William Shatner, le capitaine James T. Kirk dans Star Trek, veut
préserver sa personnalité à tout jamais. Alors qu’il vient d’avoir 90
ans, le célèbre acteur a décidé de créer une version de lui-même grâce à
l’intelligence artificielle de StoryFile.
William Shatner a fêté ses 90 ans le 22 mars dernier. Le célèbre acteur connu pour son rôle dans la série Star Trek
en interprétant le capitaine James T. Kirk ne souhaite pas que sa
personnalité et son héritage (au sens figuré) disparaissent avec lui. Il
a donc signé un partenariat avec StoryFile pour devenir leur
ambassadeur.
StoryFile est une entreprise spécialisée dans l’intelligence artificielle. Elle développe « une technologie de vidéo conversationnelle basée sur l’IA et sur le cloud ». De la même manière que Deep Nostalgia veut donner vie à d’anciennes photos de famille, StoryFile veut permettre d’interagir avec des personnes décédées à l’aide d’une application vidéo.
Tout le monde pourra interagir avec William Shatner en mai
Comme l’a expliqué StoryFile, William Shatner prépare cette vidéo
interactive alimentée par l’intelligence artificielle afin que « sa famille et ses amis puissent interagir avec lui pendant des années ». À l’heure actuelle, ce concept d’immortalité virtuelle en
quelque sorte n’est pas encore très répandu. L’acteur de Star Trek est
donc parmi l’un des premiers à y avoir recours. D’ailleurs, Microsoft
travaille également sur quelque chose de similaire avec un chatbot pour parler avec les morts grâce à l’IA.
Néanmoins, tout le monde pourra interagir avec William Shatner. En effet, sa vidéo interactive sera disponible au grand public dès mai 2021, selon StoryFile. L’acteur a lui-même annoncé dans une conférence de presse que : « c’est
pour tous mes enfants et tous les enfants de mes enfants et tous les
êtres chers de mes enfants et tous les êtres chers des êtres chers.
C’est mon cadeau pour vous à travers le temps ».
Bien entendu, cette vidéo interactive de William Shatner ne doit pas être confondue avec le deepfake,
la technique à la mode qui consiste à réaliser de fausses mises en
scène ou à faire dire à quelqu’un de faux propos. D’ailleurs, une mère
américaine a récemment fait parler d’elle après avoir créé des photos nues et équivoques des pom-poms girls rivales de sa fille.
Enfin, le service de StoryFile sera lancé cette année au mois de juin. Il « changera
la façon dont nous nous souvenons, comment nous interagissions, comment
nous partageons des histoires, comment nous enseignons aux générations
futures et comment nous apprenons ». StoryFile combine l’intelligence artificielle et sa technologie propriétaire appelée Conversa pour mettre au point les vidéos interactives.
Vol légal de données : Cette entreprise achète vos données au lieu de les collecter discrètement
par
Romain "Nemrod" Vandevelde, le
Si de nombreuses compagnies font tout leur possible pour récupérer le
maximum de données possibles des utilisateurs, SavvyShares joue la
transparence et vous propose de les acheter.
Le monde se veut de plus en plus connecté et de nombreux scandales de vols de données éclatent régulièrement. Bien évidemment, les entreprises qui fournissent des services gratuits doivent trouver des financements.
Si certaines font le choix de la publicité, qui s’avère envahissante,
d’autres revendent simplement les données collectées de leurs
utilisateurs. Un moyen simple et discret de proposer un contenu gratuit.
Face au manque d’information dans ce domaine et surtout la méconnaissance des utilisateurs, des entreprises comme Apple et sa nouvelle politique ATT mettent les pieds dans le plat et proposent de mettre l’accent sur l’information aux utilisateurs. Si cela déplait fortement à Google, Facebook et consorts, le but de cette politique n’est pas de limiter les données transmises, mais de vous informer de ce que vous transmettez.
D’un autre côté, SavvyShares pousse le concept plus loin. À défaut de limiter la fuite des données, l’entreprise propose directement de les acheter
en garantissant une utilisation sécurisée et en toute transparence sous
couvert de la California Consumer Privacy Act et de la General Data
Privacy Regulation, un organisme européen.
Un panel 2.0
SavvyShares fonctionne à la base comme n’importe quel panel d’utilisateurs existant. Le but d’un panel est d’étudier vos habitudes de consommation et en échange de votre temps, vous obtenez une forme de paiement.
Traditionnellement, les points collectés s’échangent dans un catalogue
qui contient divers articles et parfois même des chèques cadeaux qui
peuvent être utilisés librement.
Dans un panel consommateur, l’usager répond à des enquêtes et des
questionnaires pour cumuler des points. Si cet élément est quasi
constant, de nombreux panels cherchent à diversifier leurs sources de
données. L’un des plus gros panels en France s’appelle Nielsen et
propose à ses utilisateurs de scanner l’ensemble des courses effectuées
pour ensuite générer des statistiques utiles aux entreprises. Si
cela peut paraître contraignant, cette manipulation peut rapporter
plusieurs centaines d’euros de chèques cadeaux sur une année.
De son côté, Savvyshare propose une autre méthode simple et transparente pour l’utilisateur. Il s’agit d’une application qui tourne en fond sur votre smartphone et qui récupère votre activité en ligne.
L’entreprise a donc accès à votre historique de recherche, les sites
visités et le temps que vous y passez. À savoir qu’une extension pour
les navigateurs Chrome, Edge et Firefox
est aussi disponible. Il est important de noter que vous avez le
contrôle sur le partage de vos informations au travers des applications
tierces telles que les réseaux sociaux. Aucune donnée n’est collectée sans votre accord préalable.
La société vous propose donc de devenir acteur de la fuite de vos données au lieu d’être simplement victime de celle-ci.
N’ayant pas grand-chose à faire durant la pandémie de COVID-19,
les ménages canadiens ont accumulé un record historique de liquidités,
soit environ 100 milliards de dollars de plus qu’ils ne l’auraient fait
autrement, selon des économistes de la CIBC.
«Le
gouvernement du Canada compte sur vous pour déclencher une forte
reprise en dépensant cet argent quand il sera sécuritaire de le faire»,
écrivent les économistes Benjamin Tal et Katherine Judge dans un rapport publié vendredi.
Bien sûr, tout le monde
n’a pas profité équitablement de cette «manne», et - comme cela semble
être le cas en général dans cette pandémie - plus vous êtes riche, plus
il est probable que vous vous en sortiez bien.
Dans
un sondage Maru/Blue effectué pour la CIBC, quelque 40 % des personnes
provenant d’un ménage dont le revenu est supérieur à 100 000 $ ont
déclaré qu’elles épargnaient maintenant plus qu’avant la pandémie.
Seulement environ 20 % de ceux qui gagnent moins de 50 000 $ ont dit la
même chose.
Ce
résultat s’aligne avec un rapport antérieur de Tal et Judge, qui
montrait que même si le Canada a perdu un cinquième de tous ses emplois à
bas salaire en 2020, le nombre d’emplois à haut salaire a augmenté d’environ 10%.
Pour
les travailleurs du secteur des services et pour les petites
entreprises qui ont été les plus durement touchés par la pandémie, cette
énorme somme d’argent amassée chez les salariés représente tout de même
une lueur d’espoir. Lorsque la pandémie se terminera, une bonne partie
de cet argent retournera directement dans les secteurs de l’économie qui
ont été les plus durement touchés au départ, prédit la CIBC.
«Les
gens à haut revenu qui bénéficient de la majorité de l’épargne
additionnel ont tendance à dépenser davantage dans les secteurs les plus
directement touchés par le virus», indiquent Tal et Judge.
Les secteurs des loisirs, de la culture et de l’hébergement devraient bénéficier de ce rebond à leur réouverture.
Le
sondage a révélé que les voyages seront l’intérêt numéro un des
Canadiens à revenu élevé après la pandémie, cette dépense à venir ayant
été identifiée par 36% de ceux qui gagnent 100 000 $ ou plus.
Cet
argent pourrait également maintenir la pression à la hausse sur le
marché boursier; les deuxième et troisième réponses les plus populaires,
après les voyages, ont été «investir davantage» et «bâtir l’épargne».
Un
déchaînement soudain des dépenses de consommation pourrait avoir des
conséquences inattendues sur l’économie, y compris sur l’inflation - ce
que l’on pourrait voir davantage au cours du second semestre et en 2022,
avise Tal.
En règle
générale, la hausse de l’inflation entraîne une hausse des taux
d’intérêt, mais la plupart des économistes doutent que les banques
centrales commencent à augmenter leurs taux dans un avenir proche, même
si l’inflation fait un bond à la hausse.
«La
Fed [aux États-Unis] et la Banque du Canada nous disent qu’elles
toléreront [l’inflation] puisqu’elle sera temporaire», indique Tal dans
un échange de courriels avec le HuffPost Canada.
Apple pourrait introduire son premier smartphone sans port avec la
série iPhone 13 en 2021. D’après Appleosophy, cette possibilité devient
de plus en plus probable, puisqu’Apple travaille activement sur une
fonctionnalité permettant de récupérer ses données sans fil.
Jusqu’à présent, il était obligatoire de brancher son iPhone lors du
processus de récupération des données après une erreur critique.
Cependant, l’équipe chargée des logiciels étudierait plusieurs méthodes
pour se passer du câble.
Si Apple venait à se passer du câble, il pourrait même finir par les
retirer des boites de ses iPhone. Cependant, le géant américain doit
d’abord développer une fonctionnalité qui permet de récupérer ses
données sans fil. Les utilisateurs d’Apple Watch sont par exemple obligés de renvoyer la montre à Apple pour récupérer les données perdues. Ce service n’est d’ailleurs pas gratuit.
Apple planche sur différentes options pour la récupération des données sans fil
La première méthode serait nommée, « Internet Recovery ». Elle consisterait à mettre l’iPhone en mode de récupération manuelle, déclenchant la diffusion de la restauration sur Internet.
Celle-ci serait ensuite reçue par les Macs ou les PC équipés d’iTunes,
qui affichent alors des consignes pour guider l’utilisateur tout au long
de la restauration. Cependant, Apple chercherait également à
automatiser ce processus.
Les ingénieurs d’Apple ont également envisagé d’utiliser le Bluetooth pour envoyer les fichiers dont un utilisateur d’iPhone a besoin.
Cependant, ce protocole est considéré comme plus lent, moins fiable et
peu sûr. L’utilisation de Bluetooth nécessiterait également
l’utilisation d’un ordinateur pour synchroniser son iPhone au signal
Bluetooth.
La troisième solution est d’intégrer un port caché à l’arrière de la fente de la carte SIM.
C’est déjà la solution qu’utilise l’Apple Watch, ce qui permet aux
Apple Store de récupérer les données en s’y connectant. On espère que ce
ne sera pas l’option qu’Apple va retenir, puisque cela reviendrait à
supprimer le port Lightning de l’iPhone 13 Pro pour rajouter un autre port secret à l’intérieur du smartphone.
Selon Appleosophy, le temps de restauration moyen était environ 2,5 fois plus long en sans-fil que la méthode standard utilisant un câble. Le géant américain pourrait aussi profiter du Snapdragon X60 5G de Qualcomm
pour démocratiser les transferts de données sans fil. Il faudra
attendre encore quelques mois avant de savoir si Apple va vraiment se
passer du port Lightning sur son iPhone 13.
Que sont les DNS ? Explication du système de noms de domaine
Les DNS, abréviation de Domain Name System,
est l’un des composants les plus courants et les plus méconnus du
paysage web. En termes simples, le DNS aide à diriger le trafic sur
Internet en connectant les noms de domaine à des serveurs Web réels.
Essentiellement, il faut une requête – un nom de domaine comme
kinsta.com – et c’est traduit en une adresse IP de serveur conviviale –
comme 216.3.128.12.
Parce que les DNS consistent à rechercher des adresses et à connecter
des périphériques, de nombreuses personnes appellent le DNS le
« répertoire téléphonique d’Internet ». Sans DNS, il faudrait mémoriser
l’adresse IP de chaque site pour y accéder, ce cela… eh bien, ça ne
fonctionnerait pas !
Lorsqu’un utilisateur entre une URL dans son navigateur Web, le DNS
se met au travail pour connecter cette URL à l’adresse IP du serveur
réel. C’est ce qu’on appelle la résolution du nom DNS et implique un
recurseur DNS qui interroge divers serveurs de noms pour déterminer
l’adresse IP réelle d’un serveur.
DNS s’intéresse principalement à quatre composantes :
Le bureau d’enregistrement est l’endroit où les serveurs de noms de domaine sont spécifiés.
La plupart des bureaux d’enregistrement incluent le service DNS de
base avec le coût de l’enregistrement du domaine. Par conséquent, à
moins que vous n’ajoutiez des serveurs de noms personnalisés au domaine,
le domaine utilisera les serveurs de noms standards du registraire.
Cela signifie que dans la grande majorité des cas, par défaut, les
enregistrements DNS sont gérés par le bureau d’enregistrement.
Serveurs de noms
Les serveurs de noms sont des serveurs tout comme les serveurs Web. Cependant, ils sont configurés pour stocker les enregistrements DNS plutôt que pour servir des sites Web ou des applications Web.
Cela signifie que lorsque vous souhaitez modifier un enregistrement
DNS, vous devez le faire sur les serveurs de noms spécifiés par l’agent
d’enregistrement ou un service tiers tel que Cloudflare.
Cette étape est souvent un peu déroutante, alors décomposons-la un peu à l’aide d’un exemple fictif :
Votre domaine (exemple.com) est enregistré chez GoDaddy.
Vous ajoutez les serveurs de noms de Cloudflare à exemple.com dans votre compte GoDaddy pour commencer à utiliser Cloudflare.
Vous modifiez un enregistrement DNS par exemple.com sur GoDaddy. Ce
changement ne fera rien car le domaine n’utilise pas les serveurs de
noms de GoDaddy.
Vous faites le même changement de DNS par exemple.com à Cloudflare.
Ce changement sera effectif parce que le domaine utilise les serveurs de
noms de Cloudflare.
En d’autres termes, si vous n’utilisez que GoDaddy, vous devrez
mettre à jour vos enregistrements DNS avec GoDaddy car ils contrôlent
vos serveurs de noms. Si vous utilisez Cloudflare, vous devrez mettre à
jour vos enregistrements DNS avec Cloudflare car ils contrôlent vos
serveurs de noms. Il en va de même pour ceux qui utilisent les DNS de
Kinsta.
Enregistrements DNS
Les enregistrements DNS associent un domaine à un service Web.
Il existe plusieurs types d’enregistrements DNS, mais dans la plupart
des cas, seuls 4 ou 5 types d’enregistrements DNS sont utilisés :
Un enregistrement : Utilisé pour faire pointer un domaine ou un sous-domaine vers une adresse IPv4.
C’est la règle utilisée pour faire pointer un domaine comme exemple.com
vers le serveur web où se trouve le site web exemple.com. (Note : Si un
serveur web utilise une adresse IPv6 plutôt qu’une adresse IPv4, alors
un enregistrement de type AAAA est utilisé plutôt qu’un enregistrement
de type A).
Enregistrements CNAME : Permettent d’associer un
sous-domaine au domaine primaire ou canonique. Ce type de règle est
couramment utilisé pour associer un sous-domaine www au domaine
primaire, tel que www.exemple.com avec exemple.com.
Enregistrements MX : Utilisés pour associer un
domaine à un service de messagerie. C’est le type de règle utilisée si
vous voulez que le mail par exemple.com soit livré à un service de
messagerie spécifique tel que Gmail.
Enregistrements TXT : Permettent d’associer
n’importe quel texte arbitraire à un domaine. Le plus souvent, les
enregistrements TXT sont utilisés pour associer des enregistrements SPF à
un domaine afin d’améliorer la délivrabilité du courrier électronique
et de protéger contre les spammeurs qui utilisent le nom de domaine à
mauvais escient lorsqu’ils envoient du spam. Jetez un coup d’œil à notre
blog détaillé sur l’authentification par courriel et sur les raisons de son importance.
Un exemple d’enregistrements DNS chez Kinsta
Services Web
Dans notre cas, le service web est l’hébergement du site web. Un
enregistrement A (ou enregistrement AAAA) doit être ajouté aux serveurs
de noms d’un domaine pour associer ce domaine aux serveurs Web qui
hébergent le site Web.
Il existe de nombreux autres types de services Web qui sont associés à
un domaine par le biais d’enregistrements DNS : courrier électronique,
SFTP, panneaux de contrôle d’hébergement, applications de messagerie Web
et phpMyAdmin, pour n’en citer que quelques-uns.
Propagation DNS
Lorsque vous apportez une modification au DNS d’un domaine donné –
comme la mise à jour d’un enregistrement DNS ou le changement de serveur
de nom – ces modifications prennent un certain temps à prendre effet.
Ce temps est appelé propagation.
La propagation varie considérablement d’une situation à l’autre.
Dans le cas des enregistrements DNS, chaque enregistrement a une valeur TTL (time-to-live) associée. Cette valeur détermine la rapidité avec laquelle les modifications apportées aux enregistrements DNS prendront effet.
Dans la plupart des cas, le TTL pour les enregistrements DNS est
réglé sur 1 ou 4 heures par défaut. Cela signifie que la plupart du
temps, les changements de DNS prendront jusqu’à 4 heures pour prendre
effet. Des valeurs TTL plus élevées sont également possibles et
signifieront que lorsqu’un enregistrement DNS est mis à jour, il faudra
plus de temps avant que les changements prennent pleinement effet. Dans
certains cas extrêmes, les valeurs TTL peuvent atteindre jusqu’à une
semaine dans certains cas.
Dans le cas des serveurs de noms, le bureau d’enregistrement
détermine la valeur TTL et elle ne peut généralement pas être modifiée.
Cela signifie que lorsque vous passez à de nouveaux serveurs de noms,
cela peut prendre de quelques minutes à un jour ou plus pour que ces
changements prennent effet.
Le fournisseur d’hébergement (Kinsta) ne peut pas accélérer la
propagation DNS. Ce que vous pouvez faire, c’est réduire le TTL bien
avant d’apporter des changements aux enregistrements DNS afin que les
changements se propagent aussi vite que possible. Vous pouvez utiliser
un outil en ligne comme whatsmydns.net pour tester si vos changements DNS ont fini de se propager.
Configuration DNS – Comment configurer votre domaine
Il y a deux façons de configurer vos DNS. Kinsta supporte les deux méthodes, et vous pouvez choisir celle que vous préférez.
Une méthode consiste à simplement pointer les serveurs de noms de
votre domaine vers les serveurs de noms de votre hébergeur via votre
registraire de noms de domaine. Ce sont au moins deux URLs distinctes
qui ressemblent à ceci (vous pouvez avoir plus de deux URLs, mais pas
moins) :
ns1.votrehebergeur.com
ns2.votrehebergeur.com
Chez Kinsta, nous nous sommes associés à Amazon Route 53 pour
offrir des serveurs de noms haut de gamme à nos clients sans frais
supplémentaires. Ces serveurs de noms sont quatre URLs distinctes qui
ressemblent à ceci :
Vous avez des problèmes de temps d'indisponibilité et de WordPress ?
Kinsta est la solution d'hébergement conçue pour vous faire gagner du
temps ! Découvrez nos fonctionnalités
ns-xxx.awsdns-36.net
ns-xxxx.awsdns-05.org
Kinsta DNS – Amazon Route 53
Même si vous utilisez les DNS Amazon Route 53 Premium inclus, vous
devrez quand même établir un record A et un record CNAME pour utiliser
votre domaine avec Kinsta.
Au-delà du simple changement de serveur de domaine, une autre option
consiste à modifier l’enregistrement de type A de votre domaine chez
votre registraire de domaine. L’enregistrement A est ce qui contient
réellement l’IP de votre serveur et dirige le trafic vers le bon
endroit.
Vous pouvez trouver à la fois des DNS gratuits et des DNS premium.
Tous les clients Kinsta ont accès aux DNS premium via Amazon Route 53.
Et en général, nous croyons que les DNS premium sont une nécessité dans le monde d’aujourd’hui.
L’une des principales raisons de choisir un DNS haut de gamme est la vitesse et la fiabilité.
La recherche des enregistrements DNS et la direction du trafic prennent
du temps, même si ce n’est qu’une question de millisecondes.
Généralement, les DNS gratuits que vous obtiendrez de votre
registraire de noms de domaine sont comparativement lents, alors que les
DNS premium offrent souvent de meilleures performances.
De plus, les DNS premium peuvent offrir une meilleure sécurité et une
meilleure disponibilité, en particulier lorsque vous êtes victime d’une
attaque DDoS.
Pour un bon compromis entre les DNS gratuits fournis par votre bureau
d’enregistrement de domaine et les DNS premium, Cloudflare DNS est un
service gratuit qui offre encore de nombreux avantages du DNS premium.
Attention : si vous utilisez les DNS de Cloudflare, vous ne pourrez pas utiliser les DNS Premium inclus d’Amazon Route 53.
Résumé
J’espère que vous comprenez un peu mieux maintenant comment
fonctionnent les DNS. En résumé, les DNS sont utilisés pour associer à
un nom de domaine des services basés sur le Web, tels que l’hébergement
de sites Web et le courrier électronique. Ceci comporte quatre étapes :
Le domaine doit être enregistré auprès d’un bureau d’enregistrement de domaine.
Les serveurs de noms doivent être spécifiés par le bureau d’enregistrement de domaine.
Les enregistrements DNS doivent être ajoutés aux serveurs de noms
spécifiés par le bureau d’enregistrement de domaine ou un service tiers
tel que Cloudflare.
Les enregistrements DNS doivent être entièrement propagés pour associer le domaine à chaque service web pertinent.
1/ La première façon de gagner de l'argent sur internet c'est d'utiliser les sites à cashback (meilleur site igraal)
2/ La deuxième méthode
pour gagner de l'argent sur internet c'est d'utiliser les sites multi
rémunération. Faire des sondages, des recherches sur internet jouer ou
tester des jeux ou plein d'autres petite missions comme cela.
3/ Troisième méthode : Faire la même chose mais à partir des applications mobiles. Il suffit de les télécharger sur le store de votre mobile.
4/ Quatrième méthode : Faire de la multibancarisation. Inscrivez
vous sur les banques en ligne et recevez entre 50 et 80 euros, puis
parrainez vos proches pour toucher une somme équivalente à chaque
parrainage.
5/ Cinquième astuce : Tester des sites et des applications. Devenez testeur et soyez récompensé pour chaque avis que vous donnez.
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à des loteries gratuites donc tels que bravo loto qui a déjà plus de 10
millions de joueurs et plus d'un million d'euros distribué.
7/ Septième méthode que je souhaite partager avec vous : L'affiliation. Vous
recommandez un produit ou un service et l'entreprise vous verse des
commissions à chaque fois qu'un nouveau client arrive recommandé par
vous.
8/ Huitième façon de gagner de l'argent sur internet : L' e-commerce Très vaste domaine qui couvre beaucoup de secteurs, le plus connu étant le dropshipping.
9/ Neuvième méthode : Créer une chaine YouTube . Formez
vous à faire des vidéos sur votre niche, et apprenez à les référencer.
Ensuite laisser faire l'algorithme de YouTube et encaissez des revenus
passifs sans rien faire pendant des années.
10/ Dixième astuce : Proposer vos micro services sur des plateformes de freelancers comme 5euros .com
Si vous avez une compétence, c'est le moment de l'exploiter et de vous faire une clientèle sur cette plateforme.
11/ Onzième et avant-dernière façon de gagner de l'argent sur internet : Devenez influenceur sur Instagram, Facebook, YouTube ou tiktok, ou tout à la fois.
Fausse idée reçue : vous n'avez pas besoin d'avoir forcément de grosses audiences pour générer de l'argent.
Possible en fait sur n'importe quel réseau social et vous n'êtes même pas obligé de montrer votre visage.
12/ Douzième technique : Devenez streamer
en utilisant la plateforme Twitch qui est la plus connue dans le monde.
Vous pourrez créer des abonnements et récupérer aussi des revenus
provenant de publicités.
Cette liste n'est bien sur pas exhaustive, mais cela vous donne déjà un bon échantillon des possibilités.
Et pour plus d'informations plus précises sur chacune de ces méthodes, visionnez la vidéo ici.
Dans Independance Day,
les deux héros, interprétés par Will Smith et Jeff Goldblum,
parviennent à vaincre l'armada extra-terrestre en introduisant un virus
informatique dans leur réseau…
Certes,
ils utilisent un Mac pour faire ça, mais même avec un Mac très chic, il
faut quand même avoir compris comment fonctionnait l'informatique d'une
civilisation extraterrestre mille fois plus avancée que nous, puis
avoir réussi à concevoir un virus dangereux pour eux, puis réussir à se
connecter à leur système (sont-ils en USB-2 ou 3?)… ;-)