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mardi 18 juin 2024

L'Univers via "Palantis" et l'Alliance scénarisent toutes les situations de ce monde, en rappelant que tout n'est qu'illusions,.....et Oui !

 L'Univers via "Palantis" et l'Alliance scénarisent toutes les situations de ce monde, en rappelant que tout n'est qu'illusions,.....et Oui !

 L'ALLIANCE  ( rappel)

C'est un sujet déjà abordé ici à plusieurs reprises, en particulier à l'adresse des personnes susceptibles de percevoir un changement de paradigme, avec une vision positive de la vie. L'Alliance ne peut être perçue si l'on stagne dans une forme rationnelle de l'existence, car elle se place énergétiquement dans la tapisserie de l'histoire du monde où l'humanité chemine en quête de l'espoir d'un changement de vie. 

L'Alliance fait partie de l'énergie de l'Univers, c'est son "bras armé" dans le plan matériel, la synergie profonde qui efface les scories millénaires d'asservissement des peuples. Elle ne délivre pas, elle ne libére pas, vous n'entendrez jamais parler d'elle officiellement, vous ne la verrez jamais car l'illusion des événements de ce monde doit être maintenue pour parfaire la continuité du réveil de l'humanité. 

Elle est une douce délivrance intérieure qui rassemble les contrastes du tissu de l'existence, mêlant le chaud et le froid, la vie et la mort, le bien et le mal où l'addition des turpitudes forme une spirale bienfaitrice qui entoure la Lumière de la conscience. 

L'ensemble des événements doit paraître naturel, habituel pour les yeux rodés aux aléas planétaires. Sinon la mise en scène divine, supervisée par l'Alliance, n'atteint pas son objectif : celui de la délivrance personnelle, la libération par soi-même et non par un chevalier sauvant. 

À cet effet, l'Univers via "Palantis" et l'Alliance scénarisent toutes les situations de ce monde, en rappelant que tout n'est qu'illusions, animées par des apparences très réelles qui englobent la vie personnelle et collective avec l'interface des témoignages directs ou indirects, reportages etc...il est nécessaire de le rabâcher même si cela choque et provoque l'indignation, au moins cela prouve que ça fonctionne. Il faut susciter l'émotion et la peur en tant qu'étape indispensable avant celle du réveil. NDLR.: Alors, autant Sri Aurobindo,BdM ont tous été frappés par l'intelligence Supramental qui n'était que la façade à cette nouvelle énergie d'Amour Universelle et collective qui nous sort de l'illusion du Supramental, mais qui était nécessaire en cette fin de cycle et pour qu'arrive ce changement, avec des nouvelles énergies , des nouvelles consciences psychiques , arrivant sur nous tous !

L'Alliance aborde la dernière phase du plan. Les plus éveillés le savent, en précisant qu'il n'y a pas de temps déterminé car les énergies collectives sont un marqueur essentiel dans l'issue du scénario . Le représentant de L'Univers, Palantis, " calcul " l'instant magique pour clore le chapitre le plus important de ce cycle de l'humanité. 

Dans un aspect dimensionnel, tout est déjà réalisé. Une partie de l'humanité est déjà dans le Nouveau Monde en écoutant s'éloigner les échos mortifères de l'ancien. L'Alliance a gagné, l'état profond est bel et bien mort sauf pour ceux qui restent en sa compagnie pour continuer d'apprendre. 

Ils se reconnaîtront facilement. 


*** Et comme Jean-Luc Ayoun, l'a dit, et dans Hors Matrice commenté par Marc St-Denis : avec l'arnaque de la conscience : https://www.youtube.com/watch?v=l_gNp8xEDRI , et la conférence du 26 Mai https://www.youtube.com/watch?v=KWU8o4XdCwM

REF.: https://www.facebook.com/profile.php?id=100093544606915&__cft__[0]=AZVwvRhMX3FAU49sRbNbhHveli1WzRED4KeOksbASUOfyfg0ZY0aibsO_3qeTuD40SP11DDu0KjQ01Wl3ydeIhfiH_g58VjL90SbGzthsWirF_ubN1Uxksyx58oaCfDe9Qg&__tn__=-UC%2CP-R

~ Michel Canon sur VK 20 mai 2024

samedi 8 juin 2024

Lire les arcanes du Tarot , ça vous intéresse?


Lire les arcanes du Tarot , ça vous intéresse?

 Le tarot est le nom de plusieurs jeux de cartes et de plusieurs ensembles de cartes à jouer, généralement au nombre de 78. Le premier jeu de tarot a été créé au xve siècle en Europe. Les différents jeux de tarot permettent de jouer à de multiples jeux tels le tarocchini (it) italien ou le tarot français. À partir de la fin du xviiie siècle, le tarot possède également un usage occulte et mystique


-Les cartes de tarot sont un type de cartes à jouer apparu en Italie au xve siècle. Les carte da trionfi ou naipe a trionfi sont mentionnées pour la première fois au milieu du xve siècle en Italie du Nord. Le mot italien tarocchi et le mot français tarot sont mentionnés pour la première fois au début du xvie siècle [1].

Les plus anciennes cartes de tarot connues aujourd'hui ont été peintes pour la famille Visconti[2](voir Tarot Visconti-Sforza)

Le tarot dit « de Marseille » est un ensemble de cartes à enseignes (ou couleurs) « latines » qui ont la particularité de posséder une cinquième suite de vingt-deux cartes décorées d'images allégoriques spécifiques. Depuis la fin du xviiie siècle, il est associé à la taromancie(cartomancie utilisant le tarot). L'appellation « tarot de Marseille » est utilisée par Papus[3], puis elle est popularisée à partir de 1930 par Paul Marteau qui choisit d'intituler son tarot destiné au marché de la cartomancie Ancien Tarot de Marseille.

Le type dit « tarot belge à couleurs latines » (ou « Rouen-Bruxelles ») a coexisté en France (avant de passer en Belgique) au xviiie siècle. (Le « Tarot bruxellois », indiqué par une source allemande de 1772[4], désigne les tarots à couleurs françaises faits à Bruxelles).

Le tarot dit « de Besançon » est une variante du tarot de Marseille, née probablement à Strasbourg au début du xviiie siècle et où deux cartes, la Papesse (atout II) et le Pape (atout V), sont remplacées - en général par Junon et Jupiter ; peut-être ces deux cartes étaient-elles jugées blasphématoires ou bien peut-être voulait-on gommer la référence à la papauté. Sa production à Besançon tout au long du xixe siècle (et alors qu’on n’en faisait plus à Strasbourg) lui a valu ce nom, lui aussi connu de Romain Merlin et Papus.

Moi, J'utilise le Tarot Psychique, pour votre évolution et votre bien-être personnel. Le Tarot est une science où toutes les questions peuvent être posées en relation avec votre vibration du moment et ce qui vous préoccupe pour vous réaliser. Je vous dis les pour, les contres et la conclusion de ce qui en résulte pour vous ! Autrement dit; ce qui vous reste à faire ou à vivre ! Je n'utilise pas le Tarot pour faire de la Divination, ce n'est pas mon rôle !

J'utilise la guématrie pour saisir ce que votre égo a à apprendre et votre karma évolutif pour déterminer votre plan de vie !


Merci! Et à des prix abordables, contactez-moi !

Séance d'un hr avec le logiciel Zoom a des prix abordables !!!


marc.sylvie.leblanc@gmail.com 


RÉF.: T30

vendredi 7 juin 2024

3 millions de brosses à dents connectées utilisées pour une attaque informatique en Suisse

 

3 millions de brosses à dents connectées utilisées pour une attaque informatique en Suisse

Des cyberpirates ont pris le contrôle d’une armée de brosses à dents connectées pour lancer une attaque DDoS contre le site web d'une entreprise suisse. Cette dernière aurait perdu des millions d’euros.

Selon le journal suisse Aargauer Zeitung, une entreprise helvète a été victime d’une attaque par déni de service (DDoS) menée grâce à un botnet formé par trois millions de brosses à dents connectées. Ces ustensiles utilisent la connectivité pour accompagner l’utilisateur dans son hygiène buccale en analysant l’efficacité du brossage et en prodiguant des conseils.


D’après l’article, qui ne donne pas beaucoup de détails, les cyberpirates ont pris le contrôle de ces objets connectés en exploitant une faille dans leur système d’exploitation Java. Ils les ont alors lancé à l’assaut du site web de l’entreprise ciblée qu’ils ont submergé de requêtes jusqu’à le saturer. Le site web est tombé, ce qui aurait entraîné la perte de millions d’euros de chiffre d’affaires.


Des brosses à dents connectées anonymes

On ignore quelle est l’entreprise victime. Aargauer Zeitung ne mentionne pas non plus les marques de brosses à dents connectées qui ont servi à cette attaque DDoS. Le quotidien cite Stefan Zuger, directeur de l’ingénierie pour la filiale suisse de l’entreprise de sécurité Fortinet, estime que « chaque appareil connecté à Internet est une cible potentielle, ou peut être utilisé à mauvais escient pour une attaque ».


Cet expert explique que les objets connectés sont sous surveillance permanente des pirates à la recherche de failles de sécurité. Pour illustrer cette menace, Fortinet a récemment connecté un PC « non protégé » à l’Internet. Il n’a fallu que 20 minutes pour qu’il soit infecté par des logiciels malveillants.


Source. : Aargauer Zeitung

https://www.cnetfrance.fr/news/brosses-a-dents-connectees-utilisees-pour-une-attaque-informatique-395364.htm?utm_campaign=NL_CnetFrance_08022024&utm_content=08022024&utm_medium=email&utm_source=EMAIL&rwid=DC5D037AB87B71933A2AC103EF86A25D3975E242A4660C955F952ABE91FC6ECD

mercredi 5 juin 2024

Poème: Égoïste

 

Poème: Égoïste



Euh

S'ils voyaient ce que j'ai vu

Ils tomberaient comme je suis tombé

Mais ils ne savent pas ce que tu veux

Et bébé, je ne le dirais jamais

S'ils savaient ce que je sais

Ils ne te laisseraient jamais partir

Alors devine quoi?

Je ne te laisserai jamais partir

Parce que tes lèvres étaient faites pour les miennes

Et mon cœur deviendrait plat

Si ça ne battait pas pour toi tout le temps

Donc si je deviens jaloux, je n'y peux rien

Je veux tout de toi, je suppose que je suis égoïste

C'est mauvais pour mon mental, mais je ne peux pas le combattre, quand

Tu es dehors comme tu le fais, mais tu ne peux pas le cacher, non

Te mettre dans un cadre, ooh, bébé, qui pourrait t'en vouloir ?

Je suis content que ta maman t'ait fait

Ça me rend fou, on ne peut pas t'expliquer, ooh

Tu dois être un ange

Chaque fois que le téléphone sonne

J'espère que c'est toi de l'autre côté

Je veux tout te dire ('chose)

Tout ce que je pense

Et je ne veux pas d'autres gars

Je prends ma place, ma fille, j'ai trop de fierté

Je sais que je peux me tromper

Mais je ne veux pas avoir raison

Parce que tes lèvres étaient faites pour les miennes

Et mon cœur deviendrait plat

Si ça ne battait pas pour toi tout le temps, euh

Donc si je deviens jaloux, je n'y peux rien

Je veux tout de toi, je suppose que je suis égoïste

C'est mauvais pour mon mental, mais je ne peux pas le combattre, quand

Tu es dehors comme tu le fais, mais tu ne peux pas le cacher, non

Te mettre dans un cadre, ooh, bébé, qui pourrait t'en vouloir ?

Je suis content que ta maman t'ait fait

Ça me rend fou, on ne peut pas t'expliquer, ooh

Tu dois être un ange

Te mettre dans un cadre, ooh, bébé, qui pourrait t'en vouloir ?

Je suis content que ta maman t'ait fait

Ça me rend fou, on ne peut pas t'expliquer, ooh

Tu dois être un ange

Propriétaire de mon cœur

J'ai tatoué ta marque (tatoué ta)

Là, pour que le monde entier puisse le voir

Vous êtes le propriétaire de mon coeur

Et toutes mes cicatrices

Bébé, tu as une telle emprise sur moi, alors

Donc si je deviens jaloux, je n'y peux rien

Je veux tout de toi, je suppose que je suis égoïste (je suppose que je suis égoïste)

C'est mauvais pour mon mental, mais je ne peux pas le combattre, quand

Tu es dehors comme tu le fais, mais tu ne peux pas le cacher, non

Te mettre dans un cadre, ooh, bébé, qui pourrait t'en vouloir ?

Je suis content que ta maman t'ait fait (heureusement que ta maman t'ait fait)

Ça me rend fou, on ne peut pas t'expliquer, ooh

Tu dois être un ange (tu dois être un ange)

Te mettre dans un cadre, ooh, bébé, qui pourrait t'en vouloir ?

Je suis content que ta maman t'ait fait (heureusement que ta maman t'ait fait)

Ça me rend fou, on ne peut pas t'expliquer, ooh

Tu dois être un ange

Jaloux, mais je ne peux pas m'en empêcher

Je veux tout de toi, je suppose que je suis égoïste


REF.: https://www.youtube.com/watch?v=rloenWGb58A

Chanson de Justin Timberlake

jeudi 2 mai 2024

Faux souvenirs : la mémoire, une faculté qui trahit

 


Par: Fabienne Colombel et Anne-Laure Gilet - Les Faux souvenirs, cette mémoire qui vous trahit

-Faux souvenirs : la mémoire, une faculté qui trahit

« Entre 30 et 50 % des gens peuvent créer des faux souvenirs pour des événements qui ne se sont jamais produits. »

On doute rarement d’un souvenir. On est convaincu de sa véracité grâce aux détails, aux sensations qui nous habitent toujours. Et si notre mémoire nous trompait ou, pire, avait la capacité de modifier ce qui s’est réellement passé? Voici une histoire vraie. Mon histoire personnelle de faux souvenirs.

Danny Lemieux

Publié le 25 février à 4 h 00 HAE

Mis à jour le 28 février à 13 h 03 HAE

Au printemps 2000, j’ai visité l’Afrique de l’Ouest. Un voyage de deux mois, en solo, pour le plaisir. Lors de mon passage au Togo, j’ai visité le port de Lomé, la capitale. Sur place, par inadvertance, j’ai franchi une zone militaire. Aussitôt, les militaires m’ont arrêté et emprisonné. Quelques heures plus tard, ils m’ont libéré.


Cette histoire, je l’ai racontée mille fois. Or, à la fin de la pandémie, j’ai appris que cette mésaventure était fausse. Un choc pour moi. Suis-je un menteur ou, pire, un fabulateur?


À l’époque, pour documenter chaque journée de mon voyage, j'utilisais un dictaphone. J’ai retrouvé la cassette que je croyais perdue. En écoutant mon récit, 22 ans plus tard, il n’y avait aucune trace de cet emprisonnement. Pour comprendre ce qui m’est arrivé, je suis allé à la rencontre d’experts de la mémoire. J’ai suivi la piste des faux souvenirs.

Premier arrêt, Toulouse. Je raconte ma fausse aventure à Pascal Roullet, neurobiologiste et spécialiste de la mémoire. Et, contre toute attente, il n’est pas surpris. Ces faux souvenirs, on les retrouve très souvent pour des histoires qu'on raconte très souvent. Chaque fois, vous rajoutez un petit élément. À la fin, l'histoire est totalement différente de l’histoire d’origine. Ensuite, on n’a aucune façon de savoir si les éléments ajoutés sont vrais ou faux, et tout ça est associé au souvenir initial, explique-t-il.

Je me suis demandé si certains traits de ma personnalité m'avaient prédisposé à la création de faux souvenirs. Eh bien non, me rassure Pascal Roullet. Nous sommes tous susceptibles d’en produire. Ce n’est pas parce que j'ai une mauvaise mémoire que je ferai de faux souvenirs ou, au contraire, que je n’en ferai pas parce que j’ai une très bonne mémoire. Ce n'est pas un problème de mémoire, nuance-t-il.


Sur le chemin des faux souvenirs, j’ai aussi croisé Anne-Laure Gilet, chercheuse à l'Université de Nantes, en France. Elle travaille exclusivement sur les faux souvenirs depuis une quinzaine d’années. Elle non plus n’est pas étonnée par ma découverte. La mémoire n'est pas un enregistreur numérique ni une caméra vidéo. Notre mémoire est vivante, malléable. Elle reconstruit constamment nos souvenirs tout au long de notre vie. Un faux souvenir est justement une manifestation de cette malléabilité, dit-elle.


On m’explique qu’un faux souvenir naît souvent de la même façon. Quand on se replonge dans un vrai souvenir, on déstabilise la mémoire. On peut donc la modifier, y incorporer de nouvelles informations. Si l'élément est vrai, le souvenir est bonifié, mis à jour. Si l'élément est faux, on crée un faux souvenir.

Le neurobiologiste Pascal Roullet précise : Cette déstabilisation dure entre 60 et 80 minutes chez l'animal. On croit que ce doit être à peu près la même chose chez l’homme. Au moment où je raconte l'histoire, je sais que je vais exagérer, que je ne dis pas tout à fait la réalité. Par contre, je ne sais pas que ce faux élément sera incorporé à mon vrai souvenir.

Une part d’inconscient

Le faux souvenir n’est pas que le fruit de l’exagération. Des ajouts peuvent aussi provenir de photos, d’un rêve ou d’une histoire similaire racontée par un ami. Avec le temps, tout ça se mélange pour devenir un seul et même souvenir.


À ce méli-mélo, Anne-Laure Gillet mentionne qu’il faut ajouter un autre élément, une part d’inconscient. Un souvenir s’altère avec le temps, ce qui est naturel. Notre cerveau, lui, n'aime pas le manque, les choses parcellaires. Naturellement, il va combler ce vide avec nos connaissances, nos attentes, nos croyances. Donc, je vais modifier mon souvenir, mais en maintenant sa cohérence. On va raconter quelque chose qui aura du sens et qui fera du sens pour soi, affirme-t-elle.

Aujourd’hui, grâce à mon enregistrement, je sais ce qui s’est vraiment passé en Afrique. Oui, j’ai été arrêté par des militaires, mais jamais emprisonné. Et puis j'avais oublié qu’à l’époque, j’étais accompagné de Lucien, le fils d’un haut gradé togolais, qui nous a tirés d’affaire.


Sachant que n’importe quel souvenir peut se transformer en faux souvenir, je doute désormais de tous mes souvenirs. Des bons, comme des moins bons. Et je ne peux pas me fier à la quantité de détails que j’ai en mémoire.


Quand on a commencé à travailler sur les souvenirs, on croyait que plus il y avait de détails, plus c'était vrai. Alors on sait que ce n'est absolument pas le cas.


Une citation dePascal Roullet, neurobiologiste et spécialiste de la mémoire

Pourtant, on a l’impression que la somme des détails rend un souvenir crédible. Or, cette confiance, parfois, il faut s’en méfier, estime Anne-Laure Gilet.


La différence entre un faux souvenir et un souvenir qui s’est naturellement déformé avec le temps, c'est probablement la certitude associée à ce souvenir. On est convaincu que ça s'est produit comme ça, on n’a pas de doute. Alors que, parfois, on a naturellement des doutes. On sait que ce souvenir s'est déformé dans le temps, fait-elle remarquer.


Maintenant, la grande question : comment discerner le vrai du faux? La réponse est simple. C’est presque impossible.

On a essayé d’y répondre avec de l'imagerie cérébrale, mais il n’y a pas de différence entre les deux, constate Pascal Roullet. Il faut donc retourner à la source. C'est le seul moyen. Retrouver des amis, des confidents de l'époque. Aller discuter avec des membres de la famille. S'il y a deux ou trois témoignages qui vont à l'encontre de ce que vous dites, il y a peut-être un problème. Vous, vous avez une chance extraordinaire. Vous avez des preuves : des cassettes.


Un faux souvenir n’est pas un mensonge, mais la version transformée d’un vrai souvenir. On le raconte de bonne foi, parce qu’on est convaincu de l’avoir vécu ainsi. Mon faux souvenir est cocasse et sans répercussions. Mais ce n’est pas le cas pour tous.


Faux souvenirs d’agression sexuelle

Un souvenir peut-il être faux à 100 %? Inventé de toutes pièces? Oui, on peut se rappeler un événement qui n’a jamais eu lieu et y croire dur comme fer. La plupart du temps, c’est sans conséquence. Mais parfois, ce souvenir inventé peut se transformer en cauchemar.


Aux États-Unis, dans les années 1980, un phénomène attire l’attention. Après leur thérapie, des centaines d’adultes rapportent avoir recouvré le souvenir d’un abus sexuel ou physique. Un souvenir oublié depuis des dizaines d’années. Enquêtes policières et procès criminels détermineront finalement que ces souvenirs étaient infondés ou carrément impossibles. Depuis, des chercheurs se penchent sur ce qu’ils appellent le faux souvenir retrouvé.


Olivier Dodier est chercheur en psychologie cognitive à l’Université de Nîmes, en France. Il est aussi expert judiciaire dans les cas de faux souvenirs retrouvés. Sur le plan quantitatif, ces cas sont largement associés à la question des violences sexuelles et physiques durant l'enfance, spécifie-t-il.

Michel St-Yves, lui, est psychologue judiciaire à la Division de l'analyse du comportement de la Sûreté du Québec. Il appuie les corps policiers de la province dans leurs enquêtes. Dans le milieu judiciaire, c'est un phénomène très rare. Dans notre service, on peut en avoir un, deux ou trois par année. C'est très rare. Ce sont généralement des plaintes d'abus sexuels et d'abus physiques qui seraient survenus 10, 15, 20 ans auparavant, constate-t-il.


Olivier Dodier et Michel St-Yves tiennent à le préciser : lorsqu'une présumée victime a le courage de porter plainte, il faut la croire. D'ailleurs, en matière d'infractions à caractère sexuel, les enquêteurs n’évoquent l’hypothèse du faux souvenir qu’après investigation.


Avoir le réflexe de douter de la parole d'une personne, d'un point de vue statistique et moral, ce n'est pas la meilleure stratégie. Il y a plus de probabilités que ça reflète un événement réel plutôt qu'un événement construit.


Une citation deOlivier Dodier, chercheur en psychologie cognitive à l’Université de Nîmes


Il faut dire que la majorité des plaintes faites à la police pour des agressions sexuelles sont fondées. Ce sont de vraies plaintes, assure Michel St-Yves. En effet, selon les statistiques canadiennes les plus crédibles, 98 % des plaintes s'avèrent.

Dans un contexte judiciaire, invoquer le faux souvenir comme moyen de défense reste donc hasardeux. Par contre, Olivier Dodier signale que certains accusés n’ont pas hésité à le faire.


Avec le phénomène #MoiAussi, des gens ont révélé des faits. Et puis il y a eu une vague de protestations où certaines personnes disaient : "Attention, ce sont des faux souvenirs". Mais le faux souvenir n’est pas une carte magique, c'est quelque chose qui doit s'établir. Il faut connaître le dossier. Si jamais on fait appel à des spécialistes, ils vont systématiquement tempérer les choses, souligne-t-il.


Bien que ces fausses histoires d’agressions sexuelles soient rarissimes, elles partagent une caractéristique commune, soit le contexte dans lequel elles apparaissent. Dans l'extrême majorité des cas, raconte Olivier Dodier, ça suit un événement au cours duquel quelqu'un va suggérer des choses de façon intensive. C’est le résultat d’un lourd travail de suggestion. C'est vraiment toute une entreprise à mettre en œuvre pour que ça se produise.


Pour nous aider à comprendre, Michel St-Yves donne quelques exemples. La personne n'avait aucun souvenir de l’agression et, dans un contexte thérapeutique, ou au cours d'une expérience mystique, parfois même avec l'usage de psychotropes, tout à coup, elle se souvient de cet événement et va décider de porter plainte à la police, détaille-t-il.

Une mise en garde

Bien que cela soit peu fréquent, un faux souvenir peut surgir dans le cabinet d’un psychologue. D'ailleurs, au début des années 1990, plusieurs associations professionnelles de médecins, de psychiatres et de psychologues au Canada, aux États-Unis et en Australie ont mis en garde leurs membres sur les risques reliés aux expériences de mémoire recouvrée. La recherche montre cependant que, la plupart du temps, le faux souvenir surgit lors de rencontres impliquant un pseudo-thérapeute qui n’a aucune idée des dangers de la suggestion.


Voici le scénario type. Au cours d’une thérapie, une personne décrit son mal de vivre. Le pseudo-thérapeute lui suggère alors que sa détresse puisse être liée à un traumatisme oublié. Celui d’une agression sexuelle commise par un proche. Il explore cette possibilité non pas avec neutralité, mais avec des questions suggestives.


Une question suggestive, explique Olivier Dodier, se définit par le fait de proposer une réponse à une question. Le problème, c’est que cette réponse, la personne ne l'a jamais évoquée auparavant. Par exemple, on va dire : "Donc, c'est ça qui s'est passé, n'est-ce pas?" Ou alors : "C'est bien ça qui s'est passé?" Une question suggestive risque de contaminer un souvenir.


Les méthodes qui tentent de raviver les souvenirs enfouis risquent toutes de tromper le cerveau. D’ailleurs, la Cour suprême du Canada a statué en 2007 que les témoignages obtenus sous hypnose n’étaient plus admissibles en cour.

Durant notre entretien, Olivier Dodier m’incite à la prudence. La découverte tardive d’un vrai traumatisme est possible. Ce qu'il faut se poser comme question, c'est : comment le souvenir est-il revenu? Parce qu'un vrai souvenir d’agression peut revenir des années après. Si jamais la personne, durant sa thérapie, dit : "Ah oui, je me souviens quand j'étais enfant, on allait souvent chez un voisin", et que là, un souvenir revient, sans suggestion particulière, on peut récupérer un souvenir. Si jamais ça revient comme ça, il n’y a pas de danger particulier. On peut toujours rester prudent, mais la probabilité qu'il soit faux est plutôt diminuée.


Un vrai souvenir peut être également interprété autrement avec le temps. Prenons le cas d’un abus, comme des attouchements, survenu dans l’enfance. À l'âge adulte, la victime réalise que ces gestes, présentés à l’époque comme un jeu, étaient en fait une agression. Elle n'a pas oublié, il n'y a pas eu de rejet hors des frontières de la conscience. Simplement, elle n'a pas compris parce qu’elle était trop jeune. Mais avec le temps, la maturité, les connaissances sur le rapport au corps, la personne comprend que ce qu'elle a vécu était en fait des violences, dit Olivier Dodier.


Comme l’évoque Olivier Dodier, la question du faux souvenir retrouvé est intimement liée à une notion bien ancrée dans la culture populaire, celle du refoulement. Cette notion a été popularisée par Sigmund Freud, le père de la psychanalyse. Selon lui, pour se protéger, une personne peut refouler complètement un traumatisme. Une réponse involontaire et inconsciente qui sert à cacher un trauma dans le recoin de son esprit.


Aujourd’hui, l’idée du refoulement total est controversée et largement discréditée par les scientifiques, dont Pascal Roullet. En tant que neurobiologiste, j'ai un peu de mal avec le refoulement parce que ça va à l'encontre de toutes les règles qu'on connaît dans la formation des souvenirs. Ça va à l'encontre des théories sur la mémoire, déclare-t-il.

À la fin de sa vie, Freud remet en question ses propres conclusions. Pourtant, Olivier Dodier constate que le refoulement est une idée encore fort populaire. Maintenant, si on se pose la question de la validité scientifique de ce concept, bien, il n'en a pas. Quand on regarde les études qui ont cherché à prouver le refoulement, on se rend compte que ce n’est pas ça, mais d'autres phénomènes qui entrent en jeu, affirme-t-il.


Par contre, il y a des gens qui vont refouler, mais pas selon la définition psychanalytique; ils vont vivre avec un traumatisme en l’occultant, sachant fort bien qu'il est là.


Une citation dePascal Roullet, neurobiologiste et spécialiste de la mémoire

Lorsqu’une présumée victime porte plainte pour agression, elle ne peut s’imaginer que son drame est le fruit de son imagination. Les enquêteurs non plus. Michel St-Yves assure que l’investigation policière ne sera pas différente. L’enquête sera faite en bonne et due forme, comme toutes les plaintes de cette nature. Toutefois, le premier drapeau rouge sera vraiment le contexte dans lequel ce souvenir est apparu, indique-t-il.


Si l’enquêteur ne parvient pas à corroborer les éléments d’une déclaration, il envisage alors l’hypothèse du faux souvenir retrouvé. Un coup dur, une injustice pour la présumée victime. Même si l’enquête prend fin, les soupçons de la présumée victime envers ses proches persistent. Dans un tel cas, de l’aide psychologique lui est offerte.

Une aide essentielle, selon Olivier Dodier. Pour cette personne, son faux souvenir demeure bien réel. Elle va se revoir dans la scène, sentir des odeurs, ressentir des sensations, des impressions qui lui donnent une impression de revivre l'événement. La personne peut développer une détresse psychologique ou des symptômes post-traumatiques, dit-il.


Michel St-Yves conclut : Même sans agression, il y a quand même une vraie victime. La personne est victime d'un faux souvenir. Olivier Dodier partage cet avis : Elle n'est pas victime des faits dont elle se souvient, mais victime d'un abus de faiblesse, d'une manipulation mentale.


On l’oublie, mais la mémoire est une faculté malléable, colorée par nos croyances, nos préjugés, nos connaissances. La vérité peut rester floue, matière à interprétation. Et sans preuve, démêler le vrai du faux sera souvent un exercice difficile.




REF.: https://mediaserver.univ-nantes.fr/videos/faux-souvenirs-cette-memoire-qui-vous-trahit/#share

https://ici.radio-canada.ca/info/long-format/2051311/faux-souvenirs-memoire-inconscient-traumatisme

vendredi 19 avril 2024

L'écoute en conscience dynamique:

 

L'écoute en conscience dynamique:


Le besoin d'affirmation est venu avec la volonté de réduire l'impuissance, de reprendre le contrôle. D'exister. On a appris à exprimer des demandes, à manifester son désaccord, à partager la façon dont on se sentait.

Pour avoir de l'impact, il faut exprimer les bons contenus, de la bonne façon et au bon moment. Or, c'est l'écoute qui nous donne toutes ces infor-mations.

C'est cela, la conscience dynamique: être conscient du mouvement et accepter d'être guidé par les mots, les phrases et les comportements non verbaux. Plus une personne s'exprime en rendant le mouvement de son discours clair, plus le sens sera accessible, et plus il nous sera facile de voir le mouvement dans l'idée qu'elle exprime. Saisir le sens ne se fait habituellement pas de façon progressive.


Il existe une stratégie qui permet d'activer l'écoute en conscience dynamique et de vérifier à quel point nous avons saisi le sens de ce qu'une personne exprime. Il s'agit du reflet.

Le reflet


Le reflet est une stratégie de communication verbale qui permet non seulement de saisir le mouvement dans ce que l'autre exprime, mais aussi de lui démontrer que nous avons bien saisi le sens de ce qui a été communiqué, et pas seulement les mots.

Voici la définition que je propose: le reflet est une reformulation de ce que nous avons compris de ce que l'autre a voulu nous communiquer.


Une reformulation...

Une partie du reflet concerne les mots. Mais ces derniers doivent servir le sens du propos, et non constituer uniquement la répétition de ce que l'autre a dit. Il n'est pas nécessaire de reprendre ses mots. En fait, plus notre capacité à écouter le sens se développera, plus nous aurons tendance à utiliser des mots différents, les nôtres, sans altérer le sens de ce qui a été exprimé. Cela nous permettra d'augmenter notre capacité à faire ressortir le sens du pro-pos, qui vient avec l'entraînement.

  • ... de ce que nous avons compris...
    Nous devons impérativement tenir pour acquis qu'il est impossible de saisir exactement la réalité de l'autre et le sens absolu de ce qu'il a communiqué. Nous ne pouvons faire qu'une tentative humble, honnête, et nous rapprocher le plus possible de ce sens. Le reflet représente donc une volonté de comprendre plutôt qu'une bonne ou une mauvaise réponse théorique.
  • ... de ce que l'autre a voulu communiquer.
    Le mot «voulu» implique une intentionnalité consciente. Il est de première importance, car il permet de distinguer notre perception du message de son intention, laquelle appartient à notre interlocuteur. Il s'agit donc de faire état du message intentionnel.

L'une des fonctions les plus importantes du reflet est d'autoriser le passage d'un sujet à un autre, plus vulnérable et comportant plus d'énergie.


Il est fascinant de voir l'effet d'un reflet réussi.


Lorsqu'un reflet parvient à faire ressortir le sens de ce qui a été exprimé par une personne, sa réaction ne tarde pas: peu à peu, son visage s'éclaire; elle écarquille légèrement les yeux et hausse les sourcils; sa bouche s'entrouvre de manière détendue; un relâchement se produit, une détente dans sa posture et dans son visage, une douce énergie en émane. C'est une réaction dopaminergique.


Il y a aussi un autre indice, cette fois très explicite: une confirmation verbale qui se produit typiquement en deux temps. D'abord, la personne confirme qu'elle reconnaît le sens de ce qu'elle vient d'exprimer; ensuite, elle poursuit la conversation à un niveau de vulnérabilité plus élevé et comportant davantage d'énergie.


Le reflet est une stratégie de communication qui permet:

  • d'accéder aux sujets de conversation les plus importants;
  • d'aller vers les sujets de conversation comportant plus de vulnérabilité et donc plus d'énergie;
  • d'augmenter la responsabilité;
  • d'augmenter la force de la relation;
  • de nous assurer (et d'assurer l'inter-locuteur) que nous nous trouvons consciemment sur un même vecteur de sens;
  • d'augmenter la vulnérabilité et la force de la relation;
  • de préciser les éléments les plus importants, ceux qui sont les plus porteurs de sens;

Ce n'est pas suffisant de percevoir les émotions. Il est aussi nécessaire de déterminer le niveau de conscience de notre interlocuteur par rapport à ce qui est exprimé.

Cela nous renvoie directement à l'une des règles fondamentales de la communication: un humain doit toujours rester propriétaire de son contenu, de sa marchandise, qui a pour lui une grande valeur. Un reflet peut prendre la forme affirmative simple et proposer à notre interlocuteur, directement et sans détour, ce que nous avons compris dans ce qu'il a voulu nous communiquer.


 On peut l'entamer mentalement par la phrase suivante: «Ce que tu dis, c'est que...» ou «Ce que je comprends, c'est que...» Par exemple, il nous parle de ce qui l'a amené à s'engager dans un projet. Après environ une minute trente, il fait une pause. Un silence de deux secondes nous montre qu'il est allé au bout de sa pensée et que son cerveau ne lui permet pas de continuer de parler. Un reflet est la meilleure intervention.

Voici six types d'interventions auxquelles nous recourons tous régulièrement et qui ne constituent pas un reflet.



1. Une opinion;«Je pense que...»


2. Une question; «Est-ce que...?»;«Pourquoi...?»


3. Une hypothèse;«Se pourrait-il que...?"


4. Un résumé;«Tu as dit: A, B, C, D, E, F, G, etc.»


5. Une interprétation «La façon dont je vois ça...»


6. Une déduction;«Donc...»



-L'écoute est une activation SA fortement associée à la dopamine. Il s'agit d'aller vers l'autre et de saisir le sens de ce qu'il dit.


Il ne faut pas forcer un reflet. Générale-ment, la volonté et le plaisir de montrer à l'autre que nous avons compris le sens de son message font naître une impulsion naturelle au bon moment. Il ne faut pas non plus interrompre la personne qui s'exprime pour renvoyer un reflet, sauf si le contenu est tellement dense et complexe qu'il est plus sage de nous assurer que nous saisissons ce que notre interlocuteur exprime.


C'est l'intention qui compte


Un reflet n'a pas à être parfait. La bonne nouvelle, c'est qu'en cette matière, l'intention compte pour beaucoup. Si vous faites de votre mieux pour écouter le sens de ce qu'une personne exprime et que vous renvoyez un reflet qui ne correspond pas parfaitement à ce qu'elle a voulu communiquer, c'est loin d'être dramatique.


Elle verra que vous essayez de faire ressortir de façon authentique le sens de ce qu'elle a voulu dire. Elle pourra alors vous corriger, préciser sa pensée et développer son message. C'est déjà un impact positif.


Vous pourrez ainsi utiliser de nouveau cette stratégie à la lumière de sa réaction.


La technique du reflet, une notion centrale de ce livre, est probablement la plus importante à développer. Le reflet est un outil verbal puissant; pour qu'il soit efficace, nous devons, dans l'instant présent: donner à notre interlocuteur 100% de notre attention consciente unifiée;

  • prendre le contrôle de notre SA et activer une intention consciente d'écouter (GO écoute);
  • mettre à profit notre capacité à reconnaître les émotions en temps réel;
  • exercer notre capacité à détecter les expressions faciales et les mouvements oculaires;

    exercer notre capacité à intégrer une grande quantité d'informations transmises;

    saisir le sens.



Je peux vous assurer que la volonté de renvoyer un reflet efficace synchronise l'ensemble des fonctions cérébrales requises dans la communication. Plus vous vous entraînerez, plus vos reflets seront efficaces, et plus vous en verrez les résultats, ce qui vous encouragera à écouter davantage. Plus vos reflets seront efficaces, meilleures seront vos relations. Plus les gens partageront leur or avec vous, plus vous pourrez utiliser cette énergie précieuse pour atteindre des objectifs de grande valeur.



RÉF.: Extrait du livre: Guillaume Dulude, Je suis un chercheur d’or.