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lundi 2 mai 2011

Le secret du monde médical et des soins hospitaliers











C'est que travailler avec l'être humain,les gens seuls,les personnes malades,les aînés,vous amène tranquillement vers l'augmentation de votre degré de spiritualité !
Si évidemment, vous êtes ouvert et ouvrez votre coeur a cette nouvelle dimention de l'Ëtre et a la contemplation de la création.

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Le succès du CHSLD "Centre d’hébergement de la Maison-Saint-Joseph",.....la Foi,la religion et la compassion

Centre d’hébergement de la Maison-Saint-Joseph - Au revoir, chères sœurs
Depuis 1839 les Petites Soeurs viennent en aide aux plus démunis. 
© Archives/ Agence QMI
Centre d’hébergement de la Maison-Saint-Joseph

Au revoir, chères sœurs


MONTRÉAL – La Congrégation des Petites Sœurs des Pauvres va vendre le Centre d’hébergement de la Maison-Saint-Joseph (CHMSJ) le 30 août prochain, faute d’effectifs pour continuer sa mission d’aide envers les personnes âgées et démunies. L’établissement que possédait la Congrégation depuis près de 56 ans deviendra la propriété des Sœurs de la Providence de la Province Émilie-Gamelin, qui s’efforceront de reprendre le flambeau.
«Plus que jamais, nous voulons poursuivre l’œuvre de notre fondatrice, Mère Gamelin, qui a consacré sa vie aux gens âgés, malades et dépourvus», a expliqué par voie de communiqué la sœur Claire Houde, de la congrégation des Sœurs de la Providence.
«Le changement de propriété ne changera en rien la qualité des services offerts par notre congrégation depuis tant d’années. Les soins à nos résidents ne seront pas interrompus et seront prodigués dans le même esprit», a assuré pour sa part la mère Bernice Wall, des Petites Sœurs.
Avec 80 lits, 120 employés et 48 bénévoles, le CHMSJ est le plus grand centre des Petites Sœurs au Canada.
Il offre depuis 1957 des appartements à loyer modique à 19 résidents.
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CHSLD en PPP «Nos aînés ne sont pas des cobayes»

CHSLD en PPP - «Nos aînés ne sont pas des cobayes» - Martine Ouellet et Bernard Drainville
Bernard Drainville 
© JEAN LARAMÉE/ Agence QMI

SAINT-LAMBERT - Alors que le gouvernement du Québec s’apprête à lancer prochainement de nouveaux appels d’offres en vue de la construction de trois nouveaux Centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD) en Montérégie, les députés péquistes Martine Ouellet (Vachon) et Bernard Drainville (Marie-Victorin) ont vertement critiqué le gouvernement libéral pour la mauvaise gestion des soins de santé envers les aînés en imposant la formule PPP. En point de presse devant le CHSLD de Saint-Lambert-sur-le-Golf, vendredi, les députés étaient accompagnés de membres de familles dont un parent réside dans l’établissement pour rappeler les difficultés à recruter le personnel médical requis pour son fonctionnement.
«Nos aînés ne sont pas des cobayes et ont droit à la qualité des soins de santé, a déploré Martine Ouellet. Nous devons nous rendre compte de l’échec de Saint-Lambert pour ne pas poursuivre cette expérience et d’utiliser nos aînés comme des cobayes. Nous demandons également de voir tout le contrat pour avoir les détails et pour que nous soyons capables, ensemble, de trouver les solutions sur comment nous allons régler le problème pour améliorer la qualité des soins.»
Ne pas répéter les erreurs
Pour sa part, le député Drainville a indiqué qu’«il ne faut pas répéter les mêmes erreurs avec les autres projets de PPP qui se dessinent en Montérégie. À très court terme, il faut venir en aide au personnel, s’occuper des patients et aider les familles, mais il faut aussi que le gouvernement tire des leçons de ce qui se passe à Saint-Lambert et annule les projets de PPP en Montérégie. C’est fini, cette formule dans le domaine des soins à nos aînés».
Il a aussi remis en question le commissaire aux plaintes des usagers, Antoine Samir Naoum, qui est un ancien responsable d’une résidence du Groupe Soleil – qui appartient au Groupe Savoie - dans le secteur de Ville Saint-Laurent.
«M. Naoum est aujourd’hui à Saint-Lambert et est responsable afin de recevoir les plaintes des usagers. Comment voulez-vous que cet ancien responsable, qui a travaillé pour le Groupe Savoie, soit objectif quand il vient le temps de traiter la plainte des usagers?» s’est interrogé le député de Marie-Victorin.
Des témoignages
Pierrette Martel, dont la mère réside au CHSLD Saint-Lambert-sur-le-Golf, a ajouté sa voix à celles des députés pour lancer un cri du cœur au gouvernement. «Il y a beaucoup de résidants ici, à Saint-Lambert, qui sont en détresse, qui n’ont pas de sourire, qui sont découragés, parce qu’ils voient bien souvent des gens qui ne les connaissent pas, a affirmé Mme Martel. C’est avant tout une question de gestion. C’est mal géré.»
Pour sa part, Monique Wistaff, dont la mère réside aussi au CHSLD, a pour sa part dit que «nous nous sentons abandonnés par le gouvernement. Quand nous entendons le ministre de la Santé, M. Bolduc, dire que c’est un service clé en main que nous avons à Saint-Lambert, je me sens encore plus abandonnée et je sens que le gouvernement nous a vendus au rabais.»

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dimanche 1 mai 2011

Payer 150$ pour vous faire écoeurer

Bal en blanc - L'arrogance d'une policière dénoncée
 
© Agence QMI / SÉBASTIEN ST-JEAN
Bal en blanc

L'arrogance d'une policière dénoncée

MONTRÉAL – Un participant au Bal en blanc, à Montréal, dénonce l'agression verbale dont il aurait été victime, juste avant de participer à l'événement.
Stéphane s’est présenté au bal vers 23h30 dimanche, en compagnie de sa petite amie et de deux couples d'amis. En arrivant, il a été éberlué par la foule qui se pressait devant lui.

«Avant d'atteindre le point de fouille, il y avait sûrement au-delà de 1500 personnes entassées dans un espace de 40 pieds de large par 100 pieds de long. Nous étions tous collés, et ça poussait», a-t-il raconté à Claude Poirier, jeudi, à l'émission «Le Vrai Négociateur», à LCN.
Avec son billet VIP payé 100$ en poche, Stéphane s'attendait à avoir, entre autres privilèges, un accès facilité à la zone de fouille.
«Il n'y avait pas de cordages pour faire une file ordonnée. Tout ce qu'il y avait, c'est six à huit agents de sécurité qui fouillaient les gens, avec des policiers qui surveillaient le tout, à distance.»
Mécontent, Stéphane a apostrophé l'agente de sécurité qui procédait à sa vérification : «Je leur ai demandé si ça ne leur tentait pas de faire venir d'autres agents de sécurité de l'intérieur de la salle pour accélérer les choses. Il ne devait pas y avoir tant de gens entrés puisque nous étions tous à l'extérieur.»
C'est alors que les choses se sont corsées. «Une autre agente de sécurité, plus arrogante et moins de bonne humeur, est arrivée et m'a dit "Prend ton trou et attend ton tour". »
Une policière à la rescousse
C'est alors qu'une policière «habillée en civil et vêtue d'un dossard bleu portant l'inscription POLICE» s'est immiscée dans la discussion.
«Elle était entourée de policiers masculins. Elle est arrivée et m'a dit "Ferme ta yeule, sinon je te sors d'ici et on va mettre des charges contre toi"», a raconté Stéphane.
Selon lui, plusieurs personnes ont assisté à la scène, mais aucune n’a protesté. «Tout le monde est là pour s'amuser. J'étais le seul qui a osé dénoncer la procédure de fouille. Il y avait énormément de témoins, mais ils ne cherchaient pas la bagarre alors personne n'a dit un mot.»
Il dénonce l'attitude de la policière: «Il y avait tellement de monde qu'elle savait qu'elle pouvait m'engueuler comme du poisson pourri. Elle a l'uniforme, donc, le gros bout du bâton.»
Stéphane n'a pas voulu pousser l'histoire plus loin: «On voulait aller s'amuser à l'intérieur, alors c'est resté à ce point. De toute façon, on voit ça couramment, des policiers parler de cette façon aux citoyens.»

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vendredi 29 avril 2011

Une facture salée: 560 M$ pour 6579 gestionnaires dans les commissions scolaires en 2010

Éducation - Encore plus de bureaucrates
 
© Agence QMI
Commissions scolaires:

Encore plus de bureaucrates

Au moment où le nombre d'élèves dégringole, le nombre de gestionnaires ne cesse d'augmenter dans les commissions scolaires. En seulement un an, une centaine de cadres sont venus grossir les rangs de cette bureaucratie, alors que les écoles publiques perdaient 20 000 élèves.

À LIRE ÉGALEMENT: De plus en plus de gestionnaires
VOTRE OPINION :
Croyez-vous que la Fédération mondiale de badminton va trop loin?
«C'est encore une aberration du système, s'indigne Chantal Longpré, de la Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement. On assiste à un mauvais spectacle et il y a trop d'acteurs sur la scène», lance-t-elle.
Selon ce qu'a appris le Journal, les commissions scolaires comptaient pas moins de 6 579 gestionnaires, en 2009-2010. Ceux-ci occupaient l'équivalent de 5 791 postes à temps plein. Fréquemment critiquées pour leur lourdeur, les commissions scolaires ont fait appel à 119 gestionnaires de plus l'an dernier qu'en 2008-2009. Cette augmentation équivaut à l'ajout de 92 postes à temps plein.
En dix ans, pourtant, les écoles publiques ont perdu 132 000 élèves. Entre 2009 et 2010, la baisse a atteint 20 000 jeunes.
Or, les commissions scolaires ont vu le nombre de leurs gestionnaires bondir de 640, depuis une décennie. Ceux-ci occupent aujourd'hui l'équivalent de 440 postes à temps plein de plus qu'il y a dix ans.
C'est la faute à Québec
La Fédération des commissions scolaires (FCSQ) reconnaît que le nombre de cadres augmente, mais blâme le ministère de l'Éducation pour expliquer la situation.
L'an dernier, une soixantaine de postes de gestionnaires ont fait leur apparition dans le réseau scolaire en raison de la «réforme comptable» imposée par le gouvernement, fait valoir Bernard Tremblay, directeur des relations du travail à la FCSQ. Les nombreux «plans d'action» lancés par Québec au cours des dernières années -- violence, français, décrochage -- ont aussi obligé les commissions scolaires à embaucher des cadres, plaide-til. «Il y a eu une augmentation importante des redditions de compte auprès du Ministère », renchérit Lucie Demers, de l'Association des cadres scolaires du Québec.
L'augmentation globale du nombre d'employés explique également la hausse du nombre de gestionnaires, croit Bernard Tremblay. Il en va de même avec la multiplication du nombre d'élèves en difficulté.
«De par la Loi, ça prend des cadres pour faire certaines choses, dit M. Tremblay. La clientèle en difficulté augmente et les plans d'intervention pour ces élèves sont sous la responsabilité des directeurs d'école.»
Dans les écoles ?
Bernard Tremblay croit qu'une part importante des cadres imputés aux commissions scolaires se trouve dans les écoles, «en service direct aux élèves.» Il cite l'exemple des directeurs adjoints, qui côtoient les jeunes au quotidien.
Mais Chantal Longpré n'est pas d'accord avec cette interprétation. «Le nombre de directeurs d'école est déterminé en fonction du nombre d'élèves», tranche-t-elle.
Mme Longpré se demande si les commissions scolaires ne tentent pas ainsi «de justifier la machine sur le dos des directeurs d'école.» «C'est l'exemple parfait d'une mauvaise répartition des ressources, ditelle. Ces gestionnaires-là, on ne les voit pas dans les écoles», tonne-t-elle.


Quandle nombre de cadre diminuera-t-il ?
Pas avant deux ou trois ans, estime Bernard Tremblay, de la Fédération des commissions scolaires du Québec. L'an dernier, le gouvernement Charest a imposé aux commissions scolaires une réduction de leurs dépenses de nature administrative de 10 %. Celle-ci entraînera notamment une réduction du personnel d'encadrement par attrition. Le réseau scolaire n'a fait pour l'instant que «planifier» ces départs volontaires, indique M. Tremblay. Il précise que ceuxci seront échelonnés sur une période de cinq ans.

Ce qu'ils ont dit «C'est sûr que, si on se limite à faire une analyse qui conclut que l'augmentation du nombre de gestionnaires signifie un alourdissement de la structure, on ne comprend pas la situation. Mais, si on al-lait voir sur le terrain ce que ces gens font et pour quels besoins ils sont là, on aurait un constat différent...» - Bernard Tremblay, directeur des relations du travail à la Fédération des commissions scolaires
«La machine bureaucratique est bien huilée. Je n'en reviens pas ! Je ne remets pas en question la qualité des personnes, mais je me questionne sur leur nombre.» - Chantal Longpré, présidente de la Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement
Une facture salée: 560 M$ - C'est ce que coûte chaque année l'administration des commissions scolaires 

Estrie c'est généralisé par les boomers qui monte dans les rideaux et dans la hyérarchie et ses dommages collatéraux ,,,,,,,symboles !));(

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