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jeudi 11 octobre 2012

Un agent double piège l'agent 728 ?



Matricule 728 - Suspendue et désarmée


Un agent double a gauche ? tend peut-être , un piège a Stéfanie Trudeau du SPVM ? Car Claude Poirier de TVA a clairement dit que le SPVM a vraiment laisser bien entendre toutes les paroles de l'agente 728 clairement dans l'enregistrement sur internet,pour vraiment l'incriminer! Et une autopatrouille tout près, a enregistré toute la conversation! On appel ça un piège :-)
 Et quand ça fait plusieurs fois qu'un agent du SPVM se fait réprimender ,on lui tend un piège que l'on laisse en pâture aux réseaux sociaux ! Oui,plusieurs pièges,comme cette enregistrement audio(cellulaire),ou elle dit clairement qu'elle devra changer de quartier suite a son intervention manquée : Écoutez la policière Trudeau parler de l'intervention avec son supérieur dans une conversation enregistrée par mégarde dans son véhicule de patrouille (Mise en garde: langage grossier) : ICI !
Cette enregistrement cellulaire prouve que le gars arrêté par 728 ,avait déja enclanché le logiciel d'enregistrement pour enregistré 728;même si elle avait par la suite cliqué sur le bouton.Il a fallu que le gars mette le logiciel en attente pour qu'elle pèse sur le bouton. LOL ! Et lors de cette arrestation,pourquoi 728 était avec un novice ,qui lui (sur youtube)est venu 2 fois voir qui était sur le trottoir ,pour voir qui filmait ? ou pour activer le cell du gars ? Ou bien pour voir les 22 voitures de polices arrivées.Il l'a surement vendu ,pour se protèger lui;genre "écrit pas ça dans le rapport je vais être dans le trouble"disait Stéfanie Trudeau 728 !Stéfanie Trudeau était connue comme un cas problème depuis 14 ans au SPVM.

REF.: TdansltroubepointComme,

La honte du SPVM le matricule 728 ?




La policière Stéfanie Trudeau est suspendue pour la durée de l'enquête interne portant sur ses agissements lors d'une intervention menée à Montréal le 2 octobre dernier, a annoncé jeudi le directeur du Service de police de Montréal (SPVM), Marc Parent.
L'agente du poste de quartier 38 pourrait recevoir une sanction allant de la réprimande au congédiement, selon les résultats de l'enquête interne déclenchée mercredi soir, après la diffusion de reportages sur les ondes de Radio-Canada.
Sur l'enregistrement audio obtenu par Radio-Canada, on entend la policière Trudeau traiter les civils visés par l'intervention policière de « rats », « d'ostie de carrés rouges », de « mangeux de marde », de « trou de cul » et de « caves ».
Dans un court point de presse convoqué en début d'après-midi mercredi, M. Parent a tenu à s'excuser auprès de la population, tant en son nom personnel qu'au nom de tous les employés du service de police, pour les propos « inacceptables et intolérables » tenus par la policière.
« Ces propos ne sont pas du tout en lien avec nos valeurs, et ne sont pas du tout acceptés par l'ensemble des employés du SPVM. Ils sont carrément en contradiction avec ce qu'on préconise comme comportement », a dit M. Parent.
« Dès hier, on a désarmé cette policière-là, on l'a mutée administrativement dans de nouvelles fonctions. Ce que je vous dis aujourd'hui, c'est qu'à compter de maintenant, elle est suspendue durant la durée de l'enquête », a annoncé le directeur du SPVM, sans pouvoir dire si elle était suspendue avec ou sans salaire.
« C'est une enquête qui va être menée de façon accélérée, compte tenu des circonstances, compte tenu des enjeux associés aux différents faits qui ont été révélés hier, qui sont carrément troublants et complètement inacceptables », a-t-il ajouté.
Marc Parent a précisé qu'il a rencontré plusieurs personnes de son équipe depuis 17 h mercredi « pour faire le point, recueillir les faits et, en toute équité, aller chercher l'information nécessaire pour prendre la bonne décision à l'égard de la situation actuelle ».
Selon lui, le SPVM avait déjà réagi contre l'agente Trudeau, après des évènements survenus lors du conflit étudiant le printemps dernier. Une vidéo sur laquelle on pouvait la voir utiliser un gaz irritant à l'encontre de manifestants a été vue par plus d'un demi-million d'internautes sur You Tube. C'est à ce moment qu'elle est devenue connue sous le sobriquet de « Matricule 728 ».
L'agente Trudeau a aussi commis d'autres frasques dans le passé.
« Il y avait des décisions qui avaient été prises de lui donner un encadrement plus serré, [pour] qu'elle n'aille plus sur les manifestations, qu'elle n'aille plus sur les rassemblements populaires et de ne pas l'exposer à une situation où elle aurait pu être en conflit », a indiqué Marc Parent.
« Ce que j'ai questionné beaucoup hier soir et ce matin, c'est [...] les systèmes en place. Donc, les systèmes de détection de comportement. », a-t-il précisé. « Qu'est-ce qui fait que ça s'est rendu jusqu'à cet incident-là pour pouvoir poser un geste ou entrer en action? Et je peux vous dire qu'à ce niveau-là, il y a des changements qui vont être opérés. ».
M. Parent n'a pas été en mesure de dire si l'affaire avait été signalée avant que Radio-Canada ne diffuse son reportage. « Ça fait partie des vérifications qui vont être faites [concernant] les systèmes, l'encadrement, la supervision et les processus en place pour détecter ce genre de situation là. »
Le directeur du SPVM ne sait cependant pas à qui parlait l'agente Trudeau, le cas échéant. « Faut s'assurer que ce qu'elle a dit a bel et bien été entendu, pas seulement par un cadre, mais par un superviseur, un collègue de travail « , a-t-il souligné.
« Il y a des policiers qui ne sont pas fiers de voir comment elle a pu ternir non seulement le SPVM, mais l'ensemble de la communauté policière. » — Marc Parent
« Aucun superviseur ne peut tolérer ce genre de comportement ou de propos-là », a insisté M. Parent, en rappelant que le SPVM interdit tout profilage racial, social ou politique.
M. Parent a par ailleurs précisé que des citoyens peuvent bel et bien filmer des opérations policières, pourvu que ce geste ne nuise pas à l'intervention policière. Un témoin qui braque directement un téléphone cellulaire dans le visage d'un policier peut cependant s'exposer à être arrêté pour entrave au travail des policiers.
trudeau-matricule-728 La policière Stéfanie Trudeau maîtrisant Serge Lavoie lors de l'intervention controversée du 2 octobre dernier.
Sur les droits de l'agent Trudeau
Plus tôt dans la journée, le porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal, Ian Lafrenière, avait affirmé qu'il aurait été prématuré de suspendre l'agente Trudeau, malgré ses propos « troublants ».
« On est dans un état de droit, on ne peut pas suspendre les gens comme ça. » — Ian Lafrenière
« Ce qui nous préoccupe beaucoup, c'est les paroles, les gestes de la policière, dans quel état elle a fait ça, la façon dont elle agit. C'est là-dessus que notre enquête va porter », avait-il précisé en entrevue à Radio-Canada.
M. Lafrenière défendait néanmoins la décision du SPVM dans ce dossier. « Elle est déjà coupée de tout ça [des services d'ordre, NDLR]. Pour nous elle est sortie de la route présentement », souligne-t-il.
M. Lafrenière n'avait pu épiloguer sur les motifs de l'intervention policière, qui demeurent nébuleux. Il soulignait que les citoyens concernés ont toujours la possibilité de contester le constat d'infraction qu'ils reçoivent.
« Cela ne justifie en aucun temps ce qui s'est passé par après. Je ne suis pas ici ce matin pour essayer de justifier l'injustifiable », précise-t-il.
Selon lui, l'enquête concernant les quatre civils soupçonnés d'entrave à un agent de la paix, de voies de fait et d'intimidation dans la foulée de l'opération suit aussi son cours. « Dans ce cas-là, on n'a aucune plainte de citoyen », indique-t-il.
Le porte-parole du SPVM profite de la situation pour faire valoir que les citoyens interpellés par des policiers doivent toujours s'identifier. « La personne a refusé de s'identifier. Et ça ne justifie pas ce qui s'est passé », dit-il.
« Ce que je veux envoyer comme message ce matin, c'est que quand on reçoit un constat, ce n'est pas une bonne idée de refuser de s'identifier ».
Des propos « inadmissibles »
L'expert en opérations policières Mathias Tellier est d'avis que les propos de la policière Trudeau sont « inadmissibles ». Selon lui, la grande majorité des policiers « sont en total désaccord » avec les propos de l'agente Trudeau.
L'analyste en opérations policières, Mathias Tellier (archives)
« Même à l'interne, les confrères s'attendent à une intervention des autorités en place, pour que ce soit corrigé d'une manière ou d'une autre », dit-il.
Selon lui, l'enregistrement diffusé par Radio-Canada révèle « l'analyse qu'elle fait elle-même de ce qui vient de se passer, à sa conception des gens qui ont fait l'objet de son intervention ». Il deviendra du coup « un outil très important pour être capable de mettre en place des mesures qui vont corriger ou éliminer son comportement ».
Le spécialiste des questions policières souligne lui aussi que les citoyens interpellés par la police ont des droits, tant pendant l'intervention qu'après. « La police peut utiliser la force nécessaire pour mettre un terme à une menace ou à une violence quelconque, mais ils doivent le justifier en tout temps », note M. Tellier.
Selon lui, les citoyens impliqués seront rencontrés dans le cadre de l'enquête interne du SPVM, « et il n'est pas exclu qu'à la lumière de ce qu'ils vont recueillir, le procureur qui a autorisé les accusations soit rencontré à nouveau et qu'il y ait des modifications » apportées aux accusations portées contre eux.
Le ministre québécois de la Sécurité publique, Stéphane Bergeron Le ministre québécois de la Sécurité publique, Stéphane Bergeron
Le ministre québécois de la Sécurité publique, Stéphane Bergeron, estime pour sa part que la policière Trudeau a eu un comportement « pas très édifiant », mais que le SPVM a posé « les gestes appropriés dans les circonstances ».
« Je pense que chaque personne qui a vu le reportage a constaté qu'il y a un niveau d'agressivité, un niveau de langage qui n'est peut-être pas approprié, qui n'était certainement pas approprié dans le cadre de cette intervention-là », a-t-il dit sur les ondes du Réseau de l'information.
« Il y a des autorités au SPVM qui vont poser les gestes requis en terme disciplinaire et, le cas échéant, la cause sera portée en déontologie policière, mais je ne peux pas m'immiscer dans le processus, vous le comprendrez bien », a dit M. Bergeron.
« Bien que je sois le ministre de la Sécurité publique, ce n'est pas dans mes responsabilités que de commenter publiquement chacun des comportements des policiers de quelque corps de police sur le territoire ».
Lorsqu'on lui demande s'il est inquiet que le lien de confiance entre les policiers et la population soit rompu, particulièrement dans la foulée des évènements qui ont marqué le conflit étudiant le printemps dernier, le ministre indique qu'il a reçu « plusieurs demandes » l'invitant à déclencher une enquête publique et qu'il évalue cette demande.
« Je dois voir si le système actuel nous permet d'atteindre l'objectif poursuivi, [qui] est de deux ordres : nous assurer d'une part que celles et ceux qui ont commis des gestes répréhensibles soient sanctionnés, et nous assurer d'autre part de rétablir le lien de confiance entre la population et ses corps policiers », explique Stéphane Bergeron.
« Je suis de ceux qui croient que, dans leur immense majorité, les policiers et les policières lors des évènements du printemps dernier ont fait leur travail avec tout le professionnalisme auquel on est en droit de s'attendre d'eux », ajoute-t-il.
« Ceci dit [...] leur image a été souvent indûment entachée à travers ces évènements-là, et l'important, c'est de rétablir cette image et de rétablir le lien de confiance avec la population », conclut-il.
Écoutez la policière Trudeau parler de l'intervention avec son supérieur dans une conversation enregistrée par mégarde dans son véhicule de patrouille (Mise en garde: langage grossier) :


lundi 8 octobre 2012

Le Fédéral de Harper devra épargner 5 milliards $ annuellement pour réparer la crise économique

Toutes ces compressions budgétaires font partie d'une stratégie plus vaste qui vise à épargner 5 milliards $ annuellement en vue de rembourser le déficit de 56 milliards $ créé il y a quelques années pour soutenir l'économie du Canada pendant la crise.

Réduction des dépenses fédérales

Les fonctionnaires devront se serrer la ceinture

Réduction des dépenses fédérales - Les fonctionnaires devront se serrer la ceinture
Le président du Conseil du trésor, Tony Clement. 
Photo Chris Wattie / Reuters

OTTAWA - Les fonctionnaires fédéraux devront se serrer la ceinture. Le gouvernement de Stephen Harper a en effet annoncé lundi la mise en place d'une nouvelle mesure pour prévenir le gaspillage des fonds publics.
Les ministres devront désormais superviser toutes les dépenses de plus de 25 000 $ liées à l'organisation d'événements par les départements de leur ministère, a expliqué le président du Conseil du trésor, Tony Clement. Auparavant, les fonctionnaires pouvaient effectuer de telles dépenses pratiquement sans supervision.
La nouvelle mesure touche les frais de voyage (transport, hébergement et repas), d'accueil, de conférences et de location d'espace ainsi que les honoraires professionnels.
Le règlement aurait par exemple proscrit à l'Agence des services frontaliers du Canada de payer l'avion à 200 de ses cadres de partout au pays pour qu'ils participent à un séminaire à Montréal plus tôt cette année. Le rassemblement de trois jours dans un hôtel luxueux avait coûté des centaines de milliers de dollars aux contribuables alors qu'une simple séance de vidéoconférence aurait fait l'affaire.

Heures supplémentaires éliminées

L'implantation de cette nouvelle mesure survient une semaine après que Tony Clement eut éliminé les heures supplémentaires des chauffeurs des ministres en échange d'une augmentation salariale et qu'il eut mis fin aux subventions de stationnement pour les chefs de cabinet afin d'épargner 40 000 $ annuellement.
«Notre gouvernement scrute tous les secteurs afin de réduire les dépenses opérationnelles, incluant celles de nos propres cabinets ministériels», a affirmé Tony Clement, que les néo-démocrates accusent d'avoir lui-même gaspillé des fonds publics en utilisant 50 millions $ à des fins partisanes dans le cadre du Sommet du G8 en 2010.
La Fédération canadienne des contribuables a salué la mesure. Le président, Gregory Thomas, a estimé toutefois que le gouvernement fédéral devrait suivre l'exemple de l'Alberta et de Toronto qui publient le détail des dépenses publiques sur internet dans un souci de transparence.
«Le meilleur moyen d'éviter les dépenses inutiles est de devoir les justifier auprès des contribuables», a-t-il soutenu.
La prochaine cible du gouvernement conservateur est la réduction des pensions du secteur public et de celles des députés.
Toutes ces compressions budgétaires font partie d'une stratégie plus vaste qui vise à épargner 5 milliards $ annuellement en vue de rembourser le déficit de 56 milliards $ créé il y a quelques années pour soutenir l'économie du Canada pendant la crise.


 REF.:

vendredi 5 octobre 2012

Dette d'études : Comment casser une opposition de libération de faillite ?

Ah,beaucoup de travailleur a faible revenu travaillant pas dans leur domaine de leur formation,ou étant prestataire de chomage ou D"Aide de dernier recours, en deuxième faillite. Wow ! ,................ 2 ans de petits versements a votre Syndic de faillite !

Vous protège t'il assez ? ou trop, au profit d'une opposition d'un créancier frustré ?

Le système des réclamations de faillite des syndic est désuet,car ceux-ci en évaluant vos actifs passifs, ne revise pas vos mensualités a vos créanciers(comme le MEQ: Min. de l'éducation)et ceux-ci ne savent pas que vos revenus ont augmentés ,même si votre Syndic a l'info et que vous devez l'en mettre au courant !

Re-Wow ! Le MEQ s'oppose a toute libération de faillite ,mais vous aurez a contacter un bureau d'avocat pour vous défendre ,qui sera suggérré par votre syndic ,vous disant c'est eux les spéçialistes qui vous représenteront.A 125$/hr,vous aurez 3 rencontres,la première un 125$ facile pour votre avocat ,il remet la cause 1 mois plus tard ? WoWoW ! vous perdez votre journée de travail au complet et votre transport a payer ! Sans compter que le MEQ a la facheuse mani de prendre vos TVQ ex-Solidarité sans votre avis ,alors qu'ils n'en ont pas le droit ,si c'est post-faillite !!!$$$!!!

Oui,le MEQ vous remboursera ,c'est la Loi !

Mais rendu a votre Libération de faillite : La 3ième rencontre au palais de justice au 16 ième(le 11ième c'est leur quartier)si vos chiffres sont bon et que vos copies de factures corresponde a vos dépenses,que votre nom n'est plus solvable que vos comptes sont a votre ex encore et que c'est vous qui êtes dans sont logement et qu'elle est sur le BS en attendant de vous emenez en cours pour un divorce,ou que votre employeurs para-publique vous met en liste de rappel et vous allex être transférez en dehors dla ville avec pas le choix d'acheter une auto et de changer de lunette qui sont casser et que votre dentier d'en bas est finit,que vous devez rembourser des ex-créanciers hors faillite comme votre Mère,que votre proprio vous emmène a régie du logement si vous payer pas plus,................faut probablement accepter un offre de paiement de dette de ,par exemple $12,000 (SUR UNE ENTENTE HORS COUR)d'une dette de 50,000$ qui a été soufflé a 200% d'intérêt ,sur un prêt étudiant d'il y a 10 ans ,et que vous mettez vos impôt fed prov avec votre faillite ,le juge lui va être simpathisant a votre cause.C'est sûre que les frais d'avocats devront être oublier et classés dans la filière 13 ! Le juge sait que nous sommes en crise économique ,et qu'il a pas le choix d'accepter l'entente hors cour !

La seul manière que votre syndic de faillite(et la,ce n'est pas un dépôt volontaire) ne vous protègera plus, c'est lorsque vous payer plus ,malgré votre contrat fini (2 ans pour une deuxième faillite)avec le syndic et que le MEQ vous poursuit (opposition a votre libération de faillite)avec une saisie de salaire(facilement 50% du salaire).C'est la, qu'il vous faudra une entente hors cour , le MEQ vous écoutera ! Et vous verrez tout se calculera pour le montant initiale de l'emprunt que vous aviez fait ,avant les intérêts, et qui représentera des montants mensuels jusqu'a votre âge de pension(travailleur) de environ 65 ans ,c ki le cave !

Sinon le MEQ sans foute,et votre avocat veut reportera votre cause a plus tard (pro forma)pour empocher un autre 125 $,tant que l'étudiant n'a pas payé toute la facture,alors représentez vous, seul : c'est a dire avec une entente hors cour ,avec le MEQ ! Sinon,vous serez en centre d'acceuil et vous vous rappellerez plus pourquoi ,vous n,avez pas assez d'argent pour payer vos cigarettes au CHSLD et que le personnel soignant essaye de vous expliquer que vous avez perdu la mémoire et que le MEQ lui a de la mémoire  !  ;-)

J'ai vu bien des ex-étudiants accepter de payer leur dette étudiante a 9,000$ sur un prêt de 13,000$ ?
Aussi bien continuer ses études LOL ! Car a n'importe quel prix le montant a verser sera sans intérêt pendant un temps illimité ,pensez-s'y , a l'approche de la soixantaine sans les revenus de TPS ou Solidarité ,vous aller vous en foutter au centre d'acceuil !Et quand vous voyez les yeux et le sourire compatisant d'un juge ,envers le préentente et de la décison de l'avocat du MEQ,vous vous rendez compte que le MEQ a saigné l'ex-étudiant en lui imposant de payer la presque totalité de ses prêts étudiants!L'étudiant aurait-dû contesté l'entente devant le juge et de refusé ce que les avocats du MEQ lui proposait!

La première constatation porte sur les causes des difficultés financières qui ont emmené ces personnes à consulter un syndic:
Insuffisance de revenus : 35 %
Chômage : 18 %
Surendettement : 12 %
Alors pensez-s'y les amis !
Alors le bullshit du MEQ actuellement est un maigre 15% de réduction,.....c qui le cave  ? Vous ou les Mecs du MEQ !




Avec les années le Ministère du revenu Qc ,essayera de vous priver des montants de remboursement, de votre rapport d'impôt, que vous avez droit grace a votre syndic de faillite!
Vous avez juste a le redemander a Rev. Qc pour qu'il vous le redonne en dépot direct et que la,vous déciderez si vous le donner a votre syndic en parti !
Appeler donc a ces 2 numéros au département du recouvrement,pour faire votre demande :
1-888-361-3795
ou le 514-415-5161 a Joe BloLamone




REF.: Syndicpointcomme,

Gilles Cloutier a vendu la mèche et explique un stratagème des années 50

Stratagème vieux de plus de 50 ans,............. Duplessi le faisait,tout le monde le faisaient !
On donne au parti ,pour qu'il règne en Roi !
Pourquoi ?  pour que des Jobs soient assurées aux travailleurs ,par l'entremise des Groupes et Firmes d'ingénieurs,qui eux fleurte avec les élus qui ont le pouvoir de donner des subventions !

Oui,..............Gilles Cloutier vice-président adjoint au développement des affaires ,chez Roche lté groupe conseil,le savait et le faisait.

Gilles, c'est l'homme dans l'ombre ,spéçialiste de l'organisation d'élection et de financement politique.
Il s'agite dans les coulisses du pouvoir depuis les anbnés 50.Il a travaillé a l'élection de nombreux candidats.Pour les élections Provinçiales;Pierre-Marc Johnson,Robert Bourassa;aux élections Fédérales,Jean Chrétien,Paul Martin,Denis Coderre;aux élections Municipales,Maire Gérald Tremblay,Maire Bourque.

Gilles Cloutier,donnait des cadeaux ,louait même un chalet dans charlevois a Pointe au Pic pour ses ami$ !


Il donnait de l'argent pour décroché des contrats.C'est comme ça que sa marchait !

Marc-Yvan Côté (ex-député)devenu haut dirigeant chez Roche,payait les factures que Gilles Cloutier envoyait pour contribution politique et cadeaux.
Oui,vous savez Marc-Yvan Coté ,le gars dla Commission Gomery ?
Oui,Oui, en 2005 M.Coté dit avoir reçu 120,000$ du Parti Libéral en argent,pour donner aux candidats pour les élections en 1997.Vive la Parti Lib ;-)

Gilles Cloutier a donné 25,000$ pour l'usine d'épuration des eaux de Boisbriand,a Jean-Guy Gagnon (décédé)qui est l'organisation politique de solidarité Boisbriand.En faisant des fausses factures a Roche,l'argent se récupérait en contrat.


BPR Triax et Roche,étaient les 2 firmes choisit a l'unanimité pour ces contrats par soumissions truqués.Et de ces 2 firmes une seul a eut le contrat et c'est  infrabec de Lino Zambito.



Lino Zambito d'infrabec a enclanché son opération de charme auprès de la ministre Nathalie Normandeau(ex-Ministre des Affaires Municipales) pour avoir la subvention de 11 Millions $,et se contre l'avis de ses fonctionnaires conseilliers.


Alors des cadeaux en veut tu ? Mme Normandeau a eut des billets gratuit pour des spectacles de Madonna et Céline Dion ,gracieuseté de Lino Zambito ;-)



Donc,le vieux Gilles Cloutier a parlé a l'esquade Marteau pour se protéger des futurs accusations pour avoir dénoncé le vieux stratagème ,du temps de Mathusalem !




RDI.:

dimanche 30 septembre 2012

Ricidive des agresseurs sexuels ?


Une constante existe: tous tiennent mordicus à leur droit de savoir qui sont les abuseurs et où ils se trouvent.
RÉCIDIVE
Les avis sont partagés sur les résultats d’une telle pratique sur les taux de récidive. Il semble que des études du département correctionnel du New Jersey montrent que ça ne réduit pas les récidives.
Ainsi, selon le Public Defender Michael Buncher, le registre public ne fait que créer un faux sentiment de sécurité chez les parents.
Aussi, selon le criminologue Jean Proulx, qui a travaillé avec des agresseurs pendant 20 ans à l’institut Philippe-Pinel, le fait de rendre leurs identités publiques leur créera davantage de problèmes et contribuera à la récidive.
Selon lui, les approches plus moralisatrices sont peu efficaces : on doit miser davantage sur la réhabilitation que sur les sentences.

jeudi 27 septembre 2012

Drone robotisé et sans émotion

Innovation - Les drones deviendront intelligents et totalement autonomes
 
Photo apfelweile - Fotolia

WASHINGTON - La flotte américaine de drones est appelée à laisser sa place à une nouvelle génération de robots plus rapides et plus intelligents qui opéreront sans intervention humaine, une autonomie grandissante qui pose de nombreuses questions morales et légales.

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Dossier spécial Robotique: une révolution à la porte de notre société
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À l'heure actuelle, les Predator et autre Reaper sont contrôlés, parfois à des milliers de kilomètres, par le joystick d'un pilote. Mais avec les investissements massifs du Pentagone dans l'«autonomie» des systèmes d'armes robotisés, les scientifiques prévoient qu'à l'avenir des engins volants, terrestres ou sous-marins travailleront aux côtés de l'homme avec une supervision minimale.
«Avant, ils étaient aveugles, sourds et stupides. On commence maintenant à les faire voir, entendre et sentir», explique Mark Maybury, le scientifique en chef de l'armée de l'Air américaine, pour qui les humains n'auront plus à intervenir que pour donner un ordre ponctuel.
Pour Peter Singer, expert en armements robotiques et auteur de «Wired for War», le rôle de l'homme «passe de celui d'un opérateur à distance à celui de superviseur ou de gestionnaire qui lâche de plus en plus la bride» au robot.
En dépit des progrès technologiques, le Pentagone assure que l'utilisation des armements resteront sous contrôle de l'homme.
«Les progrès permis par la science, les besoins politique et du champ de bataille nous emmènent dans des contrées où le juriste n'est pas encore prêt à aller», constate cependant Peter Singer.
Au cours de la prochaine décennie, les progrès informatiques devraient permettre à des drones de voler par eux-mêmes, comme des «ailiers robotiques» d'avions classiques, pronostique Werner Dham, ancien scientifique en chef de l'Air Force.

Beaucoup plus près qu'on l'imagine

En plein désert d'Arizona (sud-ouest), des expérimentations ont déjà commencé avec des hélicoptères d'attaque Apache volant en formation avec des hélicoptères drones.
«On n'est plus très loin d'avoir un seul hélicoptère volant avec une formation complète de drones», explique Werner Dahm, désormais professeur à l'université d'Arizona. «On en est beaucoup plus près que ce que la majorité des gens imaginent».
Ces nouvelles technologies ont chamboulé la doctrine de l'Air Force. Pendant des décennies, les pilotes étaient formés pour faire face à un ennemi tout en volant loin au-dessus du territoire ennemi ou bombarder une cible.
Dorénavant, les scénarios envisagent la conjugaison de différents systèmes, des drones brouillant par exemple les défenses anti-aériennes ennemies tandis que des avions pilotés se chargent du bombardement proprement dit.
D'autres drones, «jetables» et plus petits pourraient même à l'avenir être largués depuis un autre appareil pour accomplir une tâche précise avant de s'écraser au sol.
Le principal obstacle technique pour les scientifiques du Pentagone reste toutefois de pouvoir fournir une garantie à toute épreuve que les engins les plus autonomes ne commettront pas d'erreur aux conséquences potentiellement catastrophiques.
«Nous devons montrer que le système ne va pas fonctionner de travers», explique le scientifique, selon qui il est «très difficile» d'apporter une preuve par la négative.
Certains, à l'instar de Ronald Arkin, professeur de robotique au Georgia Institute of Technology, sont convaincus qu'au bout du compte, des pays auront recours à des drones totalement autonomes capables de tuer des ennemis sans intervention humaine.
Il faut donc selon lui mettre au point des armes capables de distinguer un combattant d'un civil, qui commettront moins d'erreur que des hommes car elles sont simplement dénuées d'émotions.
«Je ne prétends pas qu'elles seront parfaitement éthiques mais elles seront meilleures que les humains sur le champ de bataille», ajoute Ronald Arkin.


REF.: