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dimanche 4 décembre 2011

Imaginez,...........imaginez: Les compteurs d'eau potable !

imaginez ? Les compteurs d'eau potable,se pointe a l'horizon!
Déja la nouvelle directrice général du Fonds monétaire international(FMI)Christine Lagarde,disait que l'eau sera une valeur qui deviendra payante !


Pas seulement pour les grandes villes,comme Las Végas qui pompe l'eau souterraine de toute la réserve américaine en eau ,mais aussi les pays pauvres! Déja Israel rationne la Palestine en eau pour les réduire en soumission ,face a leurs demande !


Le micropaiement deviendra la méthode sournoise pour faire payer les pauvres ou les pays pauvres,c'est la technique "iTunes": la 99 cents la toune c'est pas chère,mais a la longue ,pour la consommation de l'eau du lavage,des bains d'eau chaude, ça va être cher! C'est la que les bains tourbillon,installé a même le lac extérieure de votre maison de campagne va vous faire économiser! Et la que j'en voit pas faire leurs lavage sur le bord du St-Laurent  ;-)







REF.: Google ,

Compteurs intelligents: Ce qu'Hydro-Québec ne vous dira jamais !

C'est que vous payerez des Paiements en hausse de 24%,par rapport a votre ancien compteur !


Parce que les compteurs intelligents d'Hydro calcule votre consommation en fonction des heures de pointe de leurs réseau et que souvant faut ....................un exemple bien simple faire votre lavage a 11:30 hrs le soir ,pour ne pas payer l'électricité trop chère !

Un hiver qui coûte trop cher

 Un hiver qui coûte trop cher
Crédit photo : Héloïse Archambault
Par Héloïse Archambault | Journal de Montréal
Une cliente d'Hydro-Québec a consommé 45% plus d'électricité, l'hiver dernier, par rapport à l'année précédente. Une hausse qu'elle ne s'explique pas puisqu'elle était partie en vacances.
«C'est une augmentation qui ne se justifie pas», jure Ginette Jalbert, qui demeure à Laval.
Au printemps dernier, la dame a fait le saut lorsqu'elle a reçu son compte d'électricité.
Entre le 21 janvier et le 28 mars 2011 (67 jours), sa consommation d'énergie a été de 8360 kilowatts/heure (kWh), soit une hausse de 45% par rapport à l'année précédente.
Du 30 janvier au 26 mars 2010 (56 jours), l'abonnée avait utilisé 5760kWh.
Or, l'abonnée et son mari n'ont pas occupé leur résidence de janvier à mars derniers puisqu'ils étaient en Floride.
«Les thermostats étaient réglés à 12º et on avait fermé le chauffe-eau. On n'a pas pris d'électricité», plaide celle qui habite à cet endroit depuis 22 ans.
Paiements en hausse de 24%
En juillet dernier, Ginette Jalbert a donc reçu une facture supplémentaire d'Hydro-Québec de 359$.
Depuis, la cliente qui est abonnée à la facturation par mode de versements égaux (MVE) a vu son compte d'électricité bondir de plus de 40$ par mois, passant de 178$ à 221$. Il s'agit d'une hausse de 24%. En 2009, elle payait 234$ par mois.
«Depuis l'an dernier, on a changé tous nos thermostats et des électroménagers pour essayer d'économiser sur l'électricité, indique-t-elle. Mais, ça augmente quand même. Ça n'a pas de bon sens.»
La femme se demande donc si le changement de son compteur électromécanique par la technologie à radiofréquence, en février 2010, serait en cause.
Un hiver 2010-2011 rigoureux
D'ailleurs, le Journal de Montréal rapportait récemment que de nombreux autres abonnés disent payer plus cher depuis le changement de leur compteur.
Hydro-Québec rejette cette hypothèse. La société d'État explique plutôt que l'hiver 2010-2011 a été plus rigoureux que le précédent.
Ainsi, 77% des clients inscrits au MVE ont subi une hausse de leur facture mensuelle, d'entre 12$ et 25$ en moyenne, l'année suivante.
Une explication qui ne rassure pas Ginette Jalbert.
«Ça me fait peur pour l'hiver qui s'en vient, confie-t-elle. Combien de plus ça va me coûter encore?»
Factures révisées par Hydro-Québec
Par ailleurs, des clients d'Hydro-Québec ont eu droit à un réajustement de leur facture à la suite d'articles parus dans le Journal de Montréal concernant l'augmentation de leur compte d'électricité.
«Ils m'ont dit que ça n'avait rien à voir avec l'article, souligne Geneviève Raymond, qui a averti le Journal de Montréal de la révision de sa facture. Le plus important, c'est que je ne paierai pas.»
En août dernier, la Montréalaise avait reçu une facture de 1179$ à payer sur-le-champ.
Hydro-Québec lui réclamait ce montant pour une rétroaction de sa consommation depuis deux ans.
Finalement, après la parution de l'article, la société d'État a accepté de réduire la rétroaction à une période de six mois.
«La lecture du compteur n'avait pas été faite depuis plus d'un an et on avait basé l'estimation sur la consommation du client précédent, indique le porte-parole d'Hydro-Québec, Patrice Lavoie. Mais, ce n'était pas de la faute de cette cliente.»
Crédit de 100$
Normand Hudon, cet abonné qui avait payé 100$ de plus, en octobre et en novembre dernier, aura aussi droit à un réajustement de sa facture.

Hydro-Québec explique qu'une estimation de sa consommation, durant quatre mois, a mené à un surplus de paiements. Le client aura droit à un crédit de 100$ au cours des prochains mois.
«Je serai satisfait lorsque j'aurai vu la baisse sur ma facture», indique Normand Hudon, qui fait partie du projet-pilote sur les compteurs de nouvelle génération.
Hydro-Québec assure donc que le compteur «intelligent» n'a rien à voir avec cette augmentation.
Autres cas
Par ailleurs, le Journal de Montréal rapportait récemment d'autres cas d'abonnés qui disaient avoir subi une hausse de leur compte d'électricité de puis le changement de leur compteur.
Dans le cas de Guylaine Langelier, il faut préciser que l'augmentation de sa consommation d'énergie est en partie liée au changement du mode de chauffage de sa résidence, en 2009.
En ce qui concerne Alain Bélisle, à Repentigny, la hausse de la consommation d'électricité n'a pas encore affecté sa facture puisqu'il est abonné au mode de paiement en versements égaux.






REF.:

samedi 3 décembre 2011

Gouvernement: Un plan de 6 millions $ par année échou !


Suicide de Marjorie Raymond - La classe politique sous le choc
«J'ai lu ça ce matin, ça tire les larmes», a commenté la chef du PQ, Pauline Marois. 
© TVA Nouvelles / Agence QMI


QUÉBEC — Le suicide de Marjorie Raymond, victime d'intimidation permanente à l'école École Gabriel-Le Courtois à Sainte-Anne-des-Monts, en Gaspésie, a suscité l'indignation des élus à l'Assemblée nationale, mercredi.
La chef de l'opposition officielle, Pauline Marois, a parlé de l'échec du plan d'action pour prévenir la violence dans les écoles. Ce plan qui avait vu le jour en 2008 a été reconduit jusqu'en 2011 à raison de 6 millions $ par année, mais ce programme, selon le Parti québécois, ne répond pas à la demande.
«J'ai lu ça ce matin (mercredi), ça tire les larmes. Il faut absolument qu'une action se mène pour coordonner les interventions. Comme dans le cas des Shafia, les signalements avaient été faits, mais on n'est pas intervenu. Il y a un programme, mais quand il ne donne pas de résultats, il faut réviser nos façons de faire», a dit la chef du PQ.
«C'est un drame inqualifiable pour la famille, qui fait suite à des mois, des années d'intimidation continue, a dit Sylvain Gaudreault, le porte-parole péquiste en matière d’éducation. C'est un triste événement qui s'ajoute à d'autres alors que ça devrait être tolérance zéro, dans le cas de l'intimidation à l'école.»
La ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, a pour sa part expliqué qu'il était important de s'intéresser aux victimes, mais également aux agresseurs. «Je veux que l'accent soit mis sur comment on intervient encore mieux avec les bonnes conséquences auprès de l'agresseur et comment on implique la famille.»
Le premier ministre Jean Charest se demande ce qui a pu pousser cette jeune fille à s'enlever la vie. «Comme société, il faut s'interroger sur ces problèmes qui se posent pour plusieurs jeunes filles ou garçons qui malheureusement se sentent persécutés à un point tel qu'ils ne trouvent pas d'autres issues que de s'enlever la vie.»
Soixante-neuf commissions scolaires ont accès au plan pour prévenir la violence dans les écoles. Mais ce sont les directions qui choisissent les moyens qu'ils souhaitent mettre de l'avant dans leur établissement.
L'école que fréquentait Marjorie Raymond était pourvue de ce plan d'action.


REF.:

Gros party chez les "Gothiques" en fin de semaine !


Québec - Des os volés au cimetière
Une pierre tombale a été déterrée au cimetière Saint-Charles à Québec et des ossements ont été volés. 
© Jean-Claude TRemblay/Agence QMI

Des os volés au cimetière

«Je veux retrouver ce qu'on nous a pris. S'ils ont volé un bras, c'est le bras avec lequel il nous serrait contre lui.»
C'est la réaction spontanée de la veuve et de la fille de Michel (prénom fictif), qui ont été plongées, bien malgré elles, dans une histoire particulièrement sordide.
Entre le 6 et le 9 novembre, un ou plusieurs malfrats ont creusé la pierre tombale de leur proche, qui reposait au cimetière Saint-Charles, depuis le milieu des années 1990, à la suite d'un infarctus. Ils ont déterré les ossements du défunt avant de les emporter avec eux. Hier, la police de Québec a émis un communiqué de presse demandant l'aide de la population en vue d'obtenir de plus amples informations.
«C'est de rouvrir une plaie qui était cicatrisée puis qui est rouverte à la chair vive, a décrit la veuve de Michel, au cours d'une entre-vue fort émouvante avec le Journal. C'est comme revivre un deuxième deuil, mais différemment. On ne s'attend pas à vivre deux fois le même deuil d'une même personne dans sa vie.»
Dignes dans la douleur, les deux femmes ont assuré qu'elles n'étaient pas animées par un désir de vengeance contre les auteurs de cet acte odieux. «C'est probablement un hasard que ce soit tombé sur cette tombe», croit la veuve. «Je ne veux pas fesser sur la personne qui a fait ça. Je veux juste qu'elle me rende ce qui m'appartient», a enchaîné sa fille.
Les enquêteurs ne semblent pas croire que la tombe de Michel était particulièrement visée. «C'était un homme sans histoires, a mentionné Sandra Dion, de la police de Québec. Il arrive qu'il y ait une profanation de pierres tombales, mais c'est la première fois que je vois un cas d'outrage à un cadavre.»
Même si elle est située à quelques mètres du chemin, la tombe profanée se trouve dans un endroit plutôt isolé du cimetière, a constaté le Journal.
Incinération
L'événement ignominieux a bouleversé le rapport qu'entretient la veuve de Michel avec la vie et la mort. «On a saccagé l'endroit où je vais moi-même reposer plus tard, a-t-elle rapporté. Je n'ai jamais voulu être incinérée, mais ça a tout remis en question. J'ai dit à ma fille que je voulais être incinérée. Pourtant, je ne voulais rien savoir de l'idée d'être brûlée.»
Désireuses de protéger la petite-fille de Michel, les deux femmes ont tenu à conserver l'anonymat. «On n'explique pas ça à un enfant. Même un adulte ne comprend pas vraiment», a lâché la fille de Michel avec beaucoup d'émotion.
Si vous disposez de renseignements concernant ce méfait, vous pouvez contacter la police de Québec au 418 -641-2447 en indiquant ce numéro de dossier: QUE111109-080.
* * *
Ce qu'ils ont dit...
«C'est le personnel fossoyeur qui est passé pour signaler une ouverture qu'il n'avait pas eue dans ses commandes. C'est toujours une réaction de surprise et de stupéfaction de voir que quelqu'un a osé creuser une fosse (...) Je n'ai jamais vu ça.»
-- Rénald Julien, directeur général du cimetière Saint-Charles depuis 1977
«On s'en reparle tous les jours. C'est redevenu notre sujet de conversation comme quand il est décédé la première fois.»
-- La veuve de Michel
«On est bien peinées de ça. Ça ne me tente pas d'en parler et de pleurer de nouveau. Ma famille me comprendra, mais pas mes collègues de travail. Personne ne peut vraiment nous comprendre tant qu'il n'a pas vécu ça.»
-- La fille de Michel
«Tout nous traverse l'esprit, mais on n'a aucune idée de qui a pu faire ça et ce qui le motivait. C'est comme un vol ou un viol. Ça fait peur, ça fait faire des cauchemars. Dire que tu ne peux pas reposer en paix. C'est un traumatisme.»
-- La veuve de Michel
«Si jamais ces ossements-là ne sont pas retrouvés, elle ne pourra jamais tout à fait reposer à côté de son conjoint.»
-- La fille de Michel, en parlant de sa mère
CINQ ANS MAXIMUM
(TM) L'article 182(B) du Code criminel stipule «qu'est coupable d'un acte criminel et passible d'un emprisonnement maximal de cinq ans quiconque (...) commet tout outrage, indécence ou indignité envers un cadavre humain ou des restes humains, inhumés ou non».


vendredi 2 décembre 2011

Vous souvenez-vous du Climategate ?


En novembre 2009, il avait fallu patienter plusieurs semaines avant que nos médias locaux ne daignent rapporter le séisme qui secouait la science du climat et qui occupait sans relâche la presse internationale.
On apprenait alors qu'une source anonyme avait rendu publics plus d'un millier de courriels échangés entre des chercheurs particulièrement influents auprès du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC).
COURRIELS
Ces courriels révélaient que les données qui avaient servi à la rédaction de rapports alarmistes, lesquels continuent d'orienter les politiques publiques, avaient été délibérément manipulées afin d'occulter le fait qu'aucun réchauffement climatique n'avait été enregistré depuis presque 15 ans.
Nous sommes le 1er décembre 2011 et l'histoire se répète. La même source anonyme vient de dévoiler plus de 5000 nouveaux courriels incriminant encore et toujours les chercheurs dans le giron du GIEC, dont Michael E. Mann, de l'Université Penn State, et Phil Jones, de l'Université d'East Anglia.
Or, encore une fois, nous avons droit à l'omertà médiatique. Alors qu'on nous rapporte des faits divers souvent sans intérêt, personne ne souffle mot de la nouvelle bombe qui ébranle la science climatique officielle. Il faut croire qu'un vol d'essence dans une station-service est plus important que les pratiques douteuses des scientifiques du GIEC!
Revenons aux courriels. Comme en 2009, ils jettent un éclairage peu flatteur sur les scientifiques qui les ont rédigés. On y apprend entre autres que ces chercheurs:
1) doutent de la qualité de certaines de leurs propres études et admettent entre eux la pertinence des critiques des sceptiques;
2) complotent pour entretenir la théorie du réchauffement anthropique, notamment en manipulant les données et les modèles;
3) emploient des méthodes d'intimidation contre les scientifiques «dissidents» dont les travaux sont susceptibles de nuire à leur cause;
4) considèrent que la question climatique est avant tout une cause politique. La recherche de l'exactitude scientifique semble secondaire;
5) redoublent d'efforts pour se soustraire à la loi sur l'accès à l'information en cachant leurs données.
RÉVÉLATIONS GRAVES
Ces révélations sont graves, parce que de nombreux gouvernements se basent sur les études du GIEC pour élaborer de coûteuses politiques environnementales. L'Australie, par exemple, vient d'imposer une taxe sur le carbone qui fera augmenter les prix de tous les biens et qui nuira assurément à la création d'emplois.
Le contenu des courriels est également inquiétant, car s'il y a vraiment supercherie, cela signifie que les grands de ce monde qui sont actuellement à Durban, dans le cadre des négociations sur le climat, discutent de mesures à prendre pour contrer un réchauffement anthropique qui ne repose pas sur des bases scientifiques solides.
Nombreux sont ceux qui minimisent l'importance de ces courriels et accusent les sceptiques de négationnisme. C'est une erreur: d'abord, parce que le doute est à la base de la démarche scientifique; ensuite, parce que fermer les yeux sur le contenu des courriels, c'est s'exposer au canular le plus coûteux de l'histoire de l'humanité.



REF.: Nathalie Elgrably-Levy est économiste senior à l'institut économique de Montréal
elgrably_commentaire@journalmtl.com

Le problême c'est pas les élèves ,.....c'est les ???

 


Faut-il aller jusqu'en Finlande pour trouver le professeur idéal? C'est ce qu'a fait Chantal Lavigne. La Finlande a développé un système d'éducation dont les résultats font l'envie de bien des pays... et sans commissions scolaires.


REF.: