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mardi 14 septembre 2010

La fin du monde(de leur Monde) des personnes âgées est t'il arrivé ?

Aînés - Attaqué dans son lit
Les yeux tuméfiés, deux dents cassées, Wilfrid Cyr, égaré, reçoit un baiser de sa fille Martine.
© Serge Labrosse/Agence QMI

Aînés

Attaqué dans son lit(les problêmes commence,y reste juste des plaîntes et des accusés a venir !!!)

Battu et abandonné dans son sang, vendredi, sur son lit d'une résidence de Lachine spécialisée dans les lourds cas de démence et de troubles de comportement, un homme de 83 ans est resté, depuis, dans un état de confusion avancée.

À LIRE ÉGALEMENT:

L'agresseur «présumé» a été pris

Wilfrid Cyr, un citoyen de Lachine, a dû être «placé», il y a six mois. Atteint de la maladie d'Alzheimer, il errait et chutait partout.

Après six mois au pavillon Camille Lefebvre (Centre hospitalier de Lachine), il a été transféré, en mars, à l'ex-Hôpital général de Lachine, transformé en résidence temporaire pour personnes en perte d'autonomie, après qu'on ait jugé qu'il devenait trop agressif.

Comme il chute aussi de son lit durant son sommeil, M. Cyr y dort sous contention.

Il était ainsi attaché, incapable de bouger de son lit, vendredi, lorsque, selon ses filles Martine et Marielle, il a été sauvagement attaqué.

Du sang partout

«Il aurait été battu vers 6h30 le matin, mais on ne m'a prévenue que vers 8h30, relate Martine. Quand je suis arrivée à la résidence, les ambulanciers étaient autour de lui. Il avait le visage plein de sang et deux dents cassées.»

«J'ai sauté, c'est sûr ! J'ai alors appris qu'un patient, arrivé la veille, serait sorti de la chambre de mon père juste avant qu'on le trouve en sang. Cet homme a été isolé, depuis. Il est très agressif. Il déchire tout son linge et il faut trois préposés pour le déplacer.»

Martine Cyr est très amère à l'égard du coordonnateur du centre, Yves Lavoie, qui, lui, refuse de répondre aux questions du Journal.

«Tout ce qu'il m'a dit, c'est que »ce sont des choses qui arrivent« et que je devais me calmer, ajoute-t-elle. On a dû appeler nous-mêmes la police, parce que M. Lavoie ne le faisait pas. Une policière, qui a vu mon père, a pourtant dit que c'est plus qu'une simple voie de fait : c'est une agression avec lésions graves.»

«À l'hôpital, vendredi, on a fait deux points de suture à notre père, près de l'oeil. Mais pas de scan, ni même de radiographies», s'étonnent les filles de la victime.

Complètement hagard

Wilfrid Cyr a été ramené à la résidence où il a été attaqué et y séjournait depuis samedi soir, complètement hagard et incapable de répondre aux questions, dans un fauteuil roulant où on le gardait attaché.

Lors de la visite du Journal, hier, le personnel du centre arrivait tout juste à le tenir éveillé, quelques secondes, pour tenter, en vain, de communiquer adéquatement avec lui, avant de quitter la chambre.

En fin d'après-midi, la famille a finalement exigé que Wilfrid Cyr soit retourné à l'urgence d'un hôpital. Il n'avait pas mangé depuis au moins deux jours.

Murielle Cyr a repris contact avec Le Journal pour dire que la direction de l'ex-Hôpital général de Lachine s'y est d'abord opposée, alléguant que les signes vitaux de M. Cyr étaient normaux, dit-elle.

Les ambulanciers, en revanche, lui auraient confié, chemin faisant vers l'hôpital, que sa pression et son pouls étaient très bas...

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N’importe qui peut ouvrir une résidence pour aînés

Habitation - N’importe qui peut ouvrir une résidence pour aînés


MONTRÉAL – Si les employés des garderies et des écoles doivent se soumettre à une vérification de leurs antécédents judiciaires avant d’être embauchés, ce n’est pas le cas des employés des résidences privées pour personnes âgées et encore moins de leur propriétaire.

Le ministère de la Santé et des Services sociaux a assoupli cet été les normes de vérification des antécédents des employés et des propriétaires, selon le quotidien La Presse. Le gouvernement Charest a ainsi décidé de laisser les agences de la santé gérer elles-mêmes la situation.

Avant le début de l’été, les agences devaient vérifier les dossiers de tous les propriétaires, mais cette procédure a changé.

Aujourd’hui, les agences ne les vérifient que si elles ont des doutes, se fiant ainsi à leur «bonne foi». Des recherches de cet ordre ne se feraient que dans 1 % des cas des propriétaires fautifs.

Toujours selon La Presse, le gouvernement serait aussi beaucoup moins strict en matière de sécurité incendie. L’assujettissement aux normes en cette matière étant un des plus ardus pour les résidences privées désirant obtenir leur attestation officielle, le ministère aurait décidé de les assouplir pour faciliter le processus bureaucratique.


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mercredi 18 août 2010

Les pires dents vissées de la planète LOL !


http://www.francoischarron.com///-/d0RXyE6uR0/menu/

ça sécrétionne Bozzzwelle !

Un pied se tire dans l'pied !

Un policier se tire une balle dans la jambe


TORONTO – Un policier de Toronto, professeur de maniement d'armes à feu, s'est tiré une balle dans le pied. Enfin... presque. La balle l'a atteint à la jambe droite.

L'accident est survenu lundi au champ de tir de l'école de police du service de police de Toronto.

Le formateur de 33 ans a été conduit dans un hôpital de la ville pour être soigné d'urgence.

«Nous enquêtons sur la situation, et sur les événements ayant mené à l'accident, a expliqué la constable Wendy Drummond, porte-parole de la police de Toronto. Il n'y a qu'un officier d'impliqué, et il s'agit d'un accident survenu lors d'un entraînement. Il s'est lui-même infligé sa blessure.»

Mme Drummond a indiqué qu'elle ignorait quelles étaient les circonstances au moment de l'accident, notamment à savoir si la balle a été déchargée lorsque le policier vidait son arme. Il semble cependant que l'agent ne visait pas une cible lorsque l'arme s'est déchargée.REF.:

mercredi 4 août 2010

transparence ou non ?

Services de renseignement - L'affaire Wikileaks pourrait favoriser le retour au secret
Le secrétaire américain à la Défense Robert Gates (à gauche) et le chef d'état-major des armées des États-Unis Mike Mullen en conférence de presse au Pentagone à Arlington, en Virginie, le 29 juillet dernier pour discuter de l'impact de la publication de plus de 90 000 documents sensibles de l'armée sur le site wikileaks.
© Chip Somodevilla/Getty Images/AFP


Services de renseignement

L'affaire Wikileaks pourrait favoriser le retour au secret


La publication par le site Wikileaks de milliers de documents militaires secrets sur la guerre en Afghanistan pourrait porter un coup d'arrêt au mouvement de décloisonnement et de partage d'informations entre agences de renseignement américaines, estiment des experts.

«C'est destructeur à de nombreux niveaux», estime le général de l'Armée de l'air à la retraite et ancien chef de la CIA Michael Hayden, interrogé sur cette affaire en marge de la conférence Black Hat sur la sécurité informatique qui s'est achevée jeudi à Las Vegas.

«Dans les années qui ont suivi le 11-Septembre, dès que quelque chose n'allait pas, je me faisais taper sur les doigts par les deux partis pour n'avoir pas assez partagé» l'information, se souvient l'ancien chef de la centrale de renseignement américaine. «Nous disions aux sénateurs: 'oui, oui, nous allons partager', mais notre conscience nous disait qu'il y avait de réels dangers à partager. C'est ce qu'on vient juste de constater», poursuit-il.

La diffusion de 92 000 documents militaires confidentiels par Wikileaks met en lumière les défis que l'ère numérique fait peser sur la sécurité en rendant possible l'exposition au public de gigaoctets de données d'un simple clic de souris, soulignent des analystes.

«Faciliter le partage (de données) et ensuite faire confiance aux gens pour qu'ils agissent au mieux, cela ne fonctionne pas», souligne James Lewis, expert en cybersécurité du Center for Strategic and International Studies.

Wikileaks n'a pas révélé la source des documents publiés, mais les soupçons se sont tournés vers Bradley Manning, un analyste du renseignement de l'Armée de terre actuellement détenu dans une prison militaire américaine au Koweït.

Arrêté en mai, il est soupçonné d'avoir transmis à Wikileaks une vidéo montrant le raid d'un hélicoptère de l'armée américaine qui avait provoqué en 2007 la mort de deux employés de l'agence de presseReuters et de plusieurs autres personnes à Bagdad.

Le Pentagone a indiqué en juin qu'il enquêtait sur la possible transmission à Wikileaks par Bradley Manning de vidéos et de 260 000 câbles diplomatiques confidentiels.

Manning se situait relativement bas dans la hiérarchie militaire et s'il s'avère qu'il a effectivement transmis ces informations, cela met en évidence le risque d'un partage trop large de l'information, juge M. Hayden.

«Cela devrait servir d'avertissement à tout le monde», estime celui qui a également brièvement dirigé la NSA (National Security Agency) avant de prendre sa retraite en 2009. Il prédit que «la réaction à cette affaire va être un rejet de la transparence» de la part du monde du renseignement.

Pour lui, les agences ont en fait besoin de travailler encore plus étroitement avec des spécialistes de sociétés privées de nouvelles technologies afin de renforcer les outils internes permettant de partager l'information.

Les ordinateurs pourraient ainsi être programmés pour s'éteindre automatiquement quand de grandes quantités de données sont téléchargées, ou être équipés d'un logiciel permettant d'enregistrer tout ce qui est tapé sur un clavier.

«Je ne pense pas qu'il y aura de retour de balancier», juge Melissa Hathaway, ancienne «Madame cyberespace» du gouvernement qui a rejoint le secteur privé en 2009, interrogée pour savoir si l'affaire Wikileaks risque d'inciter les agences à retourner au cloisonnement.

Mais «je suis sûre que les gens marqueront une pause avant d'appuyer sur la touche 'envoi'. Ils y réfléchiront à deux fois».



Transparance

St-Hubert serait jaloux de la reine de la poitrine

États-Unis - Opération d'urgence pour la reine de la poitrine
Sheyla Hershey
©Agence QMI/Archives

La femme qui a été dotée de la plus forte poitrine au monde a subi une opération d’urgence pour guérir une infection staphylococcique à ses deux seins.

«Tout s’est bien passé. C’est douloureux. Dans une semaine, nous saurons si je vais pouvoir garder ou non mes implants», a écrit la Brésilienne Sheyla Hershey sur son site web.

Elle a affirmé qu’elle a dû se faire opérer mardi après s’être évanouie en se rendant à son auto.

Son infection, qui a déjà nécessité une intervention plus tôt ce mois-ci, aurait été contractée lors d’une réduction mammaire la faisant passer d’un bonnet M à KKK.

Il s’agit de ses premières complications après 30 opérations au buste.

Sheyla Hershey a subi ses dernières augmentations mammaires au Brésil, selon ABC News, parce que le Texas interdit d’insérer plus d’un gallon de silicone dans le corps humain en raison des risques de toxicité.



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«Le parc Fredy-Villanueva»

Marche en l'honneur de Fredy Villanueva - Une affiche qui fait jaser
Une affiche annonçant la marche en l'honneur de Fredy Villanueva suscite la controverse dans le quartier Montréal-Nord.
© Agence QMI

MONTRÉAL – À quelques jours d’une marche commémorant la mort du jeune Fredy Villanueva, l’affiche qui en fait l’annonce suscite la controverse dans le quartier Montréal-Nord.

On peut y lire: «Fredy Villanueva, tué par Jean-Loup Lapointe, un agent du SPVM» ainsi que le numéro de matricule de l’agent qui a abattu le jeune homme le 9 août 2008.

Des affiches ont été apposées aux quatre coins du quartier par les proches de la famille.

Le parc Henri-Bourassa, où se sont déroulés les tristes événements, est également rebaptisé «parc Fredy-Villanueva» sur les affiches.

Une citoyenne du quartier, qui a préféré conserver l’anonymat, dénonce la situation.

«La famille a couru après le trouble, s’insurge-t-elle. Ils sont dans le trouble, et là ils nous demandent à nous, les citoyens, de se mettre en arrière d’eux? Non. On n’est pas d’accord. Les commerçants ne sont pas d’accord, les employés ne sont pas d’accord, les citoyens ne sont pas d’accord.»

Le cousin de Fredy Villanueva, Anthony Clavasquin, se défend bien de vouloir semer la controverse avec cette affiche. «C’est pas pour incrimination ou quoi que ce soit, explique-t-il. C’est la vérité, c’est tout.»

Dans la rue, les opinions sont plus partagées. «J’aimerais qu’on soit un plus discret d’ici à ce que l’enquête soit terminée», dit une passante.

Un homme croisé à la sortie d’un commerce croit quant à lui qu’il est important de se remémorer la tragédie. «Il faut qu’on souligne l’anniversaire, parce qu’il est mort innocemment», estime-t-il.

La marche, qui est organisée par la famille Villanueva, se tiendra dimanche après-midi dans les rues de Montréal-Nord.


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