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jeudi 5 janvier 2012

Quand la Loterie devient un jeux,pour ceux qui la manipule

Lotto Max - Le billet gagnant de 50M$ sous examen
Jo-Ann et Gaétan Champagne 
© Tony Caldwell / Agence QMI

Le billet gagnant de 50M$ sous examen? A Oui ..........  ;-) En Ontario se cache une race de rapace,peut-être !

TORONTO – Le couple Champagne d'Hawkesbury, en Ontario, devra patienter pendant plusieurs semaines avant de mettre la main sur le gros lot de 50 millions $ du Lotto Max qu'il a remporté, puisque le billet gagnant fait l'objet d'un processus d'examen par la Société des loteries et des jeux de l'Ontario (OLG). Jo-Ann et Gaétan Champagne, respectivement âgés de 49 ans et 51 ans, ont obtenu les numéros chanceux du tirage du 30 décembre 2011. Le billet gagnant a été acheté dans une pharmacie, dans l'est de la province.
Toutefois, les Champagne étaient jusqu'à l'automne 2011 propriétaires d'un dépanneur à Hawkesbury, où ils y opéraient un terminal de OLG. Ils sont donc considérés comme «des personnes liées à OLG» pendant une période de 12 mois, en vertu des règlements de la société des loteries.
La politique «Interdit de jouer au travail» de OLG, entrée en vigueur en 2009, empêche les détaillants d'acheter, de vérifier ou d'encaisser des lots à leur lieu de travail. Les détaillants sont autorisés à jouer à d'autres points de vente, du côté du client.
«Les Champagne ont possédé et exploité Jo's Depanneur, à Hawkesbury, jusqu'en octobre 2011, et Mme Champagne a continué de travailler à ce dépanneur jusqu'à récemment. Le billet gagnant du gros lot a été acheté chez Pharmaprix, à Hawkesbury», a précisé OLG.
Les Champagne étaient au fait de ce processus qui pourrait durer de six à huit semaines. Il vise notamment à permettre à OLG de faire son enquête, et laisser du temps à toute personne qui contesterait le prix de l'en aviser.
«Nous avons parlé avec les gens de la société des loteries, et tout est correct. Nous attendons la fin des procédures», a précisé M. Champagne.


Nota: Trop de gros lot en Ontario ,......ça rime ,mais ça peut être suspicieux de faire de la divination ;-)


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Le FMI passe de l'argent et les USA finance le Monde entier, a la manière du Monopoly

Les sommes prêtées par le FMI ont augmenté de plus de 50% en 2011 

 

 

Économie mondiale - Les sommes prêtées par le FMI ont augmenté de plus de 50% en 2011
Le FMI a aujourd'hui des accords de prêt avec 52 États membres, soit plus d'un quart d'entre eux. 
© Archives/AFP photo

WASHINGTON - Le Fonds monétaire international a accru de plus de 50% en 2011 l'encours des prêts consentis à ses États membres, selon des chiffres publiés par l'institution mercredi.
Au 30 décembre, les sommes prêtés par le FMI à ses États membres se montaient à 142,2 milliards de dollars. Calculée en unités de compte du Fonds, les Droits de tirage spéciaux (DTS), la hausse est de 53%.
Ce total ne cesse gonfler: situé en 2007 sous 15 milliards de dollars, il a bondi en 2008 de 119%, en 2009 de 96% et en 2010 de 43%.
Le FMI a aujourd'hui des accords de prêt avec 52 États membres, soit plus d'un quart d'entre eux. Mais quatre membres de l'Union européenne, la Grèce, l'Irlande, le Portugal et la Roumanie, concentrent 55% des crédits qui seront à rembourser à l'organisation de Washington.
Le prêt à la Grèce est devenu en 2011 le plus grand jamais versé par le FMI, avec 20,3 milliards d'euros, dépassant en DTS les montants reçus par le Brésil en 2002-2003.
Mais le plus grand prêt accordé par le FMI reste celui au Mexique, une ligne de crédit dont le pays dispose depuis avril 2009 et qui se monte aujourd'hui à 73 milliards de dollars. Le pays ne s'en est pas servi jusqu'ici et ne compte pas le faire.
En 2011, le FMI a par ailleurs nettement augmenté ses ressources prêtables, grâce à l'entrée en vigueur des «Nouveaux accords d'emprunts (NAE) étendus», un réservoir alimenté par les prêts de 39 États membres.
Les ressources destinées aux pays à revenus moyens et élevés («compte des ressources générales») étaient au 30 décembre de 609 milliards de dollars, laissant au FMI la capacité d'engager encore 386 milliards de dollars pour ses États membres.

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mercredi 4 janvier 2012

La vie d'une famille juive hassidique à Montréal

«Il y a trois moments où une femme peut être le centre de l’attention: sa naissance, son mariage et sa mort… Moi, j’ai pu en vivre un quatrième», explique Malka Zipora au sujet du lancement inusité de son livre, un recueil de nouvelles sur la vie de sa famille juive hassidique à Montréal.
C’est la première fois qu’une femme juive hassidique se livre ainsi dans un ouvrage destiné à un public non juif. Elle ouvre ainsi la porte d’un monde fermé et peu connu de l’extérieur.
On y découvre une vie calquée sur les lois de la Torah et à contre-courant de la modernité.
«J’étais très insécure de sortir ce livre, j’avais peur de recevoir des critiques et qu’on se mette à me confronter sur ma communauté. Maintenant que c’est fait, je suis délivrée», explique celle que l’on surnomme «la dame-qui-sait-écrire» chez les hassidiques montréalais.
Vie dévouée aux enfants
Malka Zipora (pseudonyme) est née en Israël de parents ayant survécu à l’Holocauste.
Mariée à 20 ans, elle a élevé ses douze enfants, aujourd’hui âgés entre 8 et 30 ans, dans le même appartement d’Outremont.
Grand-mère 17 fois, elle avoue ne pas toujours se souvenir des prénoms de chacun.
«C’est tout ce que je voulais dans la vie, avoir une grande famille, c’est la chose la plus précieuse au monde», ajoute, comblée, Malka Zipora.
L’auteure explique que c’est en réaction à un monde de plus en plus moderne que les juifs hassidiques vivent ainsi en retrait de la vie extérieure.
Ils évitent ainsi d’écouter la radio, la télévision et de lire les journaux provenant du monde extérieur, parce que les images qu’ils présentent peuvent être choquantes.
«Dans notre mentalité, les générations antérieures étaient beaucoup plus proches de Dieu, c’est pourquoi nous vivons de façon très traditionnelle. Nous évitons de nous exposer aux technologies», explique Malka Zipora, qui n’a regardé la télévision qu’une seule fois dans sa vie.
Bon voisinage
À propos des préjugés concernant sa communauté, Malka Zipora affirme qu’il y a beaucoup de malentendus.
«C’est sûr que nous avons des normes différentes et que nous avons des familles nombreuses et bruyantes, mais en général j’ai de très bons contacts avec les gens de l’extérieur » ajoute, sereine, Malka Zipora.
Son recueil Lekhaim! (À la vie!), publié aux Éditions du passage, se veut un hymne aux petits bonheurs de la vie quotidienne, thème universel, qui va au-delà des barrières culturelles.

Extraits
Petite, j´avais l´habitude de rêver au lit, imaginant ma vie future. Je serais une maman avec une centaine d´enfants, tous magnifiques, doués, intelligents, toujours propres et bien élevés. Dans cette existence faite sur mesure, je pourrais m'accorder tout ce que je désirais. Mon enfance se passa ainsi à rêvasser, parce que les rêves étaient tout ce que mes parents pouvaient m´offrir. D´origine hongroise, ils avaient survécu à l´holocauste nazi et avaient dû lutter durant des années, de pays en pays, pour pouvoir enfin s´établir et nous donner l´essentiel.
***
Le désir et la satisfaction sont étroitement liés. J'ai pu l'observer souvent chez les enfants : lorsqu'ils pleurent, gémissent, tapent des pieds pour obtenir quelque chose, cette chose perd aussitôt de sa valeur dès que les parents cèdent. Nos sages connaissaient bien ce caprice de la nature humaine. Ne disaient-ils pas : "Mayim genuvim yimtaku", c'est-à-dire "les eaux détournées ont un goût plus agréable". Sauf que, dans mon cas, il y avait des poissons dans l'eau. je fais allusion à l'époque où Surie, am fille de dix ans, désirait... mourait d'envie... en fat, avait désespérément "besoin" d'un poisson rouge. [...] Pour parvenir à ses fins, Surie avait un obstacle de taille à franchir : moi. Instinctivement, elle mit en pratique son grand pouvoir de persuasion. [...]
Malka Zipora


Ma Cote: un 9/10

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mardi 3 janvier 2012

Quand c'est pas le temps,fait n'importe quoi ,l'effet est inversement proportionnel a la cause !

Montréal - Collision frontale sur la rue Notre-Dame

© Erik Peters / Agence QMI

Une violente collision frontale n'a heureusement pas fait de blessé grave, tôt mardi matin, à Montréal.
L'accident est survenu vers 1 h 5 sur un viaduc du CN de la rue Notre-Dame Est, entre les rues Frontenac et Alphonse-D.-Roy.

« Un véhicule qui aurait dévié de sa trajectoire n'a laissé aucune chance au véhicule qui venait en sens inverse afin d'éviter l'accident », a indiqué l'agent Yannick Ouimet, porte-parole de la police de Montréal.
L'un des conducteurs a terminé sa course dans un lampadaire. « L'impact a été d'une force inouïe, a ajouté M. Ouimet. Il tient presque du miracle qu'il n'y ait pas eu de blessé grave. »
L'un des automobilistes a été transporté dans un centre hospitalier afin d'y soigner une légère contusion à la tête. L'autre conducteur a été reconduit à son domicile par les policiers.
Les enquêteurs de la police de Montréal tenteront de déterminer les causes exactes de l'accident.


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Comment un agence journalistique se protège ? .....facile : "Protection 101"


L'Agence QMI tient à se dissocier complètement de commentaires déplacés et insultants qui ont été tenus à l'égard de l'animatrice Véronique Cloutier, du comédien Louis Morissette et de l'émission Bye Bye 2011 sur le compte Twitter d'un pigiste de l'Agence QMI, dans la nuit du dimanche 1er janvier au lundi 2 janvier.
Jorge Contreras n'est pas un journaliste employé de Quebecor ou de l'Agence QMI: il est un pigiste dont les services sont retenus à l'occasion par l'Agence QMI. Les propos qu'il tient sur Twitter n'engagent que lui et ne représentent pas la position de l'Agence QMI. L'Agence QMI ne peut ni confirmer ni infirmer les affirmations de M. Contreras selon lesquelles il n'est pas l'auteur de ces commentaires, puisque son compte Twitter aurait, selon lui, été piraté.

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Quoi ? .....personne n'a de puce électronique !

Web - Recherche d'animaux perdus 2.0
Le chat Cooper de Josée et Pierre Goulet a été retrouvé grâce au site Petluck.ca, après près d'un mois d'errance à Montréal. 
© Photo courtoisie

MONTRÉAL – Les chats et les chiens perdus se comptant par milliers à Montréal chaque année, une Montréalaise a décidé de prendre les choses en main en développant une page Web interactive dédiée à la recherche de ces animaux de compagnie disparus.
Visité par plus de 7000 internautes uniques par mois, le blogue bilingue « Petluck.ca » recense depuis 2009 les mammifères et volatiles perdus, trouvés ou même aperçus par ses usagers. Environ 200 nouvelles annonces sont publiées mensuellement par des propriétaires éplorés.
À l'aide d'une carte Google et de photos, les utilisateurs du site peuvent noter et vérifier avec précision toutes les informations nécessaires. On y trouve la description d'un animal, mais aussi le lieu exact où celui-ci a été vu pour la dernière fois. Fruit du travail acharné de Sarah, une Montréalaise d'une quarantaine d'années qui préfère garder l'anonymat, « Petluck.ca » est devenu une référence pour les recherches.
« Même si je fais tout moi-même sur le site, il est devenu une sorte de point central pour ceux qui ont à cœur le bien-être des animaux. »
Les nombreux visiteurs du blogue permettent une veille assidue des informations disponibles auprès des différents refuges de la région.
« Beaucoup de gens ne savent pas trop quoi faire après avoir placé des affiches dans leur quartier, a observé Sarah. Pourtant, un chat peut survivre très longtemps dans la rue. »
Sans être capable d'évaluer le pourcentage des animaux rendus à leurs maîtres grâce à son blogue, elle demeure positive sur les répercussions de celui-ci.
« Les retrouvailles redonnent de l'espoir. Plusieurs sont encouragés et continuent de chercher, même après plusieurs mois. »
Pierre Goulet peut remercier le travail assidu de Sarah. Son chat Cooper a été retrouvé une vingtaine de jours après sa disparition, à plus de sept kilomètres de son lieu de résidence. « J'avais déjà placé une annonce sur “Petluck.ca” et je vérifiais régulièrement, au cas où. »
Un soir, il voit une photo de Cooper sous la rubrique des animaux aperçus par des utilisateurs. « On s'est rendu là-bas et on a appelé notre chat. Quand il est arrivé vers nous, on braillait tellement on était heureux de le revoir. »
EN CHIFFRES
— Près de 1230 annonces de bêtes perdues ont été affichées sur le blogue.
— La section « Happy Endings » contient 642 entrées relatant d'heureuses retrouvailles, dont la dernière datant du 2 janvier.
— En 2010, 22 000 animaux ont été hébergés dans des refuges montréalais.
Disparition mystérieuse
L'histoire la plus curieuse à avoir été publiée sur le site « Petluck.ca » est celle d'un lapin de 4,5 kilos (10 livres) nommé Henry, oublié dans un taxi montréalais en octobre dernier.
Confortablement installé dans un sac de transport, le quadrupède n'a jamais été retrouvé par sa propriétaire. Ses appels logés à la compagnie de taxi n'ont pas pu éclaircir le mystère de cette disparition.
La plus belle histoire
L'histoire qui touche le plus la fondatrice de « Petluck.ca » est celle de Michia, une chatte disparue du quartier Mile-End, en septembre 2010.
Après plusieurs mois de recherche, sa propriétaire a dû déménager à l'autre extrémité du continent, sur une île de la Colombie-Britannique. Michia a finalement été retrouvée près d'un an plus tard à Outremont et, une fois l'identité de l'animal confirmé, elle a fait un long voyage en avion pour rejoindre sa famille.


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Si vous entrez a l'Hôpital de St-Jérome faites attention aux Bad trip de Gypse

Hôpital de Saint-Jérôme - Des patients sniffaient du gypse
Dans le rapport, on note un problème au niveau de l’hygiène des lieux, notamment le fait qu’il n’y a que deux salles de bain pour 22 patients. 
© Archives

Après la publication d'un rapport accablant au sujet des soins psychiatriques à l'hôpital de Saint-Jérôme, voilà qu'une autre enquête, menée au printemps, arrive à un constat tout aussi troublant.
Le rapport de cette enquête, dont le Journal a obtenu une copie en exclusivité, n'a jamais été rendu public par le Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de Saint-Jérôme. Il fait suite à une enquête menée, entre autres, par l'ancien président du Collège des médecins du Québec (CMQ), le Dr Yves Lamontagne.
«Dans certaines unités affectées par l'humidité excessive, la peinture se décolle et des clients grattent le gypse, le mangent ou le sniffent», peut-on lire dans le document de 25 pages.
Deux rapports similaires
En juin dernier, le CMQ et l'Ordre des infirmières et des infirmiers du Québec (OIIQ) avaient rendu public un rapport sur l'état des soins psychiatriques à cet hôpital. Insalubrité et non-sécurité des lieux, soins inadéquats, manque d'effectifs: plusieurs problèmes majeurs, tant au niveau des pratiques médicales que de l'organisation du travail, avaient été dénoncés.
Le rapport déposé presque au même moment par l'équipe du Dr Yves Lamontagne abonde dans le même sens.
«On se retrouve avec des personnes hospitalisées dans des conditions inacceptables, du personnel à bout de souffle dont la motivation est mise à l'épreuve et des psychiatres en nombre insuffisant pour répondre adéquatement à la tâche», indique le document.
Plusieurs correctifs à apporter
Plusieurs recommandations sont par ailleurs émises afin de redresser la situation. Recruter du personnel qualifié, augmenter le ratio patient/infirmier, améliorer l'état des lieux physiques et créer un climat de travail plus motivant en sont quelques-unes.
«Tant que la pénurie de personnel et l'amélioration des locaux ne seront pas réglées, il sera très difficile de recruter de nouveaux psychiatres à Saint-Jérôme. Il faudra vraiment une recherche active et un plan de marketing pour les intéresser à venir pratiquer dans la région.»
Joint par téléphone, le Dr Yves Lamontagne s'est dit encouragé par les travaux de rénovation entamés à l'hôpital Saint-Jérôme et l'annonce de la reconstruction du pavillon psychiatrique.
En septembre dernier, le CSSS de Saint-Jérôme a refusé de fournir le rapport du Dr Lamontagne au Journal parce qu'il contenait «des renseignements pouvant avoir des incidences sur les décisions administratives ou politiques.»
Questionnée, cette semaine, à ce sujet, la porte-parole, Nathalie Nolin a indiqué que l'hôpital ne voyait pas «l'utilité» de rendre public «ce document de travail interne» puisqu'une autre enquête avait fait état de la situation.
En octobre dernier, le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a annoncé la construction d'un nouveau pavillon de psychiatrie, au coût de 55 millions $.
* * *

Extraits tirés du rapport

Voici quelques-unes des observations de l'enquête sur l'hôpital de Saint-Jérôme.
«À l'interne, les clients toxicomanes font un commerce de drogue florissant.»
«Les personnes hospitalisées errent dans les corridors, alors qu'il n'y a qu'un seul éducateur spécialisé pour 85 patients.»
«La seule petite galerie, qui permet aux clients de prendre l'air, est jonchée de mégots et de détritus.»
«Une infirmière peut confirmer qu'elle a eu 17 patrons différents en 20 ans.»
«Il est difficile de rendre le CSSS de Saint-Jérôme attrayant, d'attirer des professionnels et de les retenir lorsque les conditions des lieux physiques sont aussi peu invitantes.»
Il n'y a que deux salles de bains pour 22 patients.
«Il y a un psychiatre pour 40 000 personnes au lieu d'un psychiatre pour une population de 7 à 10 000 personnes.»
«Nous observons un manque flagrant de travailleurs sociaux, psychologues, ergothérapeutes et conseillers en toxicomanie.»


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