Voici un exemple de travail ,concernant le raccordement de ligne téléphonique par Bell,dont le client est membre de Videotron(le filage cuivré appartient a Bell) ,le boîtier de fil a moitié ouvert,exposants les fils et des trous dans le mur,sans plaque protectrice ou un branchement de ligne internet en oubliant la deuxième ligne pour le fax ! Wow,c'est quoi ça !
Tu paye pour deux lignes et seulement une ligne est fonctionnelle ?
Mouvement Desjardins: un autre employé remercié après avoir consulté des donnée
Jean-Michel Genois Gagnon
MISE À JOUR
Le Mouvement Desjardins a de nouveau congédié, ces derniers
mois, un employé ayant consulté des renseignements personnels de «plus
de 1000 clients» sans véritable motif dans le cadre de son travail.
Cette nouvelle, qui a été rapportée au micro de Paul Arcand (98,5), mardi matin, a été confirmée au Journal par la direction de l’institution financière.
Aujourd’hui, Desjardins dit avoir complété son enquête. La
direction refuse toutefois de dévoiler le nom de cette personne, son
poste ainsi que son lieu de travail. Une plainte a été déposée aux
policiers.
Cet ex-employé aurait consulté des dossiers entre 2019 et 2021.
Tous les membres visés auraient reçu une lettre pour les avertir de la
situation.
Desjardins assure que ce travailleur détenait les autorisations
nécessaires pour consulter ce type de dossiers. On retrouvait, dans les
documents des membres visés, des dates de naissance et des coordonnées.
«Cette personne avait accès à ces données. [...] Elle pouvait les
utiliser dans le cadre de son travail, mais elle n’en avait pas besoin.
Cela contrevient à notre politique», a indiqué au Journal la
porte-parole, Chantal Corbeil, ajoutant que l’ex-employé en question a
consulté «un par un», durant ces deux années, ces dossiers et qu’il
«prenait des notes».
Aucun lien avec 2019
L’institution financière de Lévis n’a pas voulu dire depuis combien
de temps cette personne n’est plus dans l’organisation. C’est dans le
cadre du resserrement des mesures de sécurité, depuis le vol de données
de millions de membres en 2019, que Desjardins a découvert cette
pratique.
La direction affirme qu’il n’y a aucun lien entre les deux
événements. Elle n’est toutefois pas en mesure d’expliquer ce qui a
motivé cette personne à regarder ces dossiers. Il n’est pas possible de
savoir, pour le moment, si certaines données sont sorties des murs de
l’institution financière.
«C’est la police qui va faire son enquête», a répondu Mme
Corbeil. «Notre enquête a dévoilé qu’elle avait légitimement accès à
ces données, mais qu’elle ne devait pas les consulter, car elle n’avait
pas reçu de demande», a-t-elle ajouté, précisant qu’il n’y a aucun autre
suspect.
Desjardins a refusé de dire le nombre exact de personnes qui sont touchées par cette nouvelle brèche
Buick Chevrolet GMC :Attention au Check Engine,beaucoup de mauvais diagnostiques
Il n'y a rien de pire qu'un problême de transmission,et que vous n'avez que CAA pour vous remorquer a tout les 500 Km pour vous rendre a destination(selon votre abonnement) !
Faut contrevérifier,les diagnostiques,car il peut y avoir de mauvais diagnostiques,concernant les codes d'erreurs!
Plusieurs propriétaires de vieillles voitures avec un bulletin de service technique(et non pas un rappel de pièces défectueuses) ont eu des problêmes !
Souvant occasionant des frais qui n'était pas prévus ou prévisible ou carrément frauduleux !
Tandis que Chevrolet,GMC Canada en Ontario,vous dira dossier fermé,car vous êtes le deuxième propriétaire,faut s'entendre avec le dealer qui transige avec vous ;-)
Problême classifier par Chevrolet : un jolie gagne de voiture dans le pétrin ;-) Sunfire,Cavalier etc....
John McAfee, le créateur du célèbre antivirus, retrouvé mort en prison
par
Auriane Polge, le
John McAfee, le pionnier de la sécurité informatique et créateur du
célèbre antivirus éponyme, est décédé. Accusé d’évasion fiscale, il a
été retrouvé mort dans sa cellule de prison en Espagne le jour même de
l’annonce de son extradition vers les États-Unis.
La dernière page de l’histoire de John McAfee vient d’être tournée.
Le créateur de l’un des plus populaires logiciels antivirus de tous les
temps a été retrouvé mort dans sa cellule de prison en Espagne.
La piste du suicide est privilégiée. Son décès a été annoncé peu de
temps après la décision d’un tribunal espagnol d’autoriser son extradition vers les États-Unis.
John McAfee a fondé McAfee Associates en 1987 et il a dirigé l’entreprise jusqu’en 1994 avant de démissionner. Il a été accusé d’évasion fiscale en 2020.
Il encourait ainsi une peine de plusieurs décennies aux États-Unis. À
presque 76 ans, John McAfee ne serait donc jamais ressorti de prison.
John McAfee était suspect numéro un d’un meurtre et gourou des cryptomonnaies
En 2019, John McAfee annonce qu’il ne paye plus ses impôts depuis
huit ans et quitte les États-Unis. Il est finalement arrêté l’année
suivante à l’aéroport international de Barcelone. Il était depuis placé en détention provisoire dans la région de la Catalogne en attendant son extradition vers les États-Unis.
En plus de son évasion fiscale, le milliardaire était aussi devenu un gourou des cryptomonnaies.
Il partageait des opérations liées aux cryptomonnaies sur son compte
Twitter affirmant à sa communauté qu’il gagnait 2000 dollars par jour.
Il dissimulait évidemment ses motivations personnelles. Selon les
nombreuses accusations auxquelles il a fait face au cours de sa vie, il
aurait dirigé une secte, fabriqué de la drogue et soudoyé des fonctionnaires locaux pour échapper à la prison.
Android : Google a installé une app de pistage à l’insu des utilisateurs
Par Florian Bayard Le 21/06/2021
6 com's
Google a installé une application de pistage contre le
Covid-19 sur le smartphone des utilisateurs Android résidents dans le
Massachusetts (Etats-Unis). Le géant de Mountain View admet avoir
intégré cette app de contact tracing sans la permission explicite des
usagers. Sans surprise, les utilisateurs concernés sont furieux. Pour se
défendre, Google assure que le pistage n'était pas activé sans l'accord
des internautes.
Comme la plupart des états américains, le Massachusetts a lancé une
application de suivi afin d'endiguer contre la propagation du
coronavirus. Intitulée “Exposure Notifications Settings Feature”, cette
application prévient les usagers s'ils croisent une personne ayant
contracté le Covid-19, à la manière de TousAntiCovid en France.
Sur la page dédiée à l'application sur le Play Store, de nombreux résidents du Massachusetts se plaignent que l'application de pistage ait été installée par défaut sur leur smartphone Android. “L'application été installée sur le téléphone de ma fille sans son consentement et sans aucune alerte” affirme une utilisatrice.
Google admet avoir installé l'application de pistage à l'insu des utilisateurs
“Je n'ai aucune idée de comment c'est arrivée sur mon smartphone” surenchérit un internaute. “L'app a été installée sur mon téléphone pendant la nuit sans me prévenir”
abonde un témoignage. De nombreux usagers expliquent avoir rapidement
effacé l'app de leur terminal après la découverte de l'intrusion de
Google.
Contacté par nos confrères d'Android Police, Google admet avoir installé l'application de contact tracing sans demander l'avis des utilisateurs du Massachusetts. “Nous
avons travaillé avec le Massachusetts Department of Public Health pour
permettre aux utilisateurs d'activer le système de notifications
d'exposition directement à partir des paramètres de leur téléphone
Android. Cette fonctionnalité est intégrée aux paramètres de l'appareil
et est automatiquement distribuée via le Google Play Store, de sorte que
les utilisateurs n'ont pas à télécharger une application distincte” explique Google dans un communiqué.
Le groupe californien précise cependant que le pistage n'était pas activé par défaut. “Les
notifications d'exposition COVID-19 ne sont activées que si un
utilisateur les active de manière proactive. Les utilisateurs décident
d'activer cette fonctionnalité et de partager des informations via le
système afin d'avertir les autres d'une éventuelle exposition au
Covid-19” tempère l'éditeur américain. Que pensez-vous de la justification de Google ? On attend votre avis dans les commentaires.
Lorsque des entreprises envoient des satellites dans l’espace, la
crainte la plus fréquente est souvent sa durée de vie, notamment à cause
des débris spatiaux. Lancer un satellite en bois pourrait donc
permettre de savoir si ce matériau est plus résistant que le métal une
fois dans l’espace.
L’ESA a annoncé qu’elle allait mettre en orbite le premier satellite
en bois fin 2021. Il s’agit du Woodsat WISA, un nanosatellite CubeSat de
10x10x10 cm construit à partir de boîtes standardisées.
Cette mission unique, qui vise à évaluer la durabilité du matériau
renouvelable en orbite, est une idée de l’écrivain finlandais Jari
Makinen, fondateur d’Arctic Astronautics. Il dit avoir été inspiré par
sa passion pour les modèles réduits d’avions. Le satellite est un CubeSat, un type de nanosatellite de 10 centimètres de côté construit avec des panneaux en contreplaqué.
Jari Makinen a commencé par tester son idée de placer du bois dans
l’espace avec un ballon météo. L’étape suivante consisterait à le lancer
à bord d’une fusée Electron de Rocket Lab en Nouvelle-Zélande. Les
seules parties extérieures de Woodsat qui ne sont pas en bois sont les rails en aluminium utilisés pour son déploiement dans l’espace. On retrouvera aussi une perche à selfie en métal qui tiendra une caméra pointée vers le satellite.
Pourquoi lancer un satellite en bois ?
L’équipe de Woodsat aimerait savoir si les satellites en bois sont
plus résistants que les satellites en métal. Ce matériau est moins cher,
ce qui pourrait permettre aux scientifiques de lancer davantage de
satellites dans l’espace.
Woodsat utilise du contreplaqué qui a été séché et traité afin de
mieux survivre à l’environnement hostile qu’est l’espace. L’équipe en
charge du projet s’attend à ce que la structure extérieure
s’assombrisse. Cependant, elle veut notamment vérifier si des fissures se forment pendant qu’il sera en orbite.
La corruption et la collusion dans le monde de la construction ? L'arrêt Jordan pour Accurso, et l'ARC sur la glace !
Quand Accurso célèbre «Jordan»
Antoine Robitaille | Agence QMI
|
Publié le
Difficile de trouver manière plus ironique de souligner le cinquième anniversaire de l'arrêt Jordan.
Le célèbre entrepreneur Tony Accurso, une des vedettes de la
commission Charbonneau sur la corruption et la collusion dans le monde
de la construction, a réussi jeudi à obtenir un arrêt des procédures
grâce à «Jordan».
Rappelons-le, avec ce fameux jugement de 2016, la
Cour suprême avait voulu donner un électrochoc à la culture des délais
dans les tribunaux du Dominion.
Depuis, la durée de certains procès a en effet été raccourcie, mais
les limites strictes imposées par la cour ont entraîné l'avortement de
plusieurs procès (dont certains pour meurtre!); sans compter le
gaspillage du labeur des policiers et des procureurs.
Corruption
Dans le cas d'Accurso, «La Presse» titrait hier «10 ans de travail à
l'eau». Les accusations n'avaient rien d'anodin: fraude, complot, abus
de confiance et faux, entre autres. Le tout découlait de l'enquête
«Coche»(Tout Croche ?) de la GRC, portant sur la corruption à l’Agence du revenu du
Canada (ARC).
Les avocats du fédéral accusaient M. Accurso et des collaborateurs
d'avoir versé des pots-de-vin à des employés de l'ARC. Deux
fonctionnaires auraient chacun reçu quelque 700 000 $, qui furent
retrouvés en Suisse, bien planqués dans des comptes!
Accurso, «blanchi»? Attention: un arrêt des procédures ce n'est pas
un acquittement, mais l'abandon de poursuites, le retrait
d'accusations.
Ici, ce sont les procureurs du Service des poursuites pénales du
Canada (SPPC) qui ont demandé de tout stopper. Selon eux, la quantité de
documents déposée en preuve était trop volumineuse; impossible de les
divulguer convenablement dans des délais raisonnables.
Plusieurs choses sont étranges dans cette affaire. En 2011, Revenu
Québec avait perquisitionné l'ARC pour obtenir des preuves! Afin de
faire sa propre enquête en lien avec ces faits.
Habituellement, les agences fédérales et
québécoises réussissent à travailler en équipe. Ou alors une fait
enquête et transfère ensuite le dossier à l'autre. Ici, l'agence
québécoise a carrément cru bon perquisitionner sa vis-à-vis fédérale.
Manque de confiance?
L'ARC semble souvent avoir du mal avec les «gros poissons»,
m'indique une source... Revenu Québec, qui gère la TPS et la TVQ sur le
territoire québécois, serait-elle plus efficace? Elle a en tout cas
réussi à épingler M. Accurso et ses entreprises, qui plaidèrent
coupables en octobre à des accusations de fraude fiscale. Le tribunal
leur a collé des amendes de 4,2 millions $.
Les politiciens fédéraux, qui seront en campagne bientôt, devraient
en faire un enjeu: que feront-ils pour nous garantir que les écuries de
l'ARC seront nettoyées? Car depuis 2010, les cas d'employés faisant
l'objet d'une enquête, ou suspendus, ont été nombreux.
Lussier s'en va
Petite nouvelle politique: la chef libérale Dominique Anglade
perdra bientôt son directeur des politiques, Jérôme Lussier, embauché il
y a moins d'un an.
Le hic: il devait préparer la plateforme électorale de 2022. Comme
sa chef, M. Lussier avait transité par la CAQ (lui, en 2012-2013).
En réponse à une chronique de votre serviteur, en mars, il
expliquait avoir quitté la CAQ en raison de son virage nationaliste
identitaire.
Pourquoi quitte-t-il le PLQ cette fois? Selon mes sources, le
virage progressiste du PLQ angladien n'était pas assez prononcé au goût
de celui qu'on désignait comme le «pion de QS» au PLQ.