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mercredi 18 novembre 2020

CHSLD: Legault promet une enquête, mais ce n'est pas pour demain

 

 

CHSLD: Legault promet une enquête, mais ce n'est pas pour demain

François Legault est demeuré évasif sur les échéances et les modalités de l'enquête.

 

QUÉBEC — Le gouvernement Legault va instituer une enquête «détaillée» sur l’hécatombe survenue au printemps dans les CHSLD, mais on ne sait toujours pas quand elle aura lieu, ni quelle forme elle prendra.

En mêlée de presse, mardi à Mascouche, le premier ministre François Legault a confirmé la tenue d’une telle enquête, qui était envisagée depuis des mois. Mais il est demeuré évasif sur les échéances et les modalités.

Le gouvernement pourrait attendre la fin d’une éventuelle deuxième vague d’éclosion du virus de la COVID-19, prévue à l’automne, avant de procéder, a-t-il indiqué.

Il faudra donc se montrer patients, également sur les modalités. M. Legault n’a pas dit si l’enquête serait publique et s’il fallait s’attendre à une vaste commission, du type de la Commission Charbonneau sur la corruption dans l’industrie de la construction, qui pourrait s’étirer sur quelques années, ou plutôt s’il allait privilégier la formule de la commission scientifique et technique, plus ciblée et plus courte, comme ce fut le cas à la suite de la crise du verglas, en 1998.

«On est en train de regarder quel format l’enquête va prendre», a-t-il dit, cinq mois après le début de la pandémie en mars.

EN VIDÉO: le point de presse de François Legault


Depuis, plus de 5000 personnes âgées sont mortes de la COVID-19 souvent dans des circonstances tragiques dans les résidences pour aînés, particulièrement dans la région de Montréal. Dans certains cas, des aînés ont été laissés à eux-mêmes, privés des soins de base.

Les Centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD) ont été les plus touchés.

François Legault a indiqué que son gouvernement est en train de se pencher sur la forme que cette enquête prendra.
REF.:

vendredi 13 novembre 2020

Brault et Martineau Kirkland,définitivement fermé !

 Brault et Martineau Kirkland,définitivement fermé !

 Depuis la semaine du 8 novembre 2020, le Brault et Martineau Kirkland du 16975 route transcanadienne est fermé définitivement ! 

 Probablement a cause de problêmes de service après vente et de qualité de la livraison ,LOL !

Voir ce que les gens en disaient,depuis longtemps !

https://lemondealenversnwd.blogspot.com/2019/10/le-pire-service-de-livraison-est-brault.html

 

LOL,.....toute l'entrepôt a été vidée.

Le nouveau gérant ,s'appelant Claude est plus serviable,et c'est toute une nouvelle équipe maintenant a sa nouvelle adresse du 17600 transcanada highway , le ménage a été fait ,comme qu'on dirait,...........LOL ;-)

Grace a vous tous !


REF.:

lundi 12 octobre 2020

Jean Charest poursuit le gouvernement du Québec , Ha ha ha !

 

Jean Charest poursuit le gouvernement du Québec, Ha ha ha ! 

 

 L’ancien premier ministre Jean Charest poursuit le gouvernement du Québec pour violation de sa vie privée dans la foulée des fuites entourant l’enquête de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) sur le financement du Parti libéral. Il réclame un million de dollars.

 

REF.: Vincent Larouche
La Presse

« C’est à contrecœur que je dépose aujourd’hui une poursuite contre le gouvernement du Québec pour violation de ma vie privée », écrit M. Charest dans un communiqué.

La Presse a obtenu copie de la poursuite, dont l’existence avait d’abord été révélée par Cogeco Nouvelles.

La poursuite concerne précisément les documents d’enquête interne de l’UPAC obtenus par le groupe Québecor et publiés à partir d’avril 2017. On y retrouvait notamment des informations sur les voyages de M. Charest et un organigramme où apparaissait la photo de l’ancien premier ministre. Les informations provenaient du projet Mâchurer, une enquête qui est toujours ouverte sur le financement du PLQ, mais qui n’a mené à aucune accusation à ce jour.

« Au cours des dernières années, des informations confidentielles sur ma privée ainsi que sur ma famille ont fait l’objet de plusieurs fuites médiatiques. Ces fuites sont illégales et constituent de surcroît une entrave à la justice », plaide Jean Charest dans son communiqué.

La poursuite fait état de la « frustration » et de « l’embarras » ressentis par l’ancien politicien et sa famille. Le texte s’attaque même au nom de code choisi pour l’enquête.

« L’UPAC, qui mène l’enquête “Mâchurer”, et le gouvernement dont elle relève sont responsables de cette violation de ma vie privée », ajoute-t-il. Dans sa poursuite, l’ancien premier ministre indique qu’il a offert au gouvernement de participer à un processus de médiation pour régler l’affaire le 15 septembre dernier, sans succès. Il dit qu’il était prêt à renoncer à sa poursuite en échange d’excuses publiques du gouvernement, mais que son offre a été refusée.

M. Charest souligne que la date de prescription pour déposer une poursuite dans cette affaire était fixée au 10 octobre 2020 et qu’il devait donc aller de l’avant dès maintenant.

Une enquête

L’UPAC a interrogé de nombreux témoins dans le cadre du projet Mâchurer. En 2017, plusieurs des personnes interrogées avaient raconté à La Presse que les enquêteurs s’intéressaient au train de vie de M. Charest et posaient des questions sur la possibilité que des entreprises lui aient consenti un « pont d’or » pour qu’il prenne la tête du Parti libéral en 1998. À ce jour, rien de concret n’est ressorti de ces rencontres de témoins.

Les fuites de documents du projet Mâchurer ont mené à bien des problèmes pour l’UPAC. Le corps policier a d’abord arrêté le député Guy Ouellette, qu’elle disait lié à ces fuites, avant de libérer sans accusations et de voir ses mandats de perquisition invalidés. Plusieurs dirigeants de l’UPAC ont ensuite quitté l’organisation.

Récemment, les fuites de matériel d’enquête ont aussi mené à l’arrêt des procédures criminelles intentées contre l’ancienne vice-première ministre Nathalie Normandeau et l’ancien ministre Marc-Yvan Côté.

 

REF.:

mercredi 7 octobre 2020

Ryan Morel 69 ans rechercher par sa mère ;-)

 

 

 

 Ryan Morel 69 ans rechercher par sa mère , aidez-le !!!

morelryan69@gmail.com


 

Array Krishnada...........Un autre Français qui se prend pour le nombril du monde ;-) Commentaires………………. d'amateur ;-) Si t'as t'intéresse pas …. dégage ;-)

 

 

 Sur wordpress tu me fait de la pub lol !

La marelle .....j'adore !https://www.regles-jeux-plein-air.com/regle-de-la-marelle/

Le backup est déja fait ;-).................on publi alors ;-)

Qui n'a Pas de site Web ;-)

 Ça va pas bien avec ton FAI ???  77.150.122.149 

avec vpn nul : province: Noord-Holland municipality: Amsterdam;-)

 Ton IP number is in Charentay, France. It is hosted by SFR.(Public lol)

 

 

REF.:Array Krishnada ,domage !

mercredi 23 septembre 2020

Deux anciens hauts gradés accuse la division des affaires internes du SPVM d’avoir fabriqué des preuves incriminantes contre eux

 

 Deux anciens hauts gradés accuse la division des affaires internes du SPVM d’avoir fabriqué des preuves incriminantes contre eux 

 

 

Quatre policiers du SPVM accusés après trois ans d'enquête

L’enquête avait été ordonnée en février 2017 par le ministère de la Sécurité publique à la suite d’allégations graves à l’endroit de certaines enquêtes internes du SPVM.

undefined undefined via Getty Images

Quatre policiers de Montréal ont été accusés au terme de plus de trois ans d’enquête sur des allégations de gestes criminels graves liés aux enquêtes internes du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).

Dans un communiqué laconique diffusé vendredi, la Sûreté du Québec (SQ) ne précise toutefois ni le nom des accusés, ni la nature des accusations ou des gestes qui y ont mené.

Ces accusations surviennent au terme de longs travaux d’enquête de l’Équipe mixte d’enquête sur la Direction des affaires internes du SPVM, travaux qui sont maintenant terminés. L’enquête avait été ordonnée en février 2017 par le ministère de la Sécurité publique à la suite d’allégations graves à l’endroit de certaines enquêtes internes du SPVM.

Ces accusations contre quatre policiers sont tout ce qui reste de ce que la SQ qualifie “d’analyse minutieuse de 1020 dossiers”, auxquels se sont ajoutés 136 signalements. L’Équipe mixte, qui avait initié un peu plus de 250 dossiers à la suite de ses travaux, signale simplement qu’“au terme de ces enquêtes, quatre policiers ont été visés par des accusations”, sans aucun autre détail.

L’Équipe mixte, codirigée par la SQ et le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI), était composée de 43 membres policiers et civils provenant de la SQ, de la GRC et des services de police de Québec, Longueuil et Gatineau

Les allégations de gestes criminels visaient les enquêtes de la Direction des affaires internes et L’Équipe mixte avait comme mandat de déterminer si les démarches d’enquête effectuées dans le passé avaient été faites selon les règles de l’art.

La Sûreté précise qu’elle ne formulera aucun commentaire additionnel, “compte tenu que le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) a déjà rendu ses décisions dans tous les dossiers qui lui ont été soumis”.

Le DPCP n’avait pas retourné les appels de La Presse canadienne au moment d’écrire ces lignes.

La décision d’entamer cette enquête criminelle était survenue à la suite d’un premier rapport d’enquête administrative qui avait fait état de multiples irrégularités dans les enquêtes internes. Ce rapport initial du commissaire Michel Bouchard avait mené à la suspension, en décembre 2017, du directeur Philippe Pichet, qui avait finalement démissionné en juin 2018, préférant quitter de son propre chef plutôt que d’être destitué.

L’enquête du commissaire Bouchard était elle-même la conséquence d’une dénonciation de deux anciens hauts gradés qui accusaient la division des affaires internes du SPVM d’avoir fabriqué des preuves incriminantes contre eux alors qu’ils s’apprêtaient à révéler des actes de corruption au sein du service.

vendredi 18 septembre 2020

Pauvre ROGER et sa fin de contrat de Mobile

 Pauvre ROGER et sa fin de contrat de Mobile

Il était une fois Roger qui voulait mettre fin a son contrat de Mobile,il était vraiment interressé par le service satisfaction a la clientèle,mais............les gens de la boutique en question, eux ne lui donnaient pas raison et lui chargait le plein contrat.

 

On pense alors a l'humoriste Jean-François Mercier !!!

La Saga Bell c'est aussi pire !!!

Ce n'était en fin de compte qu'un erreur de numéro d'appareil(car ce client avait 4 mobiles a son nom) ,mais rien ne fut fait pour corriger l'erreur du vendeur de la boutique.Il perdit alors beaucoup de client ,mais vraiment beaucoup,c'est tout ;-)

 

Vidéo d'une autre Saga !-)

 

 

REF.: T30

jeudi 17 septembre 2020