La vrai raison !!!
Le 20 août dernier, l'Écosse a choqué l'Occident en libérant Abdel Basset al-Megrahi, un terroriste libyen qui avait été condamné à la prison à vie il y a huit ans pour avoir fait sauter un avion en 1988, tuant 270 personnes.
«Abdel Basset al-Megrahi souffre d'un cancer en phase terminale, et nous le libérons pour qu'il puisse aller paisiblement mourir parmi les siens, dans son pays», a dit le gouvernement écossais pour justifier sa clémence.
Bref, on a libéré un tueur qui se fout de l'humanité, pour des raisons humanitaires.
UNE DÉCISION D'AFFAIRES
Or, selon le Sunday Times de Londres, toute cette histoire est de la pure foutaise. Si al-Megrahi a été libéré, ce n'est pas parce que l'Écosse a le coeur sur la main, c'est tout simplement parce que l'Angleterre était en train de négocier un deal de 900 millions de dollars avec la Libye.
C'était une décision d'affaires, point.
L'Angleterre a dit à Kadhafi: «Tu permets à British Petroleum de pomper du pétrole dans ton pays, et pour te démontrer notre bonne foi, on va demander à l'Écosse de libérer ton terroriste préféré.»
Vous imaginez le degré de cynisme ? D'un côté, l'Angleterre participe à la chasse aux terroristes aux côtés des États-Unis. De l'autre, elle libère un terroriste qui a tué 270 personnes innocentes pour signer un contrat lucratif avec la Libye.
Et après ça, on demande aux gens d'envoyer leurs enfants en Irak et en Afghanistan pour «combattre le terrorisme et défendre la liberté».
La liberté, mon cul.
Comment peut-on croire ce genre de discours quand on apprend que les terroristes que nous sommes censés chasser à l'autre bout du monde sont utilisés comme monnaie d'échange pour obtenir des contrats lucratifs ?
UNE HISTOIRE RÉPUGNANTE
Toute cette histoire lève le coeur.
Et après ça, les forces armées se demandent pourquoi elles ont de la difficulté à recruter de la chair à canon pour leurs missions «humanitaires».
Enverriez-vous votre enfant se faire tuer pour que BP s'en mette plein les poches ?
LE «GROS BON SENS»
REF.: M.Martineau , LOL
Le Monde du Réel est a l'envers, c'est l'invertionnalité des consciences ! Bienvenue aux Sourds ;-)
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vendredi 4 septembre 2009
jeudi 3 septembre 2009
Aucun rat chez le premier Ministre ? Ils sont tous a Ottawa :o)
MEADOW LAKE, Saskatchewan -
Le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, assure qu'il n'y a aucun rat à l'intérieur de sa maison, mais il ne rouspétera pas si quelqu'un lançait une blague à cet effet, d'autant plus qu'il en a déjà entendu quelques-unes.
Lorsqu'il n'est pas à son bureau de l'Assemblée législative, à Regina, M. Wall se trouve généralement à la demeure familiale à Swift Current, une ville actuellement aux prises avec une prolifération de rats, un phénomène largement rapporté par les médias.
Les rongeurs ont envahi cette ville du sud-ouest de la Saskatchewan, et certaines personnes disent avoir été mordues dans leur lit.
Ce n'est pas le cas de M. Wall qui, en fait, dit n'avoir vu aucun rat, même s'il a passé beaucoup de temps à sa résidence, dernièrement. Mais quelques voisins en ont vu, a-t-il confié, et la situation est problématique, a également reconnu le premier ministre.
Personne ne sait d'où viennent les rats. ????????
Pour venir à bout du problème, le conseil municipal de Swift Current a demandé aux propriétaires de résidences et d'entreprises d'adopter une approche plus vigoureuse relativement au nettoyage de leur terrain, en se départissant de leurs déchets.
Les autorités de la santé publique de Cypress Hills ont également émis un avis public, et rappelé que les rats peuvent être porteurs de plusieurs maladies et répandre des bactéries, virus et parasites.
Certains résidants sont d'avis que le conseil municipal n'a pas pris tous les moyens nécessaires pour régler le problème, et on s'inquiète que la température froide poussera les rats à rechercher la chaleur.
La situation relève d'abord et avant tout de la municipalité. Cependant, le premier ministre assure que la province apportera son soutien afin de régler le problème.
La municipalité compte se tourner vers des agents spécialisés dans la lutte antiparasitaire venant de toute la région, et non seulement de la banlieue de Swift Current.??????
:O)
Ottawa LOL !!!
REF.:
Le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, assure qu'il n'y a aucun rat à l'intérieur de sa maison, mais il ne rouspétera pas si quelqu'un lançait une blague à cet effet, d'autant plus qu'il en a déjà entendu quelques-unes.
Lorsqu'il n'est pas à son bureau de l'Assemblée législative, à Regina, M. Wall se trouve généralement à la demeure familiale à Swift Current, une ville actuellement aux prises avec une prolifération de rats, un phénomène largement rapporté par les médias.
Les rongeurs ont envahi cette ville du sud-ouest de la Saskatchewan, et certaines personnes disent avoir été mordues dans leur lit.
Ce n'est pas le cas de M. Wall qui, en fait, dit n'avoir vu aucun rat, même s'il a passé beaucoup de temps à sa résidence, dernièrement. Mais quelques voisins en ont vu, a-t-il confié, et la situation est problématique, a également reconnu le premier ministre.
Personne ne sait d'où viennent les rats. ????????
Pour venir à bout du problème, le conseil municipal de Swift Current a demandé aux propriétaires de résidences et d'entreprises d'adopter une approche plus vigoureuse relativement au nettoyage de leur terrain, en se départissant de leurs déchets.
Les autorités de la santé publique de Cypress Hills ont également émis un avis public, et rappelé que les rats peuvent être porteurs de plusieurs maladies et répandre des bactéries, virus et parasites.
Certains résidants sont d'avis que le conseil municipal n'a pas pris tous les moyens nécessaires pour régler le problème, et on s'inquiète que la température froide poussera les rats à rechercher la chaleur.
La situation relève d'abord et avant tout de la municipalité. Cependant, le premier ministre assure que la province apportera son soutien afin de régler le problème.
La municipalité compte se tourner vers des agents spécialisés dans la lutte antiparasitaire venant de toute la région, et non seulement de la banlieue de Swift Current.??????
:O)
Ottawa LOL !!!
REF.:
lundi 31 août 2009
Détruire le système monétaire mondial, Tel est la Mission Américaine,des Faucons de la Maison Blanche
Pour que le N.W.D. alias (N.W.O),arrive,il faut que les USA,mettre les Banques en faillite et établir un système a monnaie unique.Le 666 des cartes a puces..........qui saient ? On verra bien...........mais c'est correct de même !
Avez-vous entendu la bonne nouvelle?
La récession est terminée !
C'est du moins ce qu'affirment Newsweek, Ben Bernanke et l'administration Obama.
Je suis de nature optimiste et j'estime que toutes lés bonnes nouvelles méritent d'être célébrées... à condition d'être fondées! Avant de sabler le Champagne, il faut donc répondre à une question , fondamentale: les éléments déclencheurs de la crise ont-ils été maîtrisés ?
Il y a 18 mois, les consommateurs américains et Washington étaient surendettés. L'épargne était inexistante. Les politiques de la Fed encourageaient la consommation excessive et l'emprunt irresponsable, ce qui a alimenté la bulle immobilière. Mais les bulles, qui sont des périodes de croissance artificielle, sont insoutenables et éclatent fatalement, entraînant dans leur sillage d'autres pans de l'économie.
En réaction aux troubles économiques, l'Oncle Sam a adopté plusieurs mesures : plans de relance; plans de sauvetage; nationalisation de constructeurs automobiles et de banques; hausse des dépenses de Washington; taux d'intérêt de la Fed pratiquement nul et injection de monnaie dans des proportions historiques; programmes d'incitation à la consommation; etc.
Résultat ?
Le gouvernement américain s'est tellement endetté qu'on peut
raisonnablement décréter qu'il est en faillite.
La dette actuelle s'élève à 11,6$ billions $ (soit 11 600 milliards $) ! Si l'on tient compte de la dette du Medicare et de la sécurité sociale uniquement(les biens-êtres), on atteint rapidement 118 billions $.
Ce chiffre n'inclut pas les budgets alloués à la défense et à une quantité d'autres programmes, mais, déjà là, quelques calculs élémentaires jettent un éclairage assassin sur les finances de l'État américain. Washington enregistre chaque année des recettes de l'ordre 2,5 billions $ ce qui indique un ratio dette/revenus égal à 47 ! C'est comme,si un travailleur qui touche un revenu annuel de 50,000$ avait une dette de 2,3 millions $. Inutile d'être comptable ou banquier pour comprendre qu'il est impossible d'honorer un tel engagement.
DU SUICIDE
De plus, les diverses interventions de la Fed se sont traduites par une augmentation spectaculaire et suicidaire de quantité de monnaie en circulation. En avril dernier, j'avais écrit qu'une telle politique risque d'occasionner une résurgence de l'inflation, et de transformer les États-Unis en une république de bananes. À l'instar d'un nombre grandissant d'analystes, le célèbre financier Warren Buffet exprimait les mêmes inquiétudes dans un texte publié dans le New York Times du 18 août dernier.
Ainsi, pour résoudre un problème causé par un endettement extrême et une injection de monnaie excessive, les États-Unis ont choisi d'augmenter davantage leur dette et d'injecter encore plus de monaie. C'est aussi absurde que de prétendre regler un problème d'obésité en mangeant davantage. Et si dévorer un gâteau à la crème procure incontestablement une satisfaction immédiate, il n'en aggrave pas moins la situation.
Il est donc fort peu probable que le cauchemar américain soit terminé. Bien au contraire! D'ailleurs, si l'économie américaine s'améliorait, comment expliquer la faiblesse du dollar US?
Quant à l'augmentation des cours boursiers, beaucoup y voient la preuve que la récession achève. C'est une erreur!
Fin 2007, à l'aube de la récession, le Dow Jones atteignait des sommets historiques. Si la bourse n'a pas vu venir la crise actuelle, pourquoi serait-elle en mesure d'en annoncer la fin?
Les conditions à l'origine de la crise sont toujours présentes. Le rebond américain est artificiel et temporaire, car les fondements de l'économie sont inchangés. Et comme la performance du Canada est affectée par la conjoncture américaine, ne nous réjouissons pas trop vite ! Empressons-nous plutôt de développer de nouveaux marchés et de réduire notre dépendance économique envers les États-Unis.
Pas sûr ???
Ça Valse pas fort , a la Bourse :
Car,le nombre de courtiers qui quittent Wall Street est en hausse du fait de la dégringolade des marchés financiers et de la baisse, par ricochet, des frais de courtage.Plus de 2800 courtiers ont quitté leur emploi au premier semestre, selon l’organisme de réglementation de l’industrie financière américaine, la Financial Industry Regulatory Authority. Globalement, ce seraient plus de 11 600 courtiers qui auraient quitté ce secteur depuis le début de l’année, un nouveau record par rapport aux 11 500 départs de 2002.Et au rythme où vont les choses, près de 35 000 courtiers pourraient plier bagage d’ici à la fin de l’année. En l’occurrence, il n’en restera plus qu’environ 630 000 aux États-Unis.Les frais de courtage représente de 30 a 40 % des placements !
REF.: Nat Elgrably-Levy Journal de Montreal,
Avez-vous entendu la bonne nouvelle?
La récession est terminée !
C'est du moins ce qu'affirment Newsweek, Ben Bernanke et l'administration Obama.
Je suis de nature optimiste et j'estime que toutes lés bonnes nouvelles méritent d'être célébrées... à condition d'être fondées! Avant de sabler le Champagne, il faut donc répondre à une question , fondamentale: les éléments déclencheurs de la crise ont-ils été maîtrisés ?
Il y a 18 mois, les consommateurs américains et Washington étaient surendettés. L'épargne était inexistante. Les politiques de la Fed encourageaient la consommation excessive et l'emprunt irresponsable, ce qui a alimenté la bulle immobilière. Mais les bulles, qui sont des périodes de croissance artificielle, sont insoutenables et éclatent fatalement, entraînant dans leur sillage d'autres pans de l'économie.
En réaction aux troubles économiques, l'Oncle Sam a adopté plusieurs mesures : plans de relance; plans de sauvetage; nationalisation de constructeurs automobiles et de banques; hausse des dépenses de Washington; taux d'intérêt de la Fed pratiquement nul et injection de monnaie dans des proportions historiques; programmes d'incitation à la consommation; etc.
Résultat ?
Le gouvernement américain s'est tellement endetté qu'on peut
raisonnablement décréter qu'il est en faillite.
La dette actuelle s'élève à 11,6$ billions $ (soit 11 600 milliards $) ! Si l'on tient compte de la dette du Medicare et de la sécurité sociale uniquement(les biens-êtres), on atteint rapidement 118 billions $.
Ce chiffre n'inclut pas les budgets alloués à la défense et à une quantité d'autres programmes, mais, déjà là, quelques calculs élémentaires jettent un éclairage assassin sur les finances de l'État américain. Washington enregistre chaque année des recettes de l'ordre 2,5 billions $ ce qui indique un ratio dette/revenus égal à 47 ! C'est comme,si un travailleur qui touche un revenu annuel de 50,000$ avait une dette de 2,3 millions $. Inutile d'être comptable ou banquier pour comprendre qu'il est impossible d'honorer un tel engagement.
DU SUICIDE
De plus, les diverses interventions de la Fed se sont traduites par une augmentation spectaculaire et suicidaire de quantité de monnaie en circulation. En avril dernier, j'avais écrit qu'une telle politique risque d'occasionner une résurgence de l'inflation, et de transformer les États-Unis en une république de bananes. À l'instar d'un nombre grandissant d'analystes, le célèbre financier Warren Buffet exprimait les mêmes inquiétudes dans un texte publié dans le New York Times du 18 août dernier.
Ainsi, pour résoudre un problème causé par un endettement extrême et une injection de monnaie excessive, les États-Unis ont choisi d'augmenter davantage leur dette et d'injecter encore plus de monaie. C'est aussi absurde que de prétendre regler un problème d'obésité en mangeant davantage. Et si dévorer un gâteau à la crème procure incontestablement une satisfaction immédiate, il n'en aggrave pas moins la situation.
Il est donc fort peu probable que le cauchemar américain soit terminé. Bien au contraire! D'ailleurs, si l'économie américaine s'améliorait, comment expliquer la faiblesse du dollar US?
Quant à l'augmentation des cours boursiers, beaucoup y voient la preuve que la récession achève. C'est une erreur!
Fin 2007, à l'aube de la récession, le Dow Jones atteignait des sommets historiques. Si la bourse n'a pas vu venir la crise actuelle, pourquoi serait-elle en mesure d'en annoncer la fin?
Les conditions à l'origine de la crise sont toujours présentes. Le rebond américain est artificiel et temporaire, car les fondements de l'économie sont inchangés. Et comme la performance du Canada est affectée par la conjoncture américaine, ne nous réjouissons pas trop vite ! Empressons-nous plutôt de développer de nouveaux marchés et de réduire notre dépendance économique envers les États-Unis.
Pas sûr ???
Ça Valse pas fort , a la Bourse :
Car,le nombre de courtiers qui quittent Wall Street est en hausse du fait de la dégringolade des marchés financiers et de la baisse, par ricochet, des frais de courtage.Plus de 2800 courtiers ont quitté leur emploi au premier semestre, selon l’organisme de réglementation de l’industrie financière américaine, la Financial Industry Regulatory Authority. Globalement, ce seraient plus de 11 600 courtiers qui auraient quitté ce secteur depuis le début de l’année, un nouveau record par rapport aux 11 500 départs de 2002.Et au rythme où vont les choses, près de 35 000 courtiers pourraient plier bagage d’ici à la fin de l’année. En l’occurrence, il n’en restera plus qu’environ 630 000 aux États-Unis.Les frais de courtage représente de 30 a 40 % des placements !
REF.: Nat Elgrably-Levy Journal de Montreal,
Encore la Listéria ,ou la Listériose ?
La Listéria ,elle,on la voient trop tard(Delstar publi dans le journal du 27 Août ,la viande rappelée du 27 Août,............. LOL) et la Listériose ,elle ,passe inapperçue.Les gens ne filent pas et ne savent pas pourquoi Lo-LOL :O)
L'agence Canadienne d'inspection des aliments (ACIA) et l'entreprise montréalaise Aliments Delstar inc. ont publié un avis à la population, tard mardi soir, de ne pas consommer certains produits de charcuterie prêts-à-manger et ayant été distribués au Québec, parce qu'ils pourraient être contaminés par la bactérie Listeria monocytogenes.
WoW !!!!
C'est propre dans la charcuterie chez Delstar inc.Il y a beaucoup de travail a faire auprès des employés pour la sanitation et la transformation.Martin Jeanson n'a pas fini ,de surveiller ses gars, LOL +)
C'est ti,les mêmes qui se lave pas les mains quand y vont a l'hospital ;O)
Delstar, a retiré ,cinq produits de charcuterie prêts-à-manger, portant le numéro d'établissement 308, visés par cette mise en garde: Compliments Pastrami noix de ronde de boeuf fumé, format de 175 g; Compliments Rosbif l75 g; Delstar Noix dë ronde de boeuf fumée, format variable.
Delstar Noix de ronde de boeuf fumée, format club, format variable; Delstar Ronde de boeuf fumée pastrami, format club, format variable.Dans les deux premiers cas, la date de péremption est le 1 septembre 2009. Dans les trois autres, elle elle est le 27 août 2009.
Aucun cas de maladie associé à la consommation de ces produits n'avait été signalé, mardi soir.
Les aliments contaminés par la bactérie Listeria monocytogenes ne présentent pas nécessairement d'altération visible ni d'odeur suspecte, mais la consommation d'aliments contaminés par cette bactérie peut causer la listériose.
Cette maladie peut entraîner une forte fièvre, de graves maux de tête, une raideur de la nuque et des nausées. Les femmes enceintes, les jeunes enfants,les gens âgés et les personnes dont le système immunitaire est affaibli sont particulièrement ,vulnérables.
Aliments Delstar inc a retiré volontairement du marché les produits visés.
En tout cas,bonne mise en place pour un système de contrôle de l'Hygiène,et ayoye a l'exportation ;o(
Pour le reste on fera comme Maple leaf,les gens en mange encore et plus que les gens en achète plus qu'on l'aime,................tout comme la saucisse Hygrade et sa saucisse A variétée,dans le temps :O)
vendredi 28 août 2009
Comment effacer votre ticket de vitesse en toute discrétion ,...............ou ça ?
Cette Homme va vous effacer ça +)
Voila comment l'histoire a commencer :
À Trois-Rivières, l’ex-greffière de la ville, Louise Panneton, était de retour devant la Commission des relations du travail, où elle a livré des informations étonnantes sur les implications politiques dans le dossier des présumées annulations de contraventions.
Celle qui a été congédiée par la Ville a soutenu que c’est parce qu’elle refusait d’annuler des constats que l’employeur lui a fait perdre son emploi.
Mme Panneton ajoute par ailleurs que c’est le maire, Yves Lévesque, qui l’a personnellement contactée au nom d’un contrevenant pour qu’elle annule un constat d’infraction pour vitesse excessive.
Mme Panneton aurait refusé d’acquiescer à la demande du maire, qui lui aurait dit de passer par le procureur de la cour municipale, ce qu’elle aurait finalement fait.
L’ex-greffière de Trois-Rivières a aussi révélé qu’elle a été sollicitée à plusieurs reprises par d’autres employés de la Ville pour annuler des constats d’infraction, notamment en matière de stationnement illégal.
REF.:
Le Maire de 3-rivières LOL +)
Contraventions annulées ...................... !
Contraventions annulées ...................... !
Selon le témoignage de Louise Panneton (l'ex-gestionnaire)devant la commission des relations du travail ,a permis d'en savoir d'avantage.En mai 2007,le maire de 3-rivières a téléphoné a la greffière de la cour municipale pour demander qu'une personne qu'il connaissait et qui avait reçu un constat d'infraction pour excès de vitesse puisse ne pas voir de points d'inaptitude inscrits a son dossier.
Elle répondit,"ce n'est pas dans les habitudes de la cour municipale d'intervenir pour éviter la perte de points".
Yves Lévesque, répondit , "soumets ça a Mario Boisvert ,le procureur de la ville auprès de la cour municipale,et dis-lui que c'est moué qui demande ça",a raconté Louise Panneton.
De son côté,Me Mario Boisvert ,devant l'augmentation constante des demandes politiques d'annulation de constats,lui a déja dit qu'il avait songé a démissionner.
Voila comment l'histoire a commencer :
À Trois-Rivières, l’ex-greffière de la ville, Louise Panneton, était de retour devant la Commission des relations du travail, où elle a livré des informations étonnantes sur les implications politiques dans le dossier des présumées annulations de contraventions.
Celle qui a été congédiée par la Ville a soutenu que c’est parce qu’elle refusait d’annuler des constats que l’employeur lui a fait perdre son emploi.
Mme Panneton ajoute par ailleurs que c’est le maire, Yves Lévesque, qui l’a personnellement contactée au nom d’un contrevenant pour qu’elle annule un constat d’infraction pour vitesse excessive.
Mme Panneton aurait refusé d’acquiescer à la demande du maire, qui lui aurait dit de passer par le procureur de la cour municipale, ce qu’elle aurait finalement fait.
L’ex-greffière de Trois-Rivières a aussi révélé qu’elle a été sollicitée à plusieurs reprises par d’autres employés de la Ville pour annuler des constats d’infraction, notamment en matière de stationnement illégal.
REF.:
lundi 3 août 2009
Ne payer pas vos impôts,car le 1/4 des Grosses Cie,ne payent pas leurs Taxes !
Environ le quart des entreprises canadiennes qui perçoivent la TPS ne la versent pas à temps au gouvernement fédéral, souvent parce qu'elles cherchent à améliorer leurs propres flux de trésorerie, révèle une nouvelle étude.
Les entreprises choisissent fréquemment de garder ces sommes pour elles-mêmes, du moins temporairement, car elles craignent de manquer d'argent, précise l'enquête réalisée par l'Agence canadienne du revenu.
L'étude a été réalisée à partir des données de 2007. Elle fait état de 776 000 entreprises ayant un compte «en souffrance», ce qui signifie qu'au moins un versement de TPS dû à Ottawa était en retard.
L'enquête prévient qu'une telle pratique donne un avantage concurrentiel marqué aux entreprises délinquantes face à celles qui respectent la loi.
Ces dernières, poursuit le rapport, pourraient décider de céder elles aussi à la délinquance pour garantir leur compétitivité, si rien n'est fait pour remédier à la situation.
La valeur monétaire de ces retards n'est pas précisée mais l'an dernier, un rapport présenté au Parlement évaluait les versements de TPS en souffrance à 4,81 G$ pour 2007-2008, en progression de 500 M$ en cinq ans.
Le nombre d'entreprises en souffrance a quant à lui progressé de plus de 50 % pendant la période de cinq ans qui a pris fin le 31 mars 2007.
REF.:
Les entreprises choisissent fréquemment de garder ces sommes pour elles-mêmes, du moins temporairement, car elles craignent de manquer d'argent, précise l'enquête réalisée par l'Agence canadienne du revenu.
L'étude a été réalisée à partir des données de 2007. Elle fait état de 776 000 entreprises ayant un compte «en souffrance», ce qui signifie qu'au moins un versement de TPS dû à Ottawa était en retard.
L'enquête prévient qu'une telle pratique donne un avantage concurrentiel marqué aux entreprises délinquantes face à celles qui respectent la loi.
Ces dernières, poursuit le rapport, pourraient décider de céder elles aussi à la délinquance pour garantir leur compétitivité, si rien n'est fait pour remédier à la situation.
La valeur monétaire de ces retards n'est pas précisée mais l'an dernier, un rapport présenté au Parlement évaluait les versements de TPS en souffrance à 4,81 G$ pour 2007-2008, en progression de 500 M$ en cinq ans.
Le nombre d'entreprises en souffrance a quant à lui progressé de plus de 50 % pendant la période de cinq ans qui a pris fin le 31 mars 2007.
REF.:
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