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jeudi 13 octobre 2011

«Text neck»: nouvelle maladie des accros aux téléphones intelligents


Posture - «Text neck»: nouvelle maladie des accros aux téléphones intelligents
Les accros aux SMS peuvent souffrir d'une nouvelle maladie, appelée «text neck».
© Andrey Arkusha / shutterstock.com


On connaissait les problèmes de pouces liés à l'utilisation effrénée des téléphones portables. Les blogueurs et différents médias se font l'écho depuis quelques jours d'une nouvelle épidémie qui touche uniquement les technophiles: le «text neck», des douleurs de nuque causées par l'utilisation d'appareils mobiles.
Des médecins et des chiropracteurs avancent que l'utilisation prolongée d'appareils mobiles cause une recrudescence de symptômes comme des tensions de la nuque, des maux de tête et des douleurs dans les épaules, voire même dans les bras et les mains.
Le fait de se pencher sur son téléphone pour envoyer des SMS, regarder des films ou même pour jouer pourrait aller jusqu'à causer des douleurs invalidantes persistantes au cours de la vie, selon certains rapports. The Telegraph britannique a rapporté que certains cas sont tellement graves que les muscles finissent par s'adapter à la position courbée, rendant la position droite douloureuse.
La tête d'un être humain pèse en moyenne entre 4,5 et 5,5kg, ni le cou ni les épaules ne sont adaptés à soutenir ce poids pendant de longues périodes, expliquent certains experts. Les enfants sont plus particulièrement susceptibles d'être touchés car leurs têtes sont proportionnellement plus lourdes par rapport à leur corps que les adultes. «Cette maladie, qui peut entraîner des maux de tête, d'épaules, de bras, de poignets touche le plus souvent les jeunes femmes aux cous minces,» explique le blogueur The Frisky.
«On devrait peut-être inventer une application qui ferait hurler nos téléphones: "Pose moi! Redresse le menton!"», ajoute le blogeur Jezebel.
Si vous êtes un invétéré du texto, assurez-vous de faire des pauses fréquentes, et de vous étirer le cou et le dos. Des spécialistes suggèrent aussi de tenir son téléphone plus haut pour conserver l’alignement de la colonne.


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mercredi 12 octobre 2011

WTF ! ils ont faim !

La video montrant le besoin urgent de la faim dans le monde !

Chronique - *$ %#& de famine !
 

George Clooney, Jessica Alba, Arianna Huffington, Clive Owen, Colin Farrell et Michael Bloomberg, le maire de New York, qui gueulent le mot « fuck » à pleins poumons sur YouTube.
Voilà le concept provocateur de la campagne vidéo lancée par ONE, une organisation cofondée par Bono, qui utilise aujourd’hui le Web et les réseaux sociaux pour s’attaquer à la famine qui afflige la Corne de l’Afrique.
L’idée derrière cette vidéo remplie de vedettes du divertissement, des médias et de la politique est assez simple : utiliser un mot offensif de quatre lettres afin d’attirer l’attention sur un problème qui ne semble plus offenser qui que ce soit.
On y voit le chanteur de U2 expliquer la prémisse : « La véritable injure, ce n’est pas le mot fuck. C’est la famine. » Il a raison, Bono.
Selon ONE, plus de 30 000 enfants sont morts en Somalie depuis trois mois. C’est 333 enfants par jour. Sans compter les adultes. Sans compter tous ceux qui crèvent de faim au Kenya et en Éthiopie. Au total, plus de 13 millions d’êtres humains sont touchés par cette tragédie. Et personne ne bouge.
Personne n’intervient. Il y a là de quoi dire WTF ! Avec cette campagne, ONE dit ne pas vouloir mettre ses mains dans les poches des internautes.
On espère plutôt que la vidéo (qui a aussi été réalisée avec des vedettes françaises pour la version « putain de famine ») sera partagée sur les réseaux sociaux et que 500 000 personnes signeront une pétition pour faire pression sur les dirigeants politiques afin qu’ils soutiennent des programmes qui aideront à mettre fin à la famine et à sauver des vies. Plusieurs géants du Web se sont joints à ONE pour faire la promotion de la campagne : AOL, MTV et Facebook, pour n’en nommer que quelques-uns.
Maintenant, une vidéo You- Tube va-t-elle empêcher les membres d’Al-Shabaab (une organisation affiliée à Al-Qaeda) de bloquer l’aide humanitaire étrangère qui vise à nourrir les populations de la Corne de l’Afrique ? Probablement pas. Cela dit, quand je lis cette semaine qu’une jeune blogueuse tunisienne est en lice pour le prix Nobel de la Paix, je garde espoir. Je garde l’espoir que si on parle autant des injustices que du nouveau iPhone, on finira peut-être par vivre dans un monde meilleur.

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vendredi 7 octobre 2011

Les juges pensent a diminuer d'un an les peines ,des causes de 32,000 dossiers



Justice - 32 000 dossiers reportés
La grève des procureurs de la Couronne a ajouté à la lourdeur du système judiciaire. Avec la nouvelle convention collective, la grève générale illimitée ne peut plus faire partie des moyens de pression. 
© Agence QMI

Si la grève des procureurs de la Couronne a paralysé l’appareil judiciaire pendant seulement 15 jours, en février dernier, elle aura laissé d’importantes traces dans un système déjà embourbé. Plus de 32 000 dossiers ont été reportés, a appris le Journal.
À LIRE ÉGALEMENT:
VOTRE OPINION :
Selon les données fournies par le Directeur des poursuites criminelles et pénales ce sont exactement 32 300 dossiers qui ont été remis à une date ultérieure.
La région du Sud du Québec (comprenant notamment Longueuil, Sherbrooke et Saint-Jean-sur-Richelieu) a été la plus touchée avec 8 817 causes reportées, soit plus du quart (27 %) du nombre total.
Seulement à Montréal, les juges ont dû remettre 6 147 dossiers au criminel et 1 307 au pénal.
Attente interminable
Bien qu’il soit difficile d’estimer le temps nécessaire pour effacer les retards, on peut facilement s’imaginer qu’une victime d’agression sexuelle doit vivre un an de plus dans l’angoisse en attendant de pouvoir témoigner contre son agresseur.
Un témoin dans une cause de meurtre pourrait lui aussi attendre plusieurs mois avant de pouvoir enfin expliquer ce qu’il a vu et finalement tourner la page.
Un accusé peut lui aussi trouver le temps long avant que justice soit rendue.
La présidente de l’Association québécoise des avocats de la défense, Me Joëlle Roy, estime que la grève a eu « des conséquences déplorables tant pour les accusés que pour les victimes ».
« La grève n’était pas le moyen de pression idéal. On n’a seulement pelleté les problèmes par en avant », se désole-t-elle.
Droit accordé
Appelé à commenter, Me Christian Leblanc, président de l’Association des procureurs aux poursuites criminelles et pénales admet que la grève n’était pas le moyen de pression le plus efficace.
« C’est le droit que le gouvernement a tout de même voulu nous accorder. Nous l’avons donc exercé », explique-t-il.
Ce droit a par contre été retiré dans la nouvelle convention collective.
« C’est une bonne chose. C’est impossible de paralyser les tribunaux de cette façon tous les cinq ans si on ne s’entend pas avec le gouvernement », affirme Me Leblanc.
Du côté du Barreau du Québec, le directeur général, Claude Provencher, se dit « interpellé ». « Nous entendons vérifier la nature de ces dossiers et faire le point sur la situation. Nous tenons à ce que la justice soit rendue dans un délai raisonnable », assure-t-il
Samedi dernier, les procureurs ont entériné à 99,4 % l’entente de principe intervenue quelques jours plus tôt entre l’Association et le gouvernement. 


un pas vers la légalisation de la marijuana


Loi sur la sécurité des rues et des communautés - Quelques plants de mari ne feront pas courir la police
 
© Agence QMI / Archives


OTTAWA – Les ministres de la Justice, Rob Nicholson et celui de la Sécurité publique, Vic Toews, affirment que la police ne fera pas des pieds et des mains pour attraper ceux qui feront pousser quelques plants de marijuana chez eux, mais ils préviennent que les peines sont sévères pour ceux qui en cultivent plus de six.
Les ministres ont comparu devant un comité parlementaire jeudi pour discuter de la Loi sur la sécurité des rues et des communautés; un projet de loi omnibus qui prévoit des peines minimales obligatoires et qui cible notamment les prédateurs, les trafiquants de drogue et les récidivistes violents.
«Le projet de loi est très clair. Si vous êtes dans l'entreprise de la culture de marijuana et que vous avez entre six et 199 plantes, vous serez visés par les dispositions de la loi si vous êtes un trafiquant», a affirmé Vic Toews.
Les ministres contestent aussi les estimations du NPD, qui avance qu’il en coûtera 20 milliards $ au cours des cinq prochaines années pour mettre en œuvre la loi.
Le gouvernement Harper estime plutôt que la section du projet de loi portant sur la lutte contre la drogue coûtera 67 millions $ sur cinq ans.
Sur la question des peines minimales obligatoires, les ministres ont reconnu que davantage de criminels seraient «poussés» vers des pénitenciers fédéraux plutôt que dans des institutions carcérales provinciales, en raison des peines qui excéderont les deux ans.

La pauvreté proviendrait surtout des Agences et des employeurs qui les utilisent


Des conditions exécrables pour les travailleurs d’agence


Manifestation - Des conditions exécrables pour les travailleurs d’agence
Une soixantaine de personnes se sont rassemblées afin de dénoncer les conditions des travailleurs d’agences de placement temporaire, vendredi. 
© Joël Lemay / Agence QMI

MONTRÉAL – Licenciements abusifs, rémunération sous la barre du salaire minimum, non-respect des normes du travail. Une soixantaine de personnes se sont rassemblées afin de dénoncer les conditions des travailleurs d’agences de placement temporaire, vendredi, à l’occasion de la journée mondiale pour le travail décent.
Une pétition a été remise au bureau de la ministre du Travail, Lise Thériault, par une délégation d’Au bas de l’échelle et du Centre des travailleuses et des travailleurs immigrants. Ils réclament ce qu’ils jugent être des «mesures d’urgence», à savoir l’obligation pour ces agences d’obtenir un permis pour exercer, ainsi que l’application du principe de coresponsabilité.
«Pour l’instant, si un employé veut faire une plainte, on ne sait pas qui est son employeur, qui en a la responsabilité: l’agence ou l’entreprise cliente, a expliqué Carole Henry, porte-parole d’Au bas de l’échelle. Ça décourage les travailleurs d’agence de porter plainte. Et c’est un des arguments de vente des agences.»
Les travailleurs recrutés par des agences de placement, souvent des femmes immigrées, sont dans une position de «vulnérabilité et de précarité quant à leurs conditions de travail», a dénoncé Aadi Ndir du Centre des travailleurs et des travailleurs immigrants.
«Chaque jour, des femmes enceintes sont licenciées à cause de leur état. Chaque jour, des travailleurs malades sont licenciés à cause de leur maladie. Souvent, la paie ne correspond pas aux heures accumulées. Plusieurs sont victimes de harcèlement. Ils ne portent pas plainte sous peine de licenciement», a-t-il ajouté.
«On a besoin d’un encadrement réglementaire pour faire cesser ces abus», a précisé M. Ndir. Présente au rassemblement, Françoise David, co-porte-parole de Québec solidaire, a estimé que le traitement réservé à ces travailleurs est «honteux».
«C’est comme si le gouvernement du Québec acceptait qu’il y ait une sous-classe de travailleurs au Québec, a-t-elle fait savoir. Il va falloir réglementer tout ça».
D’après les organisateurs du rassemblement, plus de 1200 bureaux d’agences de placement temporaire auraient pignon sur rue au Québec.


REF.: Statistique Québec,

Selon statistique Québec: Les policiers contreviennent surtout aux articles 6 et 7 du code de déontologie des policiers du Québec


SPVM - Deux policiers blâmés par le Comité de déontologie
 
© Éric Bolté / Agence QMI


MONTRÉAL – Deux policiers du Service de police de la Ville de Montréal ont récemment été blâmés par le Comité de déontologie policière. L’un pour avoir abusé de son autorité en utilisant une force plus grande que nécessaire, et l’autre pour ne pas être intervenu auprès de son collègue au moment de faits.
Les agents Yannick Bordeleau et Steve Thibert ont contrevenu ainsi respectivement aux articles 6 et 7 du code de déontologie des policiers du Québec.
Tel est le verdict d’une décision rendue le 26 septembre dernier.
L’histoire remonte au soir du 14 octobre 2007. Alors que les deux policiers sont à bord de leur véhicule, une voiture les dépasse et n’effectue pas l’arrêt obligatoire au coin de rue suivant.
Les policiers activent leurs gyrophares et aborde ensuite l’automobiliste, qui «est fortement intoxiqué, semble avoir perdu le contact avec la réalité et présente les symptômes d’une personne atteinte de delirium agité», peut-on lire dans le document juridique.
L’agent Thibert tente alors de faire sortir le conducteur, Quillem Registre, de sa voiture. Ce dernier essaie plutôt de fuir, mais percute à trois reprises d’autres véhicules stationnés dans la rue.
Les deux policiers tentent ensuite de maîtriser M. Registre qui se débat et qui «est hystérique», toujours selon le jugement.
Pour immobiliser l’individu, l’agent Bordeleau utilise son pistolet «Taser», une première fois, puis une deuxième, et une autre. Ce sont finalement six décharges électriques qui atteindront M. Registre, qui sera par la suite transporté à l’hôpital.
L’homme admet aux ambulanciers avoir consommé de la cocaïne et de l’alcool.
À partir de ce moment, l’état de santé de M. Registre ne cesse de se détériorer et il rend l’âme quatre jours plus tard, après une série d’interventions médicales.
Le «Taser» en cause?
Appelé comme témoin, le Dr Verdant, l’un des médecins traitants de M. Quillem, a indiqué que la victime a souffert d’une destruction des muscles, ce qui a «précipité le patient en acidose importante, en insuffisance rénale, puis en augmentation du potassium et du phosphore».
«Le Dr Verdant ne peut pas attribuer au DAI (dispositif à impulsions) la cause ou la responsabilité de l’état dans lequel se trouvait M. Registre, mais il ne peut pas l’exclure», lit-on dans la décision.
Pour sa part, la Dre Caroline Tanguay, qui a effectué une autopsie sur le corps de M. Registre, affirme que «l’atteinte aux organes n’était pas reliée à l’utilisation du DAI».
Il faudra désormais attendre pour connaître les sanctions imposées aux agents Bordeleau et Thibert.
«Les représentations sur sanctions se font habituellement dans les 30 jours suivant la décision», indique une porte-parole du Comité de déontologie policière, précisant qu’aucune peine précise n’est attribuée à la violation d’un article et que tout dépend des circonstances de la dérogation.





REF.:

lundi 3 octobre 2011

Quoi,.....Béelzéboul a deux têtes aussi !


Impôts

Y a-t-il une Agence du revenu de trop?






Impôts - Y a-t-il une Agence du revenu de trop?
 
© Agence QMI / Archives


MONTRÉAL – À la suite de l’annonce sur l’harmonisation des taxes de vente entre Québec et Ottawa, de plus en plus de voix s’interrogent sur la pertinence de remplir deux rapports d’impôts au Québec.
Alors que le Québec compte pour 23 % de la population canadienne, il emploie 11 281 personnes à l’Agence du revenu du Québec, un nombre qui correspond à 27,5 % de tous les employés à l’Agence du revenu du Canada.
C’est sans compter les 6000 fonctionnaires fédéraux de l’Agence du revenu du Canada qui travaillent également au Québec, dont certains s’occupent aussi des déclarations d’impôts des Québécois. Le Québec en a-t-il pour son argent dans ce système à deux têtes?
Selon Maurice Gosselin, professeur de comptabilité à l’Université Laval, le système fiscal québécois, unique en son genre au Canada, n’est pas optimal. «On a très peu d’études sur les coûts de ce système, mais il est certain qu’ils sont importants», souligne-t-il.
M. Gosselin explique que les Québécois sont les seuls contribuables au pays à devoir produire deux déclarations d’impôts et à devoir dialoguer avec deux fonctions publiques quand vient le temps de déclarer leurs impôts. «Ça complique beaucoup les choses», dit-il.
La raison de cette particularité? En 1954, le premier ministre autonomiste Maurice Duplessis a instauré un système provincial de taxation du revenu. Selon M. Gosselin, l’enjeu en est un avant tout de contrôle de ses finances publiques. «C’est une question de pouvoir. Personne ne veut lâcher le morceau et céder des leviers fiscaux», mentionne-t-il.
Sans ministère du Revenu québécois, Québec n’aurait pu, par exemple, instaurer de Régime Épargne-Actions (RÉA) dans les années 1980, explique-t-il.