Le nouveau gérant ,s'appelant Claude est plus
serviable,et c'est toute une nouvelle équipe maintenant a sa nouvelle
adresse du 17600 transcanada highway , le ménage a été fait ,comme qu'on
dirait,...........LOL ;-)
Jean Charest poursuit le gouvernement du Québec, Ha ha ha !
L’ancien premier ministre Jean Charest poursuit le gouvernement du
Québec pour violation de sa vie privée dans la foulée des fuites
entourant l’enquête de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) sur le
financement du Parti libéral. Il réclame un million de dollars.
REF.: Vincent Larouche La Presse
« C’est
à contrecœur que je dépose aujourd’hui une poursuite contre le
gouvernement du Québec pour violation de ma vie privée », écrit
M. Charest dans un communiqué.
La Presse a obtenu copie de la poursuite, dont l’existence avait d’abord été révélée par Cogeco Nouvelles.
La
poursuite concerne précisément les documents d’enquête interne de
l’UPAC obtenus par le groupe Québecor et publiés à partir d’avril 2017.
On y retrouvait notamment des informations sur les voyages de M. Charest
et un organigramme où apparaissait la photo de l’ancien premier
ministre. Les informations provenaient du projet Mâchurer, une enquête
qui est toujours ouverte sur le financement du PLQ, mais qui n’a mené à
aucune accusation à ce jour.
« Au
cours des dernières années, des informations confidentielles sur ma
privée ainsi que sur ma famille ont fait l’objet de plusieurs fuites
médiatiques. Ces fuites sont illégales et constituent de surcroît une
entrave à la justice », plaide Jean Charest dans son communiqué.
La
poursuite fait état de la « frustration » et de « l’embarras »
ressentis par l’ancien politicien et sa famille. Le texte s’attaque même
au nom de code choisi pour l’enquête.
« L’UPAC,
qui mène l’enquête “Mâchurer”, et le gouvernement dont elle relève sont
responsables de cette violation de ma vie privée », ajoute-t-il. Dans
sa poursuite, l’ancien premier ministre indique qu’il a offert au
gouvernement de participer à un processus de médiation pour régler
l’affaire le 15 septembre dernier, sans succès. Il dit qu’il était prêt à
renoncer à sa poursuite en échange d’excuses publiques du gouvernement,
mais que son offre a été refusée.
M. Charest
souligne que la date de prescription pour déposer une poursuite dans
cette affaire était fixée au 10 octobre 2020 et qu’il devait donc aller
de l’avant dès maintenant.
Une enquête
L’UPAC a interrogé de nombreux témoins dans le cadre du projet Mâchurer. En 2017, plusieurs des personnes interrogées avaient raconté à La Presse que
les enquêteurs s’intéressaient au train de vie de M. Charest et
posaient des questions sur la possibilité que des entreprises lui aient
consenti un « pont d’or » pour qu’il prenne la tête du Parti libéral en
1998. À ce jour, rien de concret n’est ressorti de ces rencontres de
témoins.
Les
fuites de documents du projet Mâchurer ont mené à bien des problèmes
pour l’UPAC. Le corps policier a d’abord arrêté le député Guy Ouellette,
qu’elle disait lié à ces fuites, avant de libérer sans accusations et
de voir ses mandats de perquisition invalidés. Plusieurs dirigeants de
l’UPAC ont ensuite quitté l’organisation.
Récemment,
les fuites de matériel d’enquête ont aussi mené à l’arrêt des
procédures criminelles intentées contre l’ancienne vice-première
ministre Nathalie Normandeau et l’ancien ministre Marc-Yvan Côté.
Ryan Morel 69 ans rechercher par sa mère , aidez-le !!!
morelryan69@gmail.com
Array
Krishnada...........Un autre Français qui se prend pour le nombril du
monde ;-) Commentaires………………. d'amateur ;-) Si t'as t'intéresse pas ….
dégage ;-)
Deux anciens hauts gradés accuse la division des affaires
internes du SPVM d’avoir fabriqué des preuves incriminantes contre eux
Quatre policiers du SPVM accusés après trois ans d'enquête
L’enquête avait été
ordonnée en février 2017 par le ministère de la Sécurité publique à la
suite d’allégations graves à l’endroit de certaines enquêtes internes du
SPVM.
La Presse Canadienne
Quatre
policiers de Montréal ont été accusés au terme de plus de trois ans
d’enquête sur des allégations de gestes criminels graves liés aux
enquêtes internes du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
Dans un communiqué laconique diffusé vendredi, la Sûreté du Québec
(SQ) ne précise toutefois ni le nom des accusés, ni la nature des
accusations ou des gestes qui y ont mené.
Ces accusations
surviennent au terme de longs travaux d’enquête de l’Équipe mixte
d’enquête sur la Direction des affaires internes du SPVM, travaux qui
sont maintenant terminés. L’enquête avait été ordonnée en février 2017
par le ministère de la Sécurité publique à la suite d’allégations graves
à l’endroit de certaines enquêtes internes du SPVM.
Ces
accusations contre quatre policiers sont tout ce qui reste de ce que la
SQ qualifie “d’analyse minutieuse de 1020 dossiers”, auxquels se sont
ajoutés 136 signalements. L’Équipe mixte, qui avait initié un peu plus
de 250 dossiers à la suite de ses travaux, signale simplement qu’“au
terme de ces enquêtes, quatre policiers ont été visés par des
accusations”, sans aucun autre détail.
L’Équipe mixte, codirigée
par la SQ et le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI), était composée
de 43 membres policiers et civils provenant de la SQ, de la GRC et des
services de police de Québec, Longueuil et Gatineau
Les
allégations de gestes criminels visaient les enquêtes de la Direction
des affaires internes et L’Équipe mixte avait comme mandat de déterminer
si les démarches d’enquête effectuées dans le passé avaient été faites
selon les règles de l’art.
La Sûreté précise qu’elle ne formulera
aucun commentaire additionnel, “compte tenu que le Directeur des
poursuites criminelles et pénales (DPCP) a déjà rendu ses décisions dans
tous les dossiers qui lui ont été soumis”.
Le DPCP n’avait pas retourné les appels de La Presse canadienne au moment d’écrire ces lignes.
La
décision d’entamer cette enquête criminelle était survenue à la suite
d’un premier rapport d’enquête administrative qui avait fait état de
multiples irrégularités dans les enquêtes internes. Ce rapport initial
du commissaire Michel Bouchard avait mené à la suspension, en décembre
2017, du directeur Philippe Pichet, qui avait finalement démissionné en
juin 2018, préférant quitter de son propre chef plutôt que d’être
destitué.
L’enquête du commissaire Bouchard était elle-même la
conséquence d’une dénonciation de deux anciens hauts gradés qui
accusaient la division des affaires internes du SPVM d’avoir fabriqué
des preuves incriminantes contre eux alors qu’ils s’apprêtaient à
révéler des actes de corruption au sein du service.
Il était une fois Roger qui voulait mettre fin a son contrat de Mobile,il était vraiment interressé par le service satisfaction a la clientèle,mais............les gens de la boutique en question, eux ne lui donnaient pas raison et lui chargait le plein contrat.
Ce n'était en fin de compte qu'un erreur de numéro d'appareil(car ce client avait 4 mobiles a son nom) ,mais rien ne fut fait pour corriger l'erreur du vendeur de la boutique.Il perdit alors beaucoup de client ,mais vraiment beaucoup,c'est tout ;-)
Alors que TikTok
continue son ascension fulgurante, YouTube semble déterminée à ne pas
se faire marcher sur les pieds : la plateforme est en train de
développer Shorts, un concurrent à l'application chinoise.
Difficile de rivaliser avec un tel mastodonte, mais YouTube compte plus d'une corde à son arc. Selon The Information,
la filiale de Google souhaite exploiter les morceaux sous licence de
YouTube Music, que ses utilisateurs pourront utiliser dans de courtes
vidéos similaires à celles proposées sur TikTok. Ces vidéos devraient
apparaître sur un feed dédié dans l'application YouTube.
This is
potentailly big.... And, bonus: YouTube chief Susan Wojcicki and I
talked about TikTok in a podcast episode that will air later this month.
We've got an item coming soon confirming this news, along with a few of
her comments on YouTube & short-form video >>> https://t.co/0Pqm6JqVUz
D'après le journaliste spécialisé Dylan Byers, la P.-D.G. de YouTube
Susan Wojcicki devrait prochainement dévoiler davantage d'informations
sur Shorts.