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vendredi 21 octobre 2011

il y a deux justices: celle pour le public et celle pour les policiers



Policier suspendu - Il a donné un passe-droit à un collègue

© Agence QMI / Archives
Policier suspendu ?

Il a donné un passe-droit à un collègue ?................a bon;)


MONTRÉAL - Un policier de la Sûreté du Québec a écopé de deux jours de suspension sans salaire pour avoir négligé de remettre un constat d’infraction pour excès de vitesse à l’un de ses collègues.

Le 28 avril 2010, l’agent Richard Labbé maniait le radar sur l’autoroute 55, à proximité de la sortie 202 dans Maskinongé. Policier depuis plus de 20 ans, il est rattaché au poste autoroutier de Trois-Rivières.
Vers 9 h 55, il a intercepté un véhicule Sebring mauve qui roule à une vitesse d’environ 140 kilomètres à l’heure. Au volant, l’agent Sunny Lapierre, lui aussi de la Sûreté du Québec, n’était pas en service.
Avisant l’identité du conducteur, l’agent Labbé a choisi de ne pas lui remettre de constat d’infraction pour son infraction au Code de la route.
Saisi du dossier, le Comité de déontologie policière lui reproche de ne pas s’être «comporté de manière à préserver la confiance et la considération que requiert sa fonction à l’égard du public, en omettant de remettre un constat d’infraction à Sunny Lapierre alors qu’il avait excédé la limite de vitesse autorisée».
Dès le début des audiences, l’agent Labbé a admis sa culpabilité, lui qui possédait un dossier déontologique sans tache jusqu’aux événements qui lui sont reprochés.
«Son comportement laisse croire qu’il y a deux justices: celle pour le public et celle pour les policiers», peut-on lire dans le document faisant état de la décision rendue par le Comité le 12 octobre dernier.
«Le policier a, de par son geste, décidé de ne pas intervenir alors que la vitesse est un danger pour lequel les policiers doivent intervenir afin de sauvegarder la sécurité du public», y est-il ajouté.
Richard Labbé a donc été condamné à deux jours de suspension.


1 % de la population contrôle 39 % de la richesse


Enquête Credit Suisse - 1 % de la population contrôle 39 % de la richesse
L’enquête de Credit Suisse vient donner de l’eau au moulin des manifestants d’Occupy Wall Street. 
©AFP/ Timothy A.Clary
C'est pas Wall Street,......la Maison Blanche ???
Les quelque 29,7 millions de personnes dans le monde dont la richesse atteint au moins un million $ contrôlent 89 000 milliards $ US, soit 38,5 % de toute la richesse mondiale.
C’est ce qui ressort d’une enquête annuelle de la banque Credit Suisse, dont les résultats ont été dévoilés jeudi.
L’enquête de Credit Suisse précise que ces millionnaires représentent moins de 1 % de toute la population mondiale, ce qui vient donner de l’eau au moulin des manifestants d’Occupy Wall Street.
La banque suisse souligne aussi que la part de richesse concentrée dans les mains des plus riches a augmenté par rapport à l’enquête précédente, où ils contrôlaient 35,6 % de la richesse mondiale.
Les plus riches de la planète se sont enrichis d’environ 20 000 milliards $, ce qui représente une augmentation de 29 %.
Pendant ce temps, la richesse mondiale dans son ensemble progressait deux fois moins vite en totalisant 231 000 milliards $.
Les États-Unis ont été les plus importants créateurs de richesse au cours de 18 derniers mois, générant 4600 milliards $ de nouvelle richesse. La Chine (4000 milliards $), le Japon (3800 milliards $), le Brésil (1870 milliards $) et l’Australie (1850 milliards $) suivent la marche.
Il y a maintenant 84 700 personnes dans le monde dont la fortune s’établit à 50 millions $ US et plus, dont 35 400 aux États-Unis. Il y a 29 000 personnes dont la fortune est de 100 millions $ et plus, et il y en a 2700 dont les actifs valent plus de 500 millions $ US.
L’enquête prédit que la création de richesse sera la plus forte dans les pays émergents dans les prochaines années. Trois pays, la Chine, l’Inde et le Brésil devraient s’accaparer la part du lion de cette croissance.
Credit Suisse souligne que la Chine compte maintenant plus d’un million de millionnaires. La banque prévoit aussi que la richesse de l’Afrique croîtra de 90 % d’ici 2016 pour s’établir à 5800 milliards $.


Kadhafi vivant au moment de sa capture ???


Selon des images de télévisions - Kadhafi vivant au moment de sa capture
Des combattants des forces du CNT soutiennent Kadhafi et tentent de le maintenir sur ses pieds. 
AFP PHOTO/AL-SUMUD TV


TRIPOLI, Libye - Mouammar Kadhafi était vivant au moment de sa capture, selon des images diffusées jeudi par les télévisions arabes Al-Arabiya et Al-Jazira.
Les premières photos et vidéo diffusées après l'annonce de sa capture ne permettaient pas d'établir s'il était vivant ou mort mais les images diffusées par ces deux chaînes de télévision le montrent clairement vivant et blessé.
Des combattants des forces du Conseil national de transition (CNT) le soutiennent et tentent de le maintenir sur ses pieds alors qu'il semble leur crier quelque chose. Tête nue, revêtu d'un treillis, il a déjà du sang sur le visage et les épaules.
EN IMAGES:
Kadhafi, une vie en images
S'il n'est pas possible d'établir avec certitude qu'il s'agit bien de Mouammar Kadhafi, la caméra bougeant beaucoup et son visage apparaissant rarement plein champ, ses traits présentent une forte ressemblance avec le dirigeant libyen déchu.
Un combattant du CNT semble tenir un pistolet très près de sa tête mais il n'est pas possible de déterminer s'il en fait usage. Kadhafi est ensuite hissé sur le capot d'une voiture qui démarre, surchargée de combattants surexcités.
C'est apparemment à partir de ce moment que sont prises d'autres photos et d'autres vidéos qui avaient été diffusées auparavant dans la journée.
Sa mort a été annoncée jeudi par le porte-parole officiel du CNT à Benghazi (est), Abdel Hafez Ghoga.
«Nous annonçons au monde que Kadhafi a été tué aux mains des révolutionnaires», avait-il indiqué à la presse.
L'AFP a été jeudi le premier média international à obtenir une photo de Mouammar Kadhafi ensanglanté prise après sa capture.
Cette photo avait été prise par un photographe de l'AFP sur un téléphone portable d'un combattant du CNT qui l'avait lui-même prise au moment de l'arrestation du dirigeant libyen.
Cette photo ne permettait toutefois pas de déterminer si Kadhafi était encore mort ou vivant même si le haut de son corps est ensanglanté et les yeux mi-clos.
Une vidéo, également diffusée par l'AFP, montre la même scène avec Mouammar Kadhafi en treillis transporté par des combattants du CNT surexcités, tirant en l'air pour manifester leur joie. Là encore, il n'était pas possible de déterminer sur la base de ces images s'il était encore vivant et à quel moment ces images ont été prises par rapport à celles qui le montrent vivant.
Selon les combattants du CNT qui ont arrêté Kadhafi, il tentait de fuir Syrte et se dissimulait dans des conduites de béton au moment de sa capture. 
Lit les commentaires :

On n'est pas des caves ?


Commission Charbonneau - Une première volte-face pour Jean Charest
Jean Charest. 
©Agence QMI/ Jean-François Desgagnes
Vas te faire F%#$?&%?(*)_Charest;)
Commission Charbonneau

Une première volte-face pour Jean Charest,car ils nous prend pour des navets!......Non le monde icitte, ne sont pas des caves !

QUÉBEC - Devant l'insatisfaction populaire, le premier ministre Jean Charest fait volte-face. La commission d'enquête sur l'industrie de la construction pourrait finalement contraindre des personnes à témoigner.
En prononçant le discours d'ouverture du congrès du Parti libéral à Québec, M. Charest a annoncé que, si dans le cadre de ses travaux, la juge France Charbonneau en venait à la conclusion que le pouvoir de contrainte devenait nécessaire, «le gouvernement accèdera à sa requête».

mercredi 19 octobre 2011

Mafia, collusion, trafic d’influence, entrepreneurs véreux et politiciens corrompus

Depuis la publication du rapport Duchesneau sur les malversations dans l'industrie de la construction et ses ramifications politiques, le Québec est replongé dans une crise qui le ronge depuis plusieurs mois déjà. Mafia, collusion, trafic d’influence, entrepreneurs véreux et politiciens corrompus : ces termes font maintenant partie du quotidien des Québécois. Patrick Lagacé discute de l’ampleur de la crise et de ses racines avec trois témoins privilégiés : André Cédilot, journaliste d’enquête à La Presse pendant 35 ans et coauteur du livre Mafia inc., Kathleen Lévesque, journaliste au Devoir, et Tony Cannavino, ex-enquêteur à la Sûreté du Québec.




REF.: TéléQc,

Détruire le système monétaire mondial, Tel est la Mission Américaine,des Faucons de la Maison Blanche

Avez-vous entendu la bonne nouvelle? La récession est terminée ! C'est du moins ce qu'affirment Newsweek, Ben Bernanke et l'administration Obama.
Je suis de nature optimiste et j'estime que toutes lés bonnes nouvelles méritent d'être célébrées... à condition d'être fondées! Avant de sabler le Champagne, il faut donc répondre à une question , fondamentale: les éléments déclencheurs de la crise ont-ils été maîtrisés ?
n y a 18 mois, les consommateurs améri­cains et Washington étaient surendettés. L'épargne était inexistante. Les politiques de la Fed encourageaient la consommation excessive et l'emprunt irresponsable, ce qui a alimenté la bulle immobilière. Mais les bulles, qui sont des périodes de croissance artificielle, sont insoutenables et éclatent fatalement, entraînant dans leur sillage d'autres pans de l'économie.
En réaction aux troubles économiques, l'Oncle Sam a adopté plusieurs mesures : plans de relance; plans de sauvetage; nationalisation de constructeurs automo­biles et de banques; hausse des dépenses de Washington; taux d'intérêt de la Fed prati­quement nul et injection de monnaie dans des proportions historiques; programmes d'incitation à la consommation; etc.
Résultat ? Le gouvernement américain s'est tellement endetté qu'on peut
raisonnablement décréter qu'il esfen failli­te. La dette actuelle s'élève à \y$ billions $ (soit 11 600 milliards $) ! Si l'an tient compte de la dette du Medicare et de la sécurité so­ciale uniquement, on atteint rapidement 118 billions $. Ce chiffre n'inclut pas les budgets alloués à la défense et à une quanti­té d'autres programmes, mais, déjà là, quelques calculs élémentaires jettent un éclairage assassin sur les finances de l'État américain. Washington enregistre chaque année des recettes de ronfredfiy
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ce qui indique un ratïo~dêtte7revenus égal à 47 ! C'est comjne,sLun.travaa}e«r^ttHeuehe
éteT.3 mfflkmsj). Inutile d'être comptable ou tsanquTSr pour comprendre qu'il est impossible d'honorer un tel engagement.
DU SUICIDE
De plus, les diverses interventions de la Fed se sont traduites par une augmentation spectaculaire et suicidaire de la^uantité de monnaie en circulation. En avril dernier, j'avais écrit qu'une telle politique risque d'occasionner une résurgence de l'inflation, et de transformer les États-Unis en une ré­publique de bananes. À l'instar d'un nombre gràndissariFfl'analystes, le célèbre financier Warren Buffet exprimait les mêmes inquiétudes dans un texte publié dans le New York Times du 18 août dernier.
Ainsi, pour résoudre un problème causé par un endettement extrême etx
de monnaie excessive, les États-Unis ont choM-d*aHgffiéntèr "davantage leur dette el d'injecter encore plus de mojmaie. C'est aussi absurde que de préténdrê~regler un problème d'obésité en mangeant davantage. Et si dévorer un gâteau à la crème procure incontestablement une satisfaction immé­diate, il n'en aggrave pas moins la situation.
n est donc fort peu probable que le cauchemar américain soit terminé. Bien au contraire! D'ailleurs, si l'économie .américaine s'améliorait, comment expliquer la faiblesse du dollar US?
Quant à l'augmentation des cours boursiers, beaucoup y voient la preuve que la récession achève. 0'e.st une erreur! Fin 2007, à l'aube de la récession, le Dow Jones atteignait des sommets historiques. Si la bourse n'a pas vu venir la crise actuelle, pourquoi serait-elle en mesure d'en annoncer la fin?
Les conditions à l'origine de la crise sont toujours présentes. Le rebond américain est artificiel et temporaire, car les fondements de l'économie sont inchangés. Et comme la performance du Canada est affectée par la conjoncture américaine, ne nous réjouis­sons pas trop vite ! Empressons-nous plutôt de développer de nouveaux marchés et de réduire notre dépendance économique envers les États-Unis.


REF.: Google est ton ami,

Brutalité policière: Un policier de Montréal a honte d’être policier.


Brutalité policière - La police attaque un autiste
Francis Guay
©TVA Nouvelles




Brutalité policière

La police attaque un autiste


Un jeune autiste a passé un mauvais moment quand des policiers qui le croyaient armé l’ont rudoyé, en novembre dernier, à Bois-des-Filion, dans les Basses-Laurentides.
Son père, Daniel Guay, a raconté l’incident à Claude Poirier, dans le cadre de l’émission Le vrai Négociateur, jeudi matin, à LCN.
EN VIDÉO:
Un jeune autiste brassé par des policiers

«Francis avait 17 ans – maintenant 18 – et il a l’âge mental d’un enfant de 5 ou 6 ans, a-t-il expliqué. Avant ça, les policiers étaient ses héros. Ce n’est pas un jeune à problème: il se promène toujours à vélo, dit bonjour à tout le monde, il joue parfois au policier avec des amis.»
Ce jour-là, une dame avait appelé les policiers, disant avoir vu un homme armé dans un parc, âgé d’environ 25 ans et portant un manteau de cuir. Lorsque les trois agents de la police de Terrebonne-Sainte-Anne-des-Plaines-Bois-des-Filion sont arrivés sur place, c’est plutôt le jeune autiste qu’ils ont vu, qui s’y amusait. Même s’il portait un manteau en coton et qu’il avait 17 ans, ils ont jugé qu’il pouvait être l’individu dont parlait la dame.
Lorsqu’ils lui ont posé des questions, le garçon a mis la main dans sa poche. Les policiers ont réagi en lui attrapant le bras, et les choses ont dégénéré.
«Ma voisine est venue cogner à ma porte, affolée, pour me dire que mon fils se faisait battre, a raconté Daniel Guay. Lorsque je suis arrivé au parc, Francis était couché par terre et avait le visage ensanglanté. Un policier lui avait mis un genou dans le dos, un autre lui tenait les jambes et le troisième lui tenait les épaules.»
«Je leur disais qu’ils s’en étaient pris à un garçon autiste. Il a fallu que je crie assez fort pour qu’on m’écoute. Quand les choses se sont calmées, ils ont trouvé une arme sur lui : un fusil jouet de trois pouces servant à tirer des fléchettes en plastique.»
Finalement, le jeune Francis n’a pas été arrêté et les policiers ont fermé le dossier. Mais il a eu toute une frousse. «Il n’a pas compris, il se faisait attaquer par ses héros, a expliqué M. Guay. Mais mon garçon a des problèmes, il ne sort presque plus depuis que c’est arrivé. On cherche de l’aide psychologique pour lui.»
Apparemment, M. Guay n’a pas déposé de plainte concernant l’incident. La police de Terrebonne-Sainte-Anne-des-Plaines-Bois-des-Filion, reconnaissant peut-être ses torts, a rencontré le garçon un peu plus tard.
«Ils lui ont donné des cadeaux, ils l’ont fait monter dans une voiture de police, a raconté M. Guay. On a distribué plusieurs centaines de lettres dans le quartier, racontant l’histoire. On a reçu du support de la part de beaucoup de gens, que je tiens à remercier. Un policier de Montréal, qui habite proche, m’a appelé pour me dire qu’il avait presque honte d’être policier.»