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mercredi 3 août 2011

Travaux de toiture: La compagnie Laco Construction aurait la solution ;-)


Effondrement de la 720 - L'entrepreneur mis en cause

© Agence QMI

MONTRÉAL - Une erreur de la compagnie Laco Construction aurait pu provoquer l'effondrement dans le tunnel Ville-Marie, selon ce que TVA Nouvelles a appris.
EN 5 MIN:
La faute des travailleurs ?

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«Un miracle», dit Charest

D'après les observations préliminaires de sources proches du dossier, la firme responsable du chantier aurait fait une erreur sur un des murs de soutènement qui devait être refait à neuf.
Avant l'effondrement, les travailleurs s'affairaient à réduire l'épaisseur d'un mur de soutènement. Ils auraient enlevé trop de béton dans le haut du mur, fragilisant la structure sur laquelle reposaient la poutre de béton et les paralumes qui se sont retrouvés sur la chaussée, dimanche matin.
La compagnie Laco Construction n'a pas retourné les appels de TVA Nouvelles.
En attendant la suite, l'inspection se poursuit à l'intérieur du tunnel.
Au cours de la nuit, les inspecteurs vont s'affairer à retirer une poutre qui demeure instable. L'opération, réalisable à l'aide d'une grue imposante, nécessite l'approbation de la Commission de la santé et de la sécurité au travail (CSST) pour s'assurer que le tout est fait de façon sécuritaire. Obtenir le feu vert à chaque opération est obligatoire et ralentit les travaux en conséquence.
Lundi, la Sûreté du Québec (SQ) a confirmé qu'elle était sur le point de compléter sa propre enquête, qu'elle mène conjointement avec le ministère des Transports, sur la reconstitution des événements.
«Nos enquêteurs ont été présents toute la nuit sur les lieux pour recueillir les informations nécessaires», a confirmé Geneviève Bruneau, porte-parole de la SQ.
Dans la journée de lundi également, le ministère des Transports a rendu publics deux rapports, un datant de 2008 qui porte sur une inspection complète de la structure, et le rapport annuel de 2010.
Plus tôt, le Parti québécois avait exigé la publication de tous les rapports d'inspection, dénonçant du même coup la «culture du secret» qui a cours au ministère des Transports. 

samedi 30 juillet 2011

Mystique, mais pas Fou !


Justice - Télépathie en toute liberté
 


TROIS-RIVIÈRES | Boire son urine, parler aux anges et monter sur le toit de son immeuble avec une balayeuse pour aspirer «l'énergie positive» ne constituent pas des motifs d'internement psychiatrique, selon la Cour du Québec.
En tout cas, pas pour cet homme de 29 ans aux croyances pour le moins flyées, que le Centre hospitalier régional de Trois-Rivières voulait garder à l'écart de la société, en vertu de la «Loi sur la protection des personnes dont l'état mental présente un danger pour elles-mêmes ou pour autrui».
Le juge Pierre Labbé vient de conclure que ce fervent d'ésotérisme ne méritait pas d'être privé de sa liberté, malgré l'avis contraire de deux psychiatres qui l'ont évalué le mois dernier.
Un «facteur de vie»...
Sans antécédent de trouble mental, le patient avait été conduit à l'hôpital par les ambulanciers, début juin, à la demande de sa soeur qui s'inquiétait de son comportement. Refusant tout soin ou médication, le jeune homme sans emploi a cependant consenti à y subir deux examens psychiatriques.
«Le défendeur a exprimé qu'il est à un niveau supérieur de conscience qui lui permet de communiquer avec ses anges gardiens (...) par télépathie», a écrit un psychiatre dans son rapport.
Un deuxième psychiatre a relevé que l'homme montait «sur le toit de l'immeuble (où il habite) avec la balayeuse pour attirer l'énergie positive». Un aspirateur qu'il n'utilisait pas beaucoup chez lui puisqu'on lui reprochait de vivre dans un logement «insalubre».
Les rapports psychiatriques ajoutent qu'il lui arrivait de boire son urine, prétextant que «l'eau est un facteur de vie». Une pratique qui n'entraînerait pas pour autant un danger pour sa santé, d'après la preuve soumise en cour.
«Délire mystico-grandiose»
Les spécialistes ont estimé que le patient était «à protéger» en raison de son «délire mystico-grandiose très élaboré» et de son état «délirant».
Peu émus par les dires de celui qui prétend «combattre le mal par l'amour», les psychiatres étaient d'avis qu'il présentait un risque de dangerosité pour lui-même ou pour la population.
Devant le juge, l'adepte de la méditation a témoigné «avec calme et sans incohérence significative», expliquant ses comportements par son côté «spirituel et ésotérique» et réfutant toute intention malveillante.
«La preuve ne révèle pas que le défendeur a prononcé des paroles menaçantes ou qu'il a posé des gestes agressifs envers autrui. Il n'a aucunement mis sa personne en danger. (...) Les rapports des psychiatres ne contiennent pas de diagnostic médical précis. (...) La preuve ne révèle aucun élément de dangerosité qui serait non seulement immédiat mais prévisible» pouvant justifier une ordonnance de garde en établissement, a déterminé le juge Labbé.

Éviter la police ?




Pour ne pas avoir a se faire scanner sa licence par les polices,........ou a vous faire arrêter pour un ver de trop,....un silencieux défectueux ???

Que se soit en ville ou sur l'auroroute; il faut regarder 80% du temps dans votre miroir ,tout se passe derrière vous ! Ils font la même chose eux aussi ;-) Lorsque vous appercevez un poulet,arrêter et descender de l'auto pour mimer un gars qui cherche un resto !!! C'est petites bêtes la,adore courrir après un Lapin en fuite,car lorsque vous êtes hors véhicule ,pour eux le fun est finit ;-) C'est un vieux comportement néandertale qu'ils ne peuvent se débarrasser !
C'est comme y dirait ,fait pas ce que je dis,mais fait ce que je fait ?!!!!
Comme toujours se stationner de reculons pour sortir plus rapidement,garder une distance avec l'auto qui vous précède pour pouvoir la dépasser dans un bouchon de circulation,les chauffeurs de taxi font ça ! Et,..................a quoi ça sert un clignotant ;-)

y a t'il un pilote dans l'avion ?

vendredi 29 juillet 2011

La méphédrone: Drogués aux «sels de bain»


Santé | Dépendance - Drogués aux «sels de bain»
 


Une nouvelle drogue a fait son entrée à Montréal. Il s'agit de «sels de bain» à base de méphédrone qui procurent des effets euphorisants. Bien que marginale, sa consommation demeure inquiétante.
À LIRE ÉGALEMENT:
En 5 minutes: Une nouvelle drogue dangereuse
Selon le Service de police de la Ville de Montréal, 15 échantillons de «sels de bain» ont été analysés par le Bureau des drogues dangereuses, depuis janvier 2010. De ce nombre, 8 provenaient du Québec. Ces substances étaient, notamment, recueillies à la suite de saisies auprès de suspects.
Après avoir fait des ravages aux États-Unis et alerté l'Europe, cette nouvelle drogue a donc franchi la frontière canadienne.
La particularité de cette substance est qu'elle se présente comme un produit de consommation courant, c'est-à-dire des sels de bain ou des engrais pour plantes, en vente libre dans les supermarchés américains.
Toutefois, sa composition chimique a été modifiée, si bien qu'elle comprend de la méphédrone (MDPV), reconnue pour ses effets euphorisants, similaires aux effets des amphétamines, de la cocaïne et de l'ecstasy.
Produit interdit au Canada
«Santé Canada considère la méphédrone comme une substance contrôlée depuis le 19 juin 2008. Les produits contenant de la MDPV servent seulement à donner des sensations fortes aux gens qui les utilisent. Ils sont probablement vendus à titre de sels de bain pour éviter toute détection possible», rapporte Gary Scott Holub, des relations médias à Santé Canada.
Disant avoir à l'oeil ces produits, Santé Canada n'a pas été saisie d'une grande consommation, au pays.
«À moins d'être autorisée par règlement, toute activité impliquant la méphédrone, comme la production, l'importation, l'exportation, la distribution, le trafic et la possession, est interdite au Canada», indique M. Holub.
Malgré tout, certains s'en procurent en passant une commande par Internet. Parmi les produits disponibles, il y a des marques commerciales, alors que d'autres sortent tout droit d'un laboratoire clandestin.
Les drogues de synthèse se multiplient
Selon Jean-Sébastien Fallu, professeur agrégé à l'Université de Montréal, les «sels de bain» s'inscrivent dans la foulée des nouvelles drogues de synthèse, plus dangereuses les unes que les autres. «L'Europe en a vu apparaître 27, l'an dernier, un record», recense-t-il.
Comme il fait de la prévention en toxicomanie dans les lieux festifs de la métropole, par le biais de son Groupe de recherche et d'intervention psychosociale, il est bien branché quant aux tendances de consommation, dont ce qui entoure les «sels de bain».
«Son histoire d'utilisation chez l'humain est très récente, mais sa surconsommation semble clairement problématique. Il y a lieu d'avoir une certaine inquiétude», souligne-t-il.
Pour leur part, les ambulanciers d'Urgences-santé sont au courant de cette nouvelle drogue, mais n'ont pas encore eu à intervenir. Selon le porte-parole Éric Berry, le protocole à suivre, en cas d'intoxication, est le même que pour les autres stimulants.

Ces substances ne sont pas du «bonbon»
Plusieurs intervenants en toxicomanie s'inquiètent de la présentation de ces substances à la mode, qui portent des noms de « bonbons ». Les « speeds », par exemple, sont offerts sous différentes saveurs et couleurs.
« Marketing oblige, il y a toutes sortes de techniques de mise en marché, mais ça reste toujours la même chose : de la cochonnerie », croit Louis-Philippe Bertrand, conseiller à la Maison Jean Lapointe.
Le fait que les « sels de bain » sont facilement accessibles ne signifie pas, pour autant, qu'ils seront populaires. Selon Jean- Sébastien Fallu, on retrouve partout de la colle et des solvants, à peu de frais, mais leur consommation reste isolée. « Les gens connaissent les séquelles irréversibles que ces produits peuvent causer », soutient-il.

Des «sels» dommageables
Q Quels noms donne-t-on à cette drogue ?
R Ivory Wave, Purple Wave et Vanilla Sky.
Q Comment la consomme-t-on?
R Il s'agit d'une poudre chimique blanche qu'on peut inhaler, fumer ou s'injecter. Il est aussi possible de la diluer dans un liquide à boire.
Q Quels sont les risques sur la santé?
R Douleurs à la poitrine, augmentation du rythme cardiaque, agitations, hallucinations et évanouissements. Des consommateurs ont dû être hospitalisés et d'autres en sont, même, décédés.


Scandale des écoutes(News of the World): Le détective employé a agi «sur instructions»


Scandale des écoutes - Le détective employé a agi «sur instructions»
Le détective privé Glenn Mulcaire a été incarcéré quelques mois en 2007. 
© AFP / Archives


LONDRES - Le détective privé Glenn Mulcaire, protagoniste clé du scandale des écoutes du journalNews of the Worldincarcéré quelques mois en 2007, était «un employé» du tabloïde, qui a «agi sur instructions», ont assuré vendredi ses avocats.
Glenn Mulcaire a «effectivement travaillé pour leNews of the World (NotW) à partir de 2002 dans le cadre de ses fonctions de détective privé», ont rappelé ses défenseurs dans un communiqué.
Accusé d'avoir piraté les messageries téléphoniques de membres de la famille royale britannique, il avait été condamné à plusieurs mois de prison en 2007, avec un journaliste du NotW, Clive Goodman.
«En tant qu'employé, il a agi sur instructions», ont fait valoir ses avocats. Et «toute allégation selon laquelle il aurait agi de sa propre initiative est fausse».
«Dans certaines occasions également, il a compris que les instructions venaient de personnes qui souhaitaient authentiquement aider à la résolution de crimes», ont-ils poursuivi, sans plus d'explications, arguant que le détective ne pouvait «en dire plus pour l'instant en raison de l'enquête en cours».
Le News of the World, ex-fleuron de l'empire de presse de Rupert Murdoch brutalement fermé le 10 juillet pour tenter de limiter les dégâts, est soupçonné d'avoir pratiqué des écoutes sur quelque 4000 personnes dans les années 2000.
Rebekah Brooks, l'ancienne rédactrice en chef du tabloïde entre 2000 et 2003, et Andy Coulson, son successeur jusqu'en 2007, ont tous deux nié avoir autorisé le recours aux écoutes ou en avoir été informés.
Cette mise au point des avocats du détective intervient au lendemain de nouvelles révélations mettant à nouveau en cause leur client.
La mère d'une fillette assassinée en 2000 a été en effet informée par la police que ses coordonnées avait été retrouvées dans les papiers de Glenn Mulcaire et qu'elle pourrait donc avoir été écoutée, via un téléphone offert par le NotW avec lequel elle collaborait dans le cadre de son association pour la protection de l'enfance.
Le scandale, qui a déjà contraint à la démission plusieurs personnalités ces dernières semaines, dont deux des lieutenants de Rupert Murdoch, Rebekah Brooks et Les Hinton, ainsi que le chef de Scotland Yard, Paul Stephenson, a fait une nouvelle victime collatérale vendredi.
La directrice de la Commission d'auto-régulation des médias, Peta Buscombe, accusée de n'avoir pas joué son rôle de garde-fou dans l'affaire des écoutes, a annoncé qu'elle ne demanderait pas de renouvellement de son mandat qui s'achève au début de l'année prochaine.
Cette commission, normalement chargée de faire respecter un code de bonnes pratiques au sein des médias, avait été vivement critiquée dernièrement par le premier ministre David Cameron qui avait jugé qu'elle était «inefficace» et manquait «de rigueur».
Le chef du gouvernement a créé dans la foulée une commission d'enquête sur le scandale des écoutes, chargée d'établir les responsabilités, mais aussi de se pencher sur les questions d'éthique dans la presse.


Le Carnage de Norvège: Behring Breivik projetait d'autres attaques


Norvège - Behring Breivik projetait d'autres attaques
Anders Behring Breivik a reconnu être l'auteur du carnage qui a tué 76 personnes. 
©AFP/ Aftenposten/ Jon-Are Berg-Jacobsen
Il voilait éliminer les musulmans de la place !

OSLO - Anders Behring Breivik, l'extrémiste norvégien qui a reconnu être l'auteur du carnage qui a ensanglanté la Norvège il y a une semaine, projetait d'autres attaques, a indiqué son avocat, cité par un journal norvégien vendredi.
«Il a eu plusieurs projets d'ampleur différente ce vendredi-là», a déclaré l'avocat Geir Lippestad, cité par le quotidien Aftenposten.
EN VIDÉO:
Le plan diabolique de Breivik

«Des choses se sont produites ce jour-là, sur lesquelles je ne veux pas revenir, qui ont fait que les choses se sont déroulées différemment de ce qu'il avait prévu», a-t-il ajouté.
Interrogée en conférence de presse vendredi après-midi, la police norvégienne a dit qu'elle «ne souhaitait pas commenter».
«Ce qu'on peut simplement dire au niveau opérationnel c'est qu'avec les renseignements obtenus au stade initial de l'enquête et aux éléments publiés (par Behring Breivik ndr), nous avons inspecté une dizaine d'endroits pour voir s'il y avait une quelconque menace, et nous n'avons pas trouvé quoi que ce soit», a dit un responsable de l'enquête, John Frederiksen.
Placé en détention provisoire, Behring Breivik, 32 ans, a avoué être l'auteur de la fusillade le 22 juillet contre des jeunes travaillistes sur l'île d'Utoeya, près d'Oslo, et de l'attentat à la voiture piégée qui a visé juste auparavant le siège du gouvernement.
Selon le dernier bilan de la police, 76 personnes sont mortes dans ces deux attaques.


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