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vendredi 14 novembre 2014

Il obtient une certification Microsoft à 5 ans

Ayan Qureshi a réussi le test Microsoft certified professional» à 5 ans.
Ayan Qureshi a réussi le test Microsoft certified professional» à 5 ans. - M.JONES / CATERS NEWS/SIPA
Quand il s'est présenté avec ses parents, les examinateurs britanniques ont d'abord cru à une blague. Mais Ayan Qureshi, 5 ans, a bien passé –et réussi– tout seul ce test qui fait de lui le plus jeune «Microsoft certified professional» (MCP), une certification utilisée dans le monde de l'entreprise, rapporte la BBC.
L'examen comprend entre 40 et 80 questions (exemple ici) testant les connaissances réseau et de bureautique du candidat, principalement sur des produits Microsoft. Le plus jeune candidat avait jusqu'ici été certifié à 6 ans et demi.

Créer son entreprise

Ayan a déjà construit son propre réseau informatique chez ses parents, à Coventry, et son père, qui a émigré du Pakistan en 2009, joue les professeurs deux heures par jour.
Le jeune garçon dit à la BBC qu'il veut un jour créer sa propre entreprise et développer un hub de start-ups en Angleterre pour rivaliser avec la Silicon Valley. La valeur n'attend clairement point le nombre des années.

Source.:

Et si Magnotta disait vrai ? ................un Test !

Magnotta conscient qu'il était recherché ?

 Luka Rocco Magnotta a déjà menti aux médecins pour ne pas être hospitalisé. Alors pourquoi ne mentirait-il pas pour éviter la prison,(sinon son propre avocat ? ) a suggéré mercredi la Couronne à la psychiatre experte de la défense.Magnotta, un ancien acteur porno, est accusé d'avoir tué avec préméditation et dépecé un étudiant chinois en mai 2012, avant d'envoyer certains de ses membres jusqu'au bureau du Premier ministre canadien Stephen Harper et de fuir vers Paris et Berlin, où il avait été arrêté une dizaine de jours plus tard.

Âgé de 32 ans, Luka Magnotta est accusé d'avoir tué chez lui avec un pic à glace son ancien petit ami Lin Jun(rencontré sur un site de sadomasochiste). Il est également poursuivi pour outrage à cadavre pour l'avoir découpé, de diffusion de matériel obscène avec une vidéo postée sur internet, d'envoi par courrier de morceaux du cadavre, et de harcèlement vis-à-vis du Premier ministre canadien Stephen Harper(l'horreur du Québec) et de députés.Tout coïncide avec la décadence du pouvoir au québec ?

Le dépeceur présumé a plaidé non coupable à tous ces chefs d'accusation pour lesquels il est passible de l'emprisonnement à vie.
L'affaire avait commencé en mai 2012, alors que le Québec était plongé dans une crise sociale majeure provoquée par une grève étudiante(en rapport avec le gouvernement Charest ). Un torse décapité, celui de la victime, avait été retrouvé dans une valise jetée sur un tas d'ordures dans une ruelle de Montréal. L'enquête avait rapidement mené la police à un logement situé tout près, où habitait Magnotta.
Avant de prendre un vol pour Paris, le 26 mai, le suspect aurait envoyé les pieds et les mains de la victime par colis postal au siège du Parti conservateur canadien et à celui du Parti libéral, à Ottawa, ainsi qu'à deux écoles de Vancouver. La tête de la victime n'avait été retrouvée qu'en juillet 2012 dans un parc de Montréal.
La cavale du tueur présumé l'avait ensuite conduit en Allemagne où il avait été arrêté le 4 juin 2012 dans un cybercafé à Berlin, avant d'être rapidement extradé au Canada.

il n’est pas facile de distinguer le vrai du faux dans le discours de l’accusé, et il peut filtrer les informations,(donc la demi vérité ?) a-t-elle admis au procès de l’accusé de 32 ans.

Car Magnotta a beau s’être «confié» à sa psychiatre, il y a de nombreux illogismes inexpliqués dans sa version, a noté la Couronne durant le contre-interrogatoire de la psychiatre.Encore la ,le dossier médicale de Magnotta ,ne sera jamais rendu publique ? Tout le monde est berné,même les jurés ,la population,...............ah c'est vrai , c'est la justice des Hommes avec un petit "h" ?

Pourquoi Magnotta est-il sorti de chez lui alors qu’il était censé être terrifié d’une voiture noire(un espion du SCRS ?) en bas de chez lui ? Et si c'était vrai ?
L'escoude des crimes sexuels est a vos trousses ,...........pour la pédophilie, et toute ces cochonneries sexuelles ?

Le Canada se créait une banque de données nationale de tous les usagers d'Internet afin de les identifier plus facilement.Ou bien le ouwernement ,met des citoyens hors circuit, comme,Richard Glenn,le Docteur Mailloux,l'argent et les votes ethniques de Jacques,les Yvette de Lise, Mme Lanctot ?Les vérités qui voudrons anéantir l'argent (les Banques)et la soumission des citoyens(taxé pour travailler,pour produire et non de donner ou d'entraider) seront toujours mit de côtés !Ça prendra des enfants Teflon ?

Sa nous prend un choc pour nous réveiller,(comme disaient Richard Glenn et Bernard de M.)mais faut-il que les vieilles consciences (la masse ,la collectivité,le ouwernement,les décideurs) ne mettent pas les freins dans les roues du futur  ?



Logique psychotique :

L’experte retenue par la défense estime que Magnotta ne distinguait pas le bien du mal quand il a tranché la gorge de Jun Lin, le 25 mai 2012.Pourquoi a-t-il utilisé sa scie circulaire sur un Colombien attaché sur son lit, une semaine avant de tuer Jun Lin ? Pourquoi a-t-il sali et lacéré la valise contenant le torse de l’étudiant chinois avant de la jeter ?

Quoi,............on est tu rendu plus loin que le cas du Docteur Turcotte réhabilitable ? Lequel est réalisable ou réhabilitable ? Magnotta ou Turcotte ? Un Test psychosociale ? Jésus ou Barabas ?
 L'Institut Pinel (centre carcérale pour criminel psychiatrisé)version 2.0 devra naître pour répondre a certains cas de réhabilitation borderline ?

«Dans la psychose, ce n’est pas nécessairement la même logique que les gens qui n’ont pas de psychose, a répondu la Dre Allard. On ne peut pas expliquer chaque comportement, car la logique n’est pas basée sur la réalité.»

    un site Internet : les Détrackeurs. L'objectif : inciter les habitants à ouvrir l'œil. «Cela touche notre quotidien, indique Antoine Cauty, responsable web du site. Même lorsque vous achetez des habits, vous êtes tracés. On sait grâce à cela vos préférences, vos habitudes de consommation.»

  Paranoïa ? Peut-être pas !

Les étudiants ont donc développé plusieurs thématiques pour informer au mieux les citoyens. Parmi lesquelles une carte virtuelle recensant toutes les caméras de vidéo surveillance installées le long d'un parcours défini. Prenons l'exemple, d'un trajet partant de la place des Terreaux pour rejoindre la rue de la Baleine. Un kilomètre et demi et 34 caméras repertoriées.
«Chaque rue que vous croisez, chaque objet traceur que vous portez sur vous, chaque application que vous téléchargez : tout sera passé au peigne fin», appuie le groupe. Un peu trop méfiants les étudiants?
«Il ne s'agit pas de tomber dans la paranoïa. On ne se veut pas un site militant, répond Antoine Cauty. L'idée est d'informer les Lyonnais sur ces questions». Et d'expliquer comment le tracking fonctionne, pourquoi : Par mesure de prévention? pour l'argent? «Chacun se fera sa propre idée.»


 

REF.:

Comment êtes-vous tracés au quotidien?






Le site répertorie notamment les caméras de vidéosurveillance, recensées sur un parcours bien défini. - Capture d'écran les Detrackeurs,voici un exemple a Lyon en Frane !$!

Par: Caroline Girardon
Souriez...vous êtes tracés ! Tout le monde utilise ces info prévilégiers,même la NSA,CIA,SCRS etc.................Sans que vous vous en rendiez forcément compte. Une carte de fidélité peut vite s'avérer une mine d'or pour les sociétés de marketing. Une carte bancaire va renseigner votre conseiller financier sur vos moindres achats. Un abonnement aux transports en commun va indiquer en détail vos déplacements...Bref, tous vos faits et gestes seraient épiés en permanence.
Partant de ce constat, onze étudiants en master «nouvelles pratiques journalistiques» à l'université Lyon-2 ont lancé un site Internet : les Détrackeurs. L'objectif : inciter les habitants à ouvrir l'œil. «Cela touche notre quotidien, indique Antoine Cauty, responsable web du site. Même lorsque vous achetez des habits, vous êtes tracés. On sait grâce à cela vos préférences, vos habitudes de consommation.»

Pas de paranoïa

Les étudiants ont donc développé plusieurs thématiques pour informer au mieux les citoyens. Parmi lesquelles une carte virtuelle recensant toutes les caméras de vidéo surveillance installées le long d'un parcours défini. Prenons l'exemple, d'un trajet partant de la place des Terreaux pour rejoindre la rue de la Baleine. Un kilomètre et demi et 34 caméras repertoriées.
«Chaque rue que vous croisez, chaque objet traceur que vous portez sur vous, chaque application que vous téléchargez : tout sera passé au peigne fin», appuie le groupe. Un peu trop méfiants les étudiants?
«Il ne s'agit pas de tomber dans la paranoïa. On ne se veut pas un site militant, répond Antoine Cauty. L'idée est d'informer les Lyonnais sur ces questions». Et d'expliquer comment le tracking fonctionne, pourquoi : Par mesure de prévention? pour l'argent? «Chacun se fera sa propre idée.»


Comment se fait-on tracer au quotidien sur Internet ?

L’exploitation du big data figure comme l’un des enjeux majeurs de ces prochaines années. Mais depuis la révélation des systèmes de surveillance de masse par Edward Snowden, les géants de l’internet révisent leurs méthodes de récolte des données personnelles.
Que savent-ils de nous ? Et que risque-t-on si l’on ne veille pas à la préservation de nos informations ?
Lancement du dispositif thématique le 20 novembre 2014 sur le site les Détrackeurs . Faites-vous parti des internautes qui ne cachent rien de leurs données sur le web, ou au contraire, êtes-vous un utilisateur averti ? D’ici là, retrouvez tous nos articles sur la thématique!


REF.:

Il a trouvé l’aiguille dans la botte de foin!

 Capture d'écran de la galerie Rianne Groen de la performance de Sven Sachsalber à Londres.
Capture d'écran de la galerie Rianne Groen de la performance de Sven Sachsalber à Londres. - Galerie Rianne Groen

Il n’a pas changé le monde, mais Sven Sachsalber a relevé le défi artistique qu’il s’était lancé en retrouvant une aiguille dans une botte de foin. Installé au Palais de Tokyo depuis jeudi matin, l’artiste italien s’était donné 48 heures pour accomplir sa performance artistique. C’est ce vendredi, vers 17h45 que le jeune homme de 27 ans a fait sa précieuse trouvaille. «C’est comme gagner une loterie, je suis vraiment fier!», a-t-il alors déclaré.
C'est Jean de Loisy, le président du Palais de Tokyo, qui s’était chargé de dissimuler l'aiguille dans la botte de foin jeudi matin.

Après plus de 17 heures de recherche, l'artiste Sven Sachsalber a trouvé !

Source.:

jeudi 13 novembre 2014

La délation est érigée en système,c'est la chasse a l'Homme ?


PIERRE FOGLIA

La chasse à l’homme



La Chasse a l'Homme:.....a quand la chasse a la Femme ?

-Je commencerai par dire que je n’ai jamais violé personne, je trouve que ça se place bien dans la conversation ces jours-ci. Reste que je suis un homme, et comme homme, je suis un violeur potentiel, oui madame, c’est comme ça qu’on disait dans les années 70-80, violeur potentiel. Marilyn French, Judith Lewis Herman, Susan Brownmiller dans Against Our Will : Men, Women and Rape : « de tout temps le viol est le moyen par lequel tous les hommes ont maintenu toutes les femmes dans un état de peur et d’asservissement ».
Pour Brownmiller, qui a été dans les années 70-80 la Simone de Beauvoir américaine, il y a deux sortes d’hommes : les violeurs et ceux qui sont farouchement contre le viol, mais ceux-là sont peut-être encore pires, ils défendent ce qu’ils considèrent comme leur propriété exclusive, le vagin de leur (s) femme (s).
Ce qu’il y avait de pratique avec les féministes de ces années-là, c’est qu’elles ne dénonçaient personne en particulier, elles fourraient tous les hommes dans le même grand panier et rabattaient le couvercle. On y était au chaud et solidaires, on continuait comme si de rien n’était à faire nos jokes d’épais, les épais n’ont jamais été aussi épais qu’à cette grande époque de féminisme radical.
Ce qui est beaucoup plus embêtant sur Twitter et Facebook ces jours-ci, c’est qu’on y dénonce aussi les hommes, mais un par un. Mon oncle. Mon père. Mon prof. Mon coach. Mon mari. Mon boss. Le type dans le métro. L’animateur de Toronto. Les deux députés libéraux. Au fait, sait-on ce qu’ils ont fait, ces deux-là ? Des beaux salauds, anyway. Tolérance zéro. Une main baladeuse ? Qu’on la coupe.
C’est ce climat un peu « Allemagne de l’Est » qui me fait revenir sur le sujet de l’heure même si, après les douloureuses affaires DSK et Polanski, je m’étais juré : plus jamais. J’ai résisté jusqu’à ce que j’entende à la radio un extrait d’une confession sur Twitter qui disait : « j’ai été agressée par quelqu’un de très connu ». Précisément ce genre de déballage qui me tue. Exactement ce genre de confusion entre dénonciation (d’une situation) et délation (la dénonciation d’une personne).
Mais plus que de la délation. On parle ici d’un système, d’un mouvement, d’une thérapie collective ayant pour ressort la délation.
Ce n’est pas le coup de téléphone aux flics pour dénoncer un voisin qui fait pousser du pot, c’est un appel à tous, thérapeutique : dénoncez, dénoncez, cela vous fera du bien.
Chaque fois que la délation est érigée en système, chaque fois elle sert à de tragiques règlements de comptes.
Combien de fausses accusations d’agressions dans les divorces ? Plus des trois quarts des profs accusés d’agressions sexuelles, aussitôt suspendus et mis au ban de la société, sont, à la fin de l’enquête, complètement blanchis, et complètement détruits même si ce sont les enfants qui mentaient.
Pour les féministes de mon temps, le viol était l’ « acting out » d’une attitude commune à tous les mâles, la suite logique du regard que tous les hommes portaient sur la fille qui passe. Depuis, on est rentré dans le détail. Qu’est-ce qu’un viol ?
Le mari rentre émoustillé de son party de bureau, sa femme endormie dit non. Il dit oui pareil. C’est un viol.
Sauf que le plus souvent, elle ne dit pas non. Elle dit rien même si elle n’a pas envie. Une agression sexuelle ?
J’ai connu une fille qui couchait de temps en temps avec un ministre. Il l’appelait quand il avait un moment. Telle heure, telle chambre. Des années plus tard, j’ai entendu la fille (qui était une collègue) rationaliser que c’était un rapport d’autorité entre un homme de pouvoir et la pauvre petite oie blanche qu’elle était à l’époque… C’était pas faux. Je me suis permis de l’envoyer chier quand même.
J’ai connu une étudiante qui a épousé son (vieux) prof, ils ont eu un de ces divorces tumultueux qui font revoler les gros mots, as-tu dit viol, ma chérie ? T’oublies que j’étais là.
Tu comprends pas.
Mais si. Très bien. Il t’a séduite du haut de sa chaire de prof, du haut de son autorité, de l’aura de sa réputation, c’est toi qui as sauté dessus, mais c’est lui qui t’a violée, tu parles que je comprends.
Vous allez hurler. Je connais une fille que son mononcle taponnait, un bien grand désagrément, résume-t-elle, mais un traumatisme ? Pas vraiment. Sauf le traumatisme de… de ne pas avoir été traumatisée.
Vous me faites penser, j’en connais une autre qui n’en faisait pas un plat non plus (ni un plaisir), vous la connaissez aussi, Marguerite Yourcenar, son oncle aussi, je crois…
Où je veux en venir ? À quelques vérités qui n’en sont pas. Non, l’émancipation ne passe pas par une grande chasse à l’homme. Non, on ne guérira pas du viol sur Facebook et Twitter. On en guérira avec le temps qui, en ce domaine comme en tant d’autres, avance à tout petits pas, d’autant plus petits qu’on a coupé dans les cours d’éducation sexuelle.
Si cela fait du bien de parler à une majorité de femmes, d’autres qui n’ont pas envie de raconter leur histoire ne sont pas sans courage pour autant. N’y en aurait-il qu’une seule que cette grande lessive rebute, une seule qui s’étant reconstruite pendant des années dans le secret du cabinet de son psy s’est sentie bousculée – allez, parle, nom de Dieu, parle – une seule, cette chronique est pour elle.

REF.:

Windows : une faille vieille de 19 ans est corrigée !

Remontons dans le temps pour retourner à l’époque Windows 95, il y a 19 ans, une faille est apparue et personne n’ayant remarqué cette faille a fait son petit bout de chemin pendant toutes ces années sur les différentes versions de Windows. C’est aujourd’hui et seulement aujourd’hui que cette faille a été réparée.
Aucune trace d’une utilisation malsaine à grande échelle de cette faille n’a été décelée et pourtant le risque est bien réel. Selon Robert Freeman, un chercheur en informatique d’IBM, on pouvait exécuter du code à distance en poussant l’utilisateur à aller sur une URL bien spécifique.
Cette faille de Windows était exploitable depuis Internet Explorer et sa version 3.0 et ce, jusqu’aux dernières versions encore utilisées à ce jour. Cette fameuse faille à donc fait un petit voyage de 19 ans à travers toutes les versions Windows de ces années soit Windows 95, Windows 98, Windows Millennium, Windows XP, Windows Vista, Windows 7, Windows 8 et même Windows 10 ainsi que toutes les versions servers associées.
Détendez-vous, pas de panique ! Un patch correctif est diffusé par le biais des patchs mensuels effectués par Windows, pour les utilisateurs de Windows Vista, Windows 7 et Windows 8 vous n’avez pas de soucis à vous faire. Quant aux autres versions de Windows, aucun patch ne sera disponible étant donné que Microsoft a arrêté le support de Windows XP et les versions antérieures.
Précisons tout de même que cette faille était très difficile à exploiter et n’était pas accessible à n’importe qui, quoi qu’il en soit, mieux vaut qu’elle n’existe plus ! Ne blâmons pas Microsoft pour cet oubli, aucun dommage n’a été déclaré comme étant issue de l’exploitation de cette faille.
Voilà encore une histoire qui va faire parler et pas en bien du cas Microsoft, c’est bien la première fois qu’une faille de sécurité subsiste aussi longtemps, à moins que d’autres n’aient pas encore été découverte !

Source.:

dimanche 9 novembre 2014

Amazon echo, le cheval de troie d'Amazon ?


Amazon Echo
Amazon Echo
Plus que jamais, le cybermarchand Amazon entend bien prendre sa place au sein de votre résidence en multipliant les annonces de produits électroniques grand public. Dernière en date : le cylindre connecté Echo et l’assistant personnel Alexa.
Visuellement la bête, qu’on ne peut à première vue soupçonner d’être indiscrète, se présente comme cylindre noir de petite taille, que l’on peut placer un peu partout dans une pièce, idéalement dans un endroit passant.
À l’intérieur, se dissimulent sept microphones ainsi qu’un système de diffusion audio sur 360 degrés. Évidemment, toute l’électronique pour se raccorder à Internet en mode Wifi y est aussi présente. Sans compter Alexa. Quelques minutes à bricoler la configuration suffisent à rendre la bête fonctionnelle.
Voici Echo, le dernier gadget d’Amazon. Alexa «elle», se veut la réplique d’Amazon à Siri, l’assistant personnel d’Apple embarqué dans ses téléphones multifonctions.
Donc, sept microphones, mais surtout une technologie qui permet d’interpréter vos commandes vocales, même lorsque Echo diffuse de la musique. C’est tout ce qu’il faut pour qu’Alexa questionne Wikipedia, Wolfram Alpha ou, tiens donc, coquin de hasard, la boutique Amazon, lorsque vous lui posez une question.
- «Alexa, quelle sera la température demain?»
- «Alexa, quelle est la hauteur du Mont-Royal?»
- «Alexa, qui était René Lévesque?»
Avouons-le, ce sont des questions banales, que tous peuvent se poser. Auxquelles, de sa voix quasi naturelle, Alexa répond.
Alexa pourra aussi acquiescer à vos demandes musicales en se branchant sur le service, tiens donc, Amazon Prime Music, iHearthRadio ou TuneIn Plus. Idem pour l’info et les nouvelles, Alexa se voulant plus que coopérative lorsqu’on lui demande une information.
Toutefois, lorsque Amazon affirme que la technologie embarquée au cœur d’Echo apprend au fur et à mesure de vos demandes à vous connaitre et à moduler ses réponses, on ne peut que se méfier. Surtout lorsque les réponses mèneront éventuellement vers une possible décision d’achat de biens ou de services.
Il faut d’ailleurs voir la vidéo promotionnelle du produit, une famille classique, Maman, Papa et les deux enfants qui n’ont de cesse de demander des questions à Echo, pour comprendre un tantinet à quel point, sans être étiqueté (encore) «Big Brother», Echo est un cheval de Troie qui permet Amazon de s’installer confortablement dans votre salon.
Soit, les voix ne sont pas enregistrées et transmises à Amazon. Mais les requêtes de recherche elles, ainsi que les réponses, on ne sait pas trop si Amazon les conservent, en les associant au propriétaire du boitier Echo.
Bref, bienvenue dans l’univers de l’internet des objets, un monde où de plus en plus, nos habitudes de vie seront transmises et auscultées par les commerçants. Echo ne semble pas encore la bête indiscrète que l’on soupçonne, n’empêche que la méfiance a bien meilleur goût.
Echo est pour le moment commercialisé uniquement aux États-Unis pour la somme de 199$.
Amazon echo en détails
Amazon echo en détails
Une parodie d’Alexa


Source.: