Rechercher sur ce blogue

vendredi 20 janvier 2012

Futur terrosiste a l'école de perfectionnement ?


Autant d'Iraniens que de Québécois au doctorat ?

C'est ce qu'ont fait plusieurs terroristes aux usa,en suivant des cours de pilotage en sol américain,avant la catastrophe du 911.J'espère que SCRS suit ça de prês.

 MONTRÉAL – L'école Polytechnique de Montréal, fleuron de l'enseignement en ingénierie de la province, connait depuis quelques années une hausse fulgurante de son nombre d'étudiants iraniens au programme de doctorat.
Ainsi, près de 170 candidats au doctorat sont originaires de la République islamique d'Iran comparativement à 183 Québécois inscrits. La progression est fulgurante, puisque quatre ans plus tôt, en 2007, on ne dénombrait que 64 étudiants iraniens au doctorat.
« Beaucoup d'étudiants veulent poursuivre des études supérieures de qualité », a expliqué Rouhollah Dermanaki Farahani, postdoctorant en génie mécanique à Polytechnique.
Arrivé au pays en mai 2008, il comptait terminer ses études et retourner en Iran, mais l'attrait de Montréal l'a marqué. « J'avais un bon travail là-bas, mais la qualité de vie, de l'éducation et la liberté d'ici, c'est meilleur, a-t-il dit. La majorité des autres étudiants iraniens ne veulent plus partir, une fois la période d'adaptation complétée. »
Comme près d'une soixantaine de ses collègues, M. Farahani a récemment obtenu son statut de résident permanent. Une situation qui ne surprend pas Houchang Hassan-Yari, professeur au Collège Royal militaire du Canada et membre de l'Observatoire Moyen-Orient et Afrique du Nord de la Chaire Raoul-Dandurand de l'UQAM. « Il y a des gens qui cherchent à continuer une vie comme ici, avec nos libertés qui n'existent pas là-bas. La vie est très difficile en Iran si on n'est pas associé au gouvernement », a-t-il souligné.
Des études de luxe
M. Hassan-Yari a expliqué cet exil iranien par les contraintes scolaires rencontrées dans ce pays d'Asie occidentale. « Chaque année, il y a 1,2 million d'étudiants qui terminent leur secondaire et veulent aller dans les universités qui n'ont une capacité que pour 12 % de ceux-ci».
La possibilité de faire des études de haut niveau représente donc un prestige, pour les Iraniens, toujours selon Houchang Hassan-Yari. « Ils se préparent à merveille et font beaucoup d'effort pour être acceptés à l'étranger», a-t-il fait savoir.
Le résultat est que de plus en plus de ressortissants iraniens fréquentent des universités canadiennes, américaines et européennes. Un plus pour ces pays, qui accueillent ces étudiants déjà détenteurs de diplômes. « Un lourd investissement de l'Iran qui nous profite par la suite », a ajouté le professeur Hassan-Yari.


REF.:

Aucun commentaire:

Publier un commentaire

A l'envers c'est a l'endroit ,.........vous vous en appercevrez a un moment donné !