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vendredi 10 février 2012

L'Affaire Davidson: ce qu'ils on dit est vrai et sera jamais cautionné par le SPVM !

Supposons mettons: La police tend un piège a un policier ?

 Et il tombe dedans,.........et prend sa retraite ,...............mais...?

À vendre: une liste de 2000 informateurs ?


Un policier expérimenté au sein de l'unité des renseignements du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), qui a récemment pris sa retraite, fait l'objet d'une enquête depuis l'automne dernier pour avoir tenté de vendre des informations hautement confidentielles à la mafia sicilienne, a rapporté TVA Nouvelles hier.
Des informations hautement confidentielles, notamment des listes contenant le nom d'informateurs de police et d'agents-sources, sont gardées à la Place Versailles, au siège du SPVM.
Le policier aurait offert au crime organisé italien des renseignements qui figuraient sur ces listes hautement secrètes, plus spécifiquement à un membre important de la mafia sicilienne(qui aurait coulé l'information,........parce qui n'avait pas le choix ?..........ou parce qu'il ne voulait pas tomber dans ce prétendu piège,.........on ne vend pas,on donne et on s'en sert ,comme les Hells qui vol un portable qui contenait ,le/les noms de certaines taupes du SPVM ,dont Claude De Serres,il y a deux ans,qui était un agent-source ,un agent civil d'infiltration, un ACI,et qui fut liquider)
Radio-Canada a précisé, hier, qu'il aurait soumis quatre noms de sources à un contact du côté de la mafia pour montrer qu'il était sérieux et pour entamer des négociations. La société d'État a ajouté que «son stratagème aurait échoué».
Des sources ont affirmé à TVA Nouvelles que lorsque le policier, un sergent-détective, aurait eu accès à ces informations «sensibles», il était encore au service du SPVM. Toutefois, quand il aurait tenté de fournir les informations aux criminels, il avait déjà pris sa retraite.

Écoute électronique
Ces mêmes sources affirment que c'est une écoute électronique qui aurait permis de découvrir que la taupe présumée aurait offert des informations au crime organisé en échange de plusieurs centaines de milliers de dollars. C'est à la suite de cette écoute que l'enquête aurait été déclenchée.
Le policier était apparemment l'un des rares à avoir accès à la base de données. Le policier était même l'un des responsables de celle-ci parmi une petite équipe.
Cette liste pourrait contenir plus de 2000 noms d'individus qui fournissent de l'information aux policiers lors d'enquêtes, notamment sur le crime organisé.
Il y aurait deux façons de consulter ces documents, en version papier ou encore sur un support informatique.
«C'est toujours décevant de voir des choses comme celles-là qui se produisent. Mais, bien entendu, je peux vous assurer que nous prenons toutes ces informations et toutes ces allégations au sérieux», affirme Didier Deramond, du Service des enquêtes spécialisées du SPVM. «Ce n'est pas une question de faille de système informatique, loin de là. C'est une question personnelle, d'individu qui a porté certaines actions.»
Employé discret
Selon les informations obtenues par TVA Nouvelles, le policier est décrit comme un employé discret et de confiance. Il avait été embauché au SPVM en 1978 et il était affecté à la section des renseignements depuis 1992.
Pendant 20 ans, il a eu accès aux renseignements les plus confidentiels du service de police de la plus grande ville du Québec.
Les enquêteurs des crimes majeurs du SPVM n'ayant pas terminé leur enquête, il n'y a aucune accusation criminelle déposée contre lui.(donc il ne sera pas protégé et est exposé a un règlement de compte)
«Un effet épouvantable»
Richard Dupuis, ancien enquêteur au service des enquêtes criminelles du SPVM, a travaillé auprès de ce policier pendant trois ans. En entrevue à TVA Nouvelles, il se dit très surpris de ces allégations, croyant que cet individu était «au-dessus de tout soupçon».
«C'était une personne à son affaire, plutôt calme. Je suis très surpris de voir que la cupidité a pu l'amener à commettre un tel geste», dit M. Dupuis.
La divulgation de la liste comprenant le nom de tous les informateurs est un geste très grave, affirme M. Dupuis. «C'est la base du renseignement criminel. Lorsqu'on recrute un informateur, on lui garantit que son identité ne sera pas dévoilée. Là, on a tenté de vendre les informations, ça a un effet épouvantable.»
Il ajoute que le SPVM tentera de se dissocier des gestes de cet ex-policier. «On se souviendra, dans d'autres cas de policiers corrompus, qu'on a rapidement sorti ça de façon publique», ajoute M. Dupuis.
Le SPVM, la Fraternité des policiers de Montréal, la Fédération des policiers municipaux du Québec et le ministère de la Sécurité publique ont tous refusé d'accorder une entrevue au Journal à ce sujet. Le porte-parole du Parti québécois en matière de sécurité publique, Bertrand Saint-Arnaud, ne nous a pas rappelé, tandis que la porte-parole du deuxième groupe d'opposition, Sylvie Roy, n'était pas disponible pour commenter.


Le 18 janvier 2012, Ian Davidson( cet ex-policier,retraité,côtoyant la mafia),s'est suicidé(lui-même apparament ?),son corps a été retrouvé dans une chambre de l'hôtel Best Western Châteauneuf, en bordure de l'autoroute 15, à Laval.Le secret de toute cette histoire sera bien garder,ou comme dirait la mafia , coulé dans le ciment ,l'honneur est sauvé pour les deux camps ! Mais sa selon des informations obtenues par le journaliste Alain Gravel, sa conjointe et sa fille de 10 ans l'avaient accompagné au Best Western Châteauneuf de Laval pour tenter de le mettre en sécurité(elles en savent plus qu'on pensent). Elles ont toutes deux passé la nuit avec lui.Chose certaine, sa famille craignait suffisamment pour sa sécurité pour le mettre en toute hâte à l'abri dans une chambre d'hôtel.

 L'appât du gain reste le mobile soupçonné derrière cette tentative(on sait pas ? peut-être que noui? peut-être que non?) de monnayer une liste de plusieurs centaines d'informateurs. On croit que Davidson avait l'intention de vendre la liste au plus offrant, d'empocher le magot et de s'installer au Costa Rica, où il aurait des assises. Son frère Alexander J. Davidson y posséderait une luxueuse résidence.Selon des sources policières, plusieurs membres de la mafia montréalaise y auraient élu domicile.Pour le Costa Rica: On estime que 4,5 milliards $ sont perdus annuellement en évasion fiscale venant du crime et de la corruption. Concernant l'argent blanchi, on parle de 1,6 milliard $, l'équivalent de 20 % du produit intérieur brut (PIB) de l'économie du pays.

Mais en Octobre Davidson, n'a pu se rendre au Costa Rica avec un autre policier(Taupe du SPVM ? ou ami de Davidson ?),car on l'a intercepté a l'aéroport Trudeau!
Était-t'il payer pour la liste ou pour les noms divulgués ou laisser sur support informatique chez eux ,comme ceux trouvés dans sa jeep ou on a confisqué son ordinateur portable avec une liste de noms d'informateurs civils (la nuit de son suicide, a l'arme blanche)? Était-il a la recherche de contacts d'ex-informateurs ,déja rendu au Costa Rica,son Frère,......... ? Le Costa Rica était la récompense et l'asile
Selon Claude Poirier ,Davidson il aurait eut des entrés ou des contacts (de policiers mafieux) pour être en contact avec la mafia.Tout comme l'ex-président des USA , George W. Bush ,père, avait des contacts avec Ben Laden et sa famille.Tout le monde saient ça,car la CIA après avoir formé Ben Laden au terrorisme,il l'ont laissé a lui-même!Donc,quand sa sert plus a rien ,et plus aucune information sur l'ennemi vous reviens,on l'élimine.
Pour Davidson,si sa chambre d'Hotel fut réserver par une femme (et non lui) et qu'il a laisser une lettre a sa mort, a son Hotel,c'est qu'il se rendait la pour en finir,car plus personne ne voulaient dealer avec lui. Parce qu'abandonner par ceux avec qui il faisait affaire ? Ou que Davidson même s'il avait les entrés pour cotoyer le milieu de la mafia,ceux-ci (dont Tony Mucci par l'entremise de son avocat)n'ont pas accepter la liste d'informateurs(car c'est mieux une liste d'infiltrateurs),par peur du risque que ça représente.Tony Mucci ? (Celui qui avait tiré sur le journaliste Jean-Pierre Charbonneau)Et que Davidson ,ex-SPVM n'aurait jamais eut la chance de quitter le pays incognito.Il était un lien ,rien de moins.Le Costa Rica c'était du vent ,que laissait miroiter ces supposés amis.Et le commandant à la retraite, Richard Dupuis, lui a eu sous ses ordres Ian Davidson, Benoît Roberge et Philipe Paul, aurait dû se garder une petite gêne. Ce n'est pas parce que tu es nommé à la tête d'un groupe que tu es compétent.xLors de la diffusion de l'émission Policier criminel , ce commandant dit que Benoît Roberge lui a communiqué le renseignement qu'un tueur des Hells Angels revenait au Québec et que sa source d'information demandait d'attendre un peu avant de procéder à l'arrestation, afin de protéger sa propre vie,c'est bizarre.


Celui qui a aidé Ian Davidson à marchander la base de données contenant le nom de milliers d'informateurs confidentiels était encore plus proche qu'un ami.
C'était son fils, Christian.
C'est Christian, un travailleur de la construction dans la vingtaine, qui a approché le gang de Kurdes, par courriel. Il a également été enregistré discutant de cela avec son père par les policiers qui étaient à ses trousses, entre avril et octobre 2011.
C'est ce qui ressort d'informations recoupées par les différents journalistes de La Presse qui, cette semaine, ont travaillé sur cette affaire troublante et fascinante, celle d'un policier sans histoire qui, après 33 ans de carrière, décide de monnayer des données hypersensibles.
Rien n'indique, selon ce qu'on sait, que le fils ait eu accès au contenu de la base de données. Il aidait son père - qu'il présentait comme son «patron» - à marchander ces informations.
Et comme lui, Christian Davidson n'a jamais été accusé dans cette affaire.
Pourquoi?
Parce que monter le dossier d'accusation a représenté un véritable casse-tête pour les policiers et pour la Couronne après que Davidson eut été interpellé à l'aéroport de Montréal, en octobre.Plusieurs personnes s'étonnent aussi que ceux qui ont réussi à coincer M. Davidson ne l'aient pas mis aux arrêts immédiatement pour éviter toute nouvelle fuite de renseignements. Les règles de divulgation de la preuve sont telles que la Couronne aurait probablement dû remettre à la défense le matériel informatique récupéré, au prix d'efforts dignes d'un thriller, par les policiers affectés à l'enquête.Ian Davidson n'avait pas seulement tenté de remettre aux criminels la liste de noms d'informateurs, mais aussi une bonne partie du contenu des enquêtes en cours. Le discours officiel au SPVM n'en donnait pas toute l'envergure. Pour leurs révélations, les deux journalistes ont remporté le prix du meilleur scoop de l'année 2014 de l'Association canadienne des journalistes en juin dernier.

Certains diront que de stooler des collègues de travail corrumpu au SPVM ,ça revient par vous mettre dans l'embarras et de vous retrouver en policier corrompu  vous même,mais par des manigances inventées de toute pièce pour vous fermer la gueulle !
REF.:

1 commentaire:

A l'envers c'est a l'endroit ,.........vous vous en appercevrez a un moment donné !