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lundi 18 avril 2011

Attention : Santé et Bien-Être Canada considère que le danger croît avec le lisage »


Si vous vous appercevez tout comme Yves Camus,que vous êtes un peu accutumé ou un peu curieux,lol..............ti pare tno tane!

Le livre des révélations, de St-Té0 ?

Versed-1,paraphe 3 de la page 666a

Lisez ceci:
La Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) est «inquiète » de la position défendue par certains groupes qui remettent en question l'intégration des élèves en difficulté dans les classes régulières.
L'organisme craint que ce débat mène à une dérive, qui pourrait nuire aux «droits fondamentaux » de ces enfants.
Dans une lettre ouverte transmise hier à la ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, le président de la CDPDJ, Gaétan Cousineau ne cache pas ses craintes face à un éventuel retour aux «classes spéciales.»
«Si nos écoles ne peuvent relever le défid'intégrer ces élèves, il faudra s'attendre à ce que, une fois adultes, ces derniers évoluent en marge de la vie sociale et économique de notre province, écrit-il. Il s'agit d'un choix lourd de conséquences.»
Pas «à tout prix»
En entrevue au Journal, Gaétan Cousineau insiste sur le caractère «fondamental» du droit pour les enfants d'être intégré dans une classe «ordinaire.» Mais il assure que la CDPDJ ne prône pas «l'inclusion à tout prix». Dans sa lettre ouverte, la Commission milite plutôt pour que tous les élèves handicapés ou ayant des difficultés d'adaptation ou d'apprentissage (EHDAA) aient droit, d'abord, à une «évaluation de leurs besoins et de leurs capacités.»
«Près de 70 % des plaintes en intégration scolaire traitées à la Commission concernent des élèves pour qui ce processus n'a tout simplement pas été réalisé ou encore n'a pas été effectué avec rigueur», déplore M. Cousineau.
La CDPDJ «reconnaît» toutefois que les ressources ne sont pas toujours suffisantes, dans les écoles, pour bien répondre aux besoins des enfants en difficulté. «Faut-il pour autant conclure à la nécessité de déployer un réseau plus large de classes et d'écoles spéciales ? La Commission considère que cette approche risque de compromettre sérieusement les droits des élèves HDAA, et de marginaliser davantage ceux-ci au sein de nos écoles», écrit Gaétan Cousineau.
Au cabinet de Line Beauchamp, on confirme avoir reçu la lettre du président de la CDPDJ. «Le ministère va rencontrer la Commission. Pour la ministre, c'est important d'écouter tous les points de vue, mais ça ne change rien au fait qu'elle n'est pas pour l'intégration à tout prix», dit son attaché de presse, Dave Leclerc.

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Comprend pas ? shifffffffff,....................OK
Pour que les Révélations arrive,il coincidera avec l'Apocalypse,de 1969jusqu'a ce que les enfants prouvent que le système doit disparaître.Pour cela aucun personnage doit penser dans l'instantané espace-temps.Seul le grand Maître vous guidera,si votre canal est ouvert.Et n'oubliez-pas que l'inverse des 7 crachats doivent être bien ouvert pour avoir accès a la vérité,qui est déja la! Nostra-Anus veillera sur les autres ,pour les occupés a passer le temps.Tic-tac-tic-tac-Poffe;)

69 knockout en 2010 !

Montréal - Agression contre les policiers : principales causes d’accidents de travail
À 69 reprises en 2010 des policiers de Montréal ont été victimes d’actes violents. 
© Archives

Agression contre les policiers : principales causes d’accidents de travail

MONTRÉAL - Année après année, les agressions et voies de fait contre les policiers constituent les principales causes d’accidents de travail au Service de police de Montréal (SPVM). À 69 reprises en 2010 des policiers de Montréal ont été victimes d’actes violents portant le total à 430 cas depuis 2006. Il s’agit de 13 % des 3349 accidents de travail dont ont été victimes les agents durant cette période, selon des données obtenues par le journal 24 H. Le SPVM s’attarde d’ailleurs sur ce genre d’agressions, puisqu’une formation en contrôle et en maîtrise des suspects est présentement en élaboration, afin de faire diminuer le nombre de victimes d’actes violents chez les agents.
À titre comparatif, les deuxièmes types d’accidents en importance depuis 2006 sont ceux subis à la suite d’une chute (9 %) ou d’une glissade (8 %).

Le total d’accidents en légère hausse
Bien que le nombre d’accidents de travail dont ont été victimes les policiers de Montréal se soit maintenu à un niveau stable dans les cinq dernières années, certains types d’accidents ont tout de même connu une hausse spectaculaire en 2010, notamment ceux survenus lorsque la victime patrouillait à bord de son véhicule. En 2010 seulement, 39 policiers ont été blessés. Il s’agit de près de 40 % des cas de ce genre survenus lors des cinq dernières années. À titre comparatif, on n’en comptait que neuf en 2006.
On retrouve aussi des hausses dans les occurrences d’exposition au sang et de morsures animales et humaines, tout comme pour des accidents physiques en soulevant ou en étant heurté par un objet.
Les événements traumatisants ou stressants ont toutefois chuté de 25 en 2008, à 12 cas l’an dernier.
Un programme d’aide exclusivement voué aux policiers est d’ailleurs disponible en tout temps et est utilisé chaque fois qu’un agent est en situation de stress aigu.
«Nous travaillons aussi en prévention et préparons différentes campagnes de sensibilisation, non seulement pour des pratiques plus sécuritaires, mais aussi pour le port d’équipement de protection obligatoire», explique l’inspecteur Benoît Traversy, chef de la section de gestion de la santé au SPVM.

REF.: