Je ne le dirai jamais assez, la santé et le développement du couple et des personnes reposent en majeure partie sur la qualité de leur communication.
On peut aborder sereinement n'importe quel sujet épineux et se dire «les vraies affaires», à condition de respecter certaines règles très simples.
La première est de permettre à l'autre de finir ses phrases. Cela demande de se rendre totalement disponible, côté cœur, et quoi qu'il arrive, que les propos soient contrariants, qu'on les juge faux, ou il faut accepter d'avoir parfois des conversations houleuses, inconfortables, où sont exposés les non-dits, les vieilles déceptions, les ressentiments, les frustrations.
Une condition s'impose toutefois : on ne doit pas se donner le droit de remettre en cause la viabilité de la relation pendant ces ajustements, pour s'assurer de maintenir un espace sécurisant où chacun peut parler librement, dire ses insatisfactions à propos de la vie sexuelle, du couple, de ses finances, de l'éducation des enfants, etc., sans craindre d'être jugé ou abandonné.
Cela peut vouloir dire de vaincre sa pudeur et ses inconforts en abordant de front les sujets tabous. Le but est de corriger les perceptions erronées et les malentendus qui faussent l'appréciation de l'autre et de ses propres torts. Se parler franchement, accepter ce que l'on est et se remettre en question de bonne foi n'est pas facile, mais c'est un passage obligé sur le chemin du pardon.
*(NDLR)A un autre niveau,il faut entrer dans sa douleur, son problème sans émotivités tout en contenance avec pour but final un rapport de force avec son esprit pour intégrer nos entités diffractées en toute conscience !
La dépendance
Une réalité
Une dépendance est une pulsion qui pousse un individu à soulager ses inconforts intérieurs, ses non-dits, ses peurs, ses émotions, son stress, sa faible estime de soi, etc., en ayant recours à des substances ou à des comportements répétitifs et destructeurs auxquels il ne peut pas résister.
La dépendance est une idée fixe envahissante, une obsession qui, une fois activée, est extrêmement difficile à arrêter. L'incapacité de faire face à une dépendance n'a rien à voir avec un manque de discipline ou de détermination personnelle.
C'est une réalité qui nécessite une aide professionnelle et/ou l'implication dans un groupe de soutien. La dépendance offre la possibilité d'un apaisement éphémère de blessures non soignées et de besoins inassouvis qui, de façon consciente ou pas, causent une grande souffrance.
C'est un mal profond que même le renforcement de l'estime de soi, le pardon et la bienveillance ne parviennent pas à soulager efficacement, a long terme.
Les dépendants se donnent facilement et rapidement l'illusion d'un sentiment de toute-puissance, alors que les codépendants se permettent un instant de se soustraire aux obligations qu'ils s'imposent pour répondre aux besoins du dépendant.
À travers la maladie, malgré des états de fatigue souvent ex-trêmes, je tente de demeurer constant dans ma pratique éner gétique. Je commence chaque journée par des exercices d'éveil corporel qui s'appuient sur une conscience de la respiration. Ils ont pour but de me relier tant à mon univers intérieur qu'au monde extérieur. Après avoir harmonisé mes corps physique, émotionnel et mental, je me mets en contact avec le soleil et je l'invite à réveiller chacun de mes centres énergétiques, en Particulier le ventre, siège des pulsions et de la créativité, le milieu du front, siège de la conscience et des idéaux qui me guident, et le cœur, siège de l'unité, de l'amour et de la compas-sion.
J'imagine que le soleil extérieur vient stimuler le soleil intérieur qui se met à luire intensément au cour de chacune des zones que j'ai mentionnées.
Ensuite, je procède à l'union des trois corps.
Encore une fois, je décris cette procédure en détail.
Étape 1:
Assis en tailleur ou dans une position confor-table, je commence par prendre quelques respirations en profondeur, puis, toujours à l'aide de ma respiration, j'entre en contact avec mon corps physique pour lui permettre de se détendre.
Étape 2:
Je visualise mon esprit comme un double invi sible de mon corps physique qui serait assis en position de bouddha à quelques centimètres au-dessus du sommet de ma tête. Il est le témoin silencieux de toutes mes actions.
Il les éclaire à partir de son point de vue lumineux, même à travers les voiles que créent mes désirs, mes émotions et mes contractions. Je lui permets également de se détendre.
Ainsi, tout l'appareil mental se relaxe.
Étape 3:
J'imagine un point lumineux très haut dans le ciel. Il est comme le soleil de mon existence. C'est mon corps de lumière. Il est le véhicule de mon âme ou de mon «Je suis véritable », de mon soi ou de ma cellule énergétique de base, selon l'appellation que l'on préfère. Ce soleil irradie dans toutes les directions et il me met en relation avec l'univers entier.
Étape 4:
Je poursuis l'exercice de visualisation en invitant mon âme à emprunter le chemin de l'un de ces ravons solaires pour se marier avec le corps subtil de mon esprit.
Cela crée le duo âme-esprit qui correspond à ma nature véritable et lumineuse.
Étape 5:
Je me représente ensuite que ce duo emprunte le canal de la couronne pour s'unir au corps physique.
Il s'agit d'une véritable union de la lumière avec la matière, de l'esprit avec la chair.
Ce geste récapitule en somme celui qui fut à l'origine de mon incarnation, lorsqu'une parcelle d'énergie pure a fusionné avec le corps physique, lui donnant conscience et direction.
Je me représente cette union des trois corps avec le plus d'intensité possible, visualisant et ressentant que la lumière vient éveiller et nourrir chaque cellule de mon organisme, de la racine des cheveux jusqu'au bout des orteils. Cette union du corps, de l'âme et de l'esprit vient se compléter au niveau du cœur qui s'embrase d'un amour irradiant partout à l'intérieur et à l'extérieur du corps.
Encore une fois, l'efficacité d'un tel exercice repose sur l'engagement personnel de celui ou celle qui le fait; plus cet engagement est entier, plus il aide la personne à passer de la simple technique mentale à une capacité d'écoute sensorielle propre à transformer son état global. Le plus important à se rappeler est que le bien-être expansif qu'un tel exercice peut engendrer favorise la santé. Car la maladie, dans son essence, repose sur un état de division intérieure qui est à l'opposé de la sensation d'unité qu'un tel exercice produit.
PSYCHOLOGIE DES COMPLEXES : Nous sommes tous complexés
Le complexe est alors défini comme un ensemble de représentations et
de souvenirs à forte valeur affective, partiellement ou totalement
inconscients.
Cette expérience des associations de mots est le
point de départ d'une recherche de Jung qui le conduit, après avoir
étudié des cas cliniques et aussi en se référant à Freud dont il
découvre l'œuvre L'Interprétation des rêves (1900), à établir une théorie en trois points sur les complexes, exposée en 1934 : 1o le complexe absorbe une certaine quantité d'énergie psychique qu'il détourne de la conscience,
ce qui provoque des comportements inadaptés (ex. : lapsus linguae,
confusion dans les situations où sont réactivés les contenus
émotionnels, etc.) ; 2o le complexe forme une entité
psychique autonome au sein de la psyché, et cela d'autant plus qu'il est
lié à des représentations inconscientes (l'homme n'est pas maître chez
lui) — dans les cas extrêmes, les complexes constituent des
personnalités parcellaires telles que les décrit Pierre Janet (le cas Juliette) dans son livre Les Névrosés (1909) ; 3o plus généralement, la névrose peut se comprendre comme une dissociation de la personnalité.
Ce
concept de complexe constitue pour Jung une transition entre la
première et la deuxième partie de son œuvre. En effet, derrière les
complexes maternel et paternel se profile la théorie des archétypes qui
structurent l'âme, ainsi, entre autres, l'anima et l'animus.
Les complexes ne sont que des manifestations contemporaines et
individuelles de notre héritage psychique constitué depuis le début de
l'espèce humaine et conservé au sein des profondeurs de notre inconscient collectif.
Les
observations de Jung tirées du test des associations de mots sont à
l'origine de la rencontre entre Freud et Jung, ce dernier découvrant
dans le « mécanisme de refoulement » exposé par Freud dans L'Interprétation des rêves
une explication qui confirme et approfondit ses propres conclusions.
Inversement, le test des associations de mots démontrait la fécondité de
la pratique de l'association libre que Freud utilisait avec ses
patients après avoir renoncé à la pratique de l'hypnose et de la
suggestion. Freud reconnaît à la théorie jungienne des complexes
l'intérêt de rassembler d'une façon descriptive des faits psychologiques
indéniables, mais il juge qu'elle rend insuffisamment compte de la
dynamique de l'activité psychique. À la scission de la personnalité
résultant de l'autonomie des complexes, selon la théorie de Jung,
correspondent, dans la théorie freudienne, les formations de symptômes
qui sont des compromis entre les exigences du Ça et celles du Surmoi, nécessitant l'action de forces refoulantes, repoussant dans l'inconscient les représentations et affects intolérables
A quoi pensez-vous lorsque vous entendez le son [fwa] ?
Si par contre vous lisez ou entendez ceci :
« Il était une fwa
Un bonhomme de fwa
Qui vendait du fwa
Dans la ville de Fwa
Il se dit ma fwa
C’est la première fwa
Et la dernière fwa
Que je vends du fwa
Dans cette ville de Fwa »
Placé dans une phrase ce son [fwa] va pouvoir traduire aussi bien la
foi, une fois le foie tout comme parler de Foix, la ville. Il n’y a donc
plus de doute ou plus de place à l’interprétation individuelle.
Si, si je vous assure, il y a bien une raison à la présence de cette comptine dans un article sur les complexes.
Pourquoi ?
Déjà, parce que cette introduction est assez symptomatique du sujet
que nous abordons et l’illustre bien : « les complexes c’est
complexe » ! #j’aime l’humour #humour de psy
Mais c’est aussi et surtout, parce qu’elle me sert à démontrer et nous rappeler :
– Que pour comprendre une chose il faut pouvoir la situer dans
un contexte, avoir un cadre de référence . Alors il sera indispensable
de traiter ce sujet en nous ramenant sur les mêmes ondes de
compréhension : nous sommes tous complexés !
– Que deux mots peuvent avoir la même sonorité ou la même
orthographe mais qu’ils ont des sens différents (alias les homonymes).
Dans le cas des complexes en psychologie, tous les sens du mot
« complexe » comptent pour les expliquer et les comprendre.
Un complexe en psychologie c’est quoi ?
Dans le dictionnaire, la définition du mot complexe c’est :
sens 1 : Adjectif : Qui n’est pas simple, compliqué, difficile à comprendre.
sens 2 : nom masculin : Combinaison, mélange. l’union, l’assemblage de plusieurs éléments contenu dans un même endroit.
Exemple : un complexe hospitalier – sportif etc…
En psychologie, cette notion va correspondre à un ensemble
d’éléments conscients et inconscients tels que des pensées, des
émotions, des actions) [sens 2 du mot] qui vient exprimer et servir
autre chose [sens 1].
Vous êtes toujours là ?
Quels sont les différents complexes ?
Il existe toutes sortes de complexes et il serait bien trop simple de
trouver une catégorisation, modélisation qui puissent être juste ou se
suffire à elle même quelque soit l’exemple évoqué.
J’aurais bien aimé être binaire et vous dire qu’il y a deux
catégories de complexes : les conscients / les inconscients, ceux qui
concernent notre physique/ notre personnalité, ceux qui sont
individuels/universels. Mais ça ne marche pas comme ça.
Alors voici plutôt une liste de plusieurs complexes qui vous
concerne, avec leur explication pour les plus curieux d’entre nous :
le classique, « Œdipe » : concept crée par Sigmund
Freud , décrivant une phase de développement chez l’enfant. Dans la
mythologie grecque Œdipe tua son père et se maria avec sa propre mère.
Inspiré de cela et en psychanalyse, celui-ci se traduit par une rivalité
avec le parent du même sexe pour entretenir un rapport amoureux avec le
parent du sexe opposé.
le belliqueux « Caïn » : Caïn, fils aîné
d’Adam et Ève, tue son frère cadet Abel – Jalousie excessive/haineuse
envers une personne considérée comme son rival.
le féerique, « Cendrillon » : Décrit dans un des
livres de colette Dowling (écrivaine et psychothérapeute) – être dévoué
et laisser sa condition/bonheur dépendre des autres.
l’intrépide « Peter pan »: développé par Dan Kiley psychanalyste américain – caractérisé par le refus de grandir
le douloureux, « castration » : concept freudien, adopter des comportements permettant de surmonter une angoisse de castration (alias privation – manque)
l’humble « supériorité » – Introduit par Alfred Adler (médecin et psychothérapeute autrichien) – sentiment d’être meilleur que les autres
l’éminent « infériorité » : se sentir inférieur aux autres
le fier « Napoléon » : vécu d’infériorité physique (petite taille, handicap) compensé par un comportement qui prend beaucoup de place.
Cette liste est évidement non exhaustive : il pourrait s’ajouter le complexe d’abandon, de culpabilité, d’Electre, de sevrage, d’insécurité – etc… etc…
Des fois c’est le terme de « syndrome » qui est employé.
Comment ils se manifestent ?
Dans le monde des psy, lorsque l’on dit qu’une personne est
complexée, c’est plutôt une bonne nouvelle ! Entendons nous bien, je ne
me réjouis pas de la souffrance des gens, loin de là. Ce que je veux
démontrer c’est qu’avoir un complexe » ne fait pas
nécessairement ou uniquement référence à quelque chose de douloureux,
qui fait souffrir une personne.
Toutes les personnes que vous côtoyez, vous même inclus, et même
celles que vous ne connaissez pas ont au minimum du minimum 1 des
complexes de la précédente liste. En fait être complexé c’est universel, c’est relatif à l’être humain, c’est inévitable.
Ainsi, pour le psychologue, savoir comment la personne est complexée
(peu de complexes ? trop de complexes ?) sera un indicateur de plus qui
lui permettra de comprendre et d’aider la personne qu’il a en face de
lui. Sans jugement de valeur bien sûr, car l’idée n’est pas de vous dire
si c’est mieux d’avoir « Peter Pan » ou « Cendrillon ».
L’expression du complexe sera quant à elle très individuelle.
En effet, il ne se manifestera pas de la même manière chez tout le
monde. Pour certaines personnes parler trop fort, rigoler trop fort sera
la manifestation de leur complexe, pour d’autres ce sera l’inverse (ici
l’inverse ce sera de parler avec une voix trop faible). Pour certains
ce sera de se trouver trop gros, trop maigre, trop petit, trop grand,
trop jeune, trop vieux, trop bien, trop nul, trop fort, trop faible etc
etc… vous avez compris l’idée je pense.
La similitude que l’on retrouve dans la manifestation d’un complexe
ce sera ce « trop » de quelque chose qui n’est pas spécialement
conscientisé par la personne.
Le complexe se retrouvera alors aussi bien dans une attitude, dans
une personnalité, dans un ton de voix que dans des pensées ou des non
pensées (traduction d’une non pensée : « euh non ça ne m’était jamais
venu à l’esprit, je n’y ai jamais pensé ») etc.
Il peut aussi s’exprimer dans un jugement de valeur que l’on porte
sur nous même. C’est généralement ce jugement qui peut être douloureux,
très douloureux à vivre. Mais pas toujours. Une personne qui se trouve
trop géniale n’est à priori pas triste et pourtant elle est tout autant
complexée !
A quoi ça sert ?
Que le complexe s’exprime part « je n’aime pas ci ou ça dans mon
physique », « je ne me sens pas à la hauteur » ou part « ça ne m’ait
jamais venu à l’esprit d’envisager de coucher avec tel membre de ma
famille » il aura la même mission.
La fonction d’un complexe, sera de NOUS protéger et NOUS préserver.
Le nous auquel je fais référence ici correspond aussi bien à nous-même
(soi) et à un collectif : notre espèce/ notre condition d’être humain et
d’être sociaux.
Notamment et entre autres, les complexes nous permettent de ne pas
franchir les 3 grands interdits fondamentaux (tabous) de notre culture.
Dans la nôtre, c’est à savoir : le meurtre, l’inceste et le
cannibalisme.
Désormais lorsque vous entendrez quelqu’un vous dire qu’il n’est pas
complexé : souriez gentiment, il s’agit probablement d’un abus de
langage, ou FUYEZ !!!!
Un complexe est un mécanisme de défense, ça nous
protège donc de nos peurs, de nos traumatismes, de ce qui serait trop
violent à vivre au niveau conscient (le préciser à son importance) pour
la personne. Même lorsque nos complexes s’expriment par une souffrance,
sont douloureux à vivre « je n’aime pas ça sur mon physique », « je me
sens nul(le) » etc… c’est là pour vous protéger.
Et oui la complexité là dedans c’est que l’être humain sait très bien se protéger d’une souffrance part une autre souffrance.
Le cerveau est à imaginer comme un réseau de matriochka (ces petites
poupées russes). La petite du milieu va être la plus « vulnérable »,
c’est celle qui renferme vos plus grandes peurs, vos traumas. Les autres
poupées en sont les gardiennes, elles vont tout faire pour protéger
cela même si ce ne sera pas agréable à vivre.
Carl Gustav JUNG disaient que « les complexes, se comportent comme des malins génies cartésiens »
Comment se défaire de nos complexes ?
Les médias nous assaillent d’astuces et de « dossiers psycho » pour « sortir de vos complexes ». Nous nous trompons de bataille.
Si vous avez lu depuis le début, au regard de leurs « bénéfices » l’idée n’est donc absolument pas de s’en débarrasser. Nous sommes tous complexés et c’est important !
En revanche, il est bien sûr possible de ne pas ou plus souffrir de
ceux ci lorsqu’ils s’expriment de la sorte. Ceci commence par le fait de
comprendre ce que c’est, quels sont les apports, ce qu’il viennent
traduire etc… d’où cet article
Ensuite, si vous voulez aller plus loin, un des principes de bases
qu’il est important de retenir c’est qu’il n’y a pas de recette miracle
que l’on pourrait calquer sur tout un chacun !
Exemple : Quand bien même deux individus ont un mal être qui se
localisera sur la même partie de leur corps, que cela va venir affecter
les mêmes choses : la solution ne pourra pas être similaire. Pour l’une
des deux personnes la solution pourra être la chirurgie pour l’autre
non.
La résolution d’une souffrance est unique tout autant que vous l’êtes.
Un complexe est une machine bien pensée. Une technologie compliquée
avec plusieurs systèmes dont il n’y a pas qu’une seule et unique clé.
C’est à la fois :
Un brouilleur d’ondes. « quand le sage montre la lune l’imbécile
regarde le doigt », et oui ce n’est pas parce qu’il va vous indiquer
votre nez que c’est lui le « problème ». Il vient vous détourner
l’attention de quelque chose en vous focalisant sur une autre donnée.
Un couteau suisse. Au même endroit peut se loger plusieurs complexes.
Un jeu de mikado. C’est à dire une structure qui tient comme elle
peut, ce pourquoi nous nous devons d’être vigilant à ne pas la faire
s’écrouler si nous décidons d’en retirer un.
Un boomerang. Il peut revenir même si vous vous en êtes
« débarrassé ». Ce pourquoi certaines personnes ne se sentent pas mieux
après une modification physique.
Ainsi, pour les « dépasser » il n’y aura pas de pratiques,
d’approches ou de méthodes toutes faites ! Cette organisation
mentale/cérébrale vous appartient et vous êtes les seuls détenteur de la
clé. Imaginez ceci comme un jeu pour « detective experts »….
L’érotomanie, ou syndrome de Clérambault, est le
terme employé pour désigner les amoureux imaginaires. Heureusement très
rare, elle touche majoritairement les femmes. Comment expliquer cette
passion pathologique ? Peut-on se sortir du délire érotomaniaque ? Le point avec Valérie Grumelin, psychanalyste à Paris.
Avant de parler de test et de traitement, définissons l’érotomanie
Définition de l’érotomanie
Le syndrome de Clérambault ou la conviction d’un amour imaginaire
L'érotomanie définit un trouble psychologique délirant qui se caractérise par la conviction chez un individu (« érotomane »
) qu'il est aimé par un autre. Elle prend une forme obsédante qui se
fixe généralement sur un individu au départ inconnu, voire une
personnalité publique. Cette conviction se traduit chez l'érotomane par une forme de harcèlement pour provoquer la rencontre et faire avouer l'autre sur ses prétendus sentiments.
Dépression, rancune et agressivité
Si cet amour fictif n'est pas déclaré, la personne érotomane
peut céder à la dépression, puis à la rancune et à l'agressivité.
Conduisant à de véritables délires érotomaniaques, ce trouble touche
très majoritairement les femmes.
Qu'est-ce qu'une femme érotomane ?
L'érotomane est d'abord persuadée que c'est l'autre « qui l'aime en secret », que c'est l'autre qui, le premier, fait des avances, mais qu'il n'ose pas ou ne peut pas se déclarer ou encore qu'il fait tout pour dissimuler son amour.
Dans cette forme, l'érotomanie est un
état passionnel qui se rencontre chez une femme ou jeune femme
célibataire. Il se déroule en trois phases :
la phase d'espoir : la plus longue, où le malade espère que
l'être aimé va se déclarer ouvertement. La plupart du temps,
l'érotomane reste fixé, névrotiquement, à cette phase ;
la phase de dépit : la personne malade tombe le plus souvent dans la dépression ; elle devient agressive, voire suicidaire ;
la phase de rancune : l'agressivité se tourne vers la personne aimée et peut mener au meurtre.
Pour le malade, « il est naturel de
détruire l'objet de son amour puisqu'il l'a déjà détruit. » Ainsi, des
hommes se trouvent parfois injustement accusés de délits ou de crimes
par ces femmes érotomanes.
Cette maladie touche majoritairement des femmes, exceptionnellement des hommes.
L’objet de l'érotomane est donc
généralement un homme dont le statut social est plus élevé : acteur ou
homme de spectacle, professeur, avocat, médecin, artiste, écrivain,
politique, présentateur télé, parfois prêtre.
Souffrance due à l'érotomanie
Contrairement à la nymphomanie, la
sexualité n'est pas le sujet essentiel de l'érotomanie. Il s'agit de
l'illusion délirante d'être aimé, mais cela ne ressemble en rien au
désir amoureux ni même à la passion amoureuse. Cette illusion et tout ce
qui en découle provoquent une souffrance chez la personne qui en est la
victime. Elle culpabilise, se demande en quoi elle est responsable de
ce qui arrive et n'ose pas trop en parler. Son entourage peut en effet
avoir du mal à croire que toutes ces attentions ont commencé sans avoir
été encouragées.
Causes
Comme pour grand nombre de ces troubles
délirants, les experts ne sont pas certains de leurs hypothèses. Pour
eux, la plus évidente pourtant, est le manque affectif durant l'enfance.
Pour certains, ce manque provient principalement du père (par la prédominance féminine)[réf. nécessaire].
Pour d'autres, la carence vient de la mère (l'érotomane recherche une composante féminine chez l'être aimé).
La maladie peut apparaître chez des
personnes jeunes, mais aussi à un âge plus avancé. Les plus exposés à
cette maladie auront un tempérament nerveux, une imagination vive,
ardente, dominée par l’amour-propre, l’attrait des plaisirs,
l’inoccupation, la lecture des romans, une éducation vicieuse.
Délire érotomaniaque Vs. Crise de paranoïa
L’extrême opposé de l’érotomanie est la paranoïa,
trouble mental qui se manifeste par une méfiance exagérée à l’égard des
autres, l’interprétation négative de la moindre parole, le soupçon ou
encore l’agressivité. La personne paranoïaque se sent persécutée en
permanence, elle a l’impression qu’on lui veut du mal.
Les causes et symptômes du délire érotomaniaque
Quelles en sont les causes ?
« La cause de l’érotomanie est une non
reconnaissance narcissique par les parents. C’est très compliqué parce
que cela vient aussi et d’abord de la personnalité des parents. Quand on
a une relation normale avec eux, ils nous font des câlins, des bisous,
ils nous montrent de l’intérêt. Mais si une femme n’a jamais eu
d’attention physique ou affective de la part ses parents, elle va
interpréter la moindre petite attention comme du désir sexuel, rapporte Valérie Grumelin. Érotomane, elle se fabrique alors une relation platonique et cela lui fait un bien fou. Très souvent, les victimes de délires érotomaniaques
sont des enfants issus d’une famille toxique au sein de laquelle ils
ont juste reçu le strict minimum pour s’en sortir. Le délire
érotomaniaque peut par exemple concerner quelqu’un dont les parents
étaient alcooliques, pas à la hauteur… ».
Les symptômes du syndrome de Clérambault
La personne érotomane a la conviction délirante d’être aimé(e) par
quelqu’un. Elle va s’imaginer que tous ses gestes, paroles, likes sur
les réseaux sociaux, sont des preuves d’amour que l’autre lui envoie.
Avec de nombreux arguments, la victime du syndrome de Clérambault va tenter de démontrer à son entourage qu’elle vit une belle histoire d’amour.
Quels tests et quels traitements pour les érotomanes ?
Comment tester l’érotomanie ?
« Pour diagnostiquer l’érotomanie, le test n’existe
pas. Mais bien qu’il n’y ai pas de test spécifique à effectuer, le
diagnostic n’est pas difficile à poser. On s’en rend compte lorsque la
patiente vient de consulter et qu’elle nous parle. Elle s’invente un
monde et la plupart du temps, la personne dont elle est amoureuse ne le
sait même pas », indique la psychanalyste.
Quels traitement contre le délire érotomaniaque ?
« Le traitement de l’érotomanie consiste à apprendre à la patiente érotomane
ce que représente l’estime de soi, ce que cela signifie d’avoir été
aimée, écoutée et comprise par ses parents », explique la spécialiste.
DSM-5
Selon les critères DSM-5, l’érotomanie fait partie des troubles délirants.
Il s'agit d'une adaptation des deux premiers romans de la trilogie littéraire de l'auteur américaine Caroline Kepnes(en) qui met en scène le tueur en série, Joe Goldberg(en). La première saison adapte le premier roman, Parfaite(en), et la seconde sa suite, Les corps cachés(en). À partir de la troisième saison, la série met en scène une histoire inédite, n'adaptant pas le troisième roman.
La première saison se concentre sur Joe Goldberg, gérant d'une modeste librairie à New York.
Un jour, il fait la rencontre d'une cliente, Guinevere Beck. La jeune
femme est un véritable coup de foudre pour Joe qui décide de la
retrouver sur Internet.
Joe devient vite obsédé par Beck,(car ça parle dans sa tête,la pensée qui vient d'ailleurs). Il l'observe et cherche à connaître chaque détail de sa vie sur les réseaux sociaux,
notamment ses habitudes ou ses amis.
Persuadé qu'ils sont faits l'un pour l'autre, il va tenter de renverser
tous les obstacles qui pourraient se dresser en travers de son chemin et
élaborer un stratagème machiavélique pour la séduire.
Dans la deuxième saison, Joe Goldberg se retrouve à Los Angeles
afin de fuir son passé et débuter une nouvelle vie sous une autre
identité. Seulement, les vices qu'il tente à tout prix d'oublier
ressurgissent lorsqu'il fait la rencontre de Love Quinn, nouvelle
victime de sa violente obsession. Joe décide de lutter pour mener à bien
cette nouvelle relation avec Love, dont il est à mille lieues de se
douter qu'elle n'est finalement pas si différente de lui.
Dans la troisième saison, Joe et Love sont liés par les liens du
mariage et ont accueilli Henry, leur fils. Cependant, le mariage ne fait
pas perdre au jeune couple ses habitudes violentes et obsessionnelles
et tandis que Joe se laisse aller à son cycle obsessionnel habituel
envers de nouvelles victimes, Love semble, quant à elle, prête à tout
pour que rien ne vienne compromettre le modèle de la famille parfaite
qu'elle a en tête.
Dans la quatrième saison, Joe Goldberg a fui la Californie pour
l'Europe, sous l'identité de Jonathan Moore. Après avoir perdu Marienne
entre Paris et Londres, il est piégé par un admirateur secret qui
connait son identité et ses crimes passés.
* La fin de la saison 4 de "You" expliquée : à l'intérieur de l'époustouflant Joe Twist
La showrunner Sera Gamble et les stars Penn Badgley et Ed Speleers décomposent la fin du cercle complet de la saison 4. Par Chancelier Agard4 avril 2023
S'il y a une chose que l'anti-héros romantique de Penn Badgley, Joe Goldberg, comprend à la fin de You Season 4, c'est qu'il n'est certainement pas un homme bon dans un monde cruel. Et il était temps.
Le directeur de librairie meurtrier devenu professeur d'université a accumulé un nombre terrifiant de corps au cours de la course du thriller, tuant tout le monde, des étrangers aux voisins en passant par les copines de sa femme. À travers tout cela, Joe a soutenu qu'il était une bonne personne, trouvant des moyens de plus en plus absurdes pour justifier les choses horribles qu'il a faites. Mais le polar londonien de la saison 4 – qui oppose Joe au tristement célèbre Eat the Rich Killer – oblige Joe à tourner son œil hyper observateur vers lui-même. Basé sur le regard sinistre sur son visage dans le dernier plan de la saison 4, cet arc de réalisation de soi ne peut rien signifier de bon pour Joe – ou le monde.
Ci-dessous, vous stars Badgley et Ed Speleers et showrunner Sera Gamble décomposent les virages casse-tête de la saison 4, partie 2 et cette fin choquante. Penn Badgley dans le rôle de Joe Goldberg dans You Saison 4
Salut, Joe Goldberg est le problème (et le tueur).
Surprendre! Joe a joué au chat et à la souris avec lui-même toute la saison parce que le tueur Eat-the-Rich est en fait lui, pas Rhys Montrose (Speleers).
Dans l'épisode 7, Joe torture et assassine Rhys dans sa maison de campagne, en partie parce que le père de Kate (Charlotte Ritchie), Tom Lockwood (Greg Kinnear), le fait chanter pour qu'il le fasse. ses amis et essayant de tout rejeter sur Joe. Mais, alors que Joe regarde le cadavre ligoté et ensanglanté de Rhys, un autre Rhys apparaît juste à côté de lui. Comment cela pourrait-il être? Eh bien, ce Rhys, le meurtrier Rhys, était dans la tête de Joe. Il s'avère que Joe est responsable de tous les meurtres, mais il ne se souvient pas de les avoir commis. Il ne se souvient même pas qu'il a emprisonné Marienne (Tati Gabrielle) dans une cage de verre au lieu de la laisser partir, car il s'est dissocié toute la saison. De plus, Joe ne connaît pas du tout le vrai Rhys Montrose. Le Rhys auquel Joe a parlé est la personnification de son côté obscur, le M. Hyde du Dr Jekyll de Joe, et une manifestation de sa psyché fracturée. Sacré Tyler Durden, Batman !
"Pulling a Fight Club, comme nous l'appelons, est l'une de ces révélations d'histoires super emblématiques qui sont vraiment agréables et aussi très faciles à foutre en l'air", a déclaré Gamble à Tudum à propos de la tournure. "Tous les scénaristes, [producteur exécutif] Greg Berlanti et moi prenons vie le matin quand nous approchons de quelque chose qui nous fait un peu peur."
Le tournage de la grande révélation de Rhys dans l'épisode 7 était passionnant pour Speleers, mais aussi difficile car la séquence de torture a été tournée en premier. Ajoutez à cela le fait que le vrai Rhys n'a pas beaucoup de dialogue, et Speleers a dû creuser profondément pour différencier le vrai Rhys du faux.
"[Je devais juste] partir en voyage avec Penn dans la pièce et ce qu'il me présentait", explique Speleers. «Ensuite, nous nous tournons vers cette révélation avec le costume, et c'est presque comme un deuxième moment pour que les chaînes se détachent parce que maintenant le chat est sorti du sac et l'énergie vient de changer et de changer. Ce fut une journée intense à tourner car il faisait incroyablement chaud. Je suis debout dans ce costume immaculé. Je fais de mon mieux pour ne pas transpirer. Mais la lueur [diabolique] dans les yeux a pris le dessus. Joe et Rhys dans "You" Saison 4
Rhys Clues que vous avez peut-être manqué dans la saison 4
Ces indices pointent vers le vrai tueur Eat-the-Rich.
Vous construisez jusqu'à ce moment depuis un certain temps – depuis bien plus longtemps que Joe n'est à Londres, de toute façon. Au fil des ans, notre anti-héros a subi une énorme quantité de traumatismes cérébraux, de son accident de voiture dans la saison 1 à la quantité massive de drogues qu'il a prises dans la saison 2 à son combat délirant contre la rougeole dans la saison 3. Faire de la saison 4 un mystère de meurtre enfin a permis aux écrivains d'explorer l'esprit profondément endommagé d'un tueur.
«Dans la salle des écrivains, nous avions l'habitude de plaisanter en disant qu'un de ces jours, le« bonjour, vous »serait Joe disant bonjour au vrai Joe. Et un de ces jours, il devra se faire face littéralement », explique Gamble. «Nous voulions y aller avec Joe, et nous avons passé les deux dernières saisons à nous assurer qu'il devienne de plus en plus déséquilibré. Nous avons introduit l'idée que son cerveau se fracture de plus en plus. Lorsqu'il a de la fièvre la saison précédente, il voit son monologue intérieur se séparer de lui-même, le narguant sur le comptoir de la cuisine. Dans notre poche arrière, nous nous disions toujours: "Finalement, cela va être une personnalité pleinement formée qui agit indépendamment de Joe." "
Le puissant épisode centré sur Marienne de la saison 4 comprend des flashbacks qui révèlent à quoi cela ressemble pour les autres personnages lorsque Rhys prend le contrôle du corps de Joe. L'affect de Badgley change complètement, et un regard maniaquement joyeux mais aux yeux morts traverse son visage alors qu'il terrorise la prisonnière Marienne. (Ne vous inquiétez pas, elle sort vivante de la saison.) Ce changement de personnage brutal peut être difficile à comprendre pour les téléspectateurs, mais il est venu assez naturellement à Badgley.
"Je ne pensais pas vraiment à le représenter différemment", déclare Badgley. "Je répondais juste à ce qu'il y avait sur la page, qui est différent de ce qu'il a jamais été. On le voit se dissocier. Très souvent, nous sommes dans l'esprit de Joe et sa vision de lui-même. Ce n'était pas ça. Donc, honnêtement, je n'ai pas eu à créer cette performance complètement différente. Ed Speleers dans le rôle de Rhys Montrose se tient à côté de Penn Badgley dans le rôle de Joe Goldberg
Pourquoi Joe devient-il si obsédé par Rhys ?
Comme le harceleur de Lady Phoebe (Tilly Keeper) dans l'épisode 6, Joe souffre d'érotomanie,(https://lemondealenvers911911.wordpress.com/2023/05/23/lerotomanie-ou-syndrome-de-clerambault/) c'est-à-dire lorsqu'une personne se fixe sur une célébrité et croit qu'elle partage une relation profonde, même si elle ne s'est probablement jamais rencontrée(au-dela de la maladie psychiatrique: l'arrivée de sa flamme jumelle; https://lemondealenvers911911.wordpress.com/2023/04/18/les-trois-types-de-flammes-jumelles/ ). À son arrivée à Londres, Joe développe une telle obsession pour Rhys après avoir lu son autobiographie, A Good Man in a Cruel World, à laquelle Joe s'identifie étroitement. Puis les hallucinations commencent.
"Il est vraiment désespéré de se voir comme une bonne personne", déclare Gamble. "La partie Rhys, la partie qui donne l'impression qu'il fait ce qu'il doit faire, ne va pas lâcher non plus, c'est pourquoi la faille. Nous voyons cela comme l'origine de la faille. C'est comme si Joe s'accrochait à cette identité en tant que héros romantique de l'histoire à tout prix.
Speleers ajoute: "[Rhys] n'essayait pas de faire ressortir l'obscurité de Joe. Au contraire, il essayait de lui faire commettre ces actes afin que Joe puisse être le meilleur possible. Ed Speleers dans le rôle de Rhys Montrose se tient à côté de Penn Badgley dans le rôle de Joe Goldberg
Qu'arrive-t-il à Joe et Rhys à la fin ?
Eh bien, Joe embrasse pleinement son côté obscur. Après avoir assassiné le père de Kate, Joe décide de mettre fin à ses jours parce qu'il réalise que Rhys fait partie de lui. Alors que Joe peut justifier de sauver quelqu'un comme Paco (Luca Padovan) en tuant le beau-père abusif du jeune garçon dans la saison 1, il ne peut pas justifier ce qu'il a fait aux femmes de sa vie. Inquiet que Kate finisse comme Love et Beck, Joe décide de mettre fin à ses jours en poussant son ombre d'un pont et en sautant aussi.
"Ce qui était important pour nous dans la scène du bridge, c'est que c'est la première fois qu'il dit vraiment à haute voix ce qu'il est. Il ne l'a jamais regardé droit dans les yeux auparavant », déclare Gamble. "Nous avons donc pensé que si nous allions le conduire sur ce pont avec Rhys, et qu'il se tenait littéralement là en train de se disputer avec lui-même, qu'il était temps d'admettre la vérité sur les choses complètement injustifiables qu'il fait."
Mais à sa grande surprise, Joe survit à sa chute et se réveille dans un hôpital en tant qu'homme changé - mais pas pour le mieux. Joe dit à Kate qu'il est un tueur, mais omet commodément qu'il a assassiné son père. Kate – qui, n'oubliez pas, détient une part de responsabilité dans les relations commerciales louches qui ont conduit les enfants à contracter le cancer – pardonne à Joe, et ils jurent de rester honnêtes et bons.
Pas si vite, cependant, car l'étreinte de Joe de son côté obscur avant qu'il ne saute dans la rivière signifie que ce côté obscur est maintenant son seul côté, et il fonctionne à pleine capacité. "Je le vois mentir au visage de Kate à ce moment-là – il est déjà le Joe qui dit à la femme ce qu'elle veut entendre sur le moment pour que la relation continue", déclare Gamble.
Au cas où il y aurait le moindre doute sur qui est vraiment Joe maintenant, peu de temps après sa sortie de l'hôpital, il découvre que Nadia (Amy-Leigh Hickman) et son petit ami, Edward (Brad Alexander), sont entrés par effraction dans son appartement et ont rassemblé des preuves de ses crimes. . Alors il tue froidement Edward, le accusant du meurtre de Rhys – et accusant son ancienne protégée Nadia pour celui d'Edward. Bien que ce soit une situation terrible pour Nadia puisque personne ne la croira si elle accuse Joe, son sort aurait pu être bien pire.
"L'un des défis est que parfois la chose la plus propre et la plus simple à faire pour résoudre un problème pour Joe est de lui faire tuer la personne, et nous n'avions pas l'impression que ce soit bon pour Marienne ou Nadia", explique Gamble, admettant que les écrivains se sont définitivement identifiés à un écrivain en herbe comme Nadia et ont débattu avec ferveur de ce qu'il fallait faire avec elle. "Il a fallu beaucoup de temps et beaucoup d'itérations pour comprendre comment le faire vraiment blesser Nadia [sans la tuer]. Franchement, il a fallu comprendre que nous devions tuer Edward pour que cela fonctionne.
À la fin de la saison 4, Joe et Kate retournent à New York et Kate utilise les immenses ressources de sa famille pour aider Joe à retrouver son ancienne vie, y compris son fils Henry. Bien sûr, Joe veut acheter une librairie. «Nous avons aimé l'idée qu'il a été en exil et qu'il est allé dans de nombreux endroits différents. Il a assumé une identité très différente dans la saison 4, et nous en avons parlé comme du retour de Joe Classic », explique Gamble. "Quand il revient à New York, il est exactement le genre de personne qu'il n'a pu observer que de très loin la dernière fois qu'il était à New York. Il a tous les privilèges dont il n'a jamais rêvé, et aussi jugé , avant. (Lisez à propos de la grande chute d'aiguille de Taylor Swift de la saison 4.)
Quant à Badgley, il a hâte d'explorer un Joe entièrement intégré. « Son monologue intérieur peut-il évoluer maintenant ? se demande Badgley. "Qu'est-ce que cela signifie pour lui de s'accepter?"
Cette question a également intrigué Gamble, alors qu'elle et Berlanti discutaient de la fin de la saison. Cependant, elle a finalement réalisé que le noyau de Joe n'avait pas changé même s'il ne perdait plus de temps à faire des "acrobaties bretzel-y" pour expliquer ses mauvaises actions.
"Le cœur de Joe Goldberg, c'est qu'il est un romantique. Il croit en l'amour, et c'est la chose la plus importante au monde pour lui. Et si nous enlevions cela, il ne serait plus Joe », déclare Gamble. «Tant qu'il se soucie de l'un et place quelqu'un au-dessus de tous les autres, alors les autres choses ne sont que de l'évolution et de l'itération pour lui. Le monologue intérieur vient de la partie romantique de lui, donc je prédis avec audace que nous entendrons toujours cela aller de l'avant. Y aura-t-il une saison 5 ?
Oui! Peu de temps après le lancement de la partie 2 de la saison 4, Netflix vous a renouvelé pour une cinquième et dernière saison – ce qui est excitant parce que l'équipe créative de l'émission "l'a toujours conçue comme un voyage de cinq saisons", comme l'ont révélé les producteurs exécutifs Greg Berlanti et Sarah Schechter dans un communiqué. . Et la fin de la saison 4 a excité Badgley pour ce qui va suivre.
YOU, saison 4 : la fin de la première partie expliquée
Le nouveau pote de Joe, Rhys (Ed Speleers), est en réalité un tueur lui aussi, qui se fait appeler le "Eat the Rich Killer". Plus sombre encore, Rhys menace d'attribuer tous ses meurtres à Joe s'il ne tue pas l'odieux Roald. Non seulement Joe ne tue pas Roald mais il jure de faire tomber Rhys une fois pour toutes, alors que ce dernier veut se présenter à la mairie de Londres ! Oui, YOU a basculé et va faire de Joe une sorte de "héros". YOU saison 4 : Penn Badgley a refusé les scènes intimes, par fidélité pour sa femme
"Maintenant, nous sommes dans un autre type de film, celui où nous savons qui est le tueur, donc cela devient vraiment plus une histoire sur la relation entre Joe et le tueur ! Je me réfère avec désinvolture à la partie 2 comme la partie" tueur en série, mon ami" de la saison 4... Nous n'avons jamais vu Joe avoir cet échange avec quelqu'un qui est pire, ou tout du moins aussi mauvais que lui. Surtout, la grosse différence, c'est que Rhys ne souffre pas du même niveau de regret et de honte que Joe..." décrypte la showrunner Sera Gamble à TVLine.
Ed Speleers, qui incarne le nouveau tueur, confie de son côté que l'obscurité de Rhys est l'une des principales raisons pour demander il a aimé ce rôle : "Mettant mon ego de côté, je voulais avoir la chance d'entreprendre quelque chose a choisi d'aussi complexe et sombre. Je suis fasciné par les personnages qui vivent dans cette sphère. C'était un véritable honneur d'avoir cette opportunité."
Et c'est Netflix qui a proposé cette nouvelle approche de la série à Sera Gamble. La showrunner explique ainsi que ce "whoduit" (qui est le tueur ?) dure exactement cinq épisodes, puis la seconde moitié est une histoire totalement différente sur les tueurs. Avec cette énorme révélation du tueur à la fin de l'épisode 5, on s'est dit que ce serait bien de couper la saison en deux parties du coup".
Alerte spoil! Ce qui suit contient des détails de la partie 2 de "You" Saison 4, y compris la finale de la saison.
Bien sûr, Joe Goldberg l'a fait.
Peut-être que si vous ne regardiez que les cinq premiers épisodes de "You" de Netflix, sortis le mois dernier, vous pourriez vous accrocher à l'espoir que le tueur insaisissable "Eat the Rich" éliminant les membres du 1% de Londres était quelqu'un d'autre que le meurtrier / harceleur au cœur de la série.
Mais comme le révèlent les nouveaux épisodes publiés jeudi, c'était en fait Joe de Penn Badgley depuis le début. Eh bien, au moins Joe dans un état de fugue ou plusieurs personnalités ou peu importe comment vous voulez l'appeler. Mais bien sûr, il s'en est quand même sorti. Et puis certains.
La finale de la saison 4 de "You" a répondu à beaucoup de questions, a laissé certains personnages morts, certains en prison et d'autres en fuite. Voici ce qu'il faut savoir et à quoi s'attendre dans une potentielle cinquième saison: Le gros rebondissement de la saison 4 de "You" est...
Bien que pendant une grande partie de la saison 4, Joe semble être dans une bataille de mots et de violence réelle avec l'espoir du maire de Londres Rhys (Ed Speleers), il s'avère que tout cela n'était qu'une hallucination. Rhys est réel, certes, mais Joe ne lui a jamais parlé. Sans s'en rendre compte, Joe a tué Malcolm (Stephen Hagen), Simon (Aidan Cheng) et Gemma (Eve Austin). Mais pire (du point de vue de Joe), il a également kidnappé son obsession Marienne (Tati Gabrielle) et l'a retenue captive dans une cage de verre. Joe s'en rend compte dans l'épisode 7 lorsqu'il tue le vrai Rhys. Tati Gabrielle dans le rôle de Marienne dans "You".
Joe essaie de résoudre tous les problèmes que son autre moitié tout aussi meurtrière a créés. L'une d'entre elles est Marienne, mais elle a déjà été trouvée par l'élève intelligente de Joe, Nadia (Amy-Leigh Hickman). Ensemble, Nadia et Marienne ont élaboré un plan pour simuler la mort de Marienne et la sortir à jamais de la ligne de mire de Joe.
Après avoir tué le père (Greg Kinnear) de sa dernière amante Kate (Charlotte Ritchie), Joe tente de se suicider en sautant d'un pont mais est tiré hors de l'eau. Kate, qui vient d'hériter d'un vaste empire politique et financier, le retrouve à l'hôpital et obtient (au moins une partie) de lui la vérité sur sa vie passée. Au lieu de fuir un homme dont elle sait qu'il a commis un meurtre, elle décide de l'aider à se réhabiliter.
Après une couverture médiatique soigneusement organisée, c'est exactement ce qu'elle fait et Joe peut à nouveau utiliser son vrai nom, avec Kate à ses côtés.
Je sème la confusion avec la connaisscience qui fusionne avec la religion de l'homme pour ressusciter sa particule lumière qui va et vague dans plusieurs endroits en même temps sans que je le sache.
Vaut mieux que ce soit comme ça!
Car vos émotions envers les autres ne sont qu'envers vous-même !
Vous êtes la partie du tout ,et le tout sera toujours divisé par votre analyse et
votre recherche a comprendre ce qu'il est.
Alors soyez vous-même dans l'ici-maintenant,
pour réaliser l'union de toutes les parties de votre univers.