement sur les testicules de Robert Bolgan.

«Si tu me mens, je vais te donner une décharge de mon Taser sur les testicules lorsqu'on sera de retour au poste», a lancé le policier au suspect.

Hominuk, qui a reconnu sa culpabilité lundi, connaîtra sa sentence en juin. Il est suspendu avec salaire depuis sa mise en accusation.

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Jean-Loup Lapointe doit être destitué, selon la CRAP

Affaire Villanueva - Jean-Loup Lapointe doit être destitué, selon la CRAP
Fredy Villanueva
©Archives

Parce que son attitude «représente un danger pour la population», l’agent Jean-Loup Lapointe, qui a abattu Fredy Villanueva, devrait être destitué du Service de police de la Ville de Montréal, estime la Coalition contre la répression et les abus policiers (CRAP).

C’est ce qu’a affirmé lundi le porte-parole de l’organisation, Alexandre Popovic, à l’occasion de l’ouverture des plaidoiries à l’enquête du coroner André Perreault sur la mort du jeune Villanueva, survenue le 9 août 2008 à Montréal-Nord.

Au terme de quelque 104 jours d’audience au cours desquels 45 témoins ont été entendus, les avocats et représentants des parties intéressées à l’enquête ont récemment déposé leurs mémoires dans lesquels ils exposent leur théorie sur les causes et circonstances du décès du jeune homme, de même que leurs recommandations pour assurer une meilleure protection de la vie humaine.

La faute d’un seul homme

S’exprimant en avant-midi, M. Popovic a littéralement tiré à boulets rouges sur le policier Lapointe, critiquant vertement son comportement tout au long de l’intervention fatidique au parc Henri-Bourassa.

Selon lui, les témoignages entendus tout au long de l’enquête démontrent clairement que l’agent est de nature agressive et impulsive, en plus d’avoir une «pensée paranoïaque» par rapport aux jeunes. Il s’agirait là d’un des facteurs expliquant que les événements du 9 août 2008 aient dégénéré au point où il y a eu mort d’homme.

«Il y a eu une escalade de force initiée par un seul individu: Jean-Loup Lapointe, a soutenu M. Popovic. Il a renoncé de façon très précoce à la communication […] Il a décidé de faire feu sur tous les corps qui sont devant lui. Son objectif, c’était de ne pas en rater un seul.» Rappelons qu’en plus de Fredy Villanueva, deux autres jeunes hommes, Denis Méas et Jeffrey Sagor Metellus, ont été blessés par les balles du policier.

«Il n’a pas sa place dans la police, a-t-il poursuivi. On a une crainte que ça arrive encore. Il patrouille toujours et a encore son arme sur lui.»

Pendant ce temps, Jean-Loup Lapointe et sa partenaire lors de l’incident, Stéphanie Pilotte, étaient assis tout au fond de la grande salle d’audience, entourés de plusieurs gardes du corps. C’était d’ailleurs la première fois qu’ils se présentaient à l’enquête depuis la fin de leurs témoignages respectifs.

«L’apologie de la peur»

Le représentant de la CRAP en a également profité pour faire connaître son désaccord face à l’une des recommandations du SPVM et de la Ville de Montréal, qui proposent de lancer une campagne de sensibilisation auprès des citoyens afin de leur faire connaître les dangers de s’interposer dans une intervention policière.

«Quel message veut-on envoyer? Qu’il faut avoir peur des policiers? On fait l’apologie de la peur, monsieur le coroner», a-t-il déploré.

Bien au contraire, M. Popovic croit qu’on devrait plutôt sensibiliser les gens au fait qu’ils ont le droit de filmer ou de photographier une intervention policières qu’ils estiment abusive ou inappropriée.

«Peut-être qu’ainsi, on n’aurait pas eu besoin de 104 jours d’audience», a-t-il indiqué. Les plaidoiries se poursuivent demain, au Palais de justice de Montréal.

REF.: