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vendredi 25 février 2011

Un Chinois meurt après trois jours de jeux ininterrompus




PÉKIN - Un homme est décédé en Chine après avoir passé trois jours d'affilée à jouer face à son écran dans un cybercafé près de Pékin, sans dormir et pratiquement sans se nourrir, a rapporté mardi la presse.

Le trentenaire a sombré dans le coma cette semaine, alors qu'il se trouvait dans le café, et n'a pu être réanimé dans la clinique où il a été transporté, a indiqué le journal Beijing Times.

Ce fait divers illustre le phénomène de dépendance aux jeux sur écran, dont souffrent en Chine 33 millions d'adolescents, selon des chercheurs cités par la presse.

En un mois, le joueur décédé avait dépensé plus de 10.000 yuans (1 508 dollars) en jeux sur l'internet. Il n'a pratiquement pas quitté sa chaise durant trois jours et trois nuits avant de mourir, a précisé la presse.

La Chine compte plus de 450 millions d'internautes, ce qui la place au premier rang mondial.

Le gouvernement avait annoncé l'an dernier tout une série de règles, les toutes premières, pour contrôler le secteur des jeux en ligne et réprimer les contenus pornographiques et violents.


REF.:

mardi 22 février 2011

Après les trappes a rat; les trappes a tickets ?






Justice

Les trappes à tickets existent




Dany Doucet
dany.doucet@journalmtl.com
21/02/2011 06h34

Les policiers de Montréal piègent les automobilistes dans des «trappes à tickets», a récemment conclu un juge de la cour municipale en acquittant un automobiliste.

«La cour en vient à la conclusion qu'il s'agit là d'une trappe effective», a déclaré le juge Philippe Clément, en acquittant Roger Labrecque à la cour municipale de Montréal.

M. Labrecque, 66 ans, venait de plaider sa cause après avoir écopé d'une contravention de 154 $ sur le boulevard Crémazie.

Plus d'une fois dans son témoignage, comme on peut l'entendre sur l'enregistrement dont Le Journal de Montréal' a obtenu copie, M. Labrecque a fait valoir qu'il avait été victime d'une «trappe à tickets» de laquelle il n'avait aucune chance de se sortir.

«Quand je suis sorti de la salle d'audience, les gens me félicitaient en levant le pouce dans les airs», relate-t-il fièrement.

Pris au piège

Plan en mains, M. Labrecque a mis cinq minutes pour convaincre le juge à rendre son jugement sur le banc.

Le 19 janvier 2010, vers 16h45, ce retraité circulait sur le boulevard Crémazie Est après être sorti du stationnement d'un restaurant A&W.

Il y a là une voie réservée aux autobus et aux taxis, mais les panneaux ne sont pas visibles de cet endroit.

« Quand j'en ai vu un, dit-il, il y avait tellement de trafic qu'il n'y avait plus moyen de me tasser à gauche, les gens ne me laissaient pas passer. »

Dans sa Ford Escort, M. Labrecque a alors poursuivi son chemin sur la voie réservée, un autobus poussant derrière lui.

C'est un peu plus loin que des policiers l'attendaient de pied ferme.

Plusieurs policiers

Il est interdit de circuler dans une voie réservée aux heures de pointe, tel qu'indiqué sur les panneaux.

« Ils donnaient des tickets à tout le monde, un après l'autre, relate-t-il. Il y avait déjà deux ou trois voitures arrêtées et plusieurs policiers sur place.

« C'était un piège, dit-il, une vraie trappe à tickets. »


REF.: Si vous avez plus d'informations à ce sujet, écrivez-moi à ddoucet@journalmtl.com

samedi 19 février 2011

1,2 milliard de personnes dans le monde sont sous le seuil de l'extrême pauvreté

Banque mondiale

Les prix alimentaires proches de la cote d'alerte


Banque mondiale - Les prix alimentaires proches de la cote d'alerte







PARIS - La flambée des prix alimentaires est en train d'atteindre la cote d'alerte et accroît l'instabilité politique, a averti samedi à Paris le président de la Banque mondiale Robert Zoellick, en marge d'une réunion des ministres des Finances du G20.

«J'ai dit que nous avons atteint la cote d'alerte», a déclaré à la presse M. Zoellick, qui rapportait les propos qu'il avait tenus devant les grands argentiers de la planète. Il a appelé les dirigeants du G20 à «considérer l'alimentation comme une priorité numéro un en 2011».

La hausse des prix des produits alimentaires va encourager une hausse de l'offre agricole, mais dans les deux prochaines années «il pourrait aussi y avoir une masse de troubles, les gouvernements pourraient tomber et les sociétés basculer dans le désordre», a affirmé M. Zoellick.

La hausse continue des prix des denrées alimentaires, nourrie par la flambée des cours des matières premières agricoles, est une des causes des bouleversements en cours au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

«Nous devons être très sensibles à ce qui se passe en termes de prix alimentaires et sur les effets potentiels qu'ils peuvent avoir sur la stabilité politique», a ajouté le président de la Banque mondiale, lors d'une conférence téléphonique avec quelques journalistes.

La communauté internationale doit se tenir prête à réagir rapidement pour aider des pays comme la Tunisie, où le président Zine El Abidine Ben Ali a été renversé après une révolte populaire, qui a donné le coup d'envoi d'autres mouvements de protestation à travers tout le Moyen-Orient et le Maghreb.

La hausse des prix alimentaires a fait tomber entre juin et décembre 44 millions de personnes dans le monde sous le seuil de l'extrême pauvreté, selon la Banque mondiale.

L'institution a réalisé cette estimation grâce à des statistiques sur les revenus et dépenses des ménages réalisées dans les pays à revenus bas à moyens.

Le seuil de l'extrême pauvreté est défini par des dépenses de 1,25 dollar par jour et par personne. D'après les dernières estimations en date de la Banque mondiale, 1,2 milliard de personnes dans le monde sont sous ce seuil.

«Les prix de l'alimentation continuent à augmenter dans le monde. L'indice des prix alimentaires de la Banque mondiale a augmenté de 15% entre octobre 2010 et janvier 2011, et n'est que 3% en dessous de son pic de 2008», a indiqué l'institution dans un communiqué.

«Les pressions inflationnistes provoquées par les prix du pétrole, de l'énergie et des matières premières doivent être prises au sérieux», a affirmé de son côté le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, lors d'une conférence de presse, à l'issue du G20 Finances.

M. Zoellick a également assuré que les ministres du G20 s'étaient montrés réceptifs à son discours et que ce groupe de pays industrialisés et émergents était prêt à agir.

«Le meilleur moyen de contrer les critiques de ceux qui disent que le G20 n'est qu'un forum de discussions est de lancer de véritables actions, et des actions en faveur des plus démunis est ce qu'on peut faire de mieux», a-t-il déclaré.

La France, qui préside actuellement le G20, a fait de la sécurité alimentaire et de la réduction de la volatilité des prix alimentaires une de ses priorités.


REF.:


First country shooter,..........tire de la première personne


Bradley Manning Support Network




Le 6 Juillet 2010, le Soldat Bradley Manning, un analyste de 22 années de renseignement ancienne avec l'armée des États-Unis à Bagdad, a été inculpé de divulgation de cette vidéo (après avoir prétendument parler à un journaliste infidèle). Ledénonciateur derrière les Pentagon Papers, Daniel Ellsberg, M. Manning a appelé un «héros». Il est actuellement incarcéré au Koweït. L'équipage d'Apache et de ceux qui sont derrière le couvercle représenté dans la vidéo n'ont pas encore été facturés. Pouraider Manning privé, s'il vous plaît voir bradleymanning.org.

5 avril 2010 10:44 CEST Wikileaks a publié une vidéo montrant des États-Unismilitaires classifiés l'assassinat aveugle de plus d'une douzaine de personnes dans labanlieue de la Nouvelle-irakienne à Bagdad - y compris deux membres du personnel de nouvelles Reuters.

Reuters a tenté d'obtenir la vidéo grâce à la Freedom of Information Act, sans succès,depuis le moment de l'attaque. La vidéo, filmée depuis un hélicoptère Apachepistolet-vue, montre clairement le meurtre non provoquée d'un employé blessé Reuterset ses sauveteurs. Deux jeunes enfants ont participé au sauvetage ont également étégrièvement blessé.

L'armée n'a pas révélé comment le personnel de Reuters ont été tués, et ont déclaré qu'ils ne savaient pas comment les enfants ont été blessés.

Après des demandes par Reuters, l'incident a été étudiée et l'armée américaine a conclu que les actions des soldats ont été en conformité avec le droit des conflits arméset ses propres "règles d'engagement".

Par conséquent, Wikileaks a publié les règles d'engagement classées pour 2006, 2007et 2008, révélant ces règles avant, pendant et après les meurtres.

Wikileaks a publié deux les 38 minutes de vidéo et une version plus courte avec une première analyse. Sous-titres ont été ajoutés aux deux versions de la transmissionradio.

Wikileaks a obtenu cette vidéo, ainsi que les pièces justificatives à partir d'un certain nombre de dénonciateurs militaire. Wikileaks ne recule devant rien pour vérifierl'authenticité des informations qu'il reçoit. Nous avons analysé les informations sur cet incident à partir d'une variété de sources. Nous avons parlé à des témoins et des journalistes directement impliqués dans l'incident.

Wikileaks veut s'assurer que toutes les informations divulguées qu'elle reçoit l'attention qu'elle mérite. Dans ce cas particulier, certaines des personnes tuées étaient des journalistes qui ont été tout simplement faire leur travail: mettre leur vie en péril afin de faire rapport sur la guerre. L'Irak est un endroit très dangereux pour les journalistes: à partir de 2003 - 2009, 139 journalistes ont été tués en faisant leur travail.









Free Hugs: The world is upside down ,but not the real one !



The world is upside down ,but not the real one !









REF.:

vendredi 18 février 2011

Procès sur l’eau contaminée de Shannon

La Direction de santé publique blâmée


Procès sur l’eau contaminée de Shannon - La Direction de santé publique blâmée


QUEBEC – La Direction régionale de santé publique de la Capitale-Nationale a manqué à son devoir en refusant d’investiguer de façon appropriée sur l’augmentation des cas de cancer à Shannon, selon un témoin expert au procès sur l’eau contaminée de Shannon.

«C’est le devoir de la Direction de la santé publique d’investiguer et de connaître la nature des problèmes de santé», a affirmé mardi le Dr Claude Tremblay, épidémiologiste et toxicologue qui était appelé par les requérants à témoigner au procès en recours collectif sur l’eau contaminée au trichloréthylène (TCE), à Shannon.

Le Dr Tremblay était invité à commenter les avis scientifiques émis par l’Institut national de santé publique (INSP) ainsi que la décision de la Direction de santé publique (DSP) de la Capitale-Nationale de ne pas procéder à une étude épidémiologique sur la fréquence des cas de cancer à Shannon. La DSP avait déjà expliqué qu’il est scientifiquement impossible de réaliser une telle étude à Shannon, l’échantillon de population étant trop petit.

«Quand on est officier de la santé publique, notre devoir est de comprendre l’effet de l’exposition aux substances cancérigènes», a continué le Dr Tremblay, qui fut coordonnateur en santé environnementale à la Direction de la santé publique de Montérégie. «J’ai une image d’une épidémie de cancers. On doit mettre en place une investigation», a-t-il dit.

Le Dr Tremblay réfute l’argument invoqué par la DSP quant à la petitesse de «l’agrégat» de Shannon. «Ça existe des études sur de petits agrégats. Une petite ville ou une école peuvent se prêter à une étude épidémiologique», a-t-il affirmé avant de livrer les résultats de son étude sur la «possibilité d’un excès de cancers» à Shannon, livrée en mars 2010.

L’étude consistait à comparer la proportion de cancers chez les citoyens de Shannon avec la population du Québec. Le Dr Tremblay a conclu qu’il existe à Shannon, «manifestement un excès de cancers de l’estomac chez les hommes et les femmes et un excès de cancers du cerveau et de mélanomes chez les hommes. Chez les femmes, il y a également un risque important pour le cerveau et les reins.»

L’hypothèse que ces «excès» de cancers soient causés par l’exposition au TCE et ses dérivés «s’avère des plus plausibles», selon lui.

Les défendeurs ont présenté plusieurs objections, mardi, quand le Dr Tremblay faisait état de la présence d’autres contaminants que le TCE (biphényles polychlorés, pesticides, produits pétroliers) dans la nappe phréatique.

Le juge Bernard Godbout a partiellement acquiescé aux objections, rappelant que le procès portait sur la seule présence de TCE dans la nappe phréatique.

Le procès doit se poursuivre mercredi avec le témoignage du Dr Jack Siemiatycki, qui sera appelé par les défendeurs à livrer une contre-expertise à celle du Dr Tremblay.


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