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vendredi 6 novembre 2009

Le plus grand délit d'initié, ou bien comment Wall Street fait son ménage


Selon le procureur fédéral de New York, Preet Bharara, parmi ces 14 suspects se trouvent des avocats, mais aussi des financiers de la Bourse de New York.
WoW ! C'est comme en politique,si on saient que t'es homo,fraudeur,pédophile,trompe sa femme,..................on garde ça en note ,et quand vient le temps de te flusher,on a les armes pour te faire chanter ou te faire perdre ta chemise LOL !!!$$$!!! Mais seulemnt au moment propice.Dans le cas présent,le blâme n,est pas sur un Américain,Fiouuuuuu :O)

Le délit d'initié dont elles se seraient rendues coupables totaliserait $20 millions de dollars, a précisé le parquet fédéral.Ces gains ne sont jamais que quelques gouttes d'eau au regard de l'océan de 3,7 milliards de dollars que brasse le fonds Galleon, ou encore de la fortune personnelle de 1,3 milliard de dollars de son patron sri-lankais.
Le fonds d'investissement en question, Galleon Management, est dans la ligne de mire des enquêteurs depuis le mois dernier(on peut présumé que c'est faux !!$!!!).

Son directeur, le milliardaire Raj Rajaratnam, a été arrêté le 16 octobre, en même temps que cinq complices présumés(suite au nombreuses condamnation ou dénonciation sur la Bourse ). Selon les autorités, les mouvements d'actions litigieux portaient notamment sur des titres des hôtels Hilton, de Google, AMD, Sun Microsystems, Clearwire et Akamai, entre 2006 et 2009. M. Rajaratnam risque jusqu'à 20 ans de prison. Au moment de son arrestation, le parquet avait affirmé que le milliardaire était impliqué dans "la plus vaste affaire de délit d'initiés que les fonds d'investissement" de Wall Street aient jamais connue. (HIE)


***Raj Rajaratnam, gérant de fonds alternatifs arrêté il y a dix jours pour délits d'inités, se rend toujours au bureau, en attendant son procès, après avoir payé une méga-caution. C'est le Sri Lankais à forte carrure qui a fait la "une" de tous les journaux financiers. "Il est victime d'un délit de sale gueule", assure un gérant genevois qui connaît quelqu'un qui le connaît. Ce serait un beau conte de fées: le p'tit gars d'Asie, ayant fait son chemin à Wall Street à la force du poignet, tombe victime de concurrents jaloux et mal intentionnés. Sob!
Le hic, c'est que pour une fois, les enquêteurs de la SEC ont fait proprement leur boulot. Ils ont amassé pendant des années des écoutes téléphoniques accablantes sur les informations top secret qu'extorquaient le sieur Rajaratnam et ses complices à propos des variations prévisibles de cours de certaines sociétés technologiques. L'article publié samedi dernier par le Financial Times est particulièrement amusant.





REF.:

http://www.bequilles.ch/2009/10/dernieres-nouvelles-des-escrocs.html

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A l'envers c'est a l'endroit ,.........vous vous en appercevrez a un moment donné !