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mardi 17 mai 2011

Et si la femme de ménager était payer par la CIA ?

C'est pour éliminer DSK définitivemnent de la future présidence de la France et/ou le déloger du FMI ? qui sait ? Ou bien la France a voulu brûler DSK ,car le scandale aurait venu le chercher de toute façon,oui,mais aux USA si un premier ministre demande pardon comme mettons Clinton ,les pauvres gens lui pardonne et il continu sa besogne quand même.
Mais de toute façon,ça prend un tordu pour faire ce métier la ! Et si c'est une bête de sexe,alors la ,y a bien des femmes qui ne s'exprime pas dans la presse écrite pour tout ces grosses poches de dirigeants la,les gérants de banques,les oligarques,les ministres,les fonctionnaires,les multimillionnaires,les vedettes,les stars,les patrons,les gagnes de toute sorte,les big professionnelles,etc........... !


Dominique Strauss-Kahn et les femmes - Un dénouement prévisible
Dominique Strauss-Kahn
© AFP / Emmanuel Dunand
Le FMI est inquiet !


MONTRÉAL - Un journaliste avait déjà prédit que Dominique Strauss-Kahn aurait éventuellement des problèmes au cours de sa carrière à cause de son comportement avec les femmes.
Invité à l’émission de Denis Lévesque, Jean Quatremer, correspondant à Bruxelles pour le journal Libération, s’avoue néanmoins surpris, comme tout le monde, des accusations à l’égard du directeur du Fonds monétaire international.
«Entre quelqu’un qui pratique une certaine vulgarité dans son approche de la gent féminine et quelqu’un qui viole brutalement une femme de ménage, il y a quand même une marge», a-t-il dit.
«French lover»
Avant de s’aventurer plus loin, le journaliste a évoqué les différences qui séparent la France des États-Unis sur la notion de viol: «On est aux États-Unis. C’est vrai que la notion de viol est beaucoup plus large que chez nous, en France». Selon lui, l’affaire aurait été étouffée, si elle s’était produite à Paris.
Pour ce journaliste, la France entretient une relation très particulière avec la figure du «french lover». Chez nos cousins français, le harcèlement sexuel fait presque partie de la normalité, d’après M. Quatremer, et la chose a été pénalisée il y a peu de temps, sous l’impulsion de l’Union européenne. «Même chose pour le viol à l’intérieur du mariage», a-t-il précisé.
Attitude de «prédateur»
S’il a généralement été épargné par les médias sur ce point, la réputation de M. Strauss-Kahn à l’endroit des femmes est pourtant bien connue depuis longtemps, selon Jean Quatremer. «C’est un secret de polichinelle dans le petit monde politico-médiatique français», où les hommes politiques peuvent aller très loin sans avoir à s’inquiéter.
M. Quatremer a suivi DSK quand il était ministre des Finances, «un très bon ministre, d’ailleurs». Il a été en mesure de bien saisir le personnage.
«J’ai assisté à des scènes ou il proposait, devant témoins, des relations sexuelles à des femmes […] des choses absolument effarantes et humiliantes pour une jeune femme, considérée comme un morceau de viande.» Plusieurs femmes journalistes ont abondé dans le même sens ensuite.
«Il s’est comporté comme un prédateur», a déclaré le journaliste de Libération, qui refuse de participer à cette «complicité insupportable», cette «omerta» des médias. Pour Jean Quatremer, la carrière de DSK est terminée, ce qui est «réjouissant pour la cause des femmes en France».

-La théorie d'un complot, aux yeux de ses tenants, est d'autant plus plausible qu'il ne s'agirait pas de la première manipulation politique en France.
Dans les années 1960, le futur président Georges Pompidou avait fait l'objet d'une manipulation avec de fausses photos impliquant son épouse. Plusieurs scandales judiciaires des années 1990, dont le dossier des fausses factures des HLM de Paris, ont été suscités par des plaintes politiques.
Plus récemment, en 2004, la diffusion de fausses listes de comptes bancaires de la société Clearstream a fait l'objet de soupçons de manipulation contre Nicolas Sarkozy, dont Dominique de Villepin, innocenté en première instance, répond actuellement devant la justice en appel à Paris.
La théorie du complot à New York suscite des remous à gauche, où des élus appellent le PS à davantage de lucidité.
«Il faut regarder la vérité telle qu'elle est, il s'est passé quelque chose à New York, espérons qu'il ne se soit pas passé la chose la plus grave», a dit mercredi à Lyon le député européen écologiste Daniel Cohn-Bendit.

S'il devait être condamné, le patron du FMI risque de 15 à 74 ans de prison pour l'ensemble des chefs d'accusation dont il fait l'objet. 

1 commentaire:

  1. les américains veulent un américain qui représente les intérêts des USA et non les intérêts de l' Union Européenne !

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A l'envers c'est a l'endroit ,.........vous vous en appercevrez a un moment donné !