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jeudi 29 septembre 2011

Encore la STM,un autobus sans chauffeur


STM - Autobus en folie
Le véhicule lourd a successivement heurté un autre autobus de la STM, un camion de livraison de Postes Canada et cinq véhicules.
© Maxime Deland / Agence QMI


MONTRÉAL – Le pire a été évité de peu, jeudi après-midi, aux abords du Centre Bell, à Montréal.
Une chauffeuse d'autobus de la Société de transport de Montréal (STM) aurait garé son véhicule lourd à l'intersection de la rue de la Montagne et de l'avenue des Canadiens-de-Montréal et serait ensuite descendue, pour une raison indéterminée.
«Probablement qu'elle a laissé l'autobus sur le neutre parce qu'il s'est mis à reculer en prenant pas mal de vitesse. C'est là que la dame a vu ce qui se passait», a raconté un témoin de la scène.
Selon ce dernier, malgré sa petite taille, la chauffeuse aurait tenté d'immobiliser elle-même le mastodonte en s'agrippant à la fenêtre, mais sans succès.
Le véhicule lourd a successivement heurté un autre autobus de la STM, un camion de livraison de Postes Canada et cinq véhicules stationnés. Fort heureusement, les deux autobus étaient vides, tout comme les véhicules.
Deux personnes, dont la chauffeuse d'autobus, ont cependant dû être transportées à l'hôpital pour traiter un choc nerveux.
«Ça aurait pu être bien pire! Si l'autobus ne percutait pas le camion de Postes Canada, il s'en allait tout droit vers la rue Saint-Antoine», a ajouté le témoin.
L'incident pour le moins inusité a forcé la fermeture de la rue de la Montagne pendant environ une heure, entre le boulevard René-Lévesque et la rue Saint-Antoine. Cette fermeture a causé énormément de congestion au centre-ville, d'autant plus que plusieurs partisans du Canadien se trouvaient dans le secteur pour assister au match de leurs favoris.


Se chauffer grâce à un centre de données


France - Se chauffer grâce à un centre de données
 
© AFP PHOTO / Kimihiro Hoshino


Peut-on chauffer des bâtiments grâce à la chaleur émise par des centres de données, dont les puissants serveurs informatiques constituent une source d'énergie jusqu'ici inemployée? L'expérience inédite va être tentée dès cet hiver dans un parc d'entreprises de Marne-la-Vallée.
Miser sur une «énergie de récupération« pour se passer des énergies fossiles, émettrices de CO2 et dont les cours flambent: c'est le coeur de ce projet qui utilise le centre de données d'une banque comme source d'un réseau de chauffage urbain pour alimenter les entreprises et bureaux alentour.
Les canalisations souterraines sont actuellement en cours de construction et les premiers clients devraient être raccordés dès cet hiver, a annoncé mardi Jean-Philippe Buisson, directeur Ile-de-France de Dalkia, filiale de Veolia Environnement et EDF spécialisée dans la production d'énergie.
À terme, le centre de données choisi permettra d'alimenter en chauffage et en eau chaude sanitaire jusqu'à 600 000 m2 de bâtiments et évitera l'émission de 5 400 tonnes de CO2 chaque année, selon ses calculs.
Au même titre que les incinérateurs de déchets ou les eaux chaudes rejetées par les piscines, les centres de données constituent des sources d'énergie de récupération non négligeables pour le chauffage alors qu'ils sont de plus en plus nombreux et de plus en plus puissants à travers la planète.
Un centre de traitement des données, est un site qui héberge des équipements et des ressources informatiques et électroniques. Ces installations, abritant serveurs informatiques, systèmes de refroidissement et systèmes électriques, sont «de très gros consommateurs en énergie».
Stabilité du prix à long terme
En avril 2010, l'organisation écologiste Greenpeace avait estimé dans un rapport que les centres de données consomment 1,5 à 2% de l'électricité globale, avec une croissance de l'ordre de 12% par an.
Selon M. Buisson, il y en aurait une centaine en France, dans les secteurs bancaires, de la téléphonie et de l'internet.
Dans le projet de Val-d'Europe, un parc d'activités de Marne-la-Vallée dont le développement est assuré par le groupe Euro Disney dans le cadre d'une convention avec les pouvoirs publics, c'est la chaleur émise par les systèmes de refroidissement du centre de données d'environ 10 000 m2 qui est récupérée.
Cette chaleur permettra de porter à 55°C l'eau présente dans un réseau souterrain auquel vont être progressivement raccordés les nouveaux bâtiments - entreprises, bâtiments publics, bureaux - qui seront construits sur ce parc d'activités d'une surface totale de 150 hectares (dont 30 ha aujourd'hui effectivement bâtis), précise Euro Disney.
Techniquement, outre l'absence d'émissions de CO2 supplémentaire, le système s'appuie sur une source qui «fonctionne 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7».
Économiquement, ce chauffage revient aux clients à 8 centimes le kW/h, soit «une gamme de prix inférieure à un chauffage électrique individuel mais un peu supérieure à une installation au gaz ou au fioul», en raison d'un investissement initial de «plusieurs millions d'euros», selon M. Buisson.
Avec l'avantage, précise-t-il, d'une «stabilité garantie» du prix à long terme car affranchie de la variabilité des prix des énergies fossiles.
Le réseau bénéficiera aussi à l'avenir de la chaleur émise par d'autres data centers attendus sur ce parc d'activités, indique Euro Disney, qui, pour chauffer son célèbre parc de loisirs tout proche, se tourne en revanche plutôt vers la géothermie.



On publie les noms et adresses de 25 000 policier


Autriche - Anonymous publie les noms et adresses de 25 000 policiers
 
©Twitter.com

La branche autrichienne du groupe de pirates informatiques Anonymous (AnonAustria) a publié lundi des données concernant près de 25 000 policiers autrichiens, a confirmé le ministère de l'Intérieur autrichien après l'annonce d'AnonAustria sur son compte Twitter.
Le groupe nie avoir piraté les sites des autorités, indiquant que les informations - nom, prénom, date de naissance et adresse - lui ont été «mises à disposition».
Ces données auraient été obtenues via une organisation proche de la police, a indiqué le ministère de l'Intérieur, qui mène l'enquête.
AnonAustria entend par cette action protester contre la loi sur le stockage des données qui doit entrer en vigueur l'année prochaine: «Personne n'a rien à cacher, n'est-ce pas?», a commenté AnonAustria sur Twitter.
Les pirates d'Anonymous se sont attaqués ces derniers mois en Autriche aux sites du parti d'extrême droite FPÖ, du parti social-démocrate SPÖ et aux données de l'organisme GIS, chargé de la collecte la redevance audiovisuelle.


REF.:

mercredi 28 septembre 2011

La justice de l'enfer est a l'endroit ?


Affaire Claude Robinson - Cinar refuse de payer
Claude Robinson 
©Eric Bolte/Agence QMI
Affaire Claude Robinson

Cinar refuse de payer

MONTRÉAL – La compagnie de production Cinar a demandé vendredi à la Cour d’appel du Québec la suspension de l’application de son jugement rendu dans l’affaire Claude Robinson, a rapporté Radio-Canada.
Dans un jugement rendu le 20 juillet dernier, la Cour d’appel avait ordonné à Cinar et ses associés de verser 2,7 millions $ plus les intérêts au créateur Claude Robinson pour le plagiat de son œuvre «Robinson Curiosité» en 1995.
Claude Robinson s’est montré très déçu de ce jugement de la Cour d’appel qui ne lui accordait pratiquement que la moitié des dédommagements que lui avait attribués la Cour supérieure en 2009.
«On dit que pendant 16 ans j'ai eu raison de poursuivre, avait-il déclaré à la suite du jugement de la Cour d’appel. J'ai dit la vérité. On confirme que c'est un plagiat et là on me punit. Je ne comprends pas.»
Estimant que cette somme réduite ne lui permettrait même pas de rembourser ses avocats, il a décidé de poursuivre sa bataille en Cour suprême du Canada.
Cinar craint toutefois qu’en versant maintenant le montant dû, elle ne puisse pas le récupérer si jamais la Cour suprême casse le jugement de la Cour d’appel.


Coopération: La solution,............La Coopérative Convivio

La Commission scolaire de la Capitale vient de conclure une entente avec une entreprise commerciale de Québec pour former une quarantaine d'élèves dans le programme de Certificat de formation à un métier semispécialisé (CFMSS).
À lire:
Il n'est pas nécessaire de réussir pour être diplômé
La Coopérative Convivio possède deux supermarchés IGA dans le secteur de Loretteville et s'apprête à en ouvrir un troisième à Val-Bélair. L'entreprise a un besoin pressant de maind'oeuvre dans 10 métiers d'alimentation.
Un premier groupe d'élèves débutera sa formation le 3 octobre et le second sera formé l'hiver prochain. Les élèves pourront, au terme de leur formation, recevoir le CFMSS du ministère de l'Éducation.
«Ces diplômes existent au ministère de l'Éducation sauf qu'ils ne sont pas exploités», signale Karen Daigle, directrice des ressources humaines chez Convivio.
Diplômer autrement
Pour accéder à ce programme, les candidats doivent être âgés de 15 ans, avoir suivi 200 heures de cours en français, 150 heures en mathématiques et 100 heures en anglais de 1re ou 2e secondaire, sans nécessairement avoir réussi ces cours.
«On donne une possibilité à une clientèle qui ne se plaît pas sur les bancs de l'école de se qualifier d'une façon différente. La formation est plus pratique, mais ça mène à un papier officiel du ministère de l'Éducation», explique Guylaine Boisvert, conseillère pédagogique au Centre d'éducation des adultes Saint-Louis, à la Commission scolaire de la Capitale.
Les élèves-employés recevront une formation pratique de 550 heures réparties sur six semaines dans les locaux et sur le plancher d'un supermarché Convivio et seront rémunérés au salaire minimum. Ils pourront choisir un métier semi-spécialisé d'alimentation, soit en boucherie, poissonnerie, charcuterie, fruits et légumes, service à la clientèle, etc.
Karen Daigle reconnaît qu'il s'agit là d'un moyen de recruter du personnel. Convivio emploie 300 personnes à ses deux magasins situés à Loretteville. L'entreprise aura besoin de 140 nouveaux employés à l'ouverture de son troisième magasin prévu pour la mi-novembre.


éviter de «faire du lynchage sur la place publique"



Ville de Québec - La ligne-dénonciation bientôt en service
Le maire de la ville de Québec, Régis Labeaume, dit innover avec son projet de ligne-dénonciation. 
©STEVENS LEBLANC/AGENCE QMI

Ville de Québec

La ligne-dénonciation bientôt en service

QUÉBEC — Le maire Régis Labeaume entend annoncer d’ici quelques semaines la mise en service d’une ligne-dénonciation à la Ville de Québec.
Le service permettra aux citoyens de dénoncer toute situation d’abus de la part d’un employé de la Ville, qu’il soit cadre, pompier, policier ou aux travaux publics.
«Je pense qu’on va innover pour tout le Québec», a déclaré le maire Régis Labeaume à propos de ce nouvel outil, qui sera géré par le vérificateur général de la Ville de Québec.
L’idée s’inscrit dans la foulée des mesures de bonne conduite adoptées en 2009, lesquelles sont applicables à tous les employés de la municipalité. «C’est un esprit qu’on veut créer à la Vill », a indiqué le maire Labeaume.
Son attaché de presse, Paul-Christian Nolin, a expliqué que la ligne-dénonciation devrait permettre d’éviter de «faire du lynchage sur la place publique».


mercredi 21 septembre 2011

Dunkin' Donuts aurait fait des offres a : Mario Plante et Jean-François Pelletier





Purge à la police de Montréal - Deux officiers supérieurs se font indiquer la sortie
 


Deux assistants directeurs, proches de l’ancien chef de police Yvan Delorme, se sont fait montrer la porte la semaine dernière, a appris le Journal. Lors du récent départ à la retraite d’un collègue, Mario Plante et Jean-François Pelletier auraient tenu des propos jugés déloyaux qui ont été la « goutte qui a fait déborder le vase» pour le directeur, Marc Parent.
Selon nos informations, les deux hommes ont encensé Jean-Guy Gagnon lors d’une cérémonie soulignant son départ à la retraite, le 6 septembre, au quartier général du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), tellement que cela a été perçu comme un manque de loyauté.
La semaine dernière, le directeur adjoint, Pierre Brochet, a fait venir les deux hommes dans son bureau, en présence du directeur du capital humain de la Ville de Montréal, Jean-Yves Hinse, avant de les inviter à partir, nous a-t-on dit.
Le chef Marc Parent devait rencontrer tous ses cadres le jour même, mais la rencontre a été annulée et reportée à jeudi.
Officiellement, les deux hommes sont toujours au service du SPVM, mais «leur affectation est à redéfinir», nous a confié une source.
Dans les faits, il serait surprenant que les deux officiers réintègrent leurs fonctions. On croit plutôt qu’ils vont quitter le service à la suite de négociations.
À la direction du SPVM, on a refusé de commenter ce que l’on qualifie de «régie interne».
Situation intolérable
Mario Plante et Jean-François Pelletier étaient membres du comité de direction.
Or, des sources nous ont dit que les membres du comité étaient constamment à couteaux tirés et que les réunions étaient infernales. « Les propos tenus lors de la cérémonie ont été la goutte qui a fait déborder le vase », nous a-t-on indiqué.
Mario Plante avait appuyé Jean-Guy Gagnon dans la course à la direction du SPVM, remportée par Marc Parent en 2010.
Jean-François Pelletier, pour sa part, est l’ancien bras droit de M. Gagnon à la Direction des opérations. MM. Plante et Pelletier sont également proches de l’ancien chef de la police, Yvan Delorme.
À la suite de son arrivée à la tête du SPVM, il y a un an, Marc Parent avait  «éloigné» MM. Plante et Pelletier du quartier général en les mutant respectivement à la tête des régions nord et ouest.
Un ménage?
Jean-Guy Gagnon, également proche d’Yvan Delorme, a quitté le SPVM il y a quelques semaines pour devenir conseiller spécial aux enquêtes à la Commission de la construction du Québec.
Le directeur Marc Parent vient de nommer à la tête des enquêtes spécialisées, à la Place Versailles, un ami et ex-chef de la police de Longueuil, Marc Saint-Laurent.
Ce dernier avait quitté le SPVM et pris sa retraite après avoir été battu par Yvan Delorme lors de la course à la direction de 2005. Il occupe le poste de directeur adjoint et a signé un contrat avec le SPVM.
Il a remplacé l’assistant directeur Jacques Robinette, muté au quartier général du SPVM.
Au cours de la dernière année et demie, au moins trois commandants des enquêtes spécialisées ont été affectés à d’autres tâches en raison d’enquêtes dont ils font l’objet.