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jeudi 17 février 2011

Quand le mot collectif ne veut plus rien dire, le mot société n’a plus guère de sens.

L’autre pauvreté!

Elle est nettement moins visible. Pas tellement individuelle comme collective. C’est pire encore. Exceptionnellement, pour ce billet, je transcrirai un passage de mon livre actuellement en librairie, Parenthèse.

“La caméra roule toujours. Depuis plus d’une demi-heure, je parle sans cesse, passant d’un sujet à un autre. J’aborde l’éducation. Assurément le meilleur et l’un des seuls remèdes à la pauvreté. Je n’aime pas ce que je vois. D’un côté le privé, fortement subventionné, qui prend de plus en plus la place du public. Qui a la cote aussi. Une forme de snobinage également. De l’autre, le public, asséché, sucé qui de plus, à l’instar du communautaire, doit s’occuper des rejets, des déchets. De plus en plus nombreux. À cause du tri. De la sélection du privé. Pas le choix, sinon, qui le fera? Certainement pas le privé. Dès lors, qui veut envoyer ses enfants apprendre à travers les rebuts? Un cercle vicieux. Le syndrome Hygrade qui prend forme. Deux systèmes, deux catégories, deux castes bientôt. Et on parle d’unité, de solidarité, de mobilisation de la population. Quelle farce! Quelle hypocrisie! On fait l’inverse. Ça me révolte. Qu’on laisse tranquillement au privé la liberté d’éduquer une société. Ça m’insulte de devoir payer pour les plus riches. Ça m’horripile qu’un gouvernement se dise incapable de financer correctement son système d’éducation public. Incapable d’investir dans son avenir. Pour moi, c’est la pire des pauvretés. L’éducation n’est pas un privilège, mais un droit”.

Et rien n’indique que la tendance ne deviendra pas une vague, si ce ne l’est déjà. Notre système d’éducation actuel, c’est exactement le portrait de notre système de santé dans quelques années.

Quand le mot collectif ne veut plus rien dire, le mot société n’a plus guère de sens.


REF.: IRB,Pierre Côté ,

Le salaire moyen minimum devrait se situe à 1 725 $ par mois

Le minimum pour vivre!


Le minimum des uns devient souvent le maximum des autres.

Vous le savez maintenant. Pierre Côté, le président et fondateur de l’IRB, à goûté à l’expérience de vivre pendant deux mois avec 592 $ par mois. La série Naufragé des villes diffusée chaque lundi à 20 heures sur RDI en fait le récit.

À son retour, Pierre Côté a voulu savoir combien de gens pensaient être en mesure de vivre avec une telle somme. La réponse? Bien peu, 8 %. Et encore, on ne parle ici que d’intentions, d’hypothèses.

Évidemment, les plus jeunes (23 %) et les plus pauvres (29 %) de l’échantillon sont nettement plus nombreux à penser pouvoir le faire. C’est probablement la réalité de certains d’entre eux. Sans surprise, cette proportion chute à 2 % chez les personnes les plus âgées et les plus riches.

Quel est votre minimum?

Alors, quel est le montant minimum dont vous auriez besoin pour subvenir mensuellement à vos besoins primaires (logement, épicerie, transport, vêtements, chauffage, câble, téléphone, soins, etc.)?

Les résultats sont intéressants. Le montant moyen minimum se situe à 1 725 $ par mois. Trois fois plus que ce que reçoit le bénéficiaire de l’aide sociale. Y en a-t-il encore qui l’envie, ce bénéficiaire?

Seulement 11 % des répondants estiment entre 600 $ et 1 000 $ le montant minimum dont ils auraient besoin pour vivre et, étrangement, ce groupe est celui qui affiche l’IRB le plus élevé(79,10), deux points supérieurs à la moyenne. Pouvoir se contenter de peu, sûrement une bonne attitude pour apprécier ce qu’on a et s’en satisfaire.


Répartition des montants minimum par mois pour vivre


Alors que 50 % des répondants croient qu’ils seraient en mesure d’arriver avec 1600 $ et moins par mois, ils sont, à l’opposé, 18 % à évaluer qu’il leur faudrait 2500 $ et plus pour arriver. Cette dernière proportion grimpe de plus du double (46 %) pour les personnes qui affichent les plus hauts revenus. Sans surprise, le montant moyen mensuel requis varie de façon directement proportionnelle avec les revenus affichés par les répondants. Le graphique plus bas le démontre bien.

Comme quoi, l’argent et ce qu’il procure, on s’y fait, on s’y habitue. Au point sans doute de le percevoir comme un acquis, ou de se démerder pour maintenir le même style de vie. Même au prix d’immenses sacrifices sans doute. C’est bien connu et très humain également, mais il s’avère toujours difficile de perdre des acquis. Plus les revenus sont élevés, plus ces acquis sont nombreux et gourmands. Parfois, ils peuvent même étouffer

Le montant moyen de 1725$ subit des fluctuations importantes selon le statut des répondants et non, les femmes ne sont guère plus gourmandes que les hommes, une petite différence de 35$par mois séparant les besoins minimum des deux sexes.

Montant minimal par mois selon le statut familial




Montant minimal par mois selon le revenus des répondants


REF.: IRB,

mercredi 16 février 2011

Mme Brossard de la rue brossarre, a une forte fièvre, des maux de tête violents, une raideur de la nuque et des nausées,et part ça elle se sent bien !


MONTCALM – Les produits «Smoked Meat», «Jambon fumé à l'ancienne» et « apicollo» vendus chez Cochon Cent Façons à St-Jacques de Montcalm, dans Lanaudière, pourraient être contaminés par la bactérie Listeria.

L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) recommande en conséquence à la population de ne pas consommer ces produits s’ils ont été achetés entre le 28 janvier et le 7 février.

Les aliments contaminés par Listeria monocytogenes ne présentent pas nécessairement d'altération visible ni d'odeur suspecte. La consommation d'aliments contaminés peut causer la listériose, une maladie d'origine alimentaire qui peut entraîner une forte fièvre, des maux de tête violents, une raideur de la nuque et des nausées.

Les femmes enceintes, les gens âgés et les personnes dont le système immunitaire est affaibli sont particulièrement vulnérables.

Aucun cas de maladie n’avait été signalé samedi après-midi.

REF.:

Pont Champlain sécuritaire selon le Ouèrenement et le minustre du transport

Près du pont Champlain

Un bloc de béton fracasse le pare-brise d’un automobiliste




Près du pont Champlain - Un bloc de béton fracasse le pare-brise d’un automobiliste
La dalle de béton, d'une quarantaine de centimètres de long, se serait détachée d'un viaduc.
© Agence QMI / Mon Topo





MONTRÉAL- Un bloc de béton a fracassé le pare-brise du véhicule d’un jeune conducteur, lundi midi, alors qu’il circulait sur la route 132 en direction ouest sur la Rive-Sud de Montréal, a appris TVA Nouvelles.

L'incident s'est produit en fin de matinée, au moment où Ghislain Laplante, un étudiant de 25 ans revenant de l’université, passait sous la bretelle de l'échangeur du pont Champlain pour la route 132, en direction de La Prairie.

«Je n'ai rien vu. Ça a frappé soudainement», a raconté M. Laplante lors d'un entretien téléphonique.

Le bloc de béton, qui faisait environ 40 cm de longueur par 10 cm de largeur selon l’automobiliste, a fracassé le pare-brise de sa Honda Accord 2001, arrachant le rétroviseur au passage, pour atterrir sur le siège passager, heureusement vide.

«C'est sûr et certain que cette personne-là n'aurait pas survécu à ça», a avancé le jeune homme. «Le bloc semble s'être séparé en deux parce qu'il y a seulement une moitié qui s'est écrasée sur le siège du côté passager», a dit le résidant de Saint-Constant. «Mais dans le fond, je n'ai pas été blessé, alors je n'ai pas de raison de paniquer», a-t-il ajouté.

Il a reçu des éclats de verre dans le visage et dans la bouche lors de l'impact, mais a malgré tout réussi à garder le contrôle de son véhicule.

Cause inconnue

Quelques instants après sa mésaventure, Ghislain Laplante a garé sa voiture sur le bord de la route et a téléphoné à la Sûreté du Québec, qui a informé les responsables du ministère des Transports du Québec (MTQ).

«Un premier patrouilleur a immédiatement été dépêché sur les lieux pour évaluer la situation, a expliqué Ginette Gagnon, porte-parole du MTQ. À la suite de son rapport, une équipe a été envoyée sur place pour sécuriser les lieux.»

Selon Mme Gagnon, les ouvriers devaient «procéder à l'enlèvement des fragments de béton qui pourraient se détacher, sous la supervision d'experts».

À cause de l'intervention d'urgence, deux voies de circulation sur trois de la route 132 en direction de La Prairie ont dû être fermées en pleine heure de pointe.

En début de soirée, le MTQ n'était pas en mesure d’expliquer la cause de ce troublant incident.

REF.:

Danseuse nue a la Police Académie de Magogue




Magog

Nue et menottée pendant des heures au poste de police


MAGOG – Arrêtée après une querelle de couple qui a dégénéré dans une chambre de motel le 7 septembre 2004, puis transportée au poste de police de Magog, une femme a passé quatre heures nue et menottée au barreau de sa cellule.

Nathalie (prénom fictif) grelotte dans sa cellule, elle réclame en vain une couverture afin de se réchauffer, mais les policiers ignorent sa demande.

Après de longues minutes d'attente, la femme de 33 ans simule une pendaison à l'aide de son soutien-gorge. Rapidement, trois policiers du poste de Magog, deux hommes et une femme, se ruent sur elle et la déshabillent. La détenue se débat, mais les agents lui enlèvent ses vêtements et ses sous-vêtements.

Complètement nue, Nathalie est menottée à un barreau de sa cellule. Elle passera quatre longues heures dans cette position inconfortable et humiliante.

Six ans et demi plus tard, en voyant à TVA Nouvelles la vidéo d'une autre femme déshabillée par les policiers de Sherbrooke, Nathalie décide de contacter l'avocat Alain Arsenault.

Me Arsenault, qui n’a pas pu la représenter puisque trop de temps est passé et que la cause est prescrite depuis 2007 a expliqué qu’elle garde des séquelles de ce qui est arrivé.

«Elle ressent aujourd'hui une immense honte de s'être retrouvée nue dans un poste de police durant quatre heures. C'est une atteinte à sa dignité épouvantable», a-t-il affirmé.

Il s’est demandé pourquoi un tel traitement avait été infligé à Nathalie. «C'est quoi l'idée d'humilier pendant quatre heures quelqu'un? Tous les policiers, les hommes [du poste de police] pouvaient passer, regarder la caméra vidéo et la voir complètement nue. C'est quoi l'idée? Ça leur donne quoi?»

L'avocat spécialisé en brutalité policière a estimé qu'il y aurait eu matière à engager des poursuites et une plainte en déontologie.

Un peu plus de quatre heures après s'être fait déshabiller de force en cellule, Nathalie s'est vue remettre ses vêtements. Elle a par la suite pu quitter le poste de police sous promesse de comparaître à une date ultérieure.

La tentative de suicide ne semblait plus préoccupante aux yeux des policiers.

«S'ils croyaient vraiment que c'était sérieux sa tentative de se pendre, pourquoi les policiers l'ont libérée le lendemain matin à 8 heures, après quatre heures de cellule à nu en disant: “Allez-vous-en chez vous”», a dit Alain Arsenault.

Nathalie a reçu la cassette vidéo de sa détention dans le cadre de son procès. Elle a été acquittée des accusations d'entrave à la justice et de voie de fait qui pesaient contre elle, mais elle a été reconnue coupable d'avoir troublé la paix publique. Elle s'en est toutefois tirée avec une absolution inconditionnelle donc sans casier judiciaire.

REF.:

Le Comité de déontologie policière coupe la poire en deux et pousse l'ananas



Policier de Saint-Eustache

Suspendu cinq jours sans salaire pour un «malentendu»




Un policier de Saint-Eustache devra purger une suspension de cinq jours sans salaire après avoir arrêté avec «abus de force» une mère qui s’était stationnée dans un endroit interdit pendant quelques minutes alors qu’elle venait cueillir son fils après l’école.

Les faits remontent au 21 octobre 2008. Isabelle Cadieux attendait son fils à l’école Arc-en-ciel lorsqu’un parent l’a informé qu’un policier était en train de lui donner une contravention puisqu’elle était stationnée dans un espace interdit.

Le policier, Sean Valenta, lui a demandé de déplacer sa voiture. Avant même qu’elle ait le temps de s’exécuter, l’agent s’est dirigé vers elle. «Il a agrippé la plaignante par son manteau. Il a jeté le parapluie de celle-ci au sol et lui a appuyé le devant du corps contre un véhicule», peut-on lire dans la décision rendue.

Selon le jugement, il ne s’agissait que d’un «délit mineur» et il ne justifiait pas le traitement auquel elle a eu droit. Le comportement du policier est considéré comme «grave» et «son attitude disproportionnée».

De plus, «l’absence d’écoute du policier et son désir d’imposer la loi du plus fort constituent des facteurs aggravants».

Sanction

Puisque «la faute du policier est plus technique que volontairement abusive» et étant donné «l’absence d’antécédents» en matière déontologique du policier, le Comité de déontologie policière a décidé de couper la poire en deux et d’imposer une suspension d’une «durée mitoyenne» par rapport aux demandes des deux parties.

«À cet égard, une citoyenne qui expérimente une rencontre avec la force policière dans une mise en scène semblable vit le pire cauchemar», ajoute-t-on, dans la décision.

Pour ces raisons, une suspension de trois jours a été imposée à M. Valenta puisqu’il «ne s’est pas comporté de manière à préserver la confiance et la considération que requiert sa fonction».

Une autre suspension de deux jours à purger à la suite de la première a été imposée pour avoir recouru «à une force plus grande que celle nécessaire».

REF.:

lundi 14 février 2011

Cupidon est mort,vive Cupidon !



Attention a tous les Valentins et Valentines ;-)

Ce n'est pas le Cupidon de la mythologie romaine,le fils de Vénus, qui est le dieu de l'amour. Il présente la même origine et la même histoire que le dieu grec de l'amour Éros.Non................,c'est autre chose........

C'est comme mettre au monde son esprit!
Respirer une fleur dans un pays lointain
loin.....dans un rêve,.....pour ressentir
l'amour de ceux qu 'on aiment ,de ceux qui sont manquants,
ceux qui nous ont touchés au plus profond de notre coeur
C'est ça l'Amour ! C'est ça la Vie !
C'est dans ces petits gestes de la vie,
que nous possédons ce qui est le plus précieux
au fond de notre coeur ,............l'Amour !

Si vous voyez votre propre reflet,dans ce que je dis,
c'est que vous aurez compris !





Je ne veut surtout pas étaler mon Égo sur l'hotel
et le sacrifier pour le consumer ; parce que c'est la seul chose qui va vous guider
sur les chemins de la perdition !


Mais,vous devrez vous perdre et aller vous purifier dans ces flammes de l'enfer,
de ce monde ,de votre monde,pour enfin être animé de l'esprit !



Et si vous gaspillez le temps a constater,
que vous vous apercevez que votre corps ne représente plus votre beauté intérieur,
c'est que vous êtes prêt a vous laisser envahir par l'Esprit Saint,
dans votre vie !

Créer le bien autour de soi,
c'est se rendre compte qu'il est en nous !
Que l'Amour soit avec vous !
Pour des siècles et des siècles
Amen.
xXx
..............