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mardi 9 juin 2009

Ou se trouver 185,000$ pour une petite réunion ?

Aller voir la Fédération des CEGEPS !

Les cégeps ont beau se plaindre d'être sous-financés, ils ont transféré cette année 3,3M$ de fonds publics à leur lobby, dont 185 000$ uniquement pour tenir les réunions d'au moins 70 comités.

Votre opinion

  • Pensez-vous que l’existence de la Fédération des cégeps et tous ses comités sont nécessaires ?
  • Après avoir refusé de rendre publics ses états financiers, en avril dernier, la Fédération des cégeps s'est ravisée.

    L'organisme, qui est subventionné par les contribuables à plus de 90%, a accepté d'ouvrir ses livres et de répondre aux questions du Journal «par souci de transparence et pour démontrer qu'on n'a rien à cacher», explique la porte-parole de la Fédération, Caroline Tessier.

    Celle-ci a révélé que les 48 cégeps ont versé à leur lobby des cotisations totalisant 3,36 M$, en 2008-2009.

    Trop de comités?

    Grâce à une demande d'accès à l'information acheminée à tous les cégeps, le Journal a appris que 185 000$ ont ainsi été consacrés à la tenue de réunions.
    C'est sans compter les cinq «commissions» de la Fédération, ses «instances», en plus des trois «comités mixtes» sur lesquels siège l'organisme aux côtés du ministère de l'Éducation et d'Emploi-Québec.

    Frais de fonctionnement

    En plus du coût de ces réunions, les cotisations versées par les cégeps servent essentiellement à payer les «éléments de fonctionnement» de la Fédération, dont le salaire de ses 48 employés. Ceux-ci sont rémunérés selon les mêmes paramètres que les fonctionnaires «d'un cégep de taille moyenne», dit Caroline Tessier.

    Ces révélations surviennent alors qu'à plusieurs reprises au cours de l'année 2008-2009, les cégeps ont dénoncé leur sous-financement. Jusqu'à ce qu'Ottawa et Québec augmentent leurs investissements dans le réseau collégial, il y a quelques mois, la Fédération des cégeps évaluait à 305 M$ la somme dont les institutions avaient besoin pour «combler leur déficit de services.»

    FONDS PUBLICS PERÇUS PAR LA FÉDÉRATION AUPRÈS DES CÉGEPS

    2 458 938$ Cotisation régulière (salaire, loyer, frais de fonctionnement, etc.)

    185 000 $ Tenue des réunions

    70 000 $ Fonds de redressement (pour absorber une dette contractée par la Fédération)

    382 128 $ Fonds de négociations (pour défrayer les frais de négociations et l'interprétation des conventions collectives)

    80 390$ Portail de recrutement (gestion d'un site Web où sont affichées les offres d'emploi du réseau collégial)

    LES 5 CÉGEPS QUI ONT PAYÉ LA «COTISATION» LA PLUS ÉLEVÉE

    133 804,28$ Cégep de Sainte-Foy

    128 648,15 $ Cégep Dawson

    124 339,71 $ Cégep Édouard-Montpetit

    123 399,47$ Cégep du Vieux-Montréal

    113 906,68 $ Collège de Maisonneuve


    «C'est la bureaucratie qui dérape»

    La ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, reconnaît que l'existence de plus de 70 comités qui «gravitent» autour de la Fédération des cégeps peut sembler exagérée.


    La Ligue des contribuables du Québec critique vivement l'existence de tous ces comités et les frais de réunions qui y sont rattachés.

    «C'est la bureaucratie qui dérape», lance la porte-parole de la Ligue, Claire Joly.

    «Je ne vois absolument pas en quoi tous ces comités pourraient être nécessaires», dit-elle.

    «Le bon sens nous dit que, pour offrir de bons services à ses étudiants, un cégep n'a pas besoin de toute cette structure», estime Mme Joly.

    La ministre de l'Éducation se réjouit néanmoins que la Fédération des cégeps ait accepté de rendre publics ses états financiers. «Ça rejoint le désir de la ministre d'avoir plus de transparence», dit son attachée de presse.


    REF.:Canoe

    jeudi 4 juin 2009

    Cette homme est un prophète du 21 ième siècle


    Le grand Gourou-coucou, Michael Moore!

    Michael avait prédit les déboires de l'industrie automobile,qui arriva en 2009,a la grandeur de la planète stie !

    Roger et moi (Roger & Me) est un film documentaire américain réalisé par Michael Moore en 1989. Il s'agit du premier documentaire de Michael Moore.

    Il relate la suppression de 30 000 emplois dans les usines de General Motors dans la ville natale de Michael Moore, Flint dans le Michigan, ainsi que les conséquences sur la ville et sa population.

    mercredi 3 juin 2009

    Pourquoi GM est en faillite ?

    GM est en faillite. Mais, contrairement aux individus et aux petites entreprises qui se retrouvent sur la paille quand ils ont mal géré leurs finances, le géant de l'automobile, qui s'est entêté à produire des monstres énergivores alors que la plupart des automobilistes se tournaient vers les petites japonaises), va avoir droit à un BS de luxe.

    C'est ce qui s'appelle être en voiture.

    Tu te pètes la gueule par TA PROPRE faute, et le gouvernement ramasse TES dégâts, éponge TES dettes et paie pour TON hospitalisation.

    UN PUITS SANS FOND

    On critique beaucoup la cupidité des directeurs d'entreprises ces temps-ci, et avec raison. Mais qu'en est-il des gros syndicats ?

    Pour David Lewis, historien à l'Université du Michigan, l'un des principaux responsables de la crise qui frappe Détroit est le puissant syndicat des travailleurs de l'automobile, le United Auto Workers Union (UAW).

    «Le UAW était très gourmand, et les constructeurs automobiles lui donnaient tout ce qu'il voulait de peur d'être paralysés par une grève», a expliqué l'historien au magazine Maclean's en novembre 2008.

    Année après année, les demandes de l'UAW augmentaient, et année après année, les constructeurs automobiles capitulaient.

    DES COÛTS ASTRONOMIQUES

    Selon Maclean's, seulement en frais d'assurance santé pour ses employés, GM dépense sept milliards de dollars par année.

    C'est plus que son budget annuel pour acheter de l'acier !

    Et qui paie pour ça? Le consommateur. On a calculé que le coût des programmes d'assurance santé des employés de l'entreprise ajoute 1 500 $ au prix de chaque automobile GM. Comment pouvez-vous rester compétitif dans de telles conditions?

    La situation est telle qu'on pourrait dire que GM n'est pas un constructeur automobile, mais une machine qui paie des avantages sociaux et des caisses de retraite (de 1993 à 2007, GM a déboursé 103 milliards $ pour payer les pensions de ses employés retraités).

    Vous trouvez ça normal?

    DES VERS SOLITAIRES

    Je ne veux pas passer pour un antisyndicaliste primaire, mais à ce que je sache, les syndicats ne sont pas au-dessus de toute critique.

    On a parfois l'impression que certains gros syndicats se comportent comme des vers solitaires. Ils bouffent les entreprises de l'intérieur, jusqu'à ce qu'elles crèvent.

    Le hic, c'est que, lorsque l'entreprise meurt, ses employés meurent itou.

    Mais bon, qu'est-ce que ça fait aux gros syndicats, hein? Il y a d'autres entreprises à infiltrer, d'autres luttes à mener...

    Le ver abandonne le cadavre de son hôte défunt et part à la recherche d'un autre corps chaud où se lover...

    Actuellement, GM doit 27 milliards de dollars à ses actionnaires, et 10 milliards au syndicat. Or, les actionnaires recevront 10%des actions de la «nouvelle GM restructurée», et le syndicat, 39%.

    Comme je disais, c'est ce qu'on appelle être en voiture.


    REF.:Richard Martineau,canoe

    Cet animal vous doit $100,000.00


    Benoît Corbeil, ancien directeur général de l'aile québécoise du Parti libéral du Canada (PLC), est disposé à plaider coupable à des accusations de fraude, de complot pour fraude et de trafic d'influence pour lesquelles il avait été arrêté en avril 2008.

    C'est ce qu'a indiqué son avocat, aujourd'hui, devant la juge Elizabeth Corte de la Cour du Québec. Se rendant à sa suggestion, M. Corbeil, âgé de 45 ans, a accepté de réfléchir encore quelques jours à son plaidoyer, a relaté Me Michel Grenier.

    C'est à la suite d'un examen serré de la preuve montée par des policiers de la Gendarmerie royale du Canada que Benoît Corbeil a pris sa décision qui devrait être annoncée le 6 mai. Suivront les plaidoiries visant à déterminer la sentence.

    Les accusations de fraude et de complot pour fraude visant Benoît Corbeil concernent directement ses activités au Parti libéral, où il occupait le poste de directeur général de l'aile québécoise de 1997 à 2001.

    Il est accusé d'avoir comploté, en 1999 et 2000, avec Giuseppe Morselli (militant du PLC et proche de l'ex-ministre Alfonso Gagliano) et Alain Renaud (militant très actif du Parti libéral et démarcheur au profit de Jean Brault auprès du fédéral) pour autoriser des fausses factures d'une valeur de près de 100 000 $.

    L'accusation de trafic d'influence a trait à des représentations faites auprès d'un propriétaire d'une carrière désireux d'agrandir ses activités en achetant un terrain de propriété fédérale.

    * Ostie d'Crosseur !


    REF.:Canoe

    vendredi 22 mai 2009

    3 jeunes de Montreal-Nord,chercheraient une Mini-van ou une RAV4, pas chère ???

    Aînés - Violence - Une victime marquée à vie
    Mme Taylor-Gregory, 69 ans, se remet péniblement de l’attentat sauvage dont elle a été victime en 2005.


    «Ces jeunes-là n'ont pas d'âme. Ils n'ont pas appris le Bien et le Mal. Avant de m'attaquer, ils riaient. Celui qui avait 13 ans m'a dit : 'Bonjour, madame !' Et son ami m'a poignardée trois fois...»

    Au lendemain de la mort d'une femme sauvagement battue par trois adolescents à Montréal-Nord, une autre victime de la violence des jeunes a raconté, hier, avoir été très ébranlée par ce drame humain.

    Martha Taylor-Gregory aura très bientôt 69 ans. Et quatre ans après avoir été attaquée, elle aussi, à Montréal-Nord par quatre adolescents, elle n'arrive toujours pas à oublier.

    «Je serais morte comme cette pauvre femme, si j'avais bougé après être tombée. Mais ils ont dû croire que j'étais déjà morte. C'est ce qui m'a sauvée», dit-elle, les larmes aux yeux.

    Un discret petit crucifix pendu à son cou, Martha Taylor-Gregory se déplace difficilement, appuyée à une marchette.

    Ce jour-là du 5 janvier 2005, «je déglaçais les vitres de l'automobile de mon fils, parti en vacances, quand j'ai remarqué ces jeunes dans une camionnette.»

    «C'est le plus jeune qui était au volant. Il est descendu et m'a saluée.»

    «Le petit m'a dit bonjour encore; je lui ai répondu encore, en riant. Aussitôt un plus grand m'a pris au cou et m'a poignardée une fois, deux fois, trois fois!»

    «Ma marchette est tombée. Ils m'ont jetée à terre et ils m'ont donné un coup de pied au visage. Puis ils ont volé l'auto et sont partis en me passant à ça de la tête.»

    C'est toute cette histoire qui a rejailli, raconte Mme Taylor-Gregory, quand elle a appris à la télé l'attaque contre une nouvelle victime. Elle a aussitôt éteint le poste.



    REF.: Canoe

    Jean-Guy Chaput chercherais sur Facebook ou Twitter,des pitounnes qui veulent partager sa chambre d'Hôtel a Canne

    Développement culturel - Un train de vie somptueux avec votre argent

    Jean-Guy Chaput, le pdg de la SODEC, a flambé 48 000 $ en hôtels et billets d’avion.Un peu blême,.....c'est surement dû aux vins!

    Un train de vie somptueux avec votre argent $$$, un autre crosseur ;o)



    Le président directeur général de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) a donné le mauvais exemple en se permettant des frais de déplacement somptuaires pour des chambres avec vue sur la mer à Cannes, a déclaré aujourd'hui le vérificateur général, Renaud Lachance.

    L'an dernier, Jean-Guy Chaput a engagé des dépenses totalisant 48 000 $ pour des hôtels et billets d'avion lors de ses déplacements, a indiqué le vérificateur général après avoir déposé son plus récent rapport à l'Assemblée nationale.

    Lors d'une conférence de presse, M. Lachance a estimé que ces frais étaient disproportionnés par rapport à la nature des activités. Outre des billets d'avion au prix plus élevé, il a notamment souligné une facture de 1300 $ pour une chambre avec vue sur la Méditerranée, à Cannes, durant le célèbre festival français de cinéma.

    Selon lui, M. Chaput, qui quittera ses fonctions en octobre prochain, aurait dû faire preuve de plus de retenue avec les fonds publics qui composent le budget de l'agence gouvernementale.

    «Il n'était pas nécessaire d'avoir ce genre de train de vie, a-t-il dit. Il faut comprendre que la SODEC, c'est là pour donner des subventions aux gens du milieu culturel. Plus vous dépensez des sous pour vos déplacements et vos activités de représentation, moins vous en avez pour en donner aux autres.»



    Lors de leurs déplacements au Québec, des employés de la SODEC ont facturé, dans plus de 60 pour cent des cas, des frais d'hôtel dépassant le montant prévu par les politiques de gestion.

    De 2006 à 2008, la SODEC a aussi payé 22 750 $ pour 181 factures de repas qui réunissaient seulement des employés de la société.

    M. Lachance a aussi constaté que, pour l'année en cours, 200 000 $ en frais de déplacement ont été comptabilisés dans la colonne d'un programme de subventions dont l'objectif est d'aider le milieu culturel.

    «Un frais de représentation, ce n'est pas une subvention, a-t-il dit. Ce n'est pas un problème de colonne. C'est un problème de transparence.»

    Pour l'année 2008-2009, les frais de déplacement de la SODEC se sont élevés à 389 000 $.



    REF.:

    jeudi 21 mai 2009

    Le monde ne lisent pas les petits caractères des cartes de crédits

    Désormais, les cartes de crédit seront régies par de nouvelles règles au Canada.

    Les nouveaux règlements, annoncés jeudi par le ministre des Finances Jim Flaherty, incluent un délai de grâce minimal de 21 jours pour les consommateurs. Ce délai de grâce s'appliquera à tous les nouveaux achats effectués à l'intérieur d'une période de facturation donnée, même si un solde antérieur a été reporté. Cette mesure existe déjà au Québec.

    Autrement dit, un consommateur qui ajoute une dépense de 50 $ à sa carte et qui traînait déjà un solde à rembourser de 300 $ ne paiera des intérêts que sur ce solde, et non sur ses nouveaux achats, pendant 21 jours, s'il acquitte totalement sa dette à la fin du mois.

    D'autres règles à l'intention des institutions émettrices de cartes:

    • annoncer tous les renseignements importants, soit les taux d'intérêt, les délais de grâce et les frais de service, de manière bien visible dans le contrat de crédit;
    • avertir d'une augmentation des taux d'intérêt dans la prochaine période de facturation, avant leur entrée en vigueur. Cette information devra être fournie même si elle figurait dans le contrat de crédit;
    • fournir aux consommateurs l'information sur le temps qu'il faudra pour rembourser tout leur solde, s'ils ne versent que le paiement minimum requis à chaque mois;
    • toujours exiger le consentement explicite des consommateurs avant d'augmenter leur limite de crédit;
    • interdire aux institutions financières de communiquer avec les consommateurs en dehors de certaines heures, à des fins de recouvrement;
    • empêcher que des frais de dépassement de limite de crédit soient imposés lorsque l'excédent de dépenses est dû uniquement aux montants retenus par des commerçants.

    Certaines dispositions dans les nouveaux règlements imposés s'appliqueront aussi aux prêts à intérêt fixe ou variable et aux marges de crédit.

    Toutefois, le ministre Flaherty n'impose pas de mesures plus sévères, comme une limite aux taux d'intérêt.

    Une initiative critiquée

    Les organismes de protection des consommateurs et des partis d'opposition dénoncent les choix du gouvernement conservateur.


    Jack Layton, en a contre la décision d'Ottawa de ne pas forcer les banques à établir un taux maximum d'intérêt pour les cartes de crédit.


    Les banques avaient averti le gouvernement que toute nouvelle réglementation ayant pour effet d'augmenter leurs charges pourrait se traduire par des coûts plus élevés pour les détenteurs de cartes. Elles ont également précisé que les consommateurs canadiens obtiendraient les cartes de crédit plus difficilement.

    L'annonce de M. Flaherty survient au lendemain de nouvelles règles établies par les États-Unis, qui restreignent, entre autres, la fourniture de cartes de crédit aux mineurs. Les détenteurs de carte doivent être informés 45 jours avant une hausse de taux d'intérêt, selon les nouvelles règles.


    Carte de crédit 101

    Pour pas se faire fourrer par les banques !

    REF.: