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samedi 10 novembre 2012

La Chine : un régime corrompu ?


Anti-corruption - Le cri d'alarme de Hu Jintao
Le président Hu Jintao. 
Photo: Goh Chai Hin / AFP

Anti-corruption

Le cri d'alarme de Hu Jintao

PEKIN - Véritable testament politique, le discours du président Hu Jintao à l'ouverture jeudi du congrès du PC chinois (PCC) a livré à son successeur Xi Jinping une feuille de route inédite: s'il ne combat pas la corruption qui ronge le parti unique, a-t-il prévenu, c'est le régime tout entier qui s'effondrera. Mais sans lui fournir la moindre solution, selon les analystes.
Cri d'alarme tardif, lancé à l'heure de son départ devant quelque 2 000 délégués du PCC réunis à Pékin, il ne s'est accompagné d'aucune annonce de révision majeure: pour Hu Jintao, si la Chine souffre de la corruption de ses élites, seule «la foi communiste dans le marxisme, le socialisme et le communisme» peut la sauver, car elle est son «âme politique», a-t-il dit.
Et à défaut de citer une quelconque réforme politique, le président sortant s'est évertué durant 90 minutes à souligner «le rôle dirigeant» du PCC qui doit encore se renforcer dans tous les domaines, car «jamais nous ne copierons un système politique occidental», a-t-il dit.
Vendredi, la presse officielle soulignait à l'unisson que le secrétaire général sortant avait engagé le PCC à «maintenir résolument la voie socialiste aux caractéristiques chinoises».
«Alors que certains conservateurs plaident pour un retour au passé plus égalitaire de la Chine, avec une économie plannifiée et un contrôle idélologique, d'autres influences libérales ont cherché à dupliquer en Chine le modèle occidental», commentait vendredi le quotidien officiel Global Times.
À l'issue du congrès, Xi Jinping héritera du plus grand parti du monde, avec 82 millions de membres, au contrôle de tous les échelons de la société et de l'économie chinoises, deuxième mondiale depuis 2010.
Mais «le Parti» est malade. Les dangers qui le guettent sont «de plus en plus graves». La corruption «est un problème politique majeur, source de grande inquiétude dans la population». Elle requiert «un engagement politique clair du Parti à long terme», a souligné Hu Jintao.
Miné à la base par les prébendes, pots-de-vin et abus de pouvoir de ses cadres locaux, il est éclaboussé au sommet par des révélations sur la fortune des familles des plus hauts dirigeants, dont celle de Xi Jinping lui-même.

Affaire Bo Xilai

Et l'affaire Bo Xilai, du nom de l'ex-membre du Bureau politique déchu cette année, impliquant à elle seule corruption, abus de pouvoir et mort d'homme, a empoisonné les préparatifs du congrès communiste.
«Si nous échouons à traiter cette question correctement, elle pourra s'avérer fatale pour le Parti, et même provoquer son effondrement et la chute de l'État», a averti Hu Jintao à la fin de son discours.
L'allusion est claire au soulèvement du «printemps de Pékin» de 1989, quand la population, à travers tout le pays, était descendue dans la rue pour exiger la fin de la corruption, déjà, et des réformes politiques. Le Parti et l'État s'étaient retrouvés au bord de l'effondrement, comme ils l'avaient été déjà dans le passé durant la révolution culturelle (1966-76).
Dans les deux cas, seul le recours à l'armée avait sauvé le régime.
Les solutions ? «Nous devons encourager les membres du Parti à devenir des parangons de vertus socialistes», «étudier le marxisme-léninime et la pensée de Mao Tsé-toung», «être fermes dans notre idéal et nos convictions et rester fidèles à la foi des communistes», assuré le président sortant.
Tout juste Hu Jintao concède-t-il qu'il faut aussi aux communistes chinois «continuer à libérer (leurs) esprits» et «promouvoir la démocratie à l'intérieur du Parti».
Des formules quasi incantatoires, sur quelque 50 pages de discours, les phrases commencent presque toutes par «Nous devons» ou «Il faut que», qui risquent de n'être pas d'un grand secours à M. Xi, prié en réalité d'assurer la continuité et, pour l'essentiel, de parvenir à faire «doubler le PIB chinois d'ici 2020» et le revenu par tête.
«Décidément, Hu Jintao ne se distingue pas par sa créativité», a commenté le politologue français Jean-Philippe Béjà, spécialiste de la Chine. «Si Hu a mentionné la nécessité d'une réforme politique, on n'a vu aucune piste se dessiner», a-t-il estimé.


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Ben Laden retrouvé grace a un Montréalais ?

Interrogatoires - Les aveux d'un ancien imam montréalais auraient permis de retrouver Ben Laden
Mohamedou Ould Slahi 
Photo courtoisie / Agence QMI

Les aveux d'un ancien imam montréalais auraient permis de retrouver Ben Laden

MONTRÉAL - La confession d'un ancien imam d'une mosquée de Montréal aurait permis de retracer Oussama ben Laden au Pakistan, et de l'éliminer en avril 2011. C'est ce que indique l'ouvrage The Finish : The Killing of Osama bin Laden du journaliste américain Mark Bowden, publié le mois dernier.
Ce sont les informations fournies durant des interrogatoires par un ancien chef religieux d'une mosquée montréalaise, Mohamedou Ould Slahi, qui ont permis de remonter la piste de Ben Laden.
Mohamedou Ould Slahi a rejoint les rangs d'Al-Qaïda dans les années 1990, et est venu s'installer à Montréal en novembre 1999, où il a remplacé lors du ramadan l'imam de la mosquée Al Sunnah Al Nabawiah. Il s'est alors mêlé aux activités d'un cercle d'immigrants originaires d'Afrique du Nord actifs dans le réseau de Ben Laden, incluant notamment Ahmed Ressam. Ce dernier a été récemment condamné à 37 ans de prison pour avoir tenté de faire exploser une bombe à l'aéroport de Los Angeles lors du passage à l'an 2000.
Arrêté en Mauritanie après les attentats du 11 septembre 2001, puis soumis à des «interrogatoires coercitifs», Mohamedou Ould Slahi a mentionné le nom d'Abu Ahmed al-Kuwaiti. Ce dernier, un messager fidèle de Ben Laden, aurait permis aux services secrets américains de localiser la résidence où se cachait le chef d'Al-Qaïda, en banlieue de la ville d'Abbottabad, au Pakistan.
Si le nom d'Abu Ahmed al-Kuwaiti est revenu souvent par la suite dans les aveux de prisonniers incarcérés à Guantanamo, c'est Mohamedou Ould Slahi qui l'a prononcé pour la première fois, a confirmé Mark Bowden. C'est grâce à lui que l'on a commencé à s'intéresser à Ahmed al-Kuwaiti, lequel a conduit jusqu'au chef d'Al-Qaïda.


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Hackons la corruption 2012

Quoi?

Pour la première fois au Québec, des citoyens se réunissent pour lutter contre la corruption: c'est Hackons la corruption, un évènement qui invite tous les citoyens à se regrouper pour créer des outils qui aideront à prévenir la collusion et la corruption au Québec.
Dans une ambiance collaborative, nous travaillerons à tirer parti des technologies de l’information et des données gouvernementales disponibles pour aider nos gouvernements et concitoyens à veiller à la meilleure utilisation des fonds publics en prévenant les pertes résultant d’abus.

Pourquoi?

Chaque année au Québec nous dépensons plus de quatre milliard de dollars dans des projets d’infrastructure pour améliorer la qualité de vie de tous les Québécois et Québécoises.
Ces projets, qu’il s’agisse de rénovation ou de construction, d’infrastructures physiques ou encore d’infrastructures technologiques, font malheureusement encore l’objet d’abus qui mènent à des dépenses excessives et des débordement budgétaires évitables.

Quand?

Le fin de semaine du 10-11 novembre 2012 (heure exacte et détails à venir)

Où?

au Centre communautaire de loisirs Sainte-Catherine d'Alexandrie, 1700 Rue Amherst, Montréal, QC, H2L 3L5 (plan détaillé)


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mercredi 7 novembre 2012

Ma maman disait: va laver tes mains et essui tes bottes sur le tapis ?

Brooks - De nouveaux problèmes détectés à l'usine XL Foods Quelques jours seulement après la reprise des activités à l'usine d'équarrissage XL Foods de Brooks, en Alberta, l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) a constaté de nouveaux problèmes et a demandé des correctifs.
Les inspecteurs de l'Agence ont constaté de la condensation sur les tuyaux dans la chambre des abats et de l'eau circulant dans un désinfectant qui n'était pas maintenue à une température élevée.
Ils ont également pu voir que les aires de découpe de viande n'étaient pas nettoyées adéquatement et qu'il n'y avait pas de solution chimique désinfectante sur les tapis utilisés pour nettoyer les bottes des employés.
L'ACIA a donc demandé à la direction de l'établissement de prendre des mesures immédiates pour régler ces problèmes.
De plus, l'Agence a demandé à l'entreprise un plan détaillé expliquant comment elle allait s'y prendre pour régler ces problèmes à long terme et atténuer les risques à l'avenir.
L'ACIA avait suspendu le permis d'exploitation de l'usine le 27 septembre dernier, en raison de la contamination de la viande à la bactérie E. coli.


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mardi 6 novembre 2012

Fuck Ya Alan Titchmarsh your the Beast;)


Au cours d'un échange houleux - avec toute la chaleur provenant de l'hôte - le Dog Whisperer défend désespérément ses méthodes.
  |  31 octobre 2012  |   69 Contributions

Beaucoup de gens ne sont pas d'accord avec les méthodes de la Dog Whisperer, Cesar Millan.Daytime chat-animateur Alan Titchmarsh est l'un d'entre eux, d'une manière très importante.Jeudi dernier sur Londres  Le Salon Alan Titchmarsh , il a laissé Millan-il - et l'avoir, et le faire - ". barbares" émaillant le dresseur de chiens avec des accusations selon lesquelles il poinçons chiens et appeler ses méthodes
Millan savait sûrement ce qui allait arriver. Son apparition à l'émission a été vivement contestée à l'avance, avec Twitter campagnes contre son apparence et protestations sur Facebook. Le personnel de production a été inondé avec des centaines d'e-mails et appels, selon le Daily Mail . Pourtant, il a courageusement venus, mais il semblait un peu lancée par le questionnement.
Voici quelques-uns des moments les plus chaudes de l'échange:
Titchmarsh: . «Vous punissez les chiens, vous les frappez, je vous ai vu frapper un chien dans la gorge pour le faire se comporter et à la plupart des gens, comme moi-même, je dirais que c'est totalement inacceptable comme un moyen de formation d'un chien . "
Millan: «. Eh bien, évidemment, je suis en désaccord avec ce que ce n'est pas un coup de poing, c'est une touche."
Titchmarsh: "J'ai regardé la vidéo de celui-ci et si quelqu'un m'a touché comme ça je serais mal Tu es allé à la gorge. [Titchmarsh imite poinçons walloping grands] et vous a frappé le dos chien et le chien a mordu vous et tenu à la main . "
Millan: «C'est une touche ... C'est une touche ..."
Titchmarsh: ". Après avoir regardé beaucoup de matchs de boxe qu'il ressemblait à quelque chose de Henry Cooper livrerait"
Pause pour le rire la plupart du temps mal à l'aise partout. Millan explique ses méthodes un peu avant que l'hôte repart à l'offensive.
Titchmarsh: . "Mais il faut aussi travailler avec des chocs électriques et des colliers et des pointes sur les cols qui ont vraiment leur faire du mal Vous savez, c'est un traitement assez barbare Maintenant, nous ne serions pas traiter les enfants comme celui-ci, nous serions enfermés si nous le faisions.. . Maintenant, quel est votre raisonnement derrière le traitement des chiens comme ça? "
Millan: «Eh bien, il ya une certaine situation à cet effet, vous savez."
Millan poursuit en expliquant comment il est simplement enseigner aux gens comment utiliser correctement les outils controversés qu'ils utilisent déjà. Il dit qu'il recommande que les gens voient un professionnel lors de la formation d'un chien en utilisant ces méthodes, mais il reconnaît, lorsqu'il est pressé par la foule, que les gens finissent de les essayer par eux-mêmes à la maison, parce qu'ils voient à la télévision.
Titchmarsh ne faiblit jamais, demandant si Millan ne jamais abandonner ses méthodes, lui demandant s'il obtient le plaisir de blesser les chiens, la lutte contre l'affirmation Millan que les chiens sont des animaux de meute qui luttent pour la domination dans le ménage, et ainsi de suite.
"Nous n'avons pas battre nos enfants», a Titchmarsh dit à un moment, "et nous sommes un paquet."
Internet réaction a été rapide, mais divisée. Beaucoup soutenu l'hôte, mais certains utilisateurs de Twitter, comme ces deux, la pensée Titchmarsh allé sur le dessus:
@ Floatygoat: Alan Titchmarsh entrevue Cesar Millan était tellement frustrant. Moins d'une interview, plus d'une série d'accusations stupides.
@ BigGstacey: très frustrant, les gars n'a bien sûr jamais regardé chuchoteur chien .... I wana poinçon Titchmarsh maintenant. # Mynanwillhateme
Que pensez-vous de prendre, lecteurs Dogster? Est-Titchmarsh sur la bonne voie? Avez-Millan obtenir un traitement injuste? Avant de vous répondre, vous voudrez peut-être consulter une vidéo éditée de l'échange de quelques munitions:

La Fête du 5 novembre ne sera jamais anonyme ?


Des Anonymous célèbrent Guy Fawkes par des piratages

Sécurité - Des Anonymous célèbrent Guy Fawkes, dont la conspiration échoua un 5 novembre, à leur façon. Différents piratages ont déjà été revendiqués, dont celui de PayPal. D’autres devraient suivre.
Personnage historique anglais, Guy Fawkes est l’origine d’une conspiration dont l’issue fut un échec le 5 novembre 1605. Pour les Anonymous, qui arborent un masque de Guy Fawkes, le 5 novembre a donc une valeur symbolique.
Et certains membres du collectif ont manifestement décidé de commémorer ce jour à leur manière comme le signale un compte Twitter Anonymous :Anonymous Press. Est en effet annoncée une série d’attaques informatiques.
Des attaques sans fondements 
Anonymous revendique ainsi le vol de données de salariés de PayPal et Symantec et l’intrusion dans des sites du gouvernement australien. Mais les principales cibles visées seront en lien avec des systèmes de surveillance comme TrapWire et INDECT est-il annoncé.
Quoi qu’il en soit, des attaques informatiques ont déjà commencé comme semblent en témoigner différents comptes Twitter d’Anonymous. Mais il faut parfois chercher la justification politique.
Plusieurs sites visés n’ont en effet a priori aucun lien avec la motivation politique avancée précédemment de lutte contre la surveillance. C’est notamment le cas du site de fans de Lady Gaga, de NBC.com ou encore de GiftNow.


vendredi 2 novembre 2012

Radio-Canada intente des procédures contre une coroner


Ça arrive rarement. C’est plutôt le contraire qui se produit. Généralement, nous sommes poursuivis par des gens ou des entreprises qui n’aiment pas nos enquêtes. Cette fois-ci, c’est nous qui avons entrepris des procédures judiciaires. La personne visée est la coroner Renée Roussel, qui enquête sur les circonstances entourant la mort de Noémi et d’Audrey Bélanger dans l’île de Phi Phi, dans le sud de la Thaïlande en juin dernier.
La journaliste Johanne Faucher et le réalisateur Georges Amar se sont rendus dans cette île cet été pour faire enquête sur la mort des deux sœurs Bélanger. À mesure que leur enquête progressait, les contradictions s’accumulaient.
La thèse de la consommation d’une boisson contenant du DEET ayant causé la mort des deux sœurs était celle retenue d’abord par le médecin thaïlandais ayant pratiqué l’autopsie. Mais cette thèse est contestée au Canada.
L’autre hypothèse qui fait l’objet de recherches est celle de la vaporisation dans la chambre des sœurs Bélanger d’un pesticide contre les punaises de lit. Cela expliquerait la mort d’autres touristes dans cette région de la Thaïlande au cours des dernières années.
Nous avons multiplié les démarches afin d’obtenir le maximum d’informations autour de ce drame, mais le rapport de la police thaïlandaise reste confidentiel, semble-t-il, à la demande de l’ambassade du Canada.
Pour en avoir le cœur net, ma collègue Johanne Faucher a fait des prélèvements dans la chambre située au-dessus de celle des sœurs Bélanger. Un chimiste lui avait expliqué avant son départ comment procéder à de tels prélèvements.
En revenant, nous avons demandé à un laboratoire indépendant de les analyser. Quelle n’a pas été notre surprise d’apprendre que la coroner Renée Roussel avait fait saisir par la police nos prélèvements en affirmant qu’ils pourraient être utiles dans son enquête!
Pourtant, dès le départ, nous avions convenu avec le laboratoire que les résultats d’analyse de nos prélèvements pourraient être transmis à la coroner. Par la suite, lors d’une rencontre hors caméra avec elle, nous lui avons confirmé que nous étions prêts à partager nos résultats avec elle.
Radio-Canada a donc décidé de déposer une requête pour contester cette saisie. En attendant, nous sommes condamnés à attendre la fin des procédures judiciaires pour compléter notre enquête journalistique.
Ma mafia au Canada
J’ai un peu négligé ce blogue ces derniers temps pour cause de « débordement » journalistique. Les événements se bousculent, si bien que j’ai peine à trouver le temps de l’écrire. J’aimerais quand même revenir sur notre reportage de la semaine dernière sur la ‘Ndrangheta, la mafia calabraise.
Certains nous ont écrit en disant qu’il était faux de dire que le Canada n’avait pas les outils législatifs nécessaires pour contrer la mafia. C’est vrai que nous avons depuis 1997 une loi antigang. Mais selon les experts que nous avons consultés, cette loi est fort différente de celle que les Italiens ont adoptée. Au Canada, pour être jugé en vertu des dispositions antigang, il faut poser un geste criminel au sens du Code criminel. Être membre d’une bande criminalisée n’est pas un crime en soi.
La loi antiassociation mafieuse italienne est beaucoup plus large que la loi antigang canadienne. Son application s’appuie sur une riche jurisprudence, ce qui n’est pas le cas au Canada. Ces experts canadiens et italiens nous ont expliqué d’une part que la loi italienne est spécifique à la mafia, contrairement à la loi canadienne.
En plus, l’application de la loi italienne réfère à la notion très large de l’intimidation. Elle permet donc d’arrêter beaucoup plus facilement des criminels associés à la mafia.
Si bien que les autorités canadiennes refusent parfois d’extrader des gens soupçonnés d’appartenir à la mafia, en affirmant ne pas reconnaître la loi antiassociation mafieuse italienne.
C’est pour cette raison qu’une dizaine de personnes d’origine italienne et bénéficiant d’un statut au Canada, contre qui les autorités italiennes ont lancé des mandats d’arrestation, vivent paisiblement à Toronto sans être inquiétés par la police canadienne.

Carnet Alain Grevel
par: