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vendredi 25 novembre 2011

ti-Jacques c ki l'cave ? hein hein ???? Râteau de citronnelle!

La guerre est amorcée une nouvelle fois entre les marchands Américains et les marchands Canadiens dans l’industrie du pneu.
pneusLa guerre est amorcée une nouvelle fois entre les marchands Américains et les marchands Canadiens dans l’industrie du pneu. Le canal Argent a appris que les prix des pneus affichés chez nos voisins américains étaient nettement inférieurs aux prix payés chez nous. La différence est presque du simple au double selon Argent.
À titre d’exemple, voici un passage de l’article paru ce matin. « Ce consommateur, qui préfère demeurer anonyme, va payer ses quatre pneus Bridgstone, le modèle Blizzak WS70 225/65R17, 492 $ US à Plattsburgh dans l’État de New York. En argent canadien, la somme se chiffre à 510 $ alors que le prix est fixé aux environs de 1070 $ chez OK Pneus, un détaillant présent au Québec ».
Les raisons sont multiples, mais simples en mêmes temps. La concurrence est beaucoup plus féroce aux États-Unis qu’au Canada. De plus, le marché est beaucoup plus important et les frais de distributions sont moins élevés. Est-ce suffisant pour justifier la différence? Eh bien, en partie, oui. Les lois du marché dans le commerce de détail sont impitoyables. Si les consommateurs canadiens décident d’acheter leurs pneus aux États-Unis à l’avenir, les détaillants canadiens n’auront d’autres choix que d’ajuster les prix en conséquence.
Cette recommandation est d’ailleurs reprise par l’APA. «Dans ce contexte, l’APA recommande aux automobilistes canadiens d’aller acheter leurs pneus aux États-Unis. Le phénomène est marginal pour le moment, mais l’association espère obtenir des résultats à long terme ». Une guerre de prix qui est loin d’être terminée.

Estrie de maskinongé,.............................dans les cours a scrap ou les towing de cours a scrap ,ils ont tout ça pour 100$ ,oui 100 tomates t'as 4 fnailleures LOL !

REF,:Jacques Deshaies , pour une auto propre,

mardi 22 novembre 2011

Le monde a l'endroit c'est le Pardon !

Ancien motard - Une pétition pour le retour de « Pépé »
 
© Agence QMI / Archives

MONTRÉAL – La récente démission de l’ancien président des Rockers Pierre « Pépé » Provencher, qui travaillait dans une résidence de personnes âgées, n’a pas laissé son entourage indifférent. Plusieurs employés et résidants de l’établissement Marie-Clotilde de Joliette réclament son retour. M. Provencher a démission juste avant la diffusion du reportage de J.E. vendredi dernier, qui révélait que l’ex-motard travaillait comme préposé à l’entretien à cette résidence.


EN VIDÉO:
Des pétitions pour le retour de l'ex-motard
« Des gens sont allés à la résidence où sont leurs parents quand ils ont su que j'avais donné ma démission. Ils ont donné un mot à ma conjointe [qui travaille au même endroit]. Ils voulaient m'offrir une job, ils ont confiance en moi », a expliqué Pierre Provencher à l’émission Le Vrai Négociateur à LCN, mardi. L'ancien motard criminel, aujourd'hui âgé de 62 ans, qui entretenait des liens directs avec Maurice « Mom » Boucher semble touché du soutien que lui portent les gens depuis sa démission. « Les résidants eux-mêmes ont fait une pétition. Ils sont 90 % qui veulent que je retourne travailler là, et 77 employés sur 92 ont signé en ma faveur. Je les remercie. »
« Pépé » a été épinglé lors de l'opération Printemps 2001. Faisant face à 13 accusations de meurtre prémédité, il a plaidé coupable à des accusations réduites. Il a été condamné à purger dix ans de prison pour trafic de drogue, complot pour meurtre et gangstérisme.

Préposé à l'entretien
Dans l'exercice de ses fonctions à la résidence Marie-Clothilde, le préposé à l’entretien n'avait pas de contact avec les résidants dans leur chambre. « Je faisais tout l'entretien des lieux publics et si une toilette brisait où quelque chose d'autre dans les chambres, je demandais à être accompagné. Vous ne vous attaquez pas à la bonne personne, je l'avais dit à la journaliste de J.E. [Annie Gagnon]. » D'après ce qu'il a raconté à Claude Poirier, « Pépé » aurait aimé retourner travailler à sa ferme où il possède une érablière commerciale lors de sa libération il y a un an et demi, mais le Service correctionnel du Canada a exigé qu'il se trouve un emploi à l'extérieur de son entreprise.
« Ça faisait partie de mes conditions de libération. [...] Si l'ancienne directrice de la résidence m'avait demandé à propos du trou dans mon c.v. de 2001 à 2010, j'aurais été obligé de lui dire. Elle n'a pas posé la question, probablement parce qu'elle connaissait ma conjointe. Et on ne peut pas marquer nos antécédents judiciaires sur un c.v. »
Pierre Provencher a même été président du syndicat des employés affilé à la FTQ de la résidence où il travaillait. « J'ai hésité à devenir président, car je savais que j'étais une personne vulnérable, fait savoir ce dernier. Si quelqu'un voulait se venger, c'est sûr et certain que c'était moi qui allais manger le coup, et c'est ce qui est arrivé. »
Le repris de justice a fait l'éloge en ondes des personnes du troisième âge. «Ces gens-là ont travaillé toute leur vie. C'est leur dernière résidence. Ils méritent du respect, de la dignité. Si j'avais vu quelqu'un fouiller dans une sacoche, probablement que je lui aurais tordu les doigts », a lancé Pierre Provencher.

REF.:

La dette américaine est une chaine de Ponzi

Tout a commencé par le scandale du papier commercial,et les produits toxiques des banques offert a la Bourse de Wall Street(avant le Krach de 2008),et que maintenant la Chine est le plus grand détenteur de bons du Trésor américain avec un portefeuille de quelque 1150 milliards de dollars,agirait comme un créancier par rapport a la dette des USA !
Mais tout le monde le saient ,que les USA contrôle l'argent et le monde,par l'entremise des Faucons de la Maison Blanche ! C'est une chaine de Ponzi !

La prochaine crise économique ,impliquera le FMI et la Banque Mondiale!

ET peut-être qu'une monnaie mondial,naîtra de ce Krach mondial,mais pour cela une démocratie saine et équitabale doit s'installer!

 



Selon la Chine - La dette américaine, une «bombe à retardement»
Le Congrès n'a pas réussi à se mettre d'accord pour réduire de 1200 milliards de dollars le déficit budgétaire. 
© Archives / Reuters

SHANGHAI, Chine - Les médias officiels chinois ont vivement critiqué les États-Unis mardi, qualifiant leur dette de «bombe à retardement», et ont exhorté le Congrès américain à faire preuve d'un plus grand esprit de responsabilité.
Lundi, une commission du Congrès chargée de la réduction de la dette américaine n'avait pas réussi à se mettre d'accord pour réduire de 1200 milliards de dollars le déficit budgétaire, un échec dont le président Barack Obama a rendu responsables les républicains.
La Chine est le plus grand détenteur de bons du Trésor américain avec un portefeuille de quelque 1150 milliards de dollars, ce qui explique l'intérêt particulier qu'elle porte à l'état de l'économie américaine.
«Les élites politiques de Washington... doivent trouver le courage de désamorcer la bombe à retardement et de montrer au monde qu'ils ont la sagesse et la détermination de ne plus mettre en danger la fragile reprise économique globale», écrit dans un commentaire l'agence officielle Chine nouvelle.
L'agence attribue le blocage au Congrès aux querelles partisanes et estime que tant les républicains que les démocrates n'ont pas conscience de l'impact que pourrait avoir un éventuel défaut américain sur l'économie globale.
«Les hommes politiques américains n'ont jamais hésité à sermonner les autres pays sur la responsabilité globale et il est maintenant grand temps qu'ils manifestent un vrai sens des responsabilités mondiales», a ajouté l'agence.
Les médias chinois ont déjà vivement attaqué les États-Unis au sujet de ce qu'ils appellent leur «dépendance à la dette», un commentateur allant jusqu'à comparer la dette américaine à une «escroquerie pyramidale».


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lundi 21 novembre 2011

Les «indignés» américains anti-Wall Street devraient se déplacer contre la haute finance à Washington et non à New York

Déclaration - Oliver Stone: pas de démocratie même sous Obama
La réalisateur américain Oliver Stone lors du Festival International du Film à Alger le 19 novembre 2011. 
© AFP

Oliver Stone: pas de démocratie même sous Obama

ALGER - Le cinéaste et réalisateur américain Oliver Stone a déclaré samedi à Alger que les États-Unis ne vivent pas en démocratie même sous Barack Obama, élu en 2008, dénonçant pèle-mêle Wall Street, le bellicisme américain et l'indifférence de ses compatriotes envers le reste du monde.
Dans une conférence de presse en français, M. Stone a jugé que les «indignés» américains anti-Wall Street devraient plutôt déplacer leur mouvement de contestation contre la haute finance «à Washington et non pas à New York, pour avoir plus d'impact». C'est à ce prix que les pressions seront «efficaces» sur les politiques pour assainir le système financier, dit le réalisateur de Wall street (1987) et Wall street, l'argent ne dort jamais (2010).
Invité à l'occasion du «festival du film engagé» à partir du 29 novembre à Alger, ce fils d'ancien financier de Wall street et de mère française s'est dit «choqué de voir comment l'argent était vénéré par les Américains» et les effets de la crise.
Aujourd'hui «la classe moyenne (américaine) en est la plus grande victime, mais rien ne peut faire bouger le système» américain qu'il qualifie de «non-démocrate, même après l'arrivée d'Obama».
Le cinéaste a dénoncé «30 années de mensonges» avec la guerre du Vietnam qui lui a inspiré Platoon (1986). Les Américains ont vécu avec l'idée que «le communisme va dominer le monde», alors qu'il s'est écroulé en 1989, poursuit le cinéaste.
«Ma vie était déjà pervertie», a-t-il dit, lorsqu'il est allé faire la guerre et c'est après qu'il a découvert la réalité, notamment le pouvoir militaro-industriel qui a continué à dominer son pays pour mener ailleurs d'autres guerres. «C'est un système qui va détruire le monde», a-t-il affirmé.
Interrogé sur le soutien américain à Israël, M. Stone a affirmé qu'on «ne pouvait pas parler de cela en Amérique. Il y a une telle puissance, l'argent, les médias et le lobyying sont tels que les faits, la vérité ne sortent pas», a-t-il dit.
A 65 ans, il juge avec sévérité ses compatriotes. «Les Américains ne sont pas tellement intéressés dans les problèmes de l'étranger», a-t-il dit. «Il n'ont pas d'empathie pour eux».


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Quand une nouvelle devient une Pub

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Des blattes dans votre Métro,donc du monde insalubre


 


MONTRÉAL - Des passagers ont découvert avec consternation et dégoût que des coquerelles et autres petites bestioles indésirables grouillaient au bas des murs de la station de métro Guy-Concordia, à Montréal.
Lors de notre passage, une coquerelle se trouvait au bas des escaliers menant au quai direction Honoré-Beaugrand. Elle était cachée au fond d’un creux, au bas d’un mur. Une autre était dissimulée un peu plus haut, elle aussi dans un trou à la base du mur.Il y en aurait d'autres selon le site Facebook de canoe: a Cote Ste-Catherine,Cote Vertu,Beaubien,Plamondon,Cote des neiges,St-Michel,et Préfontaine, et cela a différente période de l'année et selon le niveau de pauvreté et des différents chantiers de construction.
«Bien sûr que ça nous dérange», a lancé une usagère du métro, Yasmina K. Elle n’avait pas remarqué les bestioles auparavant. «On paie pour un service. Pas juste pour le transport, mais pour la salubrité des lieux», a souligné la jeune femme, excédée.
Une autre usagère, Rebecca Harknett, est d’avis que cette situation n’est pas normale du tout. «La Société de transport de Montréal devrait faire quelque chose», a-t-elle dit.
D’autres personnes croisées dans la station croyaient plutôt qu’il était normal de retrouver ces petits insectes dans les stations. «On est sous terre. C’est évident qu’il va y avoir de la vermine», a soutenu Martin Patriquin.
Une extermination nécessaire
«Des blattes (coquerelles) dans les stations de métro, ce n’est pas un phénomène courant à Montréal», a dit Éric Sirois, un exterminateur de chez ABC gestion parasitaire.
«Les blattes sont apportées par les gens dans les stations, elles n’y vont pas d’elles-mêmes», croit-il.
Il pointe du doigt la foire alimentaire reliée à la station. À son avis, c’est de là que les coquerelles proviennent. «Ça prend une action d’extermination assez large dans l’ensemble des endroits infestés si on veut régler le problème.»
Il a été impossible de joindre un porte-parole de la Société de transport de Montréal dimanche après-midi.

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