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mercredi 19 octobre 2011

Philippe est le "Bonhomnme a Lunette"





Philippe Rochette, est un opticien d’ordonnances qui s’est donné pour mission d’offrir des lunettes de qualité à des prix abordables pour tous les porteurs de lunettes, peu importe leur budget. Actif dans les milieux communautaires, le bonhomme s’engage à remettre 10$ pour chaque paire de lunettes vendues à un organisme de votre choix parmi ses partenaires.

REF.: http://www.bonhommealunettes.org/

Les rouages du contrôle des ressources alimentaires



Les auteurs d'un documentaire démontent les rouages du contrôle des ressources alimentaires, plus spécifiquement dans le marché du riz, qui ont donné lieu aux émeutes de la faim en 2008. En remontant la filière mondiale du riz, le documentaire révèle au grand jour qui en sont les acteurs à tous les échelons, de la Thaïlande au Sénégal, en passant par la Suisse et les Philippines. Pleins feux également sur des spéculateurs irresponsables, des monopoles abusifs et des états corrompus qui ont conduit à cette pénurie alimentaire. Une enquête fouillée au plus près des producteurs et des exportateurs, des négociants internationaux et des importateurs de la précieuse denrée qui nous montre en détail la fragilité de l’équilibre alimentaire mondial.

REF.: Google,

La retraite des pauvres


Les personnes âgées au Québec s’enterrent sous les dettes. Mais ce n’est rien comparé au sort qui attend leurs enfants.
Le nombre de ménages endettés de 65 ans et plus a plus que doublé depuis 17 ans. Il est passé de 25 % à 60 %, selon une étude de l’IRIS. Nos doyens vivant dans la pauvreté ont presque triplé. Leur proportion atteint aujourd’hui 12,3 %.
Ces chiffres ont de quoi inquiéter. Surtout quand on sait que les retraités d’aujourd’hui ont, de façon générale, géré leurs finances personnelles de manière assez responsable. En tous cas, mieux que leurs enfants et petits-enfants. Et c’est ce qui fait peur : si les vieux d’aujourd’hui « n’arrivent pas », quel enfer attend la génération je-couche-devant-le-Apple-store-pour-m’acheter-à-crédit-un-gadget-dont-je-n’ai-pas-besoin?
Épargne? Connais pas!
Dans les années 1980, nos parents engraissaient leur petit cochon. Imaginez : le taux d’épargne des Canadiens dépassaient les 20 %! Depuis, c’est la chute libre. Jusqu’à tout récemment, ce taux était négatif, à -0,5 %. Il oscille aujourd’hui autour de 2 %. En même temps, les nombreuses cartes de crédit défoncent nos portefeuilles. Notre endettement bat des records, à 150 % du revenu disponible. Belle recette pour une catastrophe!
Bien sûr, certains d’entre nous épargnent de façon exemplaire. Mais ils se font de plus en plus rares. Il s’est passé quelque chose, un choc culturel. Nous — la génération des 40 ans et moins — avons complètement décroché de l’épargne. Nous vivons au jour le jour. Pensez-y : paraît qu’il faut accumuler près d’un million de dollars pour jouir d’une retraite qui a de l’allure. Combien d’entre vous pensez atteindre cet objectif?
Dans les années 1980, c’était payant de laisser dormir son argent en banque. Les taux d’intérêt dépassaient les 20 % par moment. Aujourd’hui, quelles motivations avons-nous à épargner? La banque centrale écrase les taux d’intérêt au plancher depuis des années. Ce qui pousse les gens à s’endetter — en achetant une maison deux fois trop grosse vu les bas taux hypothécaires — plutôt qu’à épargner. Les obligations du gouvernement ne rapportent rien, et l’inflation mange tout rendement. En plus, ça fait deux fois en 10 ans que la bourse massacre les petits épargnants avec des krachs. Krachs qui, selon plusieurs économistes, pourraient devenir plus fréquents dans les années à venir.
Le REER, pas très tentant
Le REER est loin d’être la solution rêvée. On ne fait que reporter à plus tard l’impôt à payer. Soit à notre retraite, quand notre revenu et notre taux d’imposition seront plus faibles. De là l’avantage. Je vois cependant un problème : vu l’incompétence totale de notre gouvernement à réduire ses dépenses, celui-ci n’aura d’autre choix que de hausser nos impôts dans le futur. Si c’est le cas, il ne restera plus beaucoup d’avantages à placer son argent dans un REER…
Que faire? Forcer les gens à épargner? Eux qui n’arrivent même pas à boucler leurs fins de mois? Bonifier le régime public en haussant — encore! — les cotisations à payer pour l’employé et l’employeur?
Pour les gens âgés, un vieux gag circule sur le web : plaçons-les en prison. Ils auront leur douche quotidienne, trois repas par jour, la télé, un gym et une bibliothèque remplie de livres. Et en échange, envoyons les criminels en maison de retraite! Ils mangeront des repas froids, prendront un bain par semaine, et recevront une facture de quelques milliers de dollars par mois…
Plus sérieusement : il faut débattre de ce problème, et trouver une solution au plus vite. Sinon dans 20 ou 30 ans, des pauvres couchés sur le trottoir, vous allez en voir. Et ils ne seront pas là pour acheter le prochain iPhone.


REF.: David Descoteaux,

Appelons ça la redistribution de richesse, à l’envers


Montréalais, votre compte de taxes foncières grimpe chaque année. Dans la métropole aux 103 élus, on taxe maintenant via les parcomètres, les stationnements, l’essence, l’eau, la voirie, les voitures. Vous essayez de fuir en métro ou en autobus? On va vous chercher avec votre carte mensuelle (la CAM), dont le prix augmente pas mal plus vite que l’inflation.
Mais n’ayez crainte, votre argent est bien dépensé. La preuve : le nombre d’employés de la Ville qui gagne 100 000 $ et plus a triplé entre 2009 et 2010, rapportait la chaîne Global il y a deux semaines. Quelque 1700 employés — surtout des cadres supérieurs — font maintenant partie du club des 100 000 $ et plus. Ils étaient 626 un an plus tôt. Grâce à vous, ces gens peuvent éviter la récession et se payer une belle vie. On appelle ça la solidarité. C’est ce qui nous distingue des capitalistes sans-cœur.
Si vous pensez que notre générosité se bute aux limites de Montréal, c’est mal connaître les Québécois. Cette semaine, on apprend que dans les tours à bureaux, à Québec, 2795 fonctionnaires gagnent 100 000 $ et plus. C’est plus du double qu’en 2005! Et six fois plus qu’en 2001, selon La Presse.
On est tricotés serrés au Québec. Tu crains de ne pas pouvoir emmener tes enfants à Cuba cet hiver, pendant tes cinq semaines de vacances? Pas de problème. Je vais payer 1 % de plus de TVQ cette année, pour que tu puisses y aller. Non, je te jure. Ça me fait plaisir.
Ce n’est rien, ça. On ignore les chiffres des organismes et sociétés d’État. Comme Radio-Canada, Hydro, la SAQ ou la société de transport de Montréal (STM). Ces hauts lieux où priment la rigueur budgétaire, et une quête inlassable d’efficacité. Mais en contribuables débordant de compassion que nous sommes, j’ai confiance qu’on s’est assuré de ne laisser personne y crever de faim. Ou pire, d’avoir à manger trop souvent des sandwichs le midi.
En lisant ces nouvelles, un ami m’a dit : « Ça n’a pas d’allure. On dit aux gens de se serrer la ceinture parce que c’est la récession, pendant qu’on fait vivre des pachas avec leurs impôts! » Sa réflexion m’a fait douter pendant un moment. Mais j’ai écouté les divers porte-parole nous livrer des justifications supplémentaires, et ils m’ont rassuré.
« Ce n’est pas que le nombre de cadres au gouvernement a augmenté », a dit la porte-parole du Conseil du Trésor. C’est parce qu’un groupe important, les « cadres 3 », était tout près du seuil de 100 000 $ au début de la décennie. C’est une progression normale dans les échelons salariaux.
Ah, ok.
À Montréal, un porte-parole a dit qu’il faut bien payer les employés, parce que la Ville est en concurrence avec le privé.
Bien sûr. Comment ai-je pu oublier ça?
À un journaliste de Global qui voulait savoir ce que le maire Tremblay en pense, un porte-parole des ressources humaines a répondu : « pourquoi vous faites une nouvelle avec ça? Les employés de la Ville sont censés travailler gratuitement? »
Voilà. Dans les dents. Circulez, contribuables. Ya rien à voir.


david.descoteaux 

La commission d'enquête sur la construction tourne en VoxPOP !


C'est décidément pas une commission d'enquête que Charest nous présente !
Parce que les gens sont appeler a se présenter volontairement a la commission sans être poursuivi.Un vrai Colloque le "Charestloque" !
QUÉBEC - Après deux ans d'attente, Jean Charest offre finalement aux Québécois une commission d'enquête sur la construction aux pouvoirs limités, dont la majeure partie se déroulera à huis clos et qui durera deux années.

La très attendue commission d'enquête portera plus précisément sur l'existence de stratagèmes et de possibles activités de collusion et de corruption dans l'octroi et la gestion de contrats publics dans l'industrie de la construction.
Cette instance, annoncée en grande pompe mercredi par Jean Charest, porte le titre de commission d'enquête, mais n'est toutefois pas constituée en vertu de la Loi sur les commissions d'enquête, comme l'était par exemple la Commission Bastarache.
La Commission Charbonneau
Les travaux de cette commission couvriront les activités des 15 dernières années et seront présidés par France Charbonneau, juge à la Cour supérieure du Québec, une candidature qui a été recommandée par l'actuel juge en chef François Rolland. La juge Charbonneau aura le mandat de « s'adjoindre deux commissaires de son choix afin de la seconder».
Commission sur invitation
Comme n'a cessé de le répéter le premier ministre Jean Charest depuis des semaines, pas question que cette commission ne vienne nuire de quelque façon que ce soit aux enquêtes policières en cours menées par l'Unité permanente anti-corruption (UPAC).
En conséquence, l'immunité ne sera pas accordée aux personnes qui viendront y témoigner, c'est donc dire que les commissaires ne pourront contraindre quelqu'un à comparaître.
Comme l'avait proposé le patron de l'Unité anticollusion (UAC), Jacques Duchesneau, la majeure partie des audiences se tiendra à huis clos. Le volet public concernera notamment les témoignages d'experts.
Le rapport de la commission est attendu le 19 octobre 2013.


Mise a jour:
Déja , Le  1 Mars 2012,le Minustre Charest mettait en garde la juge France Charbonneau de la commisssion,que plusieurs courriels avaient été interceptés par des pirates informatiques !
(REF.: Journal Métro de Mtl en dâte du 1 Mars 2012.)


Selon Pauline Marois: Les Québécois sont invité a un Colloque sur la collusion de la construction


Construction - La «Commission Charbonneau» voit le jour
Jean Charest 
© Agence QMI
C'est décidément pas une commission d'enquête que Charest nous présente !
Parce que les gens sont appeler a se présenter volontairement a la commission sans être poursuivi.Un vrai Colloque le "Charestloque" !
QUÉBEC - Après deux ans d'attente, Jean Charest offre finalement aux Québécois une commission d'enquête sur la construction aux pouvoirs limités, dont la majeure partie se déroulera à huis clos et qui durera deux années.
La très attendue commission d'enquête portera plus précisément sur l'existence de stratagèmes et de possibles activités de collusion et de corruption dans l'octroi et la gestion de contrats publics dans l'industrie de la construction.
Cette instance, annoncée en grande pompe mercredi par Jean Charest, porte le titre de commission d'enquête, mais n'est toutefois pas constituée en vertu de la Loi sur les commissions d'enquête, comme l'était par exemple la Commission Bastarache.
La Commission Charbonneau
Les travaux de cette commission couvriront les activités des 15 dernières années et seront présidés par France Charbonneau, juge à la Cour supérieure du Québec, une candidature qui a été recommandée par l'actuel juge en chef François Rolland. La juge Charbonneau aura le mandat de « s'adjoindre deux commissaires de son choix afin de la seconder».
Commission sur invitation
Comme n'a cessé de le répéter le premier ministre Jean Charest depuis des semaines, pas question que cette commission ne vienne nuire de quelque façon que ce soit aux enquêtes policières en cours menées par l'Unité permanente anti-corruption (UPAC).
En conséquence, l'immunité ne sera pas accordée aux personnes qui viendront y témoigner, c'est donc dire que les commissaires ne pourront contraindre quelqu'un à comparaître.
Comme l'avait proposé le patron de l'Unité anticollusion (UAC), Jacques Duchesneau, la majeure partie des audiences se tiendra à huis clos. Le volet public concernera notamment les témoignages d'experts.
Le rapport de la commission est attendu le 19 octobre 2013.


mardi 18 octobre 2011

Ce qui se passera le Vendredi 14 octobre 2050 à Montréal ?


Le forum technologique Rogers de ce jeudi 13 octobre 2011 était le troisième du genre. Parmi les conférenciers invités, Réjean Bourgeault, président de 5Deka Inc, a présenté les technologies émergentes des 50 prochaines années. BRANCHEZ-VOUS! vous propose d'explorer cette piste...
Montréal, le vendredi 14 octobre 2050
Après avoir analysé pendant la nuit mon cycle de sommeil, mon Bio moniteur portable personnel me réveille à 6h47 par le biais d'un petit robot programmé avec une douce musique et les informations de la journée à venir. «Bonjour Nicolas, j'espère que tu as passé une belle nuit. On annonce du beau temps aujourd'hui et une température de 19°. Tu as rendez-vous avec le vide-président marketing de Rogers à 10h, un déjeuner avec ton fils à 13h [...] En nouvelles, le Canadien fera une cérémonie pour sa trentième coupe Stanley au Centre Jean Béliveau (ancien Centre Bell)...».
Pendant que je prends ma douche sonique, le robot domestique Asimo 6 me prépare un bon petit-déjeuner. Celui-ci est bien évidemment établi en fonction de ma condition de santé. Je regarde les grands titres sur mon écran holographique et envoie par commande vocale une copie à mes collègues de travail.
En sortant de chez moi, je prends le transport en commun sur la Skyway 40 qui me conduit en quelques minutes à mon bureau à Toronto. Je passe plusieurs appels holographiques avec des vendeurs et responsables se trouvant un peu partout au Canada. Pouvoir se retrouver dans le bureau de mon vice-président marketing à Vancouver grâce à l'holographie, c'est tout simplement génial! Je repense à mes débuts dans l'entreprise il y a 40 ans seulement... le monde a vraiment changé.
Pour le repas de 13h, mon bio-moniteur m'indique que je suis en surpoids et les aliments à éviter. Vous saviez que l'espérance de vie des êtres humains est passé à près de 100 ans de nos jours? Avec les bio-moniteurs, on peut détecter tout problème en temps réel et les secours sont aussitôt avertis et informés de ma position grâce au GPS intégré.
Au cours du repas, mon fils me dit qu'il veut un enfant et qu'avec sa femme ils vont aller faire un test ADN pour voir si le futur bébé aurait des complications. Désormais, il faut moins de 10 minutes pour décrypter de l'ADN et ça coûte 500 $ NAD (North-America Dollars). La Cyber-génération (enfants nés après les années 2010) a vraiment de la chance.
Après mes différents rendez-vous et ma journée de travail, je fais un petit détour par l'Apple Store, car c'est aujourd'hui que sort l'iPad 23. Oh bien sûr, l'iPad n'a plus rien à voir avec ces vieux machins qu'on avait dans les années 2010. Grâce à l'holographie on peut faire apparaître des écrans un peu où l'on veut maintenant. Je me rends donc à la boutique, et en entrant je reçois un message de bienvenue personnalisé à travers mon écouteur intégré sans fil (utilisant la nanotechnologie, on m'a injecté ce petit appareil dans l'oreille il y a 5 ans). M'ayant immédiatement reconnu grâce au scanner facial de l'entrée et à l'e-bibliothèque humaine universelle, l'Apple Store me propose un rabais sur certains accessoires.
Une fois mon iPad (dont la capacité est environ 500 millions de fois plus élevé que dans les années 2010) et mes accessoires en main, je me dirige lentement vers la sortie. Un petit bip et un message de remerciement m'indique que les achats ont été automatiquement débités sur mon compte bancaire. Les puces RFID ayant remplacé les codes barres dans les années 2020 sont en effet directement intégrés dans les produits. Cela évite de fastidieux inventaires et plus besoin de changer les prix manuellement, puisqu'en une commande vocale tous les prix se réajustent.
Parmi les accessoires que je me suis acheté, j'ai pris un programme pour me familiariser aux conditions de vie dans l'espace. Le tourisme spatial a vraiment explosé dans les années 2030-2040 et maintenant que je gagne un bon salaire, il est temps d'en profiter! L'hôtel Excelsior en orbite nous tend les bras.
En rentrant à la maison, je connecte donc le programme à mon interface bio-neurale et le téléverse directement dans mon e-cerveau, ce petit appareil connecté à mon réseau neuronal qui me permet d'ajouter un peu de mémoire à mon cerveau «biologique». C'est vraiment pratique de pouvoir téléverser des compétences ou des informations directement dans le cerveau, on ne perd plus de temps en apprentissage! Bien sûr, les écoles ont encore leur utilité, mais les contenus sont bien différents. Ca me rappelle un film diffusé à la fin des années 1990: Matrix. Je me rappelle qu'on pouvait charger des programmes d'apprentissage en un instant dans ce film. Peut-être le réalisateur avait-il vu le futur... enfin mon présent.
Bref, en attendant le voyage, je vais regarder la diffusion en direct de ma fille Anne qui se trouve en Australie. Grâce à ses lunettes caméras sans fil, elle diffuse en direct sur un canal de YouTube Live. J'ai bien hâte de découvrir ses recherches sur l'anti-gravité.
Bon, maintenant c'est l'heure de la cérémonie au Centre Jean Béliveau. Je vous laisse, ma famille m'attend dans notre salon. Vive l'holographie qui nous permet de «participer» passivement à l'évènement!

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