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dimanche 4 mars 2012

L'ABC du système de Santé ou Pourquoi les Lobbyistes s'attaque aux CHSLD ?

 
 

La roue ou le cycle du système de santé,ça existe ?
Les zones grises du système de santé ?
 Pourquoi les zones grises(les patients que personne veut) du système de santé ?
Parce que l'État n'a pas le budget pour ça et le refile a d'autres ministère ou organisme qui devra en prendre soin.
Tout est question de Dollard et de budget !
Avec la population veillissante et la masse de vieux qui aura bientôt leurs places en CHSLD (pour les pauvres sans assurance privée ou argent),notre système de santé et les CHSLD devront être mieux inspecté.Déja les Lobby de la Santé ,s'attaque a la nourriture en CHSLD ,alors que jadis s'était la qualité des soins! Le mouvement de la roue est enclanchée!

Parce que le système de santé, des "soins a  domicile",est pour les riches avec une bonne assurance ou bien du cash dans le bas de laine.Les CSSS ancien  CLSC,n'ont pas assez de budget et d'heure a offir en soins a domicile.Les programmes comme "Volet social" ou "chèque emploi service"(que défend a bout de bras "Exaequo" un organisme des droits des handicapés)qui est en fin de compte des subventions de soins de santé a domicile que les CSSS refile aux agences ,car leurs employés ne veulent pas de patients a qui n'ont pas de pansements a faire.Donc, ces cas légers sont refilés au Volet social(Chèque emploi service).
Le problême des heures alloués ou subventionnés par le programme Volet social des CSSS est pour les agences communautaires (Cheap labor)comme Exaequo gère fièrement un banque de PAB en soins a domicile.
Tandis que les Infirmières auxilliaires des CSSS en stage ou en période de "travail Étudiant", autrement dit entre 2 sessions,ont toutes les heures et les patients de choix ,le reste ou autrement dit : les mauvais patients ou cas de clientèle mal engeullée ,va au Volet social ou Chèque emploi service ,avec des employés qui travaille a 10$/hr et qui font des horaires de 1 a 3 hrs par patient.L'enfer quoi !

Donc, les soins devront être mieux administrés ,avec du personnel embauché par l'État et non par des agences,comme semble vouloir faire le gouvernement maintenant !
La volonté actuel des Lobby,est de mettre tout en noir les CHSLD,pour que le peuple voit la situation en noir et que par la suite ,nos ministres passe a l'action en mettant de l'avant leurs programmes teinté de politique(parfait pour une élection provinciale), et de ne pas avoir d'opposition a leurs idées, qui est de mettre dehors les agences pour remettre du personnel engagé par l'État ,et surement de construire encore plus de CHSLD .

Pourquoi plus de CHSLD ? Parce que les cas lourds des maisons(privée) a "cas léger" ,attende de les envoyer dans les CHSLD ! Tout comme Madame lampron qui attend sa place,elle aussi ,sur la liste d'attente ,mettons!
Les cas oubliés,sont les itinérants et les malades mentaux ! C'est ce qu'ont appel la zone grise !Les CSSS les mettent hors circuit,et les refile a un autre organisme,qui devra les prendre en mains

Tout a commencé,lorsque l'on ferma St-Jean de Dieu (internat pour les fous)pour libérer les déficients des centres pour les metttre dans des HLM (supervisé par les CSSS)ou Maison d'acceuil ou centre privé.
Maintenant , le gouvernement construit des RI(résidences intermédiares),c'est la que les itinérants récupérables se retrouve avec d'autres personnes normales,ces maisons regroupes environ 8 personnes que supervise des PAB et infirmières.Lorsque les itinérants sont mits dehors ,pour cause de mauvaise conduite,ils seront retournés dehors et probablement retomberont dans l'enfer de la drogues,du vol,et de redevenir un itinérants que l'ont voit dans nos bouches de Métro!Les cas de Malades mentaux grave seront probablement intercepté par des policiers du SPVM,sinon tuer par accident,semble-t'il !C'est la zone grise ,que le CSSS cré lui-même ,pour cause de budget insuffisant.
Sinon,ils reprendront le chemin de la prison  ,car des centres comme L'Hôpital Douglas est plein et St-Jean de Dieu(internat pour fous) ça n'existe plus !
Autrement dit,les CSSS sont en première ligne,les centres comme CRDI(centre réadaptation pour déficients intellectuels)en 2 ième ligne et l'Hôpital Douglas en 3 ième ligne,la 4 ième ligne c'est rien ou la prison,c'est la que se retrouve le royaume du SIDA et de la Schizophrénie ! Ça c'est le réseau public,le réseau privée lui est supervisé par le gouvernement(éducateur ,travailleurs sociaux des CSSS qui font les visites) et géré par le privé.

Donc,actuellement ,on veut vider les Centres de réadaptations et les Maisons d 'acceuil a "cas léger", de leurs "cas lourds",pour les envoyer dans les CHSLD ! Les 0-18 ans seront chez leurs parents a  domicile et 18 ans + en centre de réadaptation gouvernemental.Les CSSS les évalueront pour les référer a l'Hôpital Douglas ou en CRDI,sinon une viste des Travailleurs sociaux ou spécialistes des CSSS sera faîtes a domicile.Si la société ou les responsables (CSSS)qui les ont en charge les rejette pour problême de comportement ,il retourneront dans l'itinérance,dans la drogues,la criminalité,maison de jeunes,maison de crise etc.............,sinon la prison,les gardera en vie ,tant que les forces de l'ordre ne les laisseront pas mourir a eux-même.

Actuellement ont réintègre des anciens criminels et itinérants en RI(résidence intermédiare)pour qu'ils puissent garder un logement et soient encadrés pour bien gérer un budget et des bons comportement dans un RI ,qui est en fin de compte une sorte de co-op d'habitation ,mais on en retrouve aussi en HLM(loyer prix modique de la ville de mtl).Ces "RI" sont un investissement récent du gouvernement . Il ne reste qu'un investissement dans le secteur des CHSLD pour boucler la boucle et pour que les centres,maison d 'acceuil etc.... soient désengorgés . Il ne faut plus se fier sur un méga centre comme St-Jean de Dieu,qui n'existe plus; les gens sont dans des maisons privées,ou dans la rue,un point c'est tout ! Alors, ne tomber pas invalide,sinon ,sans aidants naturels de votre entourage ou de votre famille,vous allez atterir dans les bras du gouvernement, et de la curatel publique Il y a même des Lobbyistes qui vous vendront l'idée du suicide assisté,...........il vous mettront un beau mot pour vous le vendre et pour faire sauver de l'argent au système de santé endetté.Alors, la ,ont est rendu des animaux engraissés dans des cages a poule,habitant des poulaillés subventionnés.A ce stade........................ l'Humain avec un grand H n'existe plus et nous sommes tous athé !
A trop vouloir épargner de l'argent ,ou a trop en dépenser ,ou tout être humain est une valeur monétaire pour l'état,les habitants de l'Île Mystérieuse qui utilise encore leurs cortex préfrontal arrêteront de faire des enfants ,tout comme les boomers ont arrêter de le faire.Mais pour que la $ociété survive il faut plus de taxes,et plus de piastre ,donc plus d'enfants,et la vie ça pas de prix et la société vaut tant qu'a elle rien,................sinon la valeur que vous lui donner ou la valeur que les Lobbyistes Athés vous inculquerons ! Si vous arrivez a voir votre valeur en argent,c'est que vous êtes aveugle d'esprit.


REF.: Google est ton ami,

vendredi 2 mars 2012

Condamner un innocent ,ça arrive plus souvant que vous pensez

Condamner un innocent - Accusée de témoignage contradictoire
 
© Shutterstock

MONTRÉAL - Une femme, dont le témoignage avait contribué à faire condamner un innocent de double tentative de meurtre, est maintenant accusée d'entrave à la justice et de témoignage contradictoire. Benjamin Hudon-Barbeau avait été condamné à 12 ans de prison en novembre 2010 en lien avec deux meurtres survenus au bar Upperclub, en octobre 2006 à Montréal. Ce soir-là, une dispute avait éclaté dans le bar du boulevard Saint-Laurent, et deux victimes avaient été criblées de balles.
Kim Lamoureux, maintenant âgée de 28 ans, avait livré un témoignage lors du procès, jurant avoir vu l'accusé décharger une arme à feu sur des individus. Hudon-Barbeau avait choisi de ne pas témoigner lors du procès.
La cause avait été portée en appel et Kim Lamoureux était alors revenu sur son témoignage, disant avoir été victime de pressions policières. Faute de preuve supplémentaire à présenter devant le tribunal, Hudon-Barbeau avait finalement été acquitté le mois dernier.


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Transport Québec permet d'encaisser directement des chèques dans son compte de banque ?

Fraude de 180 000 $ au MTQ - La prison réclamée pour Emmanuel Colombe
Emmanuel Colombe. 
© Agence QMI / Archives
Fraude de 180 000 $ au MTQ

La prison réclamée pour Emmanuel Colombe

QUÉBEC - La Couronne a réclamé entre 15 et 18 mois de détention ferme pour Emmanuel Colombe, cet ancien fonctionnaire de Transports Québec qui a fraudé pour près de 180 000 $ son ministère alors qu'il était à l'emploi du défunt Centre de signalisation.
C'est du moins ce qu'a exigé, lundi, Me Guillaume Michaud, s'appuyant notamment sur la «planification» des fraudes «importantes», perpétrées sur une période de trois ans. Rappelons que l'individu, d'origine française, avait réussi à amasser 179 188 $ en commettant des fraudes à 64 occasions, entre 2005 et 2008.
C'est qu'à peine deux mois après son embauche au Centre de signalisation de Québec, l'accusé de 39 ans, qui gérait les factures et les comptes-clients, avait réussi à trouver une faille dans le système qui lui permettait d'encaisser directement des chèques dans son compte de banque. Ces «gains» servaient notamment à payer des services de prostitution, a-t-on pu apprendre, lundi.
Démasqué
L'accusé n'avait été démasqué qu'au moment de la fermeture du Centre de signalisation, en décembre 2008. Les états financiers effectués à cette époque avaient permis de faire la découverte de fausses factures pour des travaux qui, après vérification, n'avaient jamais été réalisés par lesdits clients.
Emmanuel Colombe, qui avait perdu son emploi par la suite, avait été condamné, en février 2010, à rembourser l'ensemble des sommes volées. Un règlement entre les parties avait toutefois permis de diminuer le versement à 90 000 $, une somme remboursée en mars de la même année.
Éviter l'expulsion
De son côté, l'avocat de la défense a milité en faveur d'une peine dans la collectivité pour son client, avec la possibilité de rembourser les sommes restantes si le juge le décide. Me Christian Bélanger a tenu à informer le magistrat qu'une peine de détention ferme pourrait forcer l'accusé à être expulsé du pays, lui qui ne détient que sa résidence canadienne.

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Suivre son brossage de dents... à la trace!


Appareil Bluetooth - Suivre son brossage de dents... à la trace!
 
© Courtoisie Beam Brush

Les consommateurs accros aux statistiques personnelles ont à leur disposition une foule de gadgets leur permettant de suivre leur santé et leur sommeil. Désormais, ils pourront également tenir un journal de leur hygiène bucco-dentaire avec une nouvelle brosse à dents Bluetooth et son application dédiée, à sortir le mois prochain.
Les blogues technologiques comme Mashable et GigaOm s'en sont abondamment fait l'écho ces derniers jours: la start-up Beam Technologies va dévoiler sa Beam Brush aux États-Unis courant mars. Cette brosse à dents contient un capteur, qui lui permet d'enregistrer des statistiques sur la longueur et la précision de vos brossages quotidiens et, grâce à sa compatibilité Bluetooth et à une application Android dédiée, de les communiquer à votre téléphone intelligent.
L'application enregistre l'historique de vos brossages et diffuse de la musique pendant les deux minutes recommandées pour chaque séance. Des versions ultérieures pourraient mesurer également quelles dents vous brossez le plus et sur quelles zones vous devriez vous appesantir davantage.
La semaine dernière, le site spécialisé dans les technologies appliquées à la santé MobiHealthNews a signalé que des chercheurs de la Rice University, au Texas, développaient eux aussi un modèle de brosse à dents intelligente, capable de déterminer pendant combien de temps vous vous brossez les dents, quel type de brossage vous pratiquez, et pour quel résultat.
L'an dernier, la start-up GreenGoose a quant à elle lancé un appareil qui permet de placer un capteur sur n'importe quelle brosse à dents, pour mesurer combien de fois par jour vous vous brossez les dents et pendant combien de temps.

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jeudi 1 mars 2012

90 usines a faux diplômes au Canada

Des centaines de Canadiens achètent des bacs, des maîtrises, des doctorats de fausses universités.

D'autres paient très chers des diplômes qui ne valent rien au Canada et réussissent à berner des employeurs.

Enquête sur une fraude qui ne semble inquiéter personne, pas même le Ministère de l'éducation.

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Maintenir le taux d’imposition maximal pour encourager le travail et maximiser les entrées fiscales

On entend dire régulièrement qu’il suffit de taxer les riches pour financer les projets de l’État. Pauline Marois, par exemple, tentait récemment de nous convaincre qu’une hausse du taux d’imposition des plus fortunés contribuerait au financement de la santé.

Le problème avec cette idée de génie, c’est qu’elle ne fonctionne pas. L’expérience récente du Royaume-Uni, laquelle s’ajoute à une longue liste d’expériences similaires, le confirme.

L’an dernier, le Trésor britannique a relevé de 40 à 50 % le taux d’imposition des contribuables touchant un revenu annuel de 150 000 £ ou plus (environ 235 000 $ CA). À la suite de cette initiative, qui devait rapporter 2,5 milliards £ à l’État, on a plutôt observé une chute des recettes fiscales de 500 millions £.

Ces chiffres ont semé la consternation. Pourtant, voilà près de cinq siècles que les économistes ont compris qu’il existe une relation inverse entre les taux d’imposition élevés et les entrées fiscales.

Au XVIe siècle, l’économiste français et conseiller de Henri IV, Barthélémy de Laffemas, avait déjà constaté que plus on taxe les riches, moins ils paient d’impôts. C’est d’ailleurs lui qui serait l’auteur de la formule « les hauts taux tuent les totaux ». Puis, en 1844, ce fut au tour de Jules Dupuit, ingénieur et économiste français, d’observer le même phénomène. Plus récemment, pendant les années Reagan, l’économiste américain Arthur Laffer s’est fait connaître pour sa formule « trop d’impôt tue l’impôt ».

Quand la classe politique préconise une hausse du fardeau fiscal, elle part de l’hypothèse que pareille mesure sera sans effet sur le comportement des contribuables. Or, si on peut soumettre les gens à un taux d’imposition plus élevé, on ne peut les forcer ni à travailler ni à investir. On ne peut non plus empêcher les riches de placer leur argent ailleurs dans le monde. En pratique, trop d’impôt tue le travail et fait fuir les riches.

À cet égard, l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), en vigueur en France, est instructif. Depuis les années 1990, plusieurs dizaines de milliers de fortunes françaises ont été expatriées, privant ainsi le Trésor public de 12 à 15 milliards d'euros de recettes par an. En revanche, quand les taux ont été allégés et que 300 000 contribuables ont été exonérés, les recettes de l’ISF ont moins diminué que prévu. Simple coïncidence?

Nos dirigeants tirent-ils des leçons des enseignements de l’Histoire? Évitent-ils de reproduire les erreurs du passé? Pas du tout! Ils continuent de nous servir de vieux clichés sans fondements économiques et de nier une réalité connue depuis fort longtemps. Pourquoi? Tout simplement parce que faire la chasse aux riches est politiquement très vendeur.

Comprenons-nous bien. S’il faut maintenir le taux d’imposition maximal à un niveau raisonnable, ce n’est pas pour accorder un privilège aux riches. C’est pour encourager le travail et maximiser les entrées fiscales, et ainsi épargner la classe moyenne. Pensez-y bien, si les riches se sauvent pour éviter un impôt confiscatoire, dans les poches de qui l’État pigera-t-il sinon dans celles de la classe moyenne?

REF.: Nathalie Elgrably-Lévy est économiste senior à l'Institut économique de Montréal.
* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Québec.


Le cowboy de la construction ou des commandites ?


 L'arrivé du cowboy au Palais de justice de Jocelyn Dupuis, pas de chapeau,ni cheval,ressemble étrangement a celle de Charles Guité  !
 L’ancien dirigeant de la FTQ-Construction Jocelyn Dupuis est ­revenu en cour pour la première fois hier depuis son arrestation en 2010, alors que l’ex-syndicaliste a ­commencé à subir son enquête ­préliminaire à Montréal.
Dupuis est accusé de fraude, fabrication de faux documents et incitation à ­commettre une infraction.
Il est soupçonné d’avoir floué la FTQ de plusieurs dizaines de milliers de dollars en 2007 et 2008 en présentant notamment de fausses factures de restaurant.
Il aurait également incité le comptable de la FTQ-Construction à fabriquer une fausse facture pour rembourser des ­fenêtres installées chez un autre dirigeant de la centrale syndicale.

 REF,:










OU


L’ancien responsable du programme des commandites, Charles Guité portait son chapeau de cowboy, hier, en quittant le Palais de justice de Montréal où il a comparu en compagnie du président de Groupaction, Jean Brault .Ils avait plaidé non coupables de complot et de fraudes totalisant 1,9 million dans les affaires des commandites et des armes à feu

Ref.:  Le Devoir,

Autres cowboys morts au combat :
Des firmes coupables, Les As d’amusement, Camping terrasse St-Marc et Camping de la Diable, sont liées à une seule et même personne, Stéphane ­Lefebvre, un homme d’affaires qui possède une luxueuse résidence à Terrebonne.

 Garage Lefebvre (1994) enr., 9085-7913 Québec inc., Les Couvertures Nationales inc. et Les Peintres Aljomax inc., ainsi qu’un ­individu, Sébastien Quiet, se sont aussi ­reconnus coupables d’évasion fiscale.

 Le principal coup de filet a été l’arrestation de Ronald Chicoine, 58 ans, considéré par les enquêteurs comme la tête dirigeante d’un réseau de fraude. Il a été condamné, en décembre dernier, à passer 45 mois derrière les barreaux.

 Un autre individu, Jean-François Cantin, administrait à lui seul 65 entreprises qui n’étaient en fait que des « coquilles vides » destinées à émettre des fausses factures. Il a été condamné, le 16 juin 2010, à purger trois ans d’emprisonnement.


En octobre 2010, trois entreprises et trois personnes ont plaidé coupable pour avoir produit de fausses déclarations de ­revenus. Elles ont écopé d’amendes ­totalisant près de 138 000 $.
Auparavant, le 8 juin 2010, l’entreprise Isolation Y.G. Ippersiel inc., de Mirabel, a reconnu avoir trompé le fisc. Elle a dû payer des amendes de presque 50 000 $.
Aussi, en janvier 2010, trois autres firmes se sont vu imposer des amendes de 63 000 $.


REF.: