Et il tombe dedans,.........et prend sa retraite ,...............mais...?
À vendre: une liste de 2000 informateurs ?
Un policier expérimenté au sein de l'unité des renseignements du
Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), qui a récemment pris
sa retraite, fait l'
objet d'une enquête depuis l'automne dernier pour
avoir
tenté de vendre des informations hautement confidentielles à la
mafia sicilienne, a rapporté TVA Nouvelles hier.
Des informations hautement confidentielles,
notamment des listes
contenant le nom d'informateurs de police et d'agents-sources, sont
gardées à la Place Versailles, au siège du SPVM.
Le policier aurait
offert au crime organisé italien des
renseignements qui figuraient sur ces listes hautement secrètes, plus
spécifiquement à un membre important de la mafia sicilienne(qui aurait coulé l'information,........parce qui n'avait pas le choix ?..........ou parce qu'il ne voulait pas tomber dans ce prétendu piège,.........on ne vend pas,on donne et on s'en sert ,comme les Hells qui vol un portable qui contenait ,le/les noms de certaines taupes du SPVM ,dont
Claude De Serres,il y a deux ans,qui était un agent-source ,un
agent civil d'infiltration, un ACI,et qui fut liquider)
Radio-Canada a précisé, hier, qu'il aurait soumis quatre noms de
sources à un contact du côté de la mafia pour montrer qu'il était
sérieux et pour entamer des négociations. La société d'État a ajouté que
«son stratagème aurait échoué».
Des sources ont affirmé à TVA Nouvelles que lorsque
le policier, un
sergent-détective, aurait eu accès à ces informations «sensibles», il
était encore au service du SPVM. Toutefois, quand
il aurait tenté de
fournir les informations aux criminels, il avait déjà pris sa retraite.
Écoute électronique
Ces mêmes sources affirment que c'est une écoute électronique qui
aurait permis de découvrir que la
taupe présumée aurait offert des
informations au crime organisé
en échange de plusieurs centaines de
milliers de dollars. C'est à la suite de cette écoute que l'enquête
aurait été déclenchée.
Le policier était apparemment l'un des rares à avoir accès à la base
de données. Le policier était même l'un des responsables de celle-ci
parmi une petite équipe.
Cette liste pourrait contenir plus de 2000 noms d'individus qui
fournissent de l'information aux policiers lors d'enquêtes, notamment
sur le crime organisé.
Il y aurait deux façons de consulter ces documents, en version papier ou encore sur un support informatique.
«C'est toujours décevant de voir des choses comme celles-là qui se
produisent. Mais, bien entendu, je peux vous assurer que nous prenons
toutes ces informations et toutes ces allégations au sérieux», affirme
Didier Deramond, du Service des enquêtes spécialisées du SPVM. «Ce n'est
pas une question de faille de système informatique, loin de là. C'est
une question personnelle, d'individu qui a porté certaines actions.»
Employé discret
Selon les informations obtenues par TVA Nouvelles, le policier est
décrit comme un employé discret et de confiance. Il avait été embauché
au SPVM en 1978 et il était affecté à la section des renseignements
depuis 1992.
Pendant 20 ans, il a eu accès aux renseignements les plus confidentiels du service de police de la plus grande ville du Québec.
Les enquêteurs des crimes majeurs du SPVM n'ayant pas terminé leur
enquête, il n'y a
aucune accusation criminelle déposée contre lui.(donc il ne sera pas protégé et est exposé a un règlement de compte)
«Un effet épouvantable»
Richard Dupuis, ancien enquêteur au service des enquêtes criminelles
du SPVM, a travaillé auprès de ce policier pendant trois ans. En
entrevue à TVA Nouvelles, il se dit très surpris de ces allégations,
croyant que
cet individu était «au-dessus de tout soupçon».
«C'était une personne à son affaire, plutôt calme. Je suis très
surpris de voir que la cupidité a pu l'amener à commettre un tel geste»,
dit M. Dupuis.
La divulgation de la liste comprenant le nom de tous les informateurs
est un geste très grave, affirme M. Dupuis. «C'est la base du
renseignement criminel. Lorsqu'on recrute un informateur, on lui
garantit que son identité ne sera pas dévoilée. Là, on a tenté de vendre
les informations, ça a un effet épouvantable.»
Il ajoute que le SPVM tentera de se dissocier des gestes de cet
ex-policier. «On se souviendra, dans d'autres cas de policiers
corrompus, qu'on a rapidement sorti ça de façon publique», ajoute M.
Dupuis.
Le SPVM, la Fraternité des policiers de Montréal, la Fédération des
policiers municipaux du Québec et le ministère de la Sécurité publique
ont tous refusé d'accorder une entrevue au Journal à ce sujet. Le
porte-parole du Parti québécois en matière de sécurité publique,
Bertrand Saint-Arnaud, ne nous a pas rappelé, tandis que la porte-parole
du deuxième groupe d'opposition, Sylvie Roy, n'était pas disponible
pour commenter.
Le 18 janvier 2012, Ian Davidson( cet ex-policier,retraité,côtoyant la mafia),
s'est suicidé(lui-même apparament ?),son corps a été retrouvé dans une chambre de l'hôtel Best Western Châteauneuf, en bordure de l'autoroute 15, à Laval.Le secret de toute cette histoire sera bien garder,ou comme dirait la mafia , coulé dans le ciment ,l'honneur est sauvé pour les deux camps !
L'appât du gain reste le mobile soupçonné
derrière cette tentative(on sait pas ? peut-être que noui? peut-être que non?) de monnayer une liste de plusieurs centaines
d'informateurs. On croit que Davidson avait l'intention de vendre la
liste au plus offrant, d'empocher le magot et de s'installer au Costa Rica, où il aurait des assises. Son
frère Alexander J. Davidson y posséderait une luxueuse résidence.Selon
des sources policières, plusieurs membres de la mafia montréalaise y auraient élu domicile.Pour le Costa Rica: On estime que 4,5 milliards $ sont perdus annuellement en évasion
fiscale venant du crime et de la corruption. Concernant l'argent
blanchi, on parle de 1,6 milliard $, l'équivalent de 20 % du produit
intérieur brut (PIB) de l'économie du pays.
Mais en Octobre Davidson, n'a pu se rendre au Costa Rica avec un autre policier(Taupe du SPVM ? ou ami de Davidson ?),car on l'a intercepté a l'aéroport Trudeau!
Était-t'il payer pour la liste ou pour les noms divulgués ou laisser sur support informatique chez eux ,comme ceux trouvés dans sa jeep ou on a confisqué son ordinateur portable avec une liste de noms d'informateurs civils (la nuit de son suicide, a l'arme blanche)? Était-il a la recherche de contacts d'ex-informateurs ,déja rendu au Costa Rica,son Frère,......... ? Le Costa Rica était la récompense et l'asile ?
Selon Claude Poirier ,Davidson il aurait eut des entrés ou des contacts (de policiers mafieux) pour être en contact avec la mafia.Et il est certain,que les nombreux messages dans les répondeurs qu'a laissés Davidson a de nombreux Mafieux sont rester la et que la Police savaient ce que tramait Davidson depuis longtemps.Toujours est-il que le premier qui a dénoncé Davidson (message répondeur)était surveillé et copain avec la police.
Tout comme l'ex-président des USA , George W. Bush ,père, avait des contacts avec Ben Laden et sa famille.Tout le monde saient ça,car la CIA après avoir formé Ben Laden au terrorisme,il l'ont laissé a lui-même!Donc,quand sa sert plus a rien ,et plus aucune information sur l'ennemi vous reviens,on l'élimine,ou il s'élimine lui-même.
Pour Davidson,si sa chambre d'Hotel fut réserver par une femme (et non lui) et qu'il a laisser une lettre a sa mort, a son Hotel,c'est qu'il se rendait la pour en finir,car plus personne ne voulaient dealer avec lui. Parce qu'abandonner par ceux avec qui il faisait affaire ? Ou que Davidson même s'il avait les entrés pour cotoyer le milieu de la mafia,ceux-ci (dont Tony Mucci par l'entremise de son avocat)n'ont pas accepter la liste d'informateurs(car c'est mieux une liste d'infiltrateurs),par peur du risque que ça représente.Tony Mucci ? (Celui qui avait tiré sur le journaliste Jean-Pierre Charbonneau)Et que Davidson ,ex-SPVM n'aurait jamais eut la chance de quitter le pays incognito.Il était un lien ,rien de moins.Le Costa Rica c'était du vent ,que laissait miroiter ces supposés amis.
Le 20 Fev. 2012:
Il préparait son coup depuis un an, selon les
informations obtenues par Claude Poirier, de TVA Nouvelles.
Alors qu'il travaillait toujours aux renseignements criminels du SPVM,
il aurait
téléphoné en personne à des membres du crime organisé, de la
mafia italienne, des gangs de rue, ainsi qu'à des motards, pour leur
proposer d'acheter sa liste de noms. Grâce à son emploi de policier, la
présumée taupe du SPVM avait
accès aux contacts des individus surveillés
de près par le service dans lequel il travaillait.(mais ne savait pas qui étaient des taupes au seins de ces groupes)
Ian Davidson, qui avait pris sa retraite en janvier 2011 après 33 ans de
service au SPVM, serait même allé jusqu'à
laisser des messages sur les
messageries vocales de certains de ses clients potentiels.
Une technique bien rodée
Le plan d'action de la présumée taupe du SPVM était très réfléchi. Il se
rendait
en taxi à ses rendez-vous et
possédait deux ordinateurs
portables. Sur l'un d'entre eux, il branchait une clé USB contenant
quelques noms susceptibles d'intéresser son client.
Lors des rendez-vous, il n'avait jamais sur lui la liste complète des
2000 noms qu'il avait compilés, mais seulement une partie, sélectionnée
en fonction du client qu'il allait rencontrer.
Selon les informations recueillies par Claude Poirier, la présumée taupe
du SPVM
s'est rendue à des rendez-vous dans la Couronne Sud de
Montréal, la Couronne Nord et dans certains endroits de l'est de l'île.
Le sergent-détective se serait notamment rendu une fois dans
un bar de danseuses, situé dans la Couronne Nord.
«Je vais être millionnaire»
Persuadé d'arriver à ses fins, Ian Davidson aurait affirmé : «Je vais être millionnaire, mais je ne gagnerai pas à Loto-Québec.»
Au début de ses démarches, il
aurait en effet demandé 1 million $ au
Calabrais Tony Mucci en l'échange d'une dizaine de noms d'individus
appartenant au crime organisé.
REF.: