Rechercher sur ce blogue

lundi 13 février 2012

La Police de la STM fait pas son JOB,la routine s'installe donc !







Ici Pierre-Jean,avec Jacque line, qui n'ont surement pas vu les ados a Berri ,ni a Charlevois ,ni a Angrignon,le règlement R-036 ils ne connaîssent pas ça ? Arrête dla cruiser et travaille !

Cas recencé depuis plusieurs mois a Berri-UQAM,ligne verte direction Angrignon,par une pseudo gagne de rue,de pseudo ado,pseudo do,Rémi,fuck,La,sida !
La rencontre des Ados a lieu vers 14:40 hrs chaque jour de la semaine (tu voit les mêmes Estrie d'affaire que moi dans ta caméra que tu as acheter pour nous et que je paye encore),lorsque tout les ado sont rassembler,ils embarquent dans le wagon de Tête,et lorsque le train part de Berri-UQAM,ils ouvre les portes pour freiner le train.Ce qui cause des arrêts et perte de temps ,sans compter les personnes âgées qui se retrouve avec des hanches fèlées.De temps en temps un contrôleur de train sort de wagon de tête pour faire sont wouèreux et pas plus ,aucun avertissement envers ces mineurs,ou tout est permis,le Ouèrnement viens d'injecter 7 Millions $ de pesos ;-) pour l'intimidation,alors faut sourtout pas que la STM les intimide,..............sauf les étinérants !
Estrie de société des Tas,.................si au moins ça se passerait en Estrie ,ça se passe de commentaires !

Ils se parlent dans le wagon,tout le monde et le leader(un gros gars de race noir foncée)les fait rire.Plusieurs descende a la Station Charlevois et stop le train une seconde fois........,frappe aux portes et vitres du train.Le reste de la gagne (la moitié)descende a Angrignon.Ils ont eut de fun ,mais pas les
700 000 autres personnes de cette journée la !
On a beau rouler a 76 Km/Hr ,mais ça ralenti beaucoup quand c'est les ados qui force les portes du métro ! Chaque année, une centaine de blessures sont rapportées.
 Les 160 agents de surveillance qui patrouillent le réseau chaque jour,ne font pas bien leur travail !
Vous voulez faire mieux qu'eux,appliquer sur ce poste ICI , ils vont vous engager car ceux-la ne font visiblement pas l'affaire ! Si au moins le Dou-Dou-Dou du métro (bruit des hacheurs de courant du Métro)nous calmeraient !


    
La somme de ces retards représente plus de 14 heures par an.670 000 clients seront en retards de 5 minutes et plus a cause de problêmes de portes en 2010,en 2011 plus en 2012 plus plus,car ça dort au gaz !
Ce n'est pas étonnant quand on sait qu'à chaque minute, 2 500 portes de voitures de métro s'ouvrent ou se ferment. Ainsi, tout retard a des conséquences directes pour le client : correspondances manquées et temps de déplacement plus long.
C'est une infraction en vertu du règlement R-036
Le pictogramme apposé sur les portes du métro vous rappelle l'interdiction de retenir les portes. En raison des risques qu'on peut associer à ce comportement, il est interdit, en vertu du règlement R-036, d'empêcher ou de retarder la fermeture d'une porte d'un véhicule. Quiconque contrevient à cet article est passible d'une amende avec ou sans frais de 150 $ à 500 $.


REF.: tu regardera toi même,

dimanche 12 février 2012

La fiscalité des justes: La justice fiscale d'Obama

Présidentielle - Obama propose un budget 2013 empreint de justice fiscale
Barack Obama 
© JIM WATSON / AFP

Obama propose un budget 2013 empreint de justice fiscale

WASHINGTON - Barack Obama va envoyer lundi un budget 2013 empreint de justice fiscale au Congrès dominé par ses adversaires républicains, à moins de neuf mois de la présidentielle lors de laquelle il espère obtenir un nouveau bail de quatre ans à la tête des États-Unis. Dans la lignée de son discours sur l'état de l'Union, M. Obama va préconiser d'augmenter la fiscalité sur les plus riches afin de reconstruire selon lui l'économie américaine sur des bases saines, au moment où une reprise du marché de l'emploi laisse espérer une embellie après la récession de 2007-2009.
Face au Congrès, il avait souhaité le 24 janvier le rétablissement d'une économie où «tout le monde a une chance, où tout le monde fait son dû, et tout le monde joue selon les mêmes règles».
Cette proposition de budget, qui risque fort de se heurter à l'hostilité des républicains majoritaires à la Chambre des représentants, s'inscrit aussi dans la continuité des accords sur la lutte contre les déficits conclus avec les parlementaires en 2011, avec une baisse des dépenses de 1000 milliards de dollars sur dix ans.
Au chapitre des revenus, elle inclut la mesure vedette souhaitée par M. Obama lors de son discours sur l'état de l'Union, la «règle Buffett» du nom du multimilliardaire américain Warren Buffett, qui veut que les foyers aux revenus supérieurs à un million de dollars par an ne soient pas assujettis à un taux d'imposition inférieur à 30%.
Le président souhaite aussi laisser expirer pour les plus aisés les cadeaux fiscaux consentis par son prédécesseur républicain George W. Bush en 2001 et 2003, effectuer 360 milliards d'économies dans les dépenses sociales et couper de 5% les dépenses militaires par rapport à l'année budgétaire en cours, conformément à un plan déjà acté par le Pentagone.
En éliminant des niches en faveur des sociétés pétrolières, gazières et charbonnières, le plan budgétaire vise 41 milliards de rentrées fiscales supplémentaires en dix ans.
Il prévoit de mettre les banques à contribution au titre de leur responsabilité dans la crise financière de 2008 via un prélèvement extraordinaire censé rapporter 61 milliards de dollars, toujours sur dix ans. Mais cette proposition date déjà de deux ans et n'a jamais été examinée par le Congrès, même à l'époque où les alliés de M. Obama y étaient majoritaires.
Stimuler l'emploi
Côté dépenses, la proposition de budget prévoit plus de 350 milliards de dollars pour stimuler l'emploi et 476 milliards pour les infrastructures.
Elle envisagera un déficit de 901 milliards pour l'année budgétaire 2013, qui débutera le 1er octobre prochain, un mois avant l'élection présidentielle lors de laquelle M. Obama remettra son mandat en jeu. Cette somme représente 5,5% du produit intérieur brut des États-Unis.
Dans le même temps, la Maison Blanche a une nouvelle fois revu à la hausse ses prévisions de déficit pour l'exercice budgétaire en cours, qui atteindra 1330 milliards de dollars, soit 8,5% du PIB, selon elle. Début septembre, elle espérait encore le contenir à 956 milliards de dollars, 6,1% du PIB.
En présentant ces données vendredi, la Maison Blanche s'est refusée à donner ses estimations de croissance et de chômage, des données qui peuvent grandement influer sur les équilibres.
Ces estimations pourraient évoluer à la lumière d'une reprise de l'emploi apparemment plus vigoureuse que prévu: le taux de chômage officiel est tombé à 8,3% de la population active en janvier, une baisse de 0,4 point en deux mois, mais encore loin du niveau de début 2008, à 5%.
M. Obama a prévu de présenter son budget lundi aux Américains lors d'un déplacement à Annandale, dans le nord de la Virginie (est), non loin de Washington.




REF.:

Faut investir 17 millions $ pour contrôler l'intimidation chez les "Y

En Effet la génération Y , a des probl^mes de comportement! Des caméras dans les bus de la STM,au caméras dans le belle ville de Montrèal, et j'en passe!
Maintenant c'est :

Le gouvernement Charest a annoncé dimanche de nouvelles mesures contre l'intimidation dans les écoles.

Il débloquera 3 millions $ pour mettre sur pied une nouvelle campagne nationale de publicité diffusée notamment à la télévision et sur le web.
Quebecor et Télé-Québec ont déjà manifesté leur intention de participer à la cause et devraient diffuser trois messages d'une minute, sur le thème «l'intimidation, c'est fini. Moi, j'agis».
La ministre de l'Éducation Line Beauchamp a également confirmé la poursuite du plan d'action instauré en 2008 visant à instaurer un système de monitorage de la violence dans les écoles. Le programme qui a coûté 17 millions $ depuis son instauration continuera d'être financé à la hauteur de 6 millions $ par année.
Un appel à la mobilisation
Cette campagne est «un appel à tous les Québécois, afin de faire disparaître un phénomène qui existe depuis toujours, mais que nous ne pouvons plus tolérer», a déclaré dimanche Jean Charest.
Le premier ministre a tenu à rappeler que les efforts ne se feraient pas seulement dans les cours d'écoles, mais aussi auprès des parents des victimes d'intimidation. La sensibilisation concernera aussi les jeunes intimidateurs.
Line Beauchamp a invité les membres du personnel scolaire, les députés, les élus municipaux, les chefs syndicaux et d'organismes sociaux à signer la Déclaration québécoise d'engagement contre l'intimidation et la violence. Ce document appelle les signataires à intervenir directement lorsqu'ils sont témoins d'intimidation.
« Des études sur le sujet ont révélé que neuf fois sur 10 les actes d'intimidation se font devant un public et que les deux tiers du temps, il est possible d'arrêter ce phénomène s'il y a intervention immédiate », a affirmé la ministre.
Le ministre de la Sécurité publique Robert Dutil et le ministre de la Santé et des Services sociaux Yves Bolduc ont tous deux fait connaître leur volonté de faire front commun pour sensibiliser et informer la population québécoise.
Une nouvelle législation
La ministre Beauchamp a aussi annoncé son intention de déposer, dès la reprise des travaux parlementaires à l'Assemblé nationale, un projet de loi afin de modifier la Loi sur l'instruction publique et la Loi sur l'enseignement privé afin d'établir des balises et d'intégrer une notion d'obligation d'intervention en cas d'intimidation. Le contenu de la loi devrait être révélé la semaine prochaine.


Un pas vers la solution Les réactions ont rapidement déferlé à la suite de l'annonce de la nouvelle stratégie de lutte contre l'intimidation à l'école du gouvernement Charest.
C'est un pas vers la solution, ont reconnu la présidente de l'Association québécoise des directions d'écoles du Québec, Danielle Boucher et le président de l'Association montréalaise des directions d'établissement scolaire, Gaétan Neault.
«Nous sommes prêts à travailler avec ces outils proposés, et nous sommes persuadés que l'ajout de nouvelles ressources nous permettra de lutter contre l'intimidation et la violence à l'école», a affirmé Danielle Boucher.
«Ces mesures permettront de mieux faire prendre conscience aux jeunes que cette violence mine la réussite de tous les élèves et qu'elle affecte ces jeunes pour la vie», a ajouté M. Neault.
La Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement (FQDE) a salué les bonnes intentions du gouvernement, mais a émis des réserves sur les répercussions attendues. «Sans ressource directe dans l'école, la stratégie ne sera qu'un nouveau vœu pieux du gouvernement», a lancé Chantal Longpré, présidente de la FQDE.


Un roman pour contrer l'intimidation
Dominique Hardy / Agence QMI Une auteure du Lac-Saint-Jean s'est inspirée de 120 témoignages de victimes d'intimidation pour écrire son nouveau roman, «Les coulisses de l'intimidation», visant à contrer ce fléau qui laisse des traces durant la vie adulte.
«J'ai vécu l'enfer», confie Chantale Potvin, elle-même victime de ce phénomène amplement dénoncé ces derniers mois. Lorsqu'elle était jeune, ses camarades de classe se moquaient de sa tache de vin au visage en plus de la comparer à sa sœur jumelle. Par chance, elle avait son grand frère pour veiller sur elle. Mais tout le monde n'a cependant pas cette chance.
«Le but du roman, c'est de dire aux gens comment ça laisse des traces toute une vie, l'intimidation», explique-t-elle. L'histoire tourne autour d'un personnage fictif, Michel, âgé dans la cinquantaine, qui tente de reconstruire sa vie après avoir été victime d'intimidation dans sa jeunesse.
«Depuis le début de l'écriture, il y a un an, je me suis rendu compte que tout le monde est concerné par ça, souligne Chantale Potvin, aussi enseignante au secondaire. On a beau ne pas en avoir vécu, on en a été témoin, on en a fait subir», selon elle.
Elle a été touchée par le témoignage d'un homme de 32 ans qui a plus tard mis fin à ses jours, incapable de chasser les marques de l'intimidation dans son enfance.
«J'espère qu'un réalisateur de film se penchera aussi sur la question», souhaite-t-elle. «Les coulisses de l'intimidation» est notamment disponible sur le site web de l'auteure www.chantalepotvin.com.


REF.: