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lundi 28 mars 2011

Le Yéti , y est t'y ?

 
 

Les autorités d'une région de Sibérie ont annoncé mercredi leur projet d'ouvrir un institut scientifique spécialisé dans la recherche sur les yétis, créatures légendaires, objets de nombreux mythes y compris en Russie. «Créer un institut ou un centre scientifique serait la continuation logique des recherches menées sur le yéti», a indiqué l'administration de la région de Kemerovo en Sibérie occidentale, dans un communiqué.
La région pendra sa décision finale après l'organisation d'une conférence internationale sur les yetis prévue dans l'année, selon cette même source.
«La ville de Tachtagol va organiser une conférence internationale avec des experts sur les hominidés. En fonction des résultats, nous prendrons notre décision concernant l'ouverture d'un institut de recherche scientifique pour étudier le yéti», ajoute-t-il.
Le yéti, est une créature légendaire censée vivre dans le massif de l'Himalaya.
Mais certains considèrent qu'en Russie vit également une population de yétis, appelés en russe «hommes des neiges», dans des endroits isolés de Sibérie.
Selon un spécialiste russe du yéti, Igor Bourtsev, cité dans le communiqué des autorités de Kemerovo, une trentaine de scientifiques russes étudient actuellement ces créatures et pourraient travailler ensemble dans le centre.
«Nous pensons que le yéti est une lignée séparée de l'évolution humaine. Il vit en harmonie avec la nature», a ajouté M. Bourtsev.
Ce dernier avait précédemment déclaré à l'agence Itar-Tass qu'il était prévu d'ouvrir l'institut au sein de l'université d'Etat de la région.
Celle-ci a cependant démenti cette information, précisant dans un communiqué qu'«étudier les yétis ne faisait pas partie des sujets de recherche des équipes scientifiques de l'université».
La région de Kemerovo utilise néanmoins la présence présumée de ces créatures pour attirer les touristes, et organise notamment tous les ans une «Journée du yéti». Une compétition de sculptures sur glace intitulée «Dans le monde des yétis» sera également organisée cette année.

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dimanche 27 mars 2011

C'est quoi la différence entre une Guerre et un Tsunami ?

Il n'y en n'a pas ,....................les deux sont bon pour stimuler l'Économie ;-)
Concernant le japon,il y a beaucoup de richesse,beaucoup de vieux, et l'économie est stagnante a cause de cela,car les vieux qui sont majoritaires,ne voit pas l'intérêt d'investir comme le ferait la majorité des jeunes.Alors maintenant les vieux sont obliger de rebâtir leurs maisons détruites !


Japon - Le séisme pourrait coûter jusqu'à 217 milliards d'euros
Des soldats japonais disposent des cercueils de victimes du tremblement de terre/tsunami. 
© AFP

OSAKA - Le gouvernement japonais a estimé mercredi que le séisme et le tsunami du 11 mars pourraient coûter jusqu'à 217,4 milliards d'euros (302 milliards $ can) à la troisième puissance économique mondiale. Ce chiffre correspond au montant évalué des dégâts sur les infrastructures, les logements et les entreprises du nord-est du Japon, dévasté par la catastrophe du 11 mars, a précisé le cabinet du Premier ministre, ajoutant que ces dommages pourraient abaisser la croissance du Produit intérieur brut de 0,5 point de pourcentage.
Le coût final pourrait être plus élevé au final, car cette estimation ne prend pas en compte l'impact des coupures d'électricité dans la région de Tokyo, provoquées par l'arrêt de centrales nucléaires et thermiques depuis le séisme.
Le gouvernement a toutefois ajouté que les travaux de reconstruction nécessaires sur la côte Pacifique du nord-est permettraient un certain rebond de l'activité et de la consommation dans l'archipel.


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samedi 26 mars 2011

Abus policiers: Profilage racial: «une victoire» contre la Ville de Montréal,.....Dany va être contant !

Abus policiers - Profilage racial: «une victoire» contre la Ville de Montréal
 
©Agence QMI/Archives

Même si elle est trouvée coupable d’une infraction criminelle, une personne qui se croit victime de profilage racial pourrait désormais porter sa cause devant le Tribunal des droits de la personne, a tranché mardi la Cour d’appel du Québec. Pour la Commission des droits de la personne et de la jeunesse (CDPDJ), il s’agit là «d’une importante victoire juridique», alors qu’elle se heurte depuis des années au «refus de collaborer» de la Ville de Montréal, lorsque son tribunal est saisi d’un dossier de profilage racial.
«Cette décision nous facilitera énormément les choses. Si une personne est trouvée coupable, cela ne nuira plus à sa demande d’examiner ensuite la question du profilage racial», a indiqué le président de la CDPDJ, Gaétan Cousineau.
Ce dernier croit que la décision de la Cour d’appel permettra de relancer une douzaine d’enquêtes de profilage racial qui étaient au point mort, en raison de la «contestation judiciaire» du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
«C’est le cas notamment d’un jeune Noir, dont la plainte remonte à 2003. Le jeune garçon, mineur au moment des faits, s’est vu remettre un constat d'infraction par des agents du SPVM en vertu du règlement municipal sur la propreté, parce qu'il était assis sur une clôture près de sa résidence, dans le quartier Saint-Michel. Il n’a pas contesté et a donc été trouvé coupable, mais le geste en reste un de profilage racial», a expliqué M. Cousineau.
«Selon l'enquête menée par la Commission, les policiers ont eu un comportement méprisant et discriminatoire à l'endroit du jeune et ont associé ses amis aux “gangs de rue”. Nous pourrons maintenant relancer cette cause», a-t-il ajouté.
Une soixantaine de dossiers sous enquête
À l’heure actuelle, cinq dossiers reliés à un acte de profilage racial sont devant le Tribunal des droits de la personne. Selon M. Cousineau, de 60 à 65 autres plaintes sont aussi à l’étude.
«Plusieurs [de ces plaintes] ne débloquent pas à cause du manque de collaboration de la Ville. Ce jugement va venir changer les choses», a dit M. Cousineau.
Le SPVM n’a pas commenté le jugement, mardi. Du côté de la Ville, la porte-parole Martine Painchaud a réitéré la position de l’administration Tremblay à l’effet que «c’est tolérance zéro en matière de profilage racial à Montréal».
«S’il y en a, ce sont des cas isolés», a-t-elle ajouté.
Le parti d’opposition Projet Montréal a salué, par la voix de son porte-parole Alex Norris, la décision de la Cour d’appel. «Nous avons toujours trouvé complètement farfelu l'argument de l'administration Tremblay et du SPVM voulant qu'une personne ne puisse être victime de profilage racial si elle est trouvée coupable d'une infraction», a déclaré le conseiller de Projet Montréal.
Après cette première «victoire» contre la Ville de Montréal, la CDPDJ espère maintenant remporter la prochaine manche juridique dans ce dossier, qui est actuellement devant les tribunaux. La Commission demande à ce que le droit au silence des policiers ne s’applique plus lors des affaires traitées au Tribunal des droits de la personne.

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Le CAPQ offre maintenant des cours d’extermination pour le personnel d’entretien des services publics

Hygiène - Se débarrasser soi-même des punaises de lit?
 
©Agence QMI/Archives
Hygiène

Se débarrasser soi-même des punaises de lit? Les fonctionnaires économisent !$!...........


Les punaises de lit peuvent se retrouver partout, dans les hôtels, les restaurants, les camions de déménagement ou même les voitures de taxi. C’est pourquoi le Centre anti parasitaire du Québec (CAPQ) offre maintenant des cours d’extermination pour le personnel d’entretien des services publics, ce qui ne plaît pas aux exterminateurs. Moyennant 200 $ plus taxes par cours, le CAPQ propose quatre cours sur l’extermination, les mêmes que ceux donnés aux professionnels, dans la région de Montréal ou ailleurs au Québec sur demande.
Les étudiants inscrits peuvent ensuite passer un examen pour finalement obtenir le permis d’appliquer des pesticides.
Au Québec, depuis quelques années, un certificat du Ministère de l’Environnement est exigé pour autoriser une entreprise ou un particulier à utiliser les pesticides homologués dans la province.
Les étudiants doivent maîtriser la Loi sur les pesticides, les méthodes d’application et la toxicité des produits.
Christian Beaulieu, directeur général du CAPQ, est convaincu qu’en formant un seul employé par entreprise, «la lutte sera plus efficace contre les parasites. Le temps de réaction est plus court et cela permet de faire plus de prévention. Les propriétaires n’auront plus d’excuses pour se déresponsabiliser du problème», a-t-il affirmé.
Ce dernier est aussi persuadé qu’il pourrait coûter moins cher aux entreprises d’assurer leur «propre gestion parasitaire».
«Dans l’industrie, il n’y a pas de barème de prix, c’est la compagnie qui décide combien vaut le travail d’extermination à faire», a expliqué M. Beaulieu.
Yves Surprenant, porte-parole de l’Association québécoise de la gestion parasitaire (AQGP), qui représente une soixantaine d’entreprises d’extermination, a estimé que ces cours ne seront pas rentables pour les entreprises.
«Ça va leur revenir au même prix de faire appel aux services d’un exterminateur et en plus, ils devront se procurer une couverture d’assurances pour couvrir les risques d’empoisonnement», a-t-il avancé.
En plus de payer pour la formation d’un ou de plusieurs employés, l’entreprise doit aussi se procurer un permis d’une valeur d’environ 250 $ pour acheter les produits nécessaires.
«C’est un manque de respect pour les techniciens. Il faut vraiment les connaître, ces insectes-là», a déploré M. Surprenant.
En 2010, l’Office municipal d’habitation de Montréal a reçu 1859 requêtes concernant un problème d’infestation de punaises de lit, une augmentation de près de 900 % par rapport à 2006.

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