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jeudi 11 octobre 2018

Des déchets radioactifs à Chalk River suscite des inquiétudes



Le site de stockage des déchets radioactifs proposé à Chalk River suscite des inquiétudes 

L'installation d'élimination près de la surface proposée serait opérationnelle d'ici 2020 près de Chalk River. 

Ottawa Morning de CBC Radio · CBC News · Publié: 10 avr. 2017 11:31 HE | Dernière mise à jour: le 10 avril 2017 

 

pollution, environnement, radioactif


Canadian Nuclear Laboratories propose de construire une "installation de stockage en surface" pour le stockage des déchets radioactifs provenant des installations de Chalk River. (Laboratoires Nucléaires Canadiens) Un projet de construction d'un centre de stockage des déchets radioactifs provenant des laboratoires de Chalk River, près de la rivière des Outaouais, ne plaise pas aux défenseurs de l'environnement, mais la société derrière le projet veut assurer aux personnes qui vivent le long de la rivière que la décharge sera sécurisée.
 Les Laboratoires nucléaires canadiens ont proposé de construire un monticule de cinq étages, à environ un kilomètre de la rivière, afin de stocker principalement les déchets de faible activité provenant de l'installation nucléaire de Chalk River, située à environ 180 km à l'ouest d'Ottawa. "L'installation de stockage définitif près de la surface" serait opérationnelle d'ici 2020 et absorberait jusqu'à 1 million de mètres cubes de déchets d'ici 2070, date à laquelle elle serait fermée. "Je comprends que nous devons absolument nous occuper des déchets accumulés sur ce site. Mais nous avons bien sûr certaines inquiétudes", a déclaré Meredith Brown, gardien de la rivière Outaouais, à l'animateur Hallie Cotnam, à l'émission Ottawa Morning. "Il s'agit d'un projet qui finira par abandonner les déchets nucléaires de faible et moyenne activité juste au bord de la rivière des Outaouais, alors nous sommes bien sûr préoccupés par les impacts à long terme sur le fleuve." Meredith Brown s'inquiète des répercussions que l'installation de stockage des déchets nucléaires pourrait avoir sur la rivière des Outaouais. (Kate Porter / CBC)
 Brown s'inquiète du lixiviat 
- de l'eau potentiellement contaminée provenant du site 
- qui s'infiltre dans la rivière. 
Mais Kurt Kehler, vice-président du déclassement et de la gestion des déchets chez Canadian Nuclear Laboratories, tient à assurer aux résidents et aux écologistes inquiets qu'il existe un plan pour cela. "Le lixiviat se produit pendant le remplissage. 
Ainsi, par les précipitations - la pluie et la neige -, bien évidemment, avant qu'il ne soit recouvert, il sera jeté dans les déchets et sera lessivé. Et nous recueillons tout ce lixiviat et le traitons", a déclaré Kehler dans Ottawa Morning. "Notre expérience sur d'autres sites a été d'environ dix ans après que vous ayez terminé la casquette, toute l'humidité a été évacuée, et vous en avez traité le traitement, et vous n'aurez plus de lixiviat à ce moment-là." 

Préoccupations concernant les niveaux de déchets
 Bien que le projet prévoie de stocker principalement des déchets radioactifs de faible activité, 1% des déchets stockés seront des déchets de moyenne activité, ce qui soulève des drapeaux rouges pour Brown. "Nous sommes vraiment préoccupés par les déchets de moyenne activité, car ce qu'ils proposent pour cela - c'est vraiment une décharge. 
C'est une décharge pour déchets dangereux. Ces décharges sont conçues pour durer environ 500 ans, et les déchets de moyenne activité durera des milliers d'années ", a-t-elle déclaré. Mais Kehler dit qu'une petite quantité ne contient que "le bord le plus bas des déchets de moyenne activité" et que la surveillance sera effectuée pendant "des centaines et des centaines d'années" après le recouvrement et la fermeture du tertre. Une fois que le contrat des LNC sera en vigueur au bout de 10 ans, le site et ses actifs seront sous la responsabilité du gouvernement fédéral, à savoir Énergie atomique Canada limitée et de la Commission canadienne de sûreté nucléaire. "Les gens utilisent couramment le mot dump. Ce n'est pas un dump. C'est un établissement très technique. Il est conçu pour durer 500 ans, et la science est là", a déclaré Kehler.

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mardi 9 octobre 2018

Hausse des gestes violents dans des résidences pour autistes et déficients intellectuels



Hausse des gestes violents dans des résidences pour autistes et déficients intellectuels

Publié le mercredi 19 septembre 2018 à 16 h 52
 Mis à jour le 20 septembre 2018 à 1 h 22


déficience mentale, CSST
 Un contenu vidéo, précédé d'une ou plusieurs publicités, est disponible pour cet article

Le reportage de Davide Gentile.
Les incidents violents sont de plus en plus fréquents dans les résidences à assistance continue du Québec. Des syndicats et des groupes de défense des autistes s'inquiètent de la sécurité des employés et des résidents. 

Un texte de Davide Gentile  
Ces maisons de quartiers résidentiels abritent chacune 3 à 10 personnes considérées comme des cas lourds d'autisme ou de déficience intellectuelle(ndlr provenant souvent de Louis-H. Lafontaine ).
Tant les groupes de défense des autistes que les syndicats des travailleurs estiment que ces résidences ne correspondent tout simplement pas aux besoins d'une clientèle qui a changé en 20 ans.  L'affection de Marie-Josée Dutil pour son fils est manifeste. Âgé de 27 ans, il vit dans une résidence à assistance continue de Québec depuis 11 ans. La mère et son fils sont assis sur le divan. Marie-Josée Dutil en compagnie de son fils Maxence.

Mme Dutil est présidente du comité des usagers du Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec. Elle n'est pas satisfaite du milieu où évolue son fils. « Ça ne convient pas du tout à des personnes autistes », lance-t-elle sans détour. Son fils Maxence a subi une opération au coude après un événement survenu dans une résidence à assistance continue.  « Il y a trop de résidents, et ça génère de l'anxiété chez les autistes », affirme pour sa part Marie-Josée Lapointe, présidente d'Autisme Québec. Son fils Charles a lui aussi été blessé dans une résidence à assistance continue. Marie-Josée Lapointe. Marie-Josée Lapointe, présidente d'Autisme Québec
« C'est un autre usager qui était en crise. Charles était à la mauvaise place au mauvais moment. » Mme Lapointe cherche depuis à obtenir une autre place pour Charles, âgé de 22 ans. « Coups de poing, claques au visage, c'est au quotidien! »  Le nombre de crises et leur sévérité semblent augmenter, selon plusieurs personnes du milieu.  Par exemple, en février, un autiste a lourdement endommagé une résidence du nord de Montréal dans une crise qui aurait duré une trentaine de minutes.
Les images obtenues par Radio-Canada montrent que le sous-sol a été ravagé.  « Je n'ai jamais autant entendu parler de violence dans les RAC [résidences à assistance continue] », affirme Maxime Daignault, représentant syndical pour l'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux.     
Que ce soit des claques au visage, que ce soit se faire cracher dessus, se faire tirer les cheveux, ce sont des choses qui sont vécues au quotidien.    
Nancy Carrier, de l'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux  Nancy Carrier. Nancy Carrier, de l'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux

À part les représentants syndicaux, toutes nos sources ont préféré ne pas dévoiler leur identité. C'est le cas d'une employée qui travaille dans les résidences de l'est de Montréal. « J'ai été agressée cinq fois depuis 2015 », dit-elle.  Radio-Canada a pu consulter un document qui atteste de la véracité d'un des événements qu'elle a vécus. Trois femmes ont été prises à partie par un résident. « Il tenait deux femmes par la tête et les cognait ensemble. La troisième femme, qui a voulu intervenir, a été projetée sur le mur. » Celle qui témoigne a été en congé de maladie pendant plusieurs semaines.

Hausse importante des congés de maladie  De 2012 à 2016, les congés de maladie ont bondi de 49 % dans ces résidences. Les montants déboursés pour indemniser les travailleurs blessés ont aussi bondi de 49 %, selon l'Association sectorielle paritaire.  La Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) évalue maintenant que les résidences à assistance continue présentent un niveau de risque « extrême ». Pour la période allant de 2006 à 2016, 24 % des jours d'absence dans ce secteur découlent de violence et de voies de fait.  La CNESST a préféré ne pas accorder d'entrevue sur le sujet, mais a répondu à nos questions par courriel. Une quinzaine de visites par année étaient faites dans les résidences à assistance continue. « La CNESST travaille à structurer son intervention dans ce secteur. Ces chiffres seront appelés à évoluer », écrit-on. 

Le CIUSSS Centre-Sud de l'île de Montréal compte 26 de ces résidences, dont la résidence Pelletier, lourdement endommagée en février. L'établissement précise par courriel avoir mis sur pied en décembre 2017 un plan de santé et sécurité spécifique aux RAC. L'établissement constate toutefois une « augmentation du nombre de déclarations d'événements accidentels. » Mais le porte-parole, Jean-Nicolas Aubé, précise que le nombre de dossiers de santé et sécurité au travail a diminué de moitié. Des résidences en mauvais état  L'augmentation du nombre de gestes violents se répercute sur l'état des résidences. À plusieurs endroits, on peine à réparer les murs tellement les événements sont nombreux. 

C'est le cas de la résidence Jauniaux, à Saint-Jean-sur-Richelieu. De l'extérieur, on constate qu'une fenêtre est bouchée par du contreplaqué. Mais Radio-Canada a obtenu des images étonnantes de l'intérieur du bâtiment. Plusieurs murs sont presque entièrement recouverts de contreplaqué. Un mur en contreplaqué. D'importants dommages ont été causés à la résidence Jauniaux
Même le dessus de la toilette et la moitié des murs de la salle de bain sont recouverts de contreplaqué. Le réservoir de la toilette est recouvert de contreplaqué, ainsi que le mur derrière. Une toilette de la résidence Jauniaux.

  Les tables et les chaises sont vissées au sol, pour éviter qu'on les utilise comme projectiles. Les pieds de la table et des chaises sont vissés au sol. Les tables et les chaises sont vissées au sol à la résidence Jauniaux.  « La résidence Jauniaux s'est dégradée au fil des années. Mais ce n'est pas la seule », constate Ian Robert, qui représente les employés du service de réadaptation du Sud-Ouest, qui sont affiliés au SCFP.  En fin de journée mercredi, le CISSS de la Montérégie-Ouest a réagi au reportage de Radio-Canada.
 La chef du service des communications, Geneviève Boileau, a expliqué que certains usagers des RAC ont de graves problèmes de comportement et qu'ils peuvent causer rapidement des bris importants. « Le contre-plaqué est donc une solution temporaire, non-optimale. La solution visée, c'est notamment des panneaux en fibre de verre. »  Nous avons montré ces images à Marie-Josée Dutil, la mère de Maxence. Elle ne semblait pas du tout surprise : « Ce n'est vraiment pas normal. Mais ce sont des images que j'ai vues dans d'autres résidences ».

Marie-Josée Dutil, présidente du comité des usagers du Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec
Selon Mme Dutil, le problème est que les résidences ont été conçues pour des déficients intellectuels, alors qu'aujourd'hui, la majorité des résidents sont des autistes.    
 L'autiste n'a pas les mêmes besoins que la personne qui a une déficience intellectuelle. Ça lui prend un plus petit milieu, moins bruyant.   

 Marie-Josée Lapointe, présidente d'Autisme Québec 
Marie-Josée Dutil affirme que des employés et des parents de toutes les régions du Québec lui parlent du problème. « Les gens se taisent simplement parce qu'ils sont eux-mêmes en détresse, parce qu'ils ne trouvent pas de solution. »  Questionné à propos de l'utilisation de contre-plaqué pour faire des réparations, le cabinet de la ministre responsable Lucie Charlebois écrit : « Aucune orientation ministérielle ne va en ce sens.
 Nous questionnerons le CISSS de la Montérégie-Ouest à cet effet. » L'attachée de presse Bianca Boutin précise que « des investisements de 8.5 millions de dollars ont été annoncés afin de développer des milieux résidentiels adaptés ».

 À lire aussi :     
Autisme : un enfant sur 66 reçoit un diagnostic de TSA au Canada    
L’autisme expliqué aux non-autistes    
Québec présente son plan d'action sur le trouble du spectre de l'autisme   
 L'abc du diagnostic du trouble du spectre de l'autisme    
Autisme et troubles du développement : des services insuffisants

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lundi 8 octobre 2018

10 ans plus tard, Google a toujours la capacité effrayante de contrôler à distance un téléphone

10 ans plus tard, Google a toujours la capacité effrayante de contrôler à distance un téléphone




android, google, kill switch

Analyse : Commentaire : Sans en avertir les utilisateurs, Google a activé de lui-même une fonction sur les smartphones sous Android P. C'est pourquoi nous nous interrogerons toujours sur l'obsolescence programmée.

Dix ans, c'est long. Assez long pour oublier que Google - et Apple d'ailleurs - a la possibilité de contrôler certaines parties de votre téléphone via Internet. Et peut-être de modifier tranquillement des paramètres sans votre permission.
Mais Google a commis une erreur très publique la semaine dernière, et cela fait encore une fois planer le doute.
La semaine dernière, les utilisateurs d’Android ont commencé à signaler que la fonction d’économiseur de batterie de leur téléphone s’était mystérieusement activée, que leurs batteries nécessitent ou non d'être économisée. Les terminaux à charge complète ont commencé à se brider, interrompant les mises à jour en arrière-plan, semble-t-il en raison d'un bug d'Android P, comme l'a rapporté Android Police.

Une expérimentation de Google un peu visible

Seulement, ce n'était pas un bug. Selon l’un des comptes officiels de Google sur Reddit, c'est l'entreprise elle-même qui en est la cause. Selon le communiqué, Google menait "une expérience interne visant à tester les fonctionnalités d’économie de batterie qui ont été déployées par erreur auprès d’un plus grand nombre d’utilisateurs que prévu."
Si vous n'avez pas suivi de près Google au cours de la dernière décennie, vous pourriez être surpris de découvrir qu'une entreprise dispose d'un tel contrôle. Il est particulièrement surprenant d’envisager que des téléphones qui ne sont pas fabriqués par Google - l'Essential Phone, le Nokia 7 Plus et le OnePlus 6, d'après Android Police - ont également été affectés par cette expérience.
Mais si vous suivez Android depuis le commencement (et je veux dire le tout premier téléphone Android, le T-Mobile G1 / HTC Dream, lancé en octobre 2008), vous vous rappelez peut-être qu'Android a été doté d'au moins un kill switch depuis le début. La société n'y a eu recours qu'à deux occasions, autant qu'on peut s'en souvenir, en 2010 et 2011, pour supprimer complètement des applications jugées malveillantes.
En 2008, des blogueurs en téléphonie ont découvert le coupe-circuit Android, tout en se désespérant de la présence d'un dispositif similaire dans l'iPhone. On ignore si Apple en a déjà eu l'usage, mais Steve Jobs a estimé que c'était un mal nécessaire : "Nous serions irresponsables de ne pas avoir un tel levier" avait déclaré le cofondateur d'Apple au Wall Street Journal.

Kill swtich d'Android et iOS

En soi, l'activation non-sollicitée de la fonction Battery Saver de Google n'est pas un problème majeur. Apple a récemment été surpris à dégrader les performances d'anciens iPhone pour compenser le vieillissement de leurs batteries. À titre de comparaison, Google s'est cantonné à modifier un paramètre gênant pour quoi, une journée ?
Et il n’y a aucune raison d'imaginer que l’une ou l’autre de ces entreprises agirait intentionnellement de manière malveillante en dégradant, par exemple, la batterie d’un téléphone pour pousser les consommateurs à en acheter un nouveau.
Il est dans leur intérêt de préserver la satisfaction de leurs propriétaires, et de nombreux chercheurs et utilisateurs avertis n'hésiteront pas à dénoncer leurs pratiques en cas d'agissement suspect. Mais ce genre de chose fournit certainement des munitions supplémentaires aux théoriciens du complot.
Pour la première fois depuis des années, les erreurs de ces sociétés nous rappellent qu'un tel abus de confiance est potentiellement à portée de clic et vous vous demandez quelles autres sortes de changements ils peuvent piloter à distance et quels garde-fous sont en place pour empêcher les employés d'abuser de ce pouvoir.
Google n'a pas répondu aux demandes de commentaires.

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mercredi 26 septembre 2018

La véritable histoire de L'assassinat de John F. Kennedy


Selon l'enquête de William Reymond,sur le dernier témoin Billie Sol Estes:



JFK

La véritable histoire de L'assassinat de John F. Kennedy n'a rien a voir avec le scénario déja connu de la commission Warren.Et beaucoup plus simple que les 40 années des thèses conspirationnistes pourraient nous faire croire.

La décision finale de supprimer Kennedy fut prise lors d'une partie de poker disputée au restaurant Brownies situé sur Grand Avenue, a Dallas,assène Estes.En Mai 1963, Cliff Carter(le bras droit de LBJ)assista a une partie de poker opposant de très hauts dignitaires de la mafia texane.Qui évoquèrent la possibilité de se débarrasser de Kennedy ,comme ils en rêvaient depuis des mois.H.L. Hunt et D. H. Byrd ,le propriétaire du texas school book depository,étaient présents.Carter reçut le feu vert,je ne sais pas qui a pris la décision finale de passer a l'acte . J'ai en revanche le sentiment profond que Cliff a demandé,au nom de Lyndon B. Johnson (LBJ),QUE LA PROCÉDURE SOIT ACCÉLÉRÉE ET QU'UNE POSITION DÉFINITIVE SUR LE SUJET SOIT ÉLABORÉE.
En fait,si la Texas mafia songeait a assassiner JFK depuis un bon moment ,la réflexion de LBJ et Carter était beaucoup plus avancée.Carter annonça donc,ce soir-la ,que l'argent utilisé pour mener a bien le projet proviendrait des fonds secrets de Lyndon. Et que les participants seraient ensuite payés selon des modalités que lui-même fixerait,dont chaque joueur de poker donnerait chacun 1 million $ a la cause.

Quant a D.H. Byrd,allié politique de Lyndon depuis de nombreuses années ,magnat agricole et pétrolier détenant des parts importantes dans des entreprises liées a l'aéronautique militaire ,comme LTV qui,on l'a vu, employait Mac Wallace depuis 1951,il voyait ses intérêts a court terme . Une fois LBJ installé a la Maison Blanche ,les contrats liés a l'engagement au Vietnam rapportèrent a Byrd bien plus que ce qu'il avait versé au fonds secret de Lyndon cette nuit de Mai 1963,explique Estes.
L'ensemble de mes conversations de 1963-1971 avec Cliff Carter,Malcom Wallace et Lyndon Johnson me permet d'affirmer que Carter était le cerveau de cette opération.SelonBillie Sol,ce fut même Cliff Carter qui eut l'idée de livrer un coupable en pâture a l'opinion.

Le plan était simple ,explique Billie ,Kennedy devait être tué pas un assassin solitaire qui, a son tour,serait abattu lors de son arrestation.Or en 1963,Mac Wallace apprit de Mohrenschildt,qui rendait des services a la CIA,surveillait pour l'agence un certain Lee Harvey Oswald,de retour d'union soviétique.Wallace contacta donc son ancien ami et demanda a être présenté a Lee.Comme Oswald n'était pas très futé,facilement influençable et qu'il avait besoin d'argent,la manipulation allait s'avérer facile.Carter et Wallace connaissaient aussi Jack Ruby.Je ne crois cependant pas que Jack Ruby ait été au courant de quoi que ce soit avant sa propre entrée en scène,puisqu'il n'était pas prévu qu'Oswald soit capturé vivant.

Restait encore a recruter les autres tireurs,ceux qui achèveraient l'exécution entamée par Oswald.Carter délégua cette mission a Malcom Wallace.J'ignore les détails concernant l'équipe formée par Mac explique Estes.En 1971,Carter m'a avoué que l'équipe était principalement composée de texans,parce qu'il savait leur sens du secret. Si a plusieurs reprises,il m'est arrivé d'entendre un nom cubain et 2 ou 3 noms français,j'ignore s'ils ont réellement pris part a l'opération. Comme j'ignore la position précise des tireurs placés en embuscade sur Dealy plaza.Dans ses confidences ,Cliff m'a juste révélé que Mac se trouvait au 5ième étage avec Oswald.Et qu'il avait réservé la place située derrière la palissade du Grassy Knoll a la meilleure gâchette du groupe.Seul accroc,et de taille,l'arrestation de Oswald ne se déroula pas comme prévu.

Le plan initial prévoyait sa mort,et non son interpellation et son interrogatoire au DPD,confirme Estes.J'ai certaines bonnes raisons de croire que le policier J.D.Tippit devait faire le boulot.Mais sans confirmation de Carter ,je n'extrapolerai pas.Je suis certain en revanche que cette arrestation a déclenché a déclenché un beau mouvement de panique au sein des comploteurs.Et que c'est seulement la que le contre-feu Jack Ruby a été déclenché.Jack n'eut pas le choix : il reçu l'ordre accompagné de garanties de clémence judiciaire,et ne pouvait refuser.Il pensait pouvoir être jugé a Dallas par des amis de Lyndon et,en plaidant la démence,s'en sortir pas trop mal.De toute façon,s'il avait dit non,il signait son arrêt de mort.Mais cette précipitation fit commettre une erreur aux compltteurs.Lorsque ,le 24 novembre ,Jack Ruby tira a bout portant sur Oswald,il ne vit pas qu'il avait oublié un bout de papier froissé dans sa poche.Une pièce découverte durant sa fouille ,sur laquelle apparaissait le numéro personnel de la fidèle et discrète assistante du shérif Bill Decker.

LBJ a fait tuer JFK pour accéder a la Maison Blanche ,LBJ n'avait pas de coeur et aurait tué sa propre mère pour réussir.Et JFK ne connaissait pas le Texas et ses règles,il n'aurait jamais dû venir au Texas.
En fait JFK n'a jamais cru que LBJ et ses amis auraient les couilles de le descendre.Je n'étais pas au courant du meutre,même si le sujet avait été abordé a plusieurs reprises lors de conversations avec Cliff ou Lyndon.Et puis(Billie Sol Estes),j'étais plus occupé a me battre pour ne pas me retrouver en prison que préoccupé par le sort de JFK.Quand on pense qu'il (JFK)avait décidé de s'attaquer a nos producteurs de pétrole et qu'enfin il se comportait comme un Yankee prétentieux ,en nordiste qui aurait dû rester dans son country club.

Ton argent(Billie Sol Estes)a t'il servi a préparer l'assassinat de JFK ? Pour être honnête ,je n'en sais rien ,mon dernier versement au fonds secret de Lyndon remonterait a Janvier 1963 et n'avait pas été effectué dans cet objectif spécifique.

Mac Wallace et Cliff Carter me parlairent peu de l'assassinat de Kennedy,mais ils en dirent suffisamment pour me convaincre de leur implication.Carter avertit évidemment Billie qu'il était hors de question d'évoquer devant qui que ce soit les meutres perpétrés entre 1961-63,Carter précisa même clairement que toute entorse a cette règle se solderait par la mort de Billie Sol.C'est a ce moment que Billie informa Cliff de l'existence de ses enregistrements.Avec cette révélation ,je faisais d'une pierre deux coup : je l'avertissais que je disposais de moyens de pression quasiment atomiques tout en prévenant que je n'avais aucune intention de m'en servir,mais c'était mon assurance vie.

En 1966,Carter fut obligé de quitter la tête du comité national du parti démocrate.Ses méthodes de levée de fonds commençaient a soulever des questions d'éthique.Cliff s'est excusé pour les années de prison que j'avais endurées,explique Estes.Et Carter me confia que LBJ était devenu réellement paranoiaque ,craignant que sa place dans l'histoire soit compromise par son passé. Carter raconta sur bande magnétique la solution au crime du siècle ,trente-six heures après ,Cliff fut frappé d'une pneumonie foudroyante ,et mourut immédiatement a l'hôpital...La secrétaire de Cliff avait elle ,donné une version différente de sa mort;elle assurait que son patron n'avait pas été victime d'une pneumonie ,puisque son corps avait été découvert sans vie dans un motel de Virginie.
Ce que contenait la bande magnétique fut:
"Lyndon n'aurait pas dû donner a Mac (Wallace)l'ordre de tuer le président..."


Nota:
Le journaliste James Buchanan revendique le fait que Frank Anthony Sturgis, né Frank Angelo Fiorini ait rencontré Lee Harvey Oswald à Miami, Floride peu de temps avant l'assassinat de John F. Kennedy. Buchanan revendique aussi le fait qu'Oswald ait tenté d'infiltrer la Brigade anti-communiste de Sturgis. Lorsqu'il fut interrogé par le FBI, Sturgis affirma que Buchanan avait mal cité les commentaires lui-même et Oswald.
Selon une note de service envoyée par le directeur du FBI Patrick Gray, à H. R. Haldeman en 1972 : "Une de nos sources à Miami a cité que Sturgis était, à ces moments très impliqué avec le milieu du crime organisé. Dans son livre L'Assassinat de JFK, Bernard Fensterwald prétend que Sturgis a été fortement impliqué avec la mafia en particulier avec Santo Trafficante et les activités de Meyer Lansky en Floride.
La Commission Rockefeller du Congrès américain de 1974 a enquêté sur les diverses connexions entre Sturgis et Howard Hunt, ces derniers ayant des connexions avec l'assassinat de John F. Kennedy. Plus précisément, la Commission a enquêté sur le fait que Sturgis et Howard Hunt étaient agents de la CIA et qu'ils se trouvaient à Dallas au moment où le coup de feu est parti du monticule herbeux sur Dealey Plaza. Howard Hunt a notamment été accusé par l'appui de Kerry Wendell Thornley, qui disait avoir eu plusieurs discussions avec Hunt pour des tentatives d'assassinat sur JFK entre 1961 et 1963. Le magazine Newsweek a publié des photos montrant trois hommes dont deux qui ressemblaient fortement à Sturgis et Hunt, que l'on vit peu de temps après l'assassinat, derrière la palissade donnant sur la butte herbeuse. D'après un article de ce dernier magazine Newsweek, un rapport officiel a indiqué que les autorités avaient considéré que les deux hommes étaient des « clochards de chemins de fer » se servant des trains comme abris. Les deux hommes furent relâchés sans complément d'enquête.


Et,...en 1977,Marita Lorenz ,a annoncé à Paul Meskil du New York Daily News qu'elle avait rencontré Oswald à l'automne 1963 dans une maison sécurisée d'Opération 40 dans la section de Little Havana à Miami [9]. Selon Lorenz, elle le reverrait avant l'assassinat de Kennedy en 1963 dans la maison d'Orlando Bosch, en compagnie de Frank Sturgis, de Pedro Luis Diaz Lanz et de deux autres Cubains présents. [9] Elle a ajouté que les hommes avaient étudié les cartes des rues de Dallas et qu'elle soupçonnait avoir l'intention de faire un raid sur un arsenal. [9] Lorenz a déclaré qu'elle avait rejoint les hommes se rendant à Dallas à bord de deux voitures et portant "des fusils et des lunettes de visée", mais qu'elle était rentrée à Miami le lendemain de leur arrivée. [9] En réponse à ses allégations, Sturgis a déclaré qu'il ne se souvenait pas avoir jamais rencontré Oswald et a réitéré ses précédentes dénégations selon lesquelles il était impliqué dans un complot en vue de tuer Kennedy. [9] Dans une interview avec Steve Dunleavy du New York Post, il a déclaré croire que des agents communistes avaient fait pression sur Lorenz pour qu'il porte les accusations portées contre lui [10].
Lorenz a témoigné au sujet de ce complot d'assassinat contre Kennedy devant le comité spécial de la Chambre sur les assassinats (HSCA). Le comité politique a enquêté sur son témoignage et déclaré qu'il n'était pas fiable. [11]
En février 1985, l'avocat Mark Lane a lu une déposition que Lorenz avait fournie dans le procès en diffamation d'E. Howard Hunt contre le tabloïd du lobby de Liberty, The Spotlight [12]. Lorenz vivait à New York à l'époque, cependant, Lane a lu la déposition devant le tribunal en déclarant que Lorenz "avait peur de venir à Miami". [12] La déposition réitérait des allégations similaires à celles qu'elle avait fournies à la HSCA. [12] Lorenz a déclaré avoir rencontré Oswald à Miami au début des années 1960 et qu'en novembre 1963, Sturgis lui avait demandé de venir à Dallas avec lui et avec Oswald pour se faire leurres [12]. Sa déclaration indiquait qu'elle, Oswald et sept Cubains anti-castristes avaient transporté des armes à Dallas dans deux voitures peu de temps avant le 22 novembre 1963 [12]. Lorenz a affirmé que Hunt était venu dans leur chambre d'hôtel à Dallas et avait fourni à Sturgis une enveloppe remplie d'argent [13]. Selon un récit, ce témoignage est devenu la "pièce maîtresse" du livre de Lane, publié en 1991, Plausible Denial [6].
En 1993, Lorenz a été interviewée par Ann Louise Bardach, écrivain à Vanity Fair, qui l'a décrite comme "une sainte patronne des amateurs de conspiration" [6]. Bardach a écrit "au moins la moitié de son histoire est facilement documentée par les comptes d'autrui et le mémorandum du FBI, l'autre moitié est sans fondement. Parfois, elle vole à l'encontre des preuves existantes" [6].



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mardi 18 septembre 2018

The Anarchist Cookbook (Le Livre de recettes anarchistes)


The Anarchist Cookbook (Le Livre de recettes anarchistes);

The Anarchist Cookbook (Le Livre de recettes anarchistes), rédigé comme manifeste contre le gouvernement des États-Unis et la guerre du Viet Nam, est un livre de l'écrivain américain William Powell (en) publié en 1971. Le livre contient des recettes et des instructions pour la fabrication d'explosifs, de drogues et d'un certain nombre d'appareils de télécommunications. Il traite aussi de méthodes pour tuer quelqu'un à main nues et d'autres thèmes controversés.
L'auteur a déclaré qu'il est, en 2007, en désaccord avec l'idée centrale du livre, à savoir « que la violence est un moyen acceptable de provoquer un changement politique » et a demandé que le livre ne soit plus réédité1. Cependant, le copyright est tenu par l'éditeur, ainsi Powell n'a aucun contrôle de publication et ne reçoit aucune redevance. Cependant, l'éditeur a temporairement diffusé le livre sur son site Internet.

Au niveau de la loi

Alors que le livre de cuisine anarchiste est légalement disponible aux États-Unis, il est illégal dans beaucoup d'autres pays. Les informations contenues dans le livre incluent des instructions qui, si elles sont suivies, peuvent être illégales. Pour cette raison, l'accès au livre est souvent restreint, certaines librairies refusant de vendre le livre aux personnes de moins de 21 ans. Les autorités et les experts en matière de munitions ont déclaré que les instructions dans le livre devraient ne jamais être essayées par un individu inexpérimenté. Il est toutefois aisément téléchargeable sur internet.

Anecdote

  • Eric Harris et Dylan Klebold se sont servis du livre pour concevoir leur bombe utilisée lors du Massacre du lycée Columbine2.
  • Le livre est présent sous la forme d'item dans le jeu The Binding of Isaac3.
  • On y fait référence dans "Veronica Mars" (saison 2 épisode 19)

Références

  1. (en) http://dir.salon.com/story/tech/log/2000/09/18/anarchy/index.html [archive]
  2. (en-GB) Dave Cullen, « The reluctant killer », The Guardian,‎ (ISSN 0261-3077, lire en ligne [archive]) « Eric designed at least seven big bombs, working off the Anarchist Cookbook he found on the web. »
  3. « Anarchist Cookbook — Binding of Isaac: Rebirth Wiki » [archive], sur bindingofisaacrebirth-fr.gamepedia.com (consulté le 3 février 2017)

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Selon une étude de la GRC, des centaines de cas de corruption policière

Selon une étude de la GRC, des centaines de cas de corruption policière


GRC, police, corruption
 
 

La GRC affirme avoir apporté des changements après la publication du rapport pour encourager le comportement éthique des agents


REF.: The Canadian Press · Publié le: 18 mai 2014 13:59 CT | Dernière mise à jour: 18 mai 2014La Presse canadienne a obtenu l'étude en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. (CBC)
Une étude interne de la GRC a révélé 322 cas de corruption au sein de la police nationale sur une période de 11 ans - dont une douzaine d'exemples de crime organisé.
La diffusion abusive d'informations de police était le type le plus courant de comportement corrompu, suivi par la fraude, le détournement du statut de policier, le vol et l'ingérence dans le processus judiciaire.
La GRC a entrepris l'étude, appelée Projet Sanction, pour aider à identifier les tendances en vue d'élaborer une stratégie anti-corruption.
"Il était évident qu'un grand nombre des incidents identifiés dans cette étude résultaient d'une mauvaise orientation, d'un manque de supervision adéquate ou d'une combinaison de pressions sur la vie qui ont abouti à une décision désespérée", indique le rapport.
L'étude - couvrant des cas documentés du 1 er janvier 1995 au 31 décembre 2005 - a été achevée en 2007 mais n'a été publiée que récemment par la Presse canadienne en vertu de la Loi sur l'accès à l'information.
La GRC affirme avoir adopté depuis lors plusieurs des recommandations du rapport, ajoutant que rien ne prouve que la corruption constitue un problème important dans ses rangs.
Au total, 204 membres réguliers ont été impliqués dans les 322 incidents de corruption, l'étude qualifiant la "nature et la gravité" des épisodes de "relativement modérée".
De nombreux cas de partage abusif d'informations policières impliquaient l'utilisation abusive de données confidentielles dans les banques de données de la police, parfois à des membres de la famille, des amis ou des criminels connus.
Les cas de fraude comprenaient souvent des demandes de remboursement frauduleuses ou un abus des cartes de crédit du gouvernement. Les exemples d’interférence étaient la fixation de billets, le parjure, la falsification de preuves ou la protection d’activités illégales.
Douze incidents concernaient le crime organisé et 20 autres incluaient des opérations avec des criminels connus.
"La GRC peut et devrait faire davantage en matière de stratégie de réduction des risques", a conclu le rapport.
"En l'absence de solution, la corruption peut attaquer et toucher la grande majorité des employés honnêtes, dans la mesure où il y a plus de potentiel pour moins de coopération publique au niveau opérationnel."
En outre, les employés peuvent voir un manque d’action comme un signe que la direction ne prend pas le comportement de corruption au sérieux, ajoute le rapport. "Il est clair que le risque de ne pas apporter de changements proactifs pour lutter contre la corruption peut avoir de graves conséquences".
L’étude a formulé des recommandations sur le recrutement de nouveaux membres, la formation à l’éthique, l’évaluation des employés, les autorisations de sécurité et l’identification des agents à risque de corruption.
Depuis le rapport, la GRC a pris un certain nombre de mesures pour soutenir et encourager le comportement éthique de ses membres, a déclaré le cap. David Falls, porte-parole de la GRC.
Le processus de recrutement est «beaucoup plus exhaustif» qu’en 2007, a déclaré M. Falls, citant une liste de procédures d’examens, d’entrevues et de tests qui ont été extrêmement efficaces pour détecter une forte proportion de candidats qui ne reflètent pas les valeurs fondamentales de la GRC. "
La GRC souligne également des mesures, notamment:

    
un processus de promotion plus rigoureux.
    
évaluations régulières des employés et briefings de sécurité.
    
une formation plus éthique et une directive sur les conflits d'intérêts.
    
un nouveau code de conduite proposé.
    
un plan pour reconnaître officiellement le professionnalisme et l'intégrité.


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Selon le magazine Physics: Les 3 tours WTC se sont effondrées en raison d'une démolition contrôlée

15 ans plus tard, le magazine Physics conclut: Les 3 tours WTC se sont effondrées en raison d'une démolition contrôlée



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Au cours des 15 dernières années, de nombreux universitaires et experts hautement respectés se sont manifestés pour contester le discours officiel sur l'effondrement des tours du WTC transmis par le gouvernement américain. La position officielle du gouvernement est que l'effondrement des trois tours était dû à la chaleur intense à l'intérieur des bâtiments.
Mais une nouvelle enquête médico-légale sur l’effondrement des trois tours du World Trade Center le 11 septembre, publiée dans Europhysics News - un magazine de physique européen très respecté - affirme que «les éléments de preuve aboutissent à la conclusion démolition."
Alors que beaucoup dans le courant dominant ont tenté d'étiqueter quiconque remettant en question le discours officiel comme un théoricien du complot «chapeau d'étain», de nombreux experts très respectés se sont manifestés pour rejeter l'idée que les bâtiments crash d'avion."Compte tenu des implications considérables, il est moralement impératif que cette hypothèse fasse l'objet d'une enquête véritablement scientifique et impartiale menée par les autorités responsables", concluent les quatre physiciens dans le rapport accablant.
Le nouveau rapport est l'œuvre de Steven Jones, ancien professeur titulaire de physique à l'université Brigham Young, Robert Korol, professeur émérite de génie civil à l'Université McMaster en Ontario, au Canada, Anthony Szamboti, ingénieur en conception mécanique expérience en conception dans les industries de l'aérospatiale et des communications et Ted Walter, directeur de la stratégie et du développement chez Architects & Engineers pour 9/11 Truth, une organisation à but non lucratif qui représente aujourd'hui plus de 2 500 architectes et ingénieurs.
Le rapport complet publié dans le magazine Europhysics remet directement en cause le récit officiel et donne lieu à un nombre croissant de preuves qui remettent sérieusement en question la véracité du discours gouvernemental.
En 2002, l’Institut national des normes et de la technologie a fait remarquer que l’affaire était exceptionnellement bizarre. Il n’ya pas eu d’autres cas connus d’effondrements structurels totaux dans les immeubles de grande hauteur causés par les incendies et il est donc tout à fait inhabituel que cela se soit produit trois fois en l’espace d’une journée, a noté le NIST.
Les enquêtes officielles n’ont jamais été en mesure d’expliquer en profondeur et de manière cohérente comment cela aurait pu se produire et diverses équipes chargées d’examiner l’effondrement ont soulevé des questions difficiles quant à la véracité de l’histoire du gouvernement.
Peut-être le plus accablant, les experts ont affirmé qu’après une analyse médico-légale approfondie des séquences vidéo de l’effondrement du bâtiment, elle avait révélé des signes d’une implosion maîtrisée. De plus, Jones a co-écrit un certain nombre d'articles documentant la preuve de la présence de matériaux nano-thermitiques n'ayant pas réagi dans la poussière du WTC.
Les auteurs du rapport notent que les bâtiments sont tombés avec une telle rapidité et une telle symétrie qu’ils n’avaient aucune autre explication possible de l’effondrement soudain des vitesses de chute libre - réfutant directement les études qui tentaient de démystifier l’idée que le bâtiment tombait sans résistance. La nouvelle analyse médico-légale de ces experts ne fait qu’aggraver le mouvement croissant de personnes qui demandent une enquête nouvelle et impartiale sur l’effondrement du World Trade Center.
Révélant la portée et l'étendue de l'incrédulité du public dans le discours gouvernemental officiel sur les événements du 11 septembre, même la candidate à la présidentielle Jill Stein a récemment appelé à une nouvelle enquête.


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